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La pause Fitness
Fitnessmith
50 episodes
11 hours ago
On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
Le seul podcast français régulier sur la musculation ( culturisme, bodybuilding, fitness ) qui regroupe la bonne santé, l'alimentation, le style de vie. Pour reprendre le terme de Tim ferriss, c'est un lifestyle design particulier.
Retrouvez moi sur le site www.fitnessmith.fr
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On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
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Episodes (20/50)
La pause Fitness
Mon avis sur The Biggest Loser le poids du show sur netflix
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de maigrir avec un lipœdème, des frites et l’insuline, des protéines végétales et des glucides.
Nouveau : Les clés de la motivation à l’âge adulte
Au programme :

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Frites et diabète : un lien inquiétant révélé par les scientifiques
Une vaste étude suivie depuis 1984 auprès de plus de 205 000 professionnels de santé américains a été publiée dans le BMJ et relayée par ScienceDaily. Les chercheurs ont analysé la consommation de pommes de terre et son association avec l’apparition du diabète de type 2. Ils ont observé que manger des frites trois fois par semaine augmentait le risque de diabète de 20 %, tandis que consommer des pommes de terre bouillies, cuites au four ou écrasées n’avait pas d’effet significatif. En revanche, chaque portion hebdomadaire supplémentaire de frites entraînait une hausse de risque, tandis que remplacer des pommes de terre par des céréales complètes réduisait le risque.
L’étude précise qu’en substituant trois portions de pommes de terre par des grains entiers, le taux de diabète diminuait de 8 %. A contrario, remplacer les pommes de terre par du riz blanc augmentait l’incidence du diabète, soulignant que le contexte alimentaire importe autant que l’aliment lui-même. Les auteurs mettent en garde : le mode de préparation et l’aliment de remplacement sont déterminants pour la santé, et les frites, riches en glucides rapidement assimilables et en matières grasses, semblent particulièrement délétères pour le métabolisme. Bien qu’observationnelle, la recherche confirme les recommandations actuelles de privilégier les céréales complètes et invite à modérer la consommation de frites pour prévenir le diabète. Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250811104201.htm

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Les protéines végétales réunies égalent le lactosérum pour la récupération musculaire
Le site News‑Medical rapporte une revue systématique publiée dans la revue Nutrients qui évalue l’efficacité des protéines végétales dans la récupération après un effort de résistance. En compilant 24 études menées auprès de jeunes adultes en bonne santé, les auteurs ont constaté que les mélanges de protéines végétales fournissant au moins 30 g de protéines totales et environ 2,5 à 3 g de leucine par prise sont aussi efficaces que le lactosérum (whey) pour la récupération musculaire. Les mélanges qui combinent par exemple pois, riz et soja permettent de compenser les déficits en acides aminés des sources isolées. En revanche, les protéines végétales utilisées seules, comme le soja ou le pois, s’avèrent moins performantes pour stimuler la synthèse protéique et favoriser la croissance musculaire.
La plupart des études analysées portaient sur des réponses aiguës après un entraînement unique ; les données à long terme restent limitées. Selon les auteurs, des essais plus longs sont nécessaires pour confirmer si ces mélanges végétaux soutiennent réellement la force et la masse musculaire de manière durable. En attendant, ils soulignent l’intérêt environnemental et éthique de ces mélanges pour les sportifs et recommandent d’augmenter l’apport protéique total afin de compenser la moindre digestibilité des protéines végétales.
Source : https://www.news-medical.net/news/20250812/Plant-based-protein-blends-can-match-whey-for-muscle-recovery.aspx
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Un régime pauvre en glucides pour soulager le lipœdème : la clé de Sunniva »
Sunniva Kwapeng découvre dans l’adolescence la douleur d’un corps qui change,
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1 day ago
51 minutes 41 seconds

La pause Fitness
Forme & Esprit : Cuisine maison, marche express et esprit léger
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de cuisine maison pour maigrir, de marcher 15 minutes mais vite, et de fatigue mentale.
Nouveau : Comment rester sec et musclé toute l’année (sans faire n’importe quoi).
Au programme :

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La cuisine maison fait perdre deux fois plus de poids que la nourriture industrielle
Des chercheurs de l’University College London ont mené la première étude de terrain comparant un régime à base d’aliments ultra-transformés (UPF) à un régime composé de plats faits maison et peu transformés (MPF). Cinquante-cinq adultes ont été répartis en deux groupes et ont suivi les deux régimes pendant huit semaines chacun, avec quatre semaines de transition. Les repas étaient livrés à domicile et respectaient les recommandations nutritionnelles officielles (protéines, glucides, fibres, fruits et légumes). Les participants pouvaient manger à satiété. Résultat : ceux qui mangeaient des plats minimalement transformés ont perdu 2 % de leur poids, soit deux fois plus que ceux qui mangeaient des plats ultra-transformés (1 % de perte). L’étude précise que cette différence provient principalement d’une diminution de la masse grasse, sans perte musculaire, et que la réduction de l’apport calorique (290 kcal/jour contre 120 kcal/jour) est survenue spontanément. Sur une année, on estime que ce régime entraînerait 13 % de perte de poids chez les hommes et 9 % chez les femmes, contre 4 % et 5 % avec un régime ultra-transformé. En outre, les participants ont signalé une meilleure maîtrise des envies alimentaires et une réduction du nombre de pulsions : l’amélioration du contrôle des fringales était deux fois plus importante avec les plats maison, quatre fois pour les envies salées. Selon le professeur Chris van Tulleken, cette recherche montre que l’industrialisation des aliments joue un rôle majeur dans l’obésité. Il plaide pour des politiques ciblant l’environnement alimentaire plutôt que la seule responsabilité individuelle.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250805041616.htm

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Marcher vite quinze minutes par jour réduit la mortalité
Une vaste étude menée sur près de 80 000 personnes majoritairement noires et à faible revenu dans le sud des États-Unis confirme les bienfaits de la marche rapide. Les participants déclaraient la durée de marche lente et rapide, et les chercheurs ont croisé ces données avec le registre national des décès. Ils ont constaté qu’une marche rapide de 15 minutes par jour réduisait de près de 20 % la mortalité totale, tandis que trois heures de marche lente n’apportaient qu’un faible gain. Cet avantage s’étend à toutes les causes de décès mais est particulièrement marqué pour les maladies cardiovasculaires. Le taux de marche rapide nécessaire n’est pas réservé aux athlètes : une cadence qui rend le chant difficile mais permet encore de parler suffit. Les auteurs soulignent que, même si l’activité physique globale est importante, la vitesse de marche procure un bénéfice supplémentaire indépendant du temps passé à marcher. L’étude renforce l’idée que des interventions simples et accessibles, comme encourager la marche rapide dans les communautés défavorisées, peuvent réduire les inégalités de santé. Les chercheurs recommandent aux campagnes de santé publique de promouvoir cette habitude, car elle améliore l’efficacité cardiaque, aide à gérer la pression artérielle et les lipides, et reste adaptée à tous les âges.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250729001211.htm

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Fatigue mentale : le cerveau arbitre l’effort
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1 week ago
43 minutes 44 seconds

La pause Fitness
Dormir avant MINUIT, 100 pas/min : +14 pas/min qui changent tout (et ce que disent vraiment les œufs & les sucres cachés)
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de vitesse de marche, des oeufs, du cholesterol et des aliments cachant leur secrets.
Nouveau : Muscler sa respiration et l’oxygénation pour progresser
Au programme :

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Votre rythme de sommeil vous rend malade
Cette vaste étude internationale, publiée dans la revue Health Data Science, a analysé les données objectives d’activité de sommeil de 88 461 adultes, suivis en moyenne pendant 6,8 ans via des moniteurs. Il s’agit d’une étude de type cohortes avec un niveau de preuve élevé, incluant une analyse phénotypique étendue à 172 maladies, dont 92 étaient liées à des habitudes de sommeil irrégulières (risque majoré de plus de 20 %)
Les résultats montrent que ce n’est pas le nombre d’heures dormies mais la régularité des horaires de coucher qui est cruciale. Aller au lit après 00 h 30 multipliait par 2,57 le risque de cirrhose du foie. Une faible stabilité circadienne augmentait de 2,61 fois le risque de gangrène.
Contrairement à certaines croyances, dormir plus de 9 heures n’a pas été associé à une plus grande mortalité lorsque mesuré objectivement : une portion significative des personnes considérées comme “long sleepers” dormaient en réalité moins de 6 heures, révélant des biais dans les enquêtes subjectives (21,67 % de malclassifications).
D’après les chercheurs de l’Université de Pékin et de l’Armée Médicale chinoise, « Il est temps de redéfinir un bon sommeil en incluant la régularité, pas seulement la durée », évoquant l’inflammation comme mécanisme possible de ces liens puissants entre sommeil et maladies.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250729001227.htm
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Vieillir moins vite en marchant plus vite : 14 « pas par minute » qui changent la donne
Augmenter le rythme de marche améliore la forme physique chez les personnes âgées pré-fragiles ou fragiles, révèle une nouvelle étude menée dans 14 résidences seniors à Chicago. Les chercheurs ont analysé les données de 102 participants, âgés de 60 ans et plus, répartis entre un groupe de marche à allure modérée et un autre, invité à marcher « aussi vite que possible, en toute sécurité ». Après 4 mois, ceux qui avaient augmenté leur cadence à 100 pas par minute (contre 77 dans le groupe modéré) ont affiché de bien meilleurs progrès lors du test de marche de 6 minutes, couvrant en moyenne 50 mètres de plus.
Ce qui est nouveau : il suffit d’augmenter son rythme de 14 pas par minute par rapport à sa vitesse habituelle pour multiplier par dix les chances d’améliorer sa capacité physique de façon significative. Cette étude de cohorte randomisée, publiée dans PLOS One, s’appuie sur une mesure objective grâce à un capteur fixé à la cuisse, et met en avant la cadence comme un indicateur fiable de l’intensité de l’effort, plus simple à suivre que la fréquence cardiaque ou l’essoufflement.
Les auteurs précisent n’avoir aucun conflit d’intérêt et recommandent l’intégration de la cadence dans les programmes d’activité physique pour seniors. Prochaine étape : définir les protocoles idéaux et tester l’efficacité du feedback en temps réel pour motiver les pratiquants.
DOI : https://doi.org/10.1371/journal.pone.0323759
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Deux œufs par jour n’augmentent pas le “mauvais” cholestérol
Une étude randomisée en cross-over menée auprès de 61 adultes en bonne santé montre que consommer deux œufs par jour dans le cadre d’une alimentation pauvre en graisses saturées réduit même le taux de “mauvais” cholestérol (LDL), contrairement aux idées reçues. Les participants ont suivi trois régimes de cinq semaines chacun : un riche en c...
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2 weeks ago
41 minutes 7 seconds

La pause Fitness
Plus de sport ou moins de calories pour sécher, hack santé, additifs de fast‑food
Dans ce podcast nous allons parler de : Obésité (10× l’alimentation), médecine médiévale visionnaire, additifs de fast‑food
Nouveau : Programme musculation après 50 ans à la maison – guide complet
Au programme :

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Pourquoi l’obésité progresse dans les pays riches : l’étude qui bouscule les idées reçues sur la dépense énergétique
Une vaste étude internationale, publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, vient bouleverser une croyance répandue : la progression de l’obésité dans les pays riches ne s’expliquerait pas par la baisse de l’activité physique, mais d’abord par l’augmentation de la consommation alimentaire. Les chercheurs de l’université Duke ont analysé plus de 4 200 adultes, âgés de 18 à 60 ans, issus de 34 populations variées (chasseurs-cueilleurs, agriculteurs, citadins de pays industrialisés) sur six continents, en tenant compte du niveau de développement (via l’indice de développement humain des Nations Unies).
La grande nouveauté de cette recherche : dans les pays industrialisés, la dépense énergétique quotidienne reste égale, voire supérieure à celle de populations rurales ou traditionnelles. Ainsi, malgré une activité physique comparable, la masse grasse et l’indice de masse corporelle augmentent avec le niveau de vie. Seule une très légère baisse de la dépense d’énergie a été observée avec le développement économique, mais elle n’explique qu’une infime partie de la hausse du taux d’obésité.
Les auteurs insistent : la clé de l’épidémie mondiale d’obésité serait donc avant tout dans nos assiettes. Ils invitent à ne pas opposer alimentation et exercice physique, mais à considérer les deux comme complémentaires dans la prévention. Nature de l’étude : étude de cohorte multi-pays, niveau de preuve élevé.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250720034023.htm

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Mille ans avant TikTok, la médecine médiévale dictait déjà les tendances santé
Un projet de recherche international mené par l’université de Binghamton révèle que la médecine médiévale, loin d’être archaïque, reposait sur une véritable culture de l’observation et de l’expérimentation. En étudiant des centaines de manuscrits, récemment réunis dans le catalogue du Corpus of Early Medieval Latin Medicine, les chercheurs montrent que les populations du « Moyen Âge » cherchaient activement à comprendre et soigner le corps humain, bien plus qu’on ne le pensait jusqu’ici.
La nouveauté révélée : de nombreux remèdes, des onguents aux cures détox, rappellent étonnamment les pratiques bien-être aujourd’hui populaires sur les réseaux sociaux, certains ayant même fait l’objet d’études scientifiques récentes. Des exemples : soulager la migraine avec de l’huile de rose, ou utiliser un shampooing à base de lézard pour embellir les cheveux !
Le catalogue, fruit de deux ans de travail, double quasiment le nombre de manuscrits médicaux connus pour la période antérieure au XIᵉ siècle. Il montre aussi que les savoirs médicaux circulaient dans les marges de manuscrits variés, signe de l’importance accordée à la santé au quotidien.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250716000836.htm

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Additifs dans la restauration rapide : l’UFC-Que Choisir dénonce un manque de transparence
Selon un rapport publié le 16 juillet 2025, l’association UFC-Que Choisir pointe le manque de transparence des grandes enseignes de fast-food sur la présence d’additifs dans leurs menus. L’enquête, menée auprès de quatre leaders du secteur (McDonald’s, Burger King, KFC, Quick),
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3 weeks ago
56 minutes 27 seconds

La pause Fitness
Cortisol, exercice psychique et de jeûne intermittent 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de cortisol du lundi, exercice psychique et de jeûne intermittent.
Nouveau : Combien de PAS par jour pour perdre du poids 
Au programme :

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Le stress du lundi laisse une empreinte durable sur notre biologie, selon une nouvelle étude
Une équipe dirigée par le professeur Tarani Chandola de l’Université de Hong Kong vient de dévoiler un phénomène frappant : le stress ressenti le lundi s’imprime durablement dans notre organisme, peu importe si l’on travaille ou non.

Les personnes qui déclarent une anxiété particulière en début de semaine affichent, deux mois plus tard, un niveau de cortisol — l’hormone du stress — 23 % plus élevé dans leurs cheveux que ceux qui stressent davantage un autre jour. Ce marqueur biologique du stress chronique, bien connu pour augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, ne concerne pas que les actifs. Les retraités ne sont pas épargnés, montrant que le lundi agit comme un véritable « amplificateur culturel du stress », ancré dans nos rythmes sociaux.
L’étude rappelle qu’en Angleterre, le lundi est associé à une hausse de 19 % des infarctus par rapport aux autres jours. Or, ce n’est pas tant l’intensité du stress le lundi que la réaction biologique à ce stress qui pose problème : seuls 25 % de l’effet observé sont dus à un ressenti d’anxiété plus fort ce jour-là, le reste provient de l’impact biologique disproportionné du lundi.
C’est la première fois qu’on démontre que le lundi, plus qu’un autre jour, dérègle profondément l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ce chef d’orchestre des hormones du stress.  À lire aussi : Souffrez-vous du syndrome du boulot irritable ? ( Test inclus )
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250706230309.htm

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Sauriez-vous reconnaître une noyade ?
Au début de l’été 2025, les noyades sont en hausse de 58 % en France par rapport à l’année précédente. Ce phénomène ne concerne pas seulement les enfants : chaque année, près de 2 000 noyades sont recensées dans l’Hexagone, dont un tiers sont mortelles selon les chiffres du ministère de la Santé.
La plupart des témoins ne savent pas reconnaître une noyade, car elle ne ressemble pas aux scènes dramatiques du cinéma. En réalité, une personne en train de se noyer est souvent silencieuse, garde la tête à la surface et tente désespérément de respirer, sans appeler à l’aide. Les gestes clés : elle peine à garder la bouche hors de l’eau, agite les bras dans un mouvement réflexe, et ne parvient pas à nager ou à crier.
L’article met en avant un test simple proposé par les sauveteurs pour sensibiliser la population
Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sauriez-vous-reconnaitre-une-noyade-le-test-indispensable-avant-d-aller-a-l-eau_187171?xtor=RSS-16

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Pourquoi le contexte compte plus que l’exercice lui-même pour la santé mentale
La croyance populaire veut que bouger, peu importe la forme, soit bon pour le moral. Pourtant, une étude récente de l’Université de Géorgie, publiée en juillet 2025, nuance ce constat. Les chercheurs ont passé au crible plusieurs types d’études — analyses épidémiologiques à grande échelle, essais contrôlés randomisés, et revues sur les facteurs contextuels. Résultat : ce n’est pas simplement l’activité physique en elle-même qui améliore la santé mentale, mais surtout le contexte,
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4 weeks ago
42 minutes 41 seconds

La pause Fitness
Exercice et sommeil, travail de nuit, perte de graisse et personnalité. 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de travail de nuit, cardio, perte de graisse et personnalité.
Nouveau : Survivre au travail de nuit
Au programme :

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Avant une garde de nuit, mieux vaut un footing modéré qu’un HIIT explosif
Une étude taïwanaise publiée dans Scientific Reports a comparé chez 14 infirmières de nuit l’effet d’une séance de 47 min à 70 % FCmax versus 28 min d’intervalles à 95 % FCmax. Le footing à intensité continue améliore la qualité subjective du sommeil et allonge la durée totale, alors que le HIIT perturbe l’efficacité du sommeil et augmente la fragmentation nocturne. Le message est clair : lorsqu’on manque déjà de repos, la séance modérée soutient la récupération, contrairement à l’entraînement très intense qui excite le système nerveux sympathique. Source : https://www.nature.com/articles/s41598-025-09404-1

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Perdre du poids : une arme puissante contre le vieillissement cellulaire et la mauvaise graisse
Cette étude de grande ampleur a comparé le tissu adipeux de 70 personnes, dont des individus ayant perdu en moyenne 25 kilos après une chirurgie bariatrique.
La découverte majeure est que la perte de poids déclenche non seulement l’élimination des cellules vieillissantes et abîmées dans la graisse corporelle, mais aussi un recyclage actif des lipides. Ce phénomène favorise la combustion d’énergie et pourrait réduire les dépôts de mauvaises graisses dans le foie et le pancréas, contribuant ainsi à améliorer la santé métabolique.
En analysant plus de 170 000 cellules, les chercheurs ont constaté que la perte de poids aide à « nettoyer » le tissu adipeux des cellules sénescentes, responsables d’inflammation et de cicatrices. Ces avancées offrent un éclairage inédit sur les bienfaits de la perte de poids, expliquant pourquoi elle est si efficace pour traiter des complications comme le diabète.
Cependant, tout n’est pas parfait : certains effets de l’obésité persistent dans le système immunitaire, même après une perte de poids importante. Les cellules immunitaires inflammatoires gardent une « mémoire » de l’obésité, ce qui pourrait nuire à long terme si le poids est repris.
Source : https://medicalxpress.com/news/2025-07-weight-loss-aging-cells-boosts.html

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Adapter son sport à sa personnalité : une clé pour aimer bouger et réduire le stress
Moins d’un quart des adultes atteignent les recommandations mondiales en matière d’activité physique. Pour inverser cette tendance, une équipe de l’University College London a voulu comprendre l’influence de la personnalité sur le plaisir ressenti lors de l’exercice et l’engagement à long terme.
La grande nouveauté révélée : adapter le type d’exercice à sa personnalité multiplie le plaisir et les bénéfices sur la santé mentale, notamment en matière de réduction du stress. Les plus extravertis préfèrent les activités de groupe et les exercices à haute intensité : ils se sentent stimulés par la compagnie et la compétition. À l’inverse, les personnes à tendance anxieuse, dites « névrotiques », apprécient les séances individuelles ou à faible intensité, et profitent d’une baisse marquée de leur niveau de stress après l’entraînement. Les plus consciencieux s’entraînent régulièrement, même si le plaisir immédiat est moindre, motivés par le souci de leur santé. Enfin, l’ouverture à l’expérience prédispose à essayer différents sports, sans effet direct sur le plaisir ressenti.
À l’issue des huit semaines, seuls les participants du groupe entraînement voient leurs indicateurs de forme progresser (...
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1 month ago
43 minutes 3 seconds

La pause Fitness
Perdre 6 kg, entrainement respiratoire, fromage et de cauchemars
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de perdre 6 kg, d’entrainement respiratoire, de fromage et de cauchemars.
Nouveau : Les habitudes invisibles de ceux qui réussissent à se muscler (et bien plus )
Au programme :

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Régime végan vs. régime méditerranéen : le véganisme alcalin favorise la perte de poids
Un essai clinique mené à Washington et publié dans Frontiers in Nutrition compare, pour la première fois, l’impact direct d’un régime méditerranéen et d’un régime végan pauvre en graisses sur l’acidité de l’alimentation et le poids chez des adultes en surpoids. L’étude, un essai croisé randomisé, a suivi 62 volontaires, chaque participant testant tour à tour les deux régimes pendant 16 semaines, séparés par une période de transition.
La nouveauté de cette recherche réside dans le fait que seul le régime végan a permis de réduire de manière significative l’acidité alimentaire, aboutissant à une perte de poids moyenne de 6 kg, alors que le régime méditerranéen n’a pas entraîné de variation du poids.
La diminution du poids observée sous régime végan était due principalement à une réduction de la masse grasse. Les analyses statistiques révèlent un lien direct entre la baisse de l’acidité alimentaire (calculée par les scores PRAL et NEAP) et la perte de poids, indépendamment de la quantité de calories consommées. Cela signifie que l’effet bénéfique est bien lié à l’alcalinité apportée par une alimentation riche en fruits, légumes, céréales complètes et légumineuses, sans produits d’origine animale.
En conclusion, cette recherche de haut niveau (essai clinique randomisé en cross-over) montre que le choix d’un régime végan pauvre en graisses peut offrir des avantages concrets pour perdre du poids et réduire l’acidité alimentaire, par rapport à un régime méditerranéen pourtant considéré comme modèle de santé.
Source : https://www.frontiersin.org/journals/nutrition/articles/10.3389/fnut.2025.1634215/full

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L’entraînement respiratoire améliore la santé cardiaque sans impact direct sur le sommeil, révèle une étude
Une étude prospective pilotée par des chercheurs américains, publiée sur bioRxiv, explore les effets de l’entraînement des muscles respiratoires sur le sommeil et la santé cardiovasculaire chez des adultes en bonne santé. Soixante-sept volontaires, équipés de bracelets connectés, ont suivi pendant cinq semaines un programme quotidien d’exercices combinant renforcement des muscles inspiratoires et expiratoires, tandis qu’un groupe témoin poursuivait sa routine habituelle.
Les scientifiques ont mesuré à la fois la qualité du sommeil et des indicateurs de la fonction cardiaque comme la variabilité de la fréquence cardiaque, un marqueur reconnu de la santé du système nerveux autonome. Résultat : l’étude montre que l’entraînement respiratoire améliore de façon significative la variabilité de la fréquence cardiaque, reflétant une meilleure santé cardiaque, sans pour autant modifier la qualité du sommeil chez les participants, qu’ils soient bons ou mauvais dormeurs. Les effets positifs sur la fonction autonome cardiaque persistent au-delà de la période d’entraînement.
Cette recherche randomisée contrôlée, réalisée en conditions réelles et à distance grâce à des objets connectés, constitue une première dans une population non clinique. Elle suggère que l’entraînement respiratoire pourrait devenir une stratégie simple et non-médicamenteuse pour renforcer la santé cardiovasculaire, y compris chez les personnes sans pathologie particulière. Toutefois, l’étude souligne la nécessité de poursuivre les recherches sur des périodes plus longues et sur un plus large public.
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1 month ago
34 minutes 24 seconds

La pause Fitness
Un café c’est mieux que le jeûne, sieste de 90 minutes, congestion et changer le futur
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler du café qui serait mieux que le jeûne, de sieste de 90 minutes, de congestion et de changer notre futur.
Nouveau : Pourquoi sommes-nous accros aux féculents ?
Au programme :

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Bain chaud : l’atout santé inattendu face au sauna
Une équipe de l’Université d’Oregon a comparé trois modes de « thermothérapie passive » : bain à 40 °C, sauna sec classique et sauna infrarouge. Verdict : le bain immerge le corps dans un milieu où la transpiration ne refroidit plus la peau. La température centrale grimpe alors plus haut qu’au sauna, ce qui dilate davantage les vaisseaux, abaisse la pression artérielle et mobilise les globules blancs. Les chercheurs observent aussi un pic d’interleukine-6, messager clé de l’immunité. Autrement dit, quinze minutes dans un jacuzzi génèrent un stress thermique proche d’une séance de cardio modérée, sans bouger. Cette découverte démontre qu’un simple bain chaud déclenche à lui seul les réponses cardio-vasculaires et immunitaires recherchées en rééducation. De quoi offrir une option aux personnes âgées ou blessées qui ne peuvent pas s’entraîner.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250625232208.htm

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Café du matin : un « interrupteur » de longévité activé
Boire son expresso au saut du lit ferait bien plus que vous réveiller. Des microbiologistes de l’Université de Vienne ont montré que la caféine active directement l’AMP-kinase, enzyme centrale du métabolisme cellulaire, et enclenche la même voie énergétique que le jeûne intermittent. Les chercheurs observent une augmentation de 26 % des marqueurs de recyclage cellulaire après une seule tasse. Chez la levure puis chez la souris, ce « coup d’accélérateur » réduit l’accumulation des protéines endommagées et prolonge la durée de vie de 15 %. L’équipe souligne qu’il suffit d’une dose humaine standard (80-100 mg) pour reproduire l’effet. En pratique : un café noir, sans sucre, dans l’heure suivant le réveil optimise la fenêtre métabolique où l’AMP-kinase est la plus réceptive. Les auteurs préviennent toutefois que l’ajout de crème ou de sucre inhibe partiellement la réponse. Un hack simple, gratuit et potentiellement puissant pour préserver ses mitochondries sans bouleverser son emploi du temps matinal.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250625054448.htm

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Modifier son futur grâce à l’IA
Mass General Brigham a formé un réseau profond à repérer le calcium coronaire sur 8 052 scanners thoraciques « non gated ». L’algorithme détecte une charge calcique élevée avec 89 % de précision et anticipe la mortalité à 10 ans (risque multiplié par 3,5 si score > 400). Grâce à cette IA, chaque vieux scanner pulmonaire devient un dépistage cardiovasculaire gratuit. Implémenter IA-CAC dans les hôpitaux VA pourrait prévenir des infarctus avant le moindre symptôme. Le sport et la diète vont prendre leur essor. Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250623233238.htm

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Sieste stratégique : 25 ou 90 min sans nuire au sommeil
Faut-il éviter la sieste pour bien dormir ? Des physiologistes australiens ont testé trois conditions chez 14 sportifs universitaires : pas de sieste, 25 min à 14h35 ou 90 min à 13h30. Aucun protocole n’a réduit la durée ou la qualité du sommeil nocturne. Le sommeil total restait autour de 7 h ± 10 min. Conclusion : une micro-sieste ou un cycle complet avant 15 h soutient la récupération neuromusculaire sans effet rebond. Idéal les jours de double séance ou de compétition en soirée.Source : Show more...
1 month ago
40 minutes 8 seconds

La pause Fitness
L’huile d’olive fait grossir, dormir + le week-end et fatigue mentale
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de l’huile d’olive qui fait grossir, de dormir deux heures de plus pour performer et fatigue mentale.
Nouveau : Bougez plus sans quitter votre bureau
Au programme :

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L’huile d’olive fait grossir 
Un travail de l’Université d’Oklahoma révèle que l’acide oléique – le principal lipide de l’huile d’olive – accroît la fabrication de cellules adipeuses en activant la protéine AKT2 et en freinant le régulateur LXR-α. Les chercheurs montrent ainsi qu’un excès d’acide oléique déclenche à lui seul une “recrue massive” de cellules gardiennes du gras : un terrain fertile pour l’obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires, même sans surplus calorique global.Méthode : des souris ont reçu des régimes enrichis en divers acides gras ; seul l’acide oléique a dopé la prolifération des pré-adipocytes. L’étude rappelle que « la nature du gras compte autant que la quantité ». Pour le pratiquant de musculation, le message est clair : varier les sources lipidiques (poissons gras, noix, colza, etc.) et surveiller la part d’huile d’olive, surtout lors des phases de prise de masse où l’on augmente les calories.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250611084111.htm

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Dormir deux heures de plus le week-end calme l’anxiété des sportifs
L’American Academy of Sleep Medicine a suivi 800 lycéens pratiquant un sport en club. Ceux qui repoussaient le réveil de 90 à 120 minutes le samedi et le dimanche affichaient 30 % de symptômes anxieux en moins et une baisse de 18 % du cortisol matinal. Un “rattrapage” modéré – mais pas excessif – optimise l’humeur et la récupération neurale sans perturber l’horloge interne. Pour un jeune athlète qui enchaîne cours, entraînements et compétitions, programmer volontairement ces deux heures supplémentaires pourrait limiter le surentraînement et améliorer la rétention des apprentissages moteurs.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250613013854.htm

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Fatigue mentale, le nouveau talon d’Achille
Synthèse de 22 études publiées en 2025, l’éditorial montre que un programme de pleine conscience de 7 semaines diminue de 28 % l’anxiété de compétition chez des sprinteurs chinois et booste leur variabilité cardiaque parasympathique. Les auteurs appellent les coaches à « periodiser le cerveau » comme on periodise la force, via micro-siestes, entraînement aux tâches doubles et méditation guidée.Source : https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1640470/full

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1 month ago
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La pause Fitness
Prise de ventre à 40 ans, sommeil et retour de la créatine
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de prise de ventre à 40 ans, du sommeil et de la créatine.
Nouveau : Vitamine B1 : Pourquoi tu crèves de faim même en mangeant sainement
Au programme :


Stopper la « bedaine » de la quarantaine
Le 7 juin, Drugs.com résume les conseils NIH (basés sur plusieurs études 2024-2025) pour contrer la prise de poids typique entre 30 et 45 ans. Intermittent fasting, musculation bi-hebdomadaire et 7 h de sommeil par nuit composent le trio gagnant contre la prise de poids progressive. Les spécialistes rappellent qu’un simple déficit de 250 kcal/j ,évite deux kilos par an.Source : https://www.drugs.com/news/expert-s-guide-keeping-middle-age-spread-bay-125298.html


Trop d’écran, trop assis : le cocktail qui sabote le sommeil des sportifs
Une enquête nationale chinoise parue le 10 juin dans Frontiers in Neurology  révèle que dépasser huit heures assises réduit de 25 % la durée de sommeil réparateur et augmente de 30 % le risque de blessure pendant l’entraînement. Les auteurs préconisent des pauses actives toutes les 30 minutes.Source : https://www.frontiersin.org/journals/neurology/articles/10.3389/fneur.2025.1488443


La créatine, une vieille star qui revient en force
Des chercheurs américains publient le 10 juin dans Journal of Dietary Supplements  une méta-analyse de 50 essais contrôlés : la créatine n’est pas seulement un booster de force, elle soutient aussi la mémoire chez les plus de 60 ans et réduit la perte de masse maigre après 12 semaines d’entraînement. Les auteurs insistent sur la sécurité du supplément, même à long terme, et proposent de l’intégrer aux programmes de recomposition corporelle.Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40198156/


Vitamine B1 : Pourquoi tu crèves de faim même en mangeant sainement

Pourquoi même un petit déficit en B1 peut ralentir ta sèche
Le lien entre manque d’énergie cérébrale et envies de sucre irrépressibles
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2 months ago
50 minutes 16 seconds

La pause Fitness
Vide mental, bains glacés et régime hypocalorique : le trio surprenant qui impacte vos muscles et votre santé mentale
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de comment le vide mental, les bains glacés et les régimes hypocaloriques peuvent vous nuire ou vous réussir.
Nouveau : Comment éliminer la rétention d’eau sous-cutanée
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Peut-on vraiment ne penser à rien ?
Peut-on être conscient sans penser à rien ? C’est la question surprenante que pose une revue publiée en avril 2025 dans la prestigieuse revue Trends in Cognitive Sciences. Coordonnée par Thomas Andrillon, chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale et à l’Institut du cerveau à Paris, cette méta-analyse de 80 études scientifiques bouleverse notre compréhension de la conscience éveillée.
On croyait jusqu’ici que l’esprit vide était un état réservé aux méditants aguerris. En réalité, ces « blancs mentaux » surgissent fréquemment dans la vie quotidienne : en fin de tâche répétitive, après une nuit blanche, ou à l’issue d’un effort intense. Ces absences ne sont pas un simple vagabondage mental : elles constituent un état neurologique unique, avec une chute d’activité dans plusieurs régions cérébrales clés comme le gyrus frontal inférieur ou l’aire de Broca.
Ce vide n’est ni sommeil ni veille classique. Il présente une complexité neuronale intermédiaire, que les auteurs comparent à une « symphonie désaccordée », suggérant un phénomène de « sommeil local » : certaines zones du cerveau se mettraient en veille alors que la personne reste éveillée. Cette découverte pourrait transformer notre approche clinique des troubles de l’attention et autres pathologies psychiatriques.
L’étude, une revue systématique à haute valeur scientifique.
Source : https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/neurosciences/peut-on-vraiment-ne-penser-a-rien-27770.php


Les bains glacés après l’entraînement : un frein à la croissance musculaire
Une étude de l’Université de Maastricht met en évidence que l’immersion des membres dans de l’eau glacée après une séance de musculation réduit le flux sanguin vers les muscles, entravant ainsi l’absorption des protéines essentielles à la récupération et à la croissance musculaire. Cette pratique, bien que populaire, pourrait limiter les gains musculaires si elle est effectuée immédiatement après l’exercice.
Des chercheurs de l’université de Maastricht ont mené une expérience sur 12 hommes jeunes et en bonne santé. Après une séance de musculation intense, chaque participant a plongé une jambe dans de l’eau glacée à 1 °C et l’autre dans de l’eau tiède à 27 °C pendant 20 minutes. Les scientifiques ont ensuite mesuré la circulation sanguine et l’absorption des protéines dans les muscles.
Résultat : la jambe refroidie a montré une baisse significative du flux sanguin et une absorption réduite des protéines pendant plusieurs heures, ce qui pourrait freiner la croissance musculaire. Ce phénomène s’explique par la vasoconstriction provoquée par le froid, qui limite l’apport en nutriments essentiels à la réparation des fibres musculaires.
Ces conclusions confirment des recherches antérieures. Une étude australienne de 2015 avait déjà observé que des hommes pratiquant des bains glacés après chaque séance de musculation développaient des muscles 20 % plus petits et plus faibles que ceux qui n’en prenaient pas. De même, une revue systématique de 2024 intitulée « Throwing Cold Water on Muscle Growth » avait conclu que les bains froids pouvaient atténuer les gains musculaires.
Source : Show more...
2 months ago
37 minutes 19 seconds

La pause Fitness
Les routines sportives des riches, Perdre 30% de son poids, USA et forme physique
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness, nous allons parler des routines sportives des riches. Nous aborderons aussi la perte de 30% de son poids, des USA et forme physique. Enfin, nous discuterons des risques du bodybuilding de haut niveau.
Nouveau : Les cauchemars ruinent ton sommeil, voici quoi faire
Au programme :


Mai 2025 proclamé Mois national de la forme physique et des sports par Donald Trump
Dans une proclamation officielle datée du 24 mai 2025, le président des États-Unis, Donald J. Trump, déclare le mois de mai comme le Mois national de la forme physique et des sports. Ce texte célèbre le rôle central que jouent l’activité physique et le sport dans la santé, la longévité et la cohésion sociale des citoyens américains.
Le président souligne que les États-Unis sont à la traîne par rapport à d’autres pays développés en matière de santé publique, notamment en termes d’espérance de vie et de prévention des maladies chroniques. Il affirme que son administration a mis fin à cette « ère d’indifférence » en nommant Robert F. Kennedy Jr. à la tête du ministère de la Santé et en créant la commission « Make America Healthy Again », chargée de promouvoir une meilleure alimentation et de prévenir les maladies chroniques chez les enfants.
Le texte rappelle également plusieurs initiatives prises au cours de son mandat, comme un décret visant à accroître la participation des enfants aux sports, et un autre interdisant aux hommes biologiques de concourir dans les compétitions sportives féminines, avec pour objectif déclaré de préserver l’équité dans le sport féminin.
Le président conclut en appelant chaque citoyen à intégrer la forme physique dans sa vie quotidienne pour bâtir une nation plus forte et plus épanouie.
Source : https://www.whitehouse.gov/presidential-actions/2025/05/national-physical-fitness-and-sports-month-2025/


Supprimer un acide aminé entraîne une perte de poids de 30 % en une semaine chez la souris
Une étude publiée dans Nature le 21 mai 2025 révèle qu’une carence en cystéine, un acide aminé présent dans les aliments riches en protéines, provoque une perte de poids spectaculaire chez la souris. Les chercheurs ont observé une réduction de 30 % du poids corporel en seulement une semaine chez des souris génétiquement modifiées pour ne pas produire de cystéine et nourries avec un régime sans cet acide aminé.
Cette perte de poids rapide est due à une perturbation majeure du métabolisme énergétique. La carence en cystéine entraîne une diminution des niveaux de coenzyme A (CoA), un cofacteur essentiel pour la production d’énergie dans les mitochondries. Cette baisse de CoA conduit à une inefficacité métabolique, forçant l’organisme à puiser rapidement dans ses réserves de graisse.
Les chercheurs notent que cette perte de poids est réversible et que la réintroduction de cystéine dans l’alimentation permet un retour au poids initial. Cependant, ils soulignent que reproduire un tel régime chez l’humain serait extrêmement difficile, car la cystéine est présente dans la plupart des aliments. De plus, une carence en cystéine pourrait rendre les organes plus vulnérables aux toxines quotidiennes.
Cette découverte met en lumière le rôle crucial de la cystéine dans le métabolisme énergétique et ouvre la voie à de nouvelles recherches sur la régulation du poids corporel.
Source : https://www.nature.com/articles/s41586-025-08996-y


Mort subite chez les bodybuilders
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2 months ago
57 minutes 42 seconds

La pause Fitness
Réveil matin, repas plaisir et vitamine D
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de réveil matin, repas plaisir et vitamine D.
Voir ma boutique en cliquant ici ( Livre, programmes, club VIP ). 
NOUVEAU : 20 minutes par jour pour ton summer body
Au programme :

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Snooze : l’alarme « rappel » étudiée à grande échelle
Une vaste étude portant sur plus de 3 millions de nuits enregistrées via l’application SleepCycle révèle que plus de la moitié (55,6 %) des sessions de sommeil se terminent par l’utilisation du bouton « snooze », avec en moyenne 2,4 appuis et 10,8 minutes passées à snoozer à chaque session. Menée auprès de 21 222 utilisateurs répartis sur quatre continents, cette recherche publie ses résultats dans Scientific Reports, il s’agit d’une étude observationnelle de cohorte, avec un bon niveau de preuve  grâce à l’analyse de données objectives collectées sur six mois.
L’étude apporte des conclusions claires et inédites : les longues nuits (plus de 9 h) engendrent plus d’utilisation de la fonction snooze que les durées recommandées (7‑9 h) ou courtes (< 7 h). Les femmes snoozent en moyenne légèrement plus que les hommes (2,5 appuis vs 2,3 ; 11,5 min vs 10,2 min), avec un écart statistique et un effet de taille large.
À l’échelle temporelle, les jours de semaine (lundi‑vendredi) concentrent l’activation la plus intense du snooze, en contraste avec un usage moindre les weekends. On observe aussi un effet saisonnier : décembre au nord et juillet au sud enregistrent les pics d’utilisation, probablement en lien avec l’exposition lumineuse naturelle.
Un autre point marquant concerne le rythme du coucher : ceux qui se couchent plus tard que leur habitude ont davantage recours au snooze, tandis qu’un coucher anticipé l’atténue.
En conclusion, l’étude met en lumière un comportement très répandu et souvent contre-indiqué par les experts en sommeil, car il fragmente le repos. Reprendre le sommeil en mode « répétition » ne remplace pas un réveil consolidé, et les auteurs recommandent plutôt de programmer une alarme unique au moment optimal.
Source : https://www.nature.com/articles/s41598-025-99563-y

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Réduire les envies alimentaires, clé d’un amaigrissement durable
Une étude récente parue en mars 2025 dans la revue Physiology and Behavior montre qu’une baisse des envies alimentaires – en particulier pour les aliments sucrés ou riches en féculents – est liée à une perte de poids durable sur deux ans. L’étude a été menée par Nouf W. Alfouzan et Manabu T. Nakamura, et porte sur un groupe de 30 adultes suivant un programme d’amincissement structuré sur 12 mois, suivi d’un maintien sur une seconde année.
Les participants devaient se peser chaque jour et répondre régulièrement à un questionnaire sur leurs envies de manger. Au terme de l’étude, 20 personnes avaient poursuivi jusqu’au bout.
Dès les six premiers mois, les envies de manger diminuent nettement – qu’il s’agisse de grignotages impulsifs, de sucre ou de féculents. Cette étude révèle que l’intégration mesurée d’aliments plaisir dans les repas contribue à apaiser durablement les envies, favorisant ainsi une perte de poids continue pendant deux ans. ( voir hard reset vos goûts ) 
Chez les personnes ayant perdu au moins 5 % de leur poids initial, les envies sont restées faibles jusqu’à la fin de l’étude. À l’inverse, celles n’ayant pas maigri n’ont pas vu leurs envies baisser significativement.
Autre fait marquant : les personnes qui s’autorisaient de petits plaisirs intégrés dans des repas équilibrés ont obtenu de meilleurs résultats, tant sur le poids que sur la réduction des envies...
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2 months ago
44 minutes 11 seconds

La pause Fitness
Dopage involontaire, probiotiques, mercure et solitude
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de dopage involontaire, probiotiques, mercure et solitude.
Nouveau : Mon style de vie, ma diète, mon entrainement, mes suppléments et plus
Au programme :

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La solitude, l’épidémie silencieuse qui met votre santé en péril
La solitude n’est pas seulement un mal-être passager : elle est un facteur de risque aussi dangereux que le tabac. Selon une étude de Harvard, les adultes entre 30 et 44 ans sont les plus touchés, avec 29 % déclarant se sentir seuls « souvent » ou « en permanence », un chiffre qui atteint 24 % chez les moins de 30 ans.
Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les personnes âgées mais les jeunes adultes qui souffrent le plus de l’isolement social. Les conséquences sur la santé sont graves : un risque de mortalité prématurée accru de plus de 25 %, une hausse de 56 % du risque d’AVC, une augmentation du cortisol, l’hormone du stress, et un affaiblissement du système immunitaire.
Nouveauté majeure : les chercheurs ont observé que la solitude modifie l’expression de certains gènes liés à l’inflammation, montrant ainsi que l’isolement touche le corps jusqu’au niveau moléculaire.
Le paradoxe moderne ? Malgré des milliers de connexions en ligne, nous manquons cruellement de liens réels. Les réseaux sociaux promettent l’intimité, mais aggravent l’isolement s’ils ne mènent pas à des échanges concrets. De plus, le cerveau réagit à l’exclusion sociale de la même manière qu’à une douleur physique.
Pour inverser la tendance, des solutions existent : bénévolat, rassemblements informels, engagements spirituels, conversations profondes. La clé réside dans le retour à une communauté tangible – où l’on est vu, entendu, et valorisé.
Source : https://bengreenfieldlife.com/article/loneliness-the-hidden-epidemic-wrecking-health-and-how-to-beat-it/

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Un probiotique contre le mercure : une avancée prometteuse pour manger du poisson en toute sécurité
Une équipe de chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles et de San Diego a mis au point une bactérie intestinale génétiquement modifiée capable de neutraliser le méthylmercure, un poison puissant présent dans les poissons comme le thon rouge. En modifiant une bactérie courante du microbiote humain, ils ont réduit la toxicité du mercure chez des souris, y compris chez des femelles gestantes et leurs fœtus.
Ce méthylmercure, qui s’accumule tout au long de la chaîne alimentaire marine, provient principalement des activités humaines comme le charbon ou l’exploitation minière artisanale. Il est absorbé par les poissons, puis par l’homme, avec des risques graves : troubles neurologiques, malformations congénitales, voire intoxications aiguës.
Dans l’étude publiée dans Cell Host & Microbe, les chercheurs ont inséré un gène de détoxification d’une bactérie du sol dans Bacteroides thetaiotaomicron, un habitant habituel de notre intestin. Résultat : chez des souris nourries avec du thon rouge, les niveaux de méthylmercure dans le cerveau et le foie étaient nettement plus bas, et encore plus marqués chez les femelles gestantes et leurs petits.
La nouveauté de cette recherche est que l’administration orale de ce probiotique réduit de façon significative le passage du méthylmercure dans les tissus du corps, sans altérer la flore intestinale naturelle. Même en présence d’un microbiote intact, l’effet protecteur s’est maintenu.
Cette innovation pourrait bientôt déboucher sur un complément alimentaire pour les humains, rendant plus sûrs la consommation de poissons, notamment pendant la grossesse.
Source : Show more...
3 months ago
56 minutes 35 seconds

La pause Fitness
Qu’est-ce qu’un bon sommeil, Âge biologique, Protéines et microbiote
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de qu’est-ce qu’un bon sommeil, d’âge biologique, de protéines et microbiote.
Nouveau : Comment retrouver son énergie naturellement ?

Au programme du podcast :

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L’intelligence artificielle pourra bientôt révéler votre âge biologique
L’âge biologique, cet indicateur de l’état réel du corps humain, sera bientôt accessible à tous grâce à l’intelligence artificielle. Une équipe de chercheurs propose une méthode innovante : à partir d’une simple photo du visage, une machine sera capable d’estimer cet âge plus précisément que les méthodes actuelles basées sur l’analyse sanguine ou génétique.
Aujourd’hui, la différence entre l’âge biologique et l’âge chronologique est un enjeu crucial pour mieux prévenir les maladies liées au vieillissement. Or, la grande nouveauté est qu’une intelligence artificielle peut désormais analyser une simple image pour estimer cet âge caché, ouvrant la voie à un dépistage plus rapide et non-invasif.
Selon les premières validations scientifiques mentionnées dans Sciences et Avenir, cet outil, encore en phase expérimentale, pourrait bientôt intégrer les consultations médicales. Il contribuerait à un suivi personnalisé, en détectant des décalages entre apparence physique et santé intérieure.
Cette approche est aussi prometteuse pour la recherche en longévité et la prévention des risques cardiovasculaires, cancers et diabètes. En attendant son déploiement grand public, les chercheurs affinent encore les algorithmes pour garantir précision et fiabilité, y compris sur des visages marqués par des facteurs extérieurs comme le stress ou le tabagisme.
Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sciences/connaissez-vous-votre-age-biologique-l-ia-pourra-bientot-vous-le-reveler_185682

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Qu’est-ce qu’un bon sommeil ? Cela dépend du pays, révèle une étude
Dormir huit heures par nuit n’est pas une règle universelle, révèle une étude dirigée par l’Université de la Colombie-Britannique. Après avoir analysé les données de près de 5 000 personnes réparties dans 20 pays, les chercheurs concluent que la quantité optimale de sommeil varie fortement selon les cultures.
Contrairement aux idées reçues, les individus vivant dans des pays où l’on dort moins, comme le Japon avec une moyenne de 6 heures et 18 minutes, ne sont pas en moins bonne santé que ceux vivant dans des pays plus dormeurs, comme la France avec 7 heures et 52 minutes, ou le Canada avec 7 heures et 27 minutes.
« Les personnes qui dormaient plus près des normes de leur propre culture en matière de durée du sommeil avaient tendance à avoir une meilleure santé générale »

La nouveauté apportée par cette étude est que le meilleur sommeil est celui qui correspond aux normes de son propre environnement culturel. En d’autres termes, c’est la conformité aux habitudes locales de sommeil, et non une durée universelle, qui semble favoriser une meilleure santé générale.
Autre constat frappant : dans tous les pays étudiés, les participants dorment en moyenne une heure de moins que ce qui serait considéré comme optimal selon leur culture. Les chercheurs appellent donc à revoir les recommandations de santé publique en tenant compte des différences culturelles plutôt que d’imposer un modèle unique.
Cette étude, publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, repose sur des données collectées en Amérique du Nord, Europe, Asie, Afrique et Amérique du Sud.
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3 months ago
47 minutes 45 seconds

La pause Fitness
Pourquoi le tour de taille grossit avec l’âge, les dangers de la cannelle et sport sans énergie
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de faire du sport sans énergie, de pourquoi le tour de taille grossit avec l’âge et des risques de la cannelle.
 
Nouveau : Pourquoi l’AirFryer cache des pièges (et comment les éviter)

Au programme :

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Bouger pour garder l’esprit vif (même sans carburant)
Même en l’absence d’une source essentielle d’énergie, l’exercice physique parvient à maintenir la santé du cerveau – une découverte majeure révélée par une étude de l’Université du Missouri.
Les chercheurs Taylor Kelty et Scott Rector ont voulu comprendre si l’exercice pouvait protéger la mémoire lorsque le foie, qui produit les cétones en cas de manque de glucose, est défaillant. Ces cétones, alternatives naturelles au sucre, alimentent normalement les fonctions cérébrales telles que la mémoire et l’apprentissage.
Dans leur étude, les scientifiques ont bloqué la production de cétones chez des sujets d’expérience. Résultat prévisible : les capacités cognitives ont diminué. Mais à leur grande surprise, l’activité physique a permis de restaurer une partie des fonctions cérébrales malgré l’absence de cétones. Cela suggère que l’exercice active d’autres mécanismes encore mal compris, capables de compenser cette carence.
Ce résultat a des implications importantes pour les personnes souffrant de troubles du foie, qui les empêchent de produire ces molécules cruciales. Le lien entre foie et cerveau, longtemps négligé, pourrait expliquer pourquoi certaines affections hépatiques sont associées à un risque accru de démence.
Alors que le nombre d’Américains atteints de la maladie d’Alzheimer devrait doubler d’ici 2060, cette recherche éclaire un nouvel espoir : l’exercice pourrait devenir un levier central dans la prévention du déclin cognitif, même dans des contextes biologiquement défavorables.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250424120848.htm

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Pourquoi le tour de taille grossit avec l’âge ?
Des chercheurs américains ont identifié une nouvelle population de cellules souches responsables de la prise de graisse abdominale à partir de la quarantaine – une découverte majeure qui éclaire enfin un mystère de l’âge.
Avec l’âge, même si le poids global ne change pas, la masse musculaire diminue tandis que la graisse s’accumule, notamment autour du ventre. Des scientifiques du centre de recherche City of Hope, en collaboration avec l’Université de Californie à Los Angeles, ont découvert que cette transformation est causée par l’activation d’un type de cellule souche jusque-là inconnu : les « pré-adipocytes commis liés à l’âge », ou CP-A.
Ces cellules apparaissent à la quarantaine et se mettent à produire de grandes quantités de nouvelles cellules graisseuses, notamment dans les tissus abdominaux. Leur multiplication est stimulée par un signal cellulaire appelé LIFR, absent chez les jeunes mais essentiel chez les plus âgés.
Des expériences sur des souris ont montré que les cellules souches provenant d’animaux âgés fabriquent spontanément beaucoup plus de graisse, même lorsqu’elles sont transplantées chez des jeunes. Et inversement, des cellules jeunes n’activent pas ce processus, même chez des hôtes plus vieux. Des analyses de tissus humains ont confirmé la présence et l’activité accrue de ces cellules CP-A chez les personnes d’âge moyen.
Cette découverte ouvre la voie à de futurs traitements pour bloquer l’apparition de ces cellules ou neutraliser leur signal, afin de prévenir la prise de graisse liée à l’âge et ses conséquences sur la santé.
Source : Show more...
3 months ago
54 minutes 39 seconds

La pause Fitness
Prendre du muscle sans viande, les habitudes pour être en forme et manger du thon ou non
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de prendre du muscle sans viande, des dangers du thon, et des habitudes pour être en forme.
Nouveau : Jeûne intermittent : perdre du gras sans risque ?
Au programme :

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Thon : bon ou pas ?
Le thon, star des océans et de nos assiettes, affiche une double face. Riche en protéines et prisé dans les cuisines du monde entier, il séduit par sa chair maigre et sa saveur prononcée. Pourtant, sa consommation massive et répétée soulève de sérieuses préoccupations sanitaires et écologiques.
Derrière les conserves bon marché, un constat alarmant : une enquête menée en 2024 révèle que 57 % des boîtes de thon testées dans cinq pays européens dépassent les seuils de mercure recommandés. Ce métal lourd, neurotoxique, s’accumule dans les grands poissons carnivores. Un exemple inquiétant : une boîte de thon blanc de la marque Petit Navire contenait 3,85 mg/kg de mercure, bien au-delà du seuil de 0,3 mg/kg appliqué à d’autres espèces dans l’Union européenne.
Sur le plan écologique, la surpêche, notamment du thon rouge, a fortement réduit certaines populations, poussant à des mesures internationales de limitation des captures. Certaines méthodes de pêche, comme le harponnage, restent plus respectueuses, mais insuffisamment répandues.
Côté santé, le thon est moins riche en oméga-3 que les petits poissons gras, mais sa richesse en protéines reste un atout. Les autorités sanitaires conseillent aux femmes enceintes et aux enfants de limiter leur consommation à une portion par semaine, et à deux pour les adultes. Mieux vaut choisir le thon listao, moins contaminé.
En résumé, le thon n’est pas à bannir, mais à consommer avec modération et discernement, en privilégiant les espèces les moins touchées par la pollution.
Source : www.lanutrition.fr/tout-savoir-sur-le-thon-bienfaits-et-inconvenients

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Prendre du muscle sans viande
Manger de la viande ou suivre un régime 100 % végétal n’a aucun impact sur la construction musculaire à condition d’avoir une quantité suffisante de protéines dans l’assiette. Voilà la conclusion percutante d’une nouvelle étude de l’université de l’Illinois, publiée dans la revue Medicine and Science in Sports and Exercise.
Pendant neuf jours, 40 adultes en bonne santé, âgés de 20 à 40 ans, ont suivi un régime contrôlé – soit végane, soit omnivore – accompagné de séances régulières de musculation. Les chercheurs ont mesuré précisément la synthèse des protéines musculaires grâce à une technique utilisant de l’eau enrichie en deutérium et des biopsies musculaires.
Résultat majeur : les taux de construction musculaire étaient identiques, que les participants aient mangé de la viande ou non, et ce, quelle que soit la répartition des protéines au fil de la journée. Ni l’origine des protéines (animale ou végétale), ni la distribution des apports (également répartie ou concentrée le soir), ni même un apport modéré (environ 1,1 à 1,2 gramme de protéines par kilo de poids corporel) ne modifient cette dynamique.
Ce résultat contredit des décennies de croyances selon lesquelles les protéines animales seraient supérieures. Les chercheurs insistent néanmoins sur l’importance de consommer des protéines « complètes », même dans un régime végane. ( mon cours sur prendre du muscle sans viande )
À noter : l’étude a été financée par le programme Beef Checkoff, soutenu par l’industrie bovine américaine, ce qui constitue un conflit d’intérêt potentiel à garder en tête.
Source : Show more...
3 months ago
51 minutes 30 seconds

La pause Fitness
Low‑Carb sans privation : le hack métabolique qui bat le jeûne 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness, nous allons parler de glucides, de jeûne, de myéline, de course à pied et de perte de poids.
NOUVEAU : Voici comment perdre le gras du ventre qui vient du stress
Code promo pour le mois d’avril : MAILLOTDEBAIN , il te donne 20 % de réduction sur mes programmes ici. : https://www.fitnessmith.fr/promo/

Au programme :

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Moins de nourriture + de blessures
Une nouvelle étude australienne révèle un lien direct entre alimentation insuffisante et risque accru de blessures chez les coureurs, notamment chez les femmes. Menée sur près de 6 000 coureurs de fond, cette revue systématique montre que les femmes blessées consommaient en moyenne 450 calories et 20 grammes de lipides en moins par jour que celles sans blessures. Les hommes et femmes blessés consommaient également 3 grammes de fibres en moins quotidiennement.
L’apport énergétique et lipidique est désormais identifié comme un facteur clé de prévention des blessures, surtout chez les sportives. À l’inverse, les quantités de protéines, glucides, alcool et calcium n’ont pas montré d’impact significatif.
Près d’un coureur sur deux subit une blessure liée à la course. Pour les chercheurs de l’université d’Australie-Méridionale, ce chiffre peut baisser si les coureurs apprennent à mieux écouter les besoins de leur corps. L’objectif : éviter les fractures de stress, la perte de masse musculaire ou la fatigue chronique, toutes liées à une alimentation trop faible.
Un appel est lancé aux professionnels de santé pour accompagner les athlètes, et en particulier les femmes, vers une alimentation adaptée à leurs dépenses énergétiques.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250410131015.htm

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Muscles : une mémoire cachée
Bonne nouvelle pour les sportifs qui s’inquiètent de perdre leurs muscles pendant une pause : les muscles gardent en mémoire les entraînements passés, même après plusieurs semaines sans effort. C’est ce que démontre une étude finlandaise de l’Université de Jyväskylä, publiée dans le Journal of Physiology.
Pendant cette recherche, des adultes ont suivi 10 semaines de musculation, puis une pause de 10 semaines, avant de reprendre 10 nouvelles semaines d’exercices. En analysant plus de 3 000 protéines musculaires avec des outils de pointe, les scientifiques ont découvert que certaines protéines retrouvent rapidement leur activité après la reprise de l’entraînement.
Les muscles conservent une trace des efforts passés au niveau des protéines, pendant au moins deux mois et demi. Certaines protéines, notamment celles liées au métabolisme aérobie ou au calcium, comme la calpaïne-2, restent modifiées même après un arrêt.
Résultat : le retour à l’exercice est plus rapide et plus efficace, même après une pause. Cette découverte renforce l’idée que le corps se souvient de l’effort, et qu’un break ne signifie pas repartir de zéro.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250415144022.htm

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Low‑Carb sans privation : le hack métabolique anti‑jeûne
Une nouvelle étude britannique remet en question le jeûne intermittent en proposant une alternative plus simple : réduire les glucides sans couper drastiquement les calories. Menée par l’Université du Surrey, la recherche a testé trois régimes sur des adultes en surpoids : un régime classique, un régime pauvre en glucides mais équilibré,
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4 months ago
37 minutes 51 seconds

La pause Fitness
Courbatures, preworkout, aliments qui abîment le cerveau et manger Africain
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de courbatures, de preworkout, des aliments qui abîment le cerveau et de manger Africain.
Nouveau : Quel thé pour maigrir et mieux réfléchir ?
Au programme :

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Ces aliments qui abiment le cerveau en 5 jours
Une étude récente relayée par LaNutrition.fr révèle que cinq jours de consommation d’aliments ultra-transformés suffisent pour altérer le fonctionnement du cerveau. Conduite chez des jeunes adultes en bonne santé, l’expérience a montré une diminution de la sensibilité à l’insuline dans une région clé du cerveau : l’hypothalamus. Ce changement peut perturber la régulation de l’appétit, du métabolisme et même des émotions.
Les aliments ultra-transformés, riches en additifs, sucres et graisses modifiées, sont très présents dans l’alimentation moderne. Ils représentent environ 30 à 50 % des calories consommées dans les pays occidentaux. Ce chiffre interpelle, car une telle proportion pourrait avoir des effets systémiques sur la santé mentale et physique à long terme.
L’étude renforce un faisceau croissant de preuves liant ces produits à l’obésité, au diabète et désormais à des effets neurologiques précoces. La rapidité de l’impact, en seulement cinq jours, pose des questions sérieuses sur les habitudes alimentaires, en particulier chez les jeunes.
Changer son alimentation pourrait donc ne pas seulement être une question de poids, mais aussi de clarté mentale.
Source : www.lanutrition.fr/aliments-ultra-transformes-des-effets-sur-le-cerveau-en-5-jours-seulement

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Manger africain, c’est bon !
Changer son alimentation pendant seulement deux semaines peut profondément transformer le système immunitaire. C’est ce que révèle une étude conjointe entre les universités de Radboud aux Pays-Bas et KCMC en Tanzanie, publiée début avril dans Nature Medicine. Les chercheurs ont observé 77 hommes tanzaniens, répartis en trois groupes : l’un a troqué son régime traditionnel africain pour un régime occidental, un autre a fait l’inverse, et le dernier a bu chaque jour une boisson de banane fermentée. Résultat ? Ceux qui sont passés au régime occidental ont vu leur inflammation sanguine grimper, leur immunité baisser, et des marqueurs de maladies chroniques s’activer.
À l’inverse, revenir à un régime africain — riche en légumes, fruits, fibres, légumineuses, céréales complètes et aliments fermentés — a rapidement apaisé l’inflammation, avec des effets encore mesurables un mois plus tard. Cela confirme que même à court terme, l’alimentation a un pouvoir majeur sur la santé métabolique et immunitaire.
Face à la montée des maladies liées au mode de vie — comme le diabète ou les problèmes cardiovasculaires — ces résultats rappellent l’importance de préserver les traditions culinaires locales face à l’occidentalisation rapide des habitudes.
Source : www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250403122811.htm

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Moins de courbatures avec l’âge
Contrairement à une idée reçue, les muscles des adultes plus âgés sont moins sensibles aux courbatures après l’exercice que ceux des plus jeunes. C’est la conclusion d’une étude publiée dans le Journal of Ageing and Physical Activity, menée par des chercheurs de plusieurs universités britanniques, dont Lancaster et Middlesex.
En analysant 36 études portant sur des adultes de 18 à plus de 35 ans, les chercheurs ont découvert que les adultes plus âgés présentaient en moyenne 34 % moins de douleurs musculaires après 48 heures,
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4 months ago
46 minutes 33 seconds

La pause Fitness
Méthode sèche rapide, Armée américaine, Guerrier du weekend et Dégout alimentaire.
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de l’armée américaine, de guerrier du weekend, de dégout alimentaire et d’être en forme plus facilement.
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Au programme :

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Le pentagone impose des normes physiques unisexes
Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a ordonné que les normes de condition physique pour les rôles de combat soient désormais identiques pour tous les genres. Cette directive vise à s’assurer que les exigences physiques reflètent exclusivement les demandes opérationnelles, sans distinction de sexe. Les branches militaires disposent de 60 jours pour soumettre leurs propositions et de six mois pour mettre en œuvre ces changements. Hegseth, auparavant opposé à la présence des femmes dans les rôles de combat, soutient désormais leur inclusion, à condition qu’elles répondent aux mêmes critères physiques que les hommes.
Source : https://www.nytimes.com/2025/03/31/us/politics/hegseth-fitness-standards-military-combat-roles.html

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Guerriers du week-end
Faire du sport uniquement le week-end pourrait suffire à vivre plus longtemps. Une nouvelle étude, publiée dans le Journal de l’Association Américaine du Cœur, révèle que 150 minutes d’activité physique modérée à intense par semaine, concentrées sur un ou deux jours, apportent autant de bénéfices que si elles étaient réparties sur la semaine.
Les chercheurs ont analysé les données de plus de 93 000 personnes au Royaume-Uni, suivies pendant huit ans. Résultat : comparés aux inactifs, les « guerriers du week-end » réduisent leur risque de décès toutes causes confondues de 32 %, de maladies cardiovasculaires de 31 % et de cancers de 21 %. Ceux qui font du sport toute la semaine présentent aussi des chiffres impressionnants, mais pas significativement meilleurs.
Le volume total d’activité, et non la régularité, semble donc essentiel. Marcher, jardiner, danser ou faire du vélo compte, à condition que l’intensité soit suffisante. Les experts rappellent cependant que condenser l’effort peut entraîner un risque accru de blessures musculaires, d’où l’importance d’un bon échauffement et d’une progression adaptée.
Cette étude redonne de l’espoir aux plus occupés : bouger un peu, même rarement, vaut bien mieux que rester sédentaire.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250402122728.htm

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Dégoût alimentaire et cerveau
Pourquoi certains aliments nous écoeurent à vie après une intoxication alimentaire ? Une étude récente révèle que notre cerveau garde une mémoire durable du lien entre un aliment et une mauvaise expérience, même lorsque les symptômes apparaissent plusieurs heures plus tard. L’amygdale, zone clé de la mémoire émotionnelle et de la peur, est au cœur de ce mécanisme.
Les chercheurs ont montré que le cerveau associe rétroactivement l’aliment à la douleur ou à la nausée, grâce à un processus proche du stress post-traumatique. Résultat : une simple odeur ou vision de l’aliment incriminé peut provoquer un profond dégoût, parfois des années après l’événement.
Ce phénomène n’est pas qu’anecdotique. Il concerne une grande partie de la population : près de 60 % des adultes déclarent avoir développé une aversion persistante après une intoxication alimentaire.
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4 months ago
58 minutes 31 seconds

La pause Fitness
On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
Le seul podcast français régulier sur la musculation ( culturisme, bodybuilding, fitness ) qui regroupe la bonne santé, l'alimentation, le style de vie. Pour reprendre le terme de Tim ferriss, c'est un lifestyle design particulier.
Retrouvez moi sur le site www.fitnessmith.fr