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La pause Fitness
Fitnessmith
50 episodes
1 day ago
On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
Le seul podcast français régulier sur la musculation ( culturisme, bodybuilding, fitness ) qui regroupe la bonne santé, l'alimentation, le style de vie. Pour reprendre le terme de Tim ferriss, c'est un lifestyle design particulier.
Retrouvez moi sur le site www.fitnessmith.fr
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On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
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Episodes (20/50)
La pause Fitness
Riz : pourquoi ta glycémie ne réagit pas comme celle des autres
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de riz, de pourquoi ta glycémie ne réagit pas comme celle des autres, de perte de graisse, d’alcool, etc.
NOUVEAU : Se débarrasser des kilos émotionnels
Au programme :

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Le riz n’a pas le même effet sur la glycémie pour tout le monde
Des chercheurs de l’Institut Weizmann,  ont observé 55 volontaires pendant plusieurs semaines pour mesurer leur taux de sucre après avoir mangé différents aliments riches en glucides, dont le riz. Résultat : les variations sont spectaculaires — certains voient leur glycémie grimper en flèche, d’autres presque pas. En cause ? Le métabolisme propre à chacun : microbiote intestinal, qualité du sommeil, activité physique et sensibilité à l’insuline. L’étude démontre qu’un même aliment peut provoquer des réactions opposées selon la personne. Une découverte qui bouscule les conseils nutritionnels universels et ouvre la voie à une alimentation vraiment personnalisée.
Les auteurs signalent des liens financiers avec plusieurs entreprises du secteur de la santé, un élément à garder en tête.
Source : https://www.nature.com/articles/s41591-025-03719-2

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Quand les hommes boivent, les femmes et les enfants trinquent
Une vaste revue mondiale menée par l’Université La Trobe révèle l’impact méconnu de la consommation d’alcool des hommes sur leur entourage. En compilant 78 études internationales, les chercheurs montrent qu’une femme sur trois vit avec un partenaire buveur excessif. Résultat : plus de violences domestiques, de négligence envers les enfants, de difficultés économiques et de troubles émotionnels au sein des familles.La nouveauté : c’est la première synthèse mondiale à chiffrer l’ampleur des dommages sociaux causés aux femmes et aux enfants par l’alcool masculin. Ces effets sont particulièrement graves dans les pays à faible revenu ou marqués par une forte inégalité de genre.Les auteurs appellent à des politiques publiques plus fermes : taxation accrue, encadrement de la publicité, mais aussi lutte contre les normes de genre toxiques et soutien aux familles.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/10/251010091550.htm

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Le « radiateur caché » du corps qui aide à brûler les graisses
Des chercheurs de l’Université Washington à Saint-Louis ont découvert un second moteur secret dans notre graisse brune — celle qui brûle les calories au lieu de les stocker. Publiée dans Nature, leur étude sur la souris révèle que, même sans le mécanisme habituel de production de chaleur, ces cellules continuent à brûler de l’énergie grâce à de minuscules organites appelés peroxysomes.Ces peroxysomes, via une protéine clé nommée ACOX2, agissent comme un “chauffage de secours” pour booster le métabolisme.Les souris dépourvues d’ACOX2 grossissaient plus et supportaient moins bien le froid, tandis que celles qui en avaient davantage brûlaient plus de graisses et restaient minces. Les chercheurs envisagent déjà des pistes alimentaires ou médicamenteuses pour activer ce mécanisme chez l’humain.
Les peroxysomes utilisent certains acides gras spécifiques comme carburant pour produire de la chaleur. Parmi eux :




Les acides gras à chaîne moyenne (C8 à C12) qu’on trouve dans l’huile de coco, l’huile de palmiste, et le lait maternel humain.


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6 days ago
44 minutes 2 seconds

La pause Fitness
La meilleure viande pour prendre du muscle, les mouvements lourds, home gym et cobayes pour équipements sportifs. 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de la meilleure viande après l’entrainement, des mouvements lourds, de home gym et de cobayes pour tester des équipements sportifs.
NOUVEAU : Pourquoi certaines zones résistent à la sèche (et comment y remédier) 
Au programme :

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Étude de cas : pourquoi la viande maigre stimule mieux la croissance musculaire que la grasse
Des chercheurs de l’Université de l’Illinois ont comparé l’effet de burgers de porc maigre et gras sur la construction musculaire après un entraînement de musculation. Seize jeunes adultes actifs ont mangé, après l’effort, soit un burger riche en graisses, soit un burger maigre, soit une boisson sucrée. Résultat : le porc maigre a provoqué la plus forte synthèse de protéines musculaires, bien plus que le porc gras, pourtant riche en calories. Une surprise pour l’équipe, qui pensait que la graisse, comme dans le saumon ou les œufs entiers, pouvait renforcer la croissance musculaire. Ici, elle semble au contraire la freiner. Les chercheurs rappellent que l’exercice reste le principal moteur de la prise de muscle, mais que les aliments complets et peu transformés optimisent les gains.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/10/251015032318.htm

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Ce que révèle vraiment la fatigue sur les mouvements des powerlifters
Squat, développé couché, soulevé de terre. Ce sont les trois piliers du powerlifting. Mais que se passe-t-il dans le corps des athlètes expérimentés quand l’intensité grimpe ou que la fatigue s’installe ?
Une revue de 22 études menées auprès de 293 powerlifters expérimentés révèle des tendances claires. À mesure que l’intensité ou la fatigue augmentent, la vitesse de la barre chute systématiquement, le temps de levée s’allonge, et les mouvements deviennent plus désordonnés au niveau des articulations. En clair, plus c’est lourd ou plus on est fatigué, moins le geste est fluide.
Le squat montre le plus de variations, surtout dans les phases clés comme l’accélération ou le passage du « point mort » (le fameux sticking point). La force générée augmente souvent avec la charge, mais la puissance (la combinaison de force et vitesse) varie d’un individu à l’autre. Curieusement, les études sur le soulevé de terre sont quasi absentes, laissant un angle mort dans la recherche.
La nouveauté ici, c’est que la fatigue ne réduit pas toujours la force produite, mais change la manière dont le corps s’organise pour lever — notamment en sollicitant plus les hanches que les genoux.
Source : https://sportsmedicine-open.springeropen.com/articles/10.1186/s40798-025-00921-x

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Créer une salle de sport efficace dans un petit appartement (sans énerver les voisins)
En 2025, les équipements de musculation à domicile se sont multipliés, y compris pour les citadins en manque de mètres carrés.
Avec moins de 2 m² au sol, certains équipements comme le banc réglable ou les haltères ajustables  permettent de faire des exercices variés : squats, développé couché, fentes, etc. Des solutions de rangement mobiles, des kettlebells réglables, des bandes de résistance ou un tapis de yoga viennent compléter l’espace sans l’encombrer. Créer une salle de sport complète devient possible même dans un coin de salon de moins de 5 m², à condition de bien choisir des équipements multifonction et compacts.
Source : Show more...
1 week ago
33 minutes 38 seconds

La pause Fitness
Le sport fait maigrir ? Faux. Le sucre est votre faute ? Faux. L’eau en bouteille est saine ? Encore faux.
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler du sport qui ne suffit pas à faire maigrir, le sucre n’est pas toujours une question de volonté, et l’eau en bouteille est loin d’être aussi saine qu’on le pense.

NOUVEAU : La fatigue invisible chez le sportif : le cas du fer
Au programme :

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Pourquoi votre perte de poids s’arrête malgré le sport
Publié dans la revue scientifique Biology Letters, cet article du physiologiste britannique Lewis G. Halsey n’est pas une étude expérimentale, mais une analyse critique des recherches existantes sur la dépense énergétique. Il cherche à comprendre pourquoi la perte de poids s’interrompt souvent, même quand on continue à faire de l’exercice sans augmenter ses apports alimentaires.
En croisant de nombreuses études, Halsey met en évidence un mécanisme ignoré du grand public : la compensation de la dépense énergétique. Quand on bouge plus, le corps réagit en diminuant la dépense sur d’autres fonctions biologiques — digestion, immunité, régulation hormonale. Cela réduit le métabolisme global et freine la perte de poids malgré une activité physique constante.
Le corps ajuste activement sa consommation d’énergie pour éviter un déficit trop durable, un réflexe de survie hérité de notre évolution.
Comprendre cette adaptation physiologique invite à revoir les programmes d’amaigrissement : le sport seul ne suffit pas, il faut l’associer à une alimentation adaptée, au sommeil et à la récupération pour éviter le plateau.
Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/41057017/

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Mise en garde : Et si vos envies de sucre venaient… de vos bactéries intestinales ?
Rappel des faits. Dans une interview donnée au site LaNutrition.fr, le Dr Steven Gundry, ancien chirurgien devenu spécialiste du microbiote intestinal, revient sur une idée ancienne d’Hippocrate aujourd’hui validée par la science moderne : toutes les maladies commenceraient dans l’intestin. L’occasion pour lui d’expliquer pourquoi nos fringales de sucre ne relèveraient pas seulement de la volonté ou du stress.
Ce que dit Gundry. Le médecin affirme que certaines mauvaises bactéries présentes dans l’intestin savent manipuler le cerveau en envoyant des signaux chimiques qui déclenchent l’envie de sucre. Leur objectif ? Se nourrir et proliférer. En d’autres termes, ce ne serait pas vous qui avez envie de sucre, mais elles.
Ce que cela change. Si cette hypothèse se confirme, elle pourrait transformer notre approche des compulsions alimentaires et des régimes. Soigner l’intestin deviendrait une priorité pour réguler naturellement l’appétit et prévenir de nombreuses pathologies.
Source : https://www.lanutrition.fr/steven-gundry-les-envies-de-sucre-les-mauvaises-bacteries-qui-envoient-des-signaux-au-cerveau

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Ce que vous buvez vraiment dans l’eau en bouteille
Rappel des faits. Loin des clichés de pureté, une nouvelle étude publiée dans Journal of Hazardous Materials alerte sur les dangers invisibles de l’eau en bouteille. La chercheuse Sarah Sajedi, inspirée par une plage jonchée de plastique en Thaïlande, a passé en revue plus de 140 études scientifiques pour comprendre l’impact des microplastiques sur notre santé.
Ce que montre l’étude. Chaque année, une personne qui boit de l’eau du robinet ingère déjà entre 39 000 et 52 000 particules de microplastiques.
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2 weeks ago
34 minutes 33 seconds

La pause Fitness
Addictions alimentaires, technologies portables et qualité du sommeil
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de d’addiction, tatouage et smartwatch, logement et sommeil.
Nouveau : Perds du gras sans créer de guerre à la maison
Au programme :

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Pourquoi les femmes de la génération X ne peuvent pas arrêter les aliments ultra-transformés
Une étude menée par l’Université du Michigan, publiée dans la revue Addiction, révèle une réalité préoccupante : Concrètement, 21 % des femmes et 10 % des hommes âgés de 50 à 64 ans répondent aux critères cliniques d’addiction, contre seulement 12 % des femmes et 4 % des hommes âgés de 65 à 80 ans.
L’outil utilisé, une version adaptée de l’échelle Yale Food Addiction Scale, mesure des comportements tels que les fringales incontrôlées, l’incapacité à réduire sa consommation ou encore le repli social lié à la peur de manger en excès. Les chercheurs soulignent que les femmes de cette génération ont grandi dans un contexte de marketing agressif de produits dits « diététiques » dans les années 1980, ce qui a pu renforcer ces comportements compulsifs.
Les données montrent aussi un lien fort avec le sentiment de surpoids : une femme se percevant comme en surpoids a onze fois plus de risque de présenter une addiction alimentaire, un homme dix-neuf fois plus. Le mal-être physique, psychologique et l’isolement social accentuent également ce risque.
Les auteurs alertent : cette génération est la première à avoir grandi dans un environnement saturé d’aliments transformés. Si la tendance se poursuit, les générations suivantes, exposées encore plus jeunes, pourraient connaître des taux d’addiction encore plus élevés.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/09/250929054915.htm

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Les montres connectées fonctionnent-elles sur une peau tatouée ?
La question peut sembler anecdotique, mais elle touche à un usage grandissant : celui des montres connectées pour suivre en temps réel la fréquence cardiaque, le sommeil ou l’activité physique. En pratique, la présence d’un tatouage peut perturber la lecture des capteurs optiques placés sous le boîtier. Ces capteurs, qui reposent sur une technologie de lumière verte réfléchie par les vaisseaux sanguins, rencontrent des difficultés à traverser certains pigments foncés ou denses. Résultat : les données peuvent s’avérer faussées, voire impossibles à recueillir.
Les chercheurs constatent que la fiabilité des mesures chute nettement lorsque les capteurs sont posés sur une peau fortement tatouée, surtout avec des encres noires ou très colorées. Les motifs couvrants et opaques amplifient ce phénomène, alors que des tatouages plus fins ou clairs laissent passer davantage de signal lumineux.
Pour contourner ce problème, les spécialistes recommandent de placer la montre sur une zone non tatouée, même voisine, comme l’avant-bras ou le poignet opposé. Les fabricants travaillent aussi à améliorer les algorithmes et capteurs afin de compenser l’effet des pigments cutanés.
En somme, les montres connectées gardent toute leur utilité sur une peau tatouée, à condition d’adapter le placement et de rester attentif à la qualité des données affichées.
Source : https://www.larevuedupraticien.fr/exercice/les-montres-connectees-marchent-elle-sur-une-peau-tatouee

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Les longs trajets et les petits logements nuisent gravement au sommeil
Une équipe de l’Université métropolitaine d’Osaka a publié dans le Journal of Transport and Health une étude transversale par enquête populationnelle,
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3 weeks ago
37 minutes 52 seconds

La pause Fitness
L’obsession des abdos, graisse cachée, méditation (apps) et dosage sportif
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de l’obsession des abdos, graisse cachée, méditation (apps) et dosage sportif.
Nouveau : Perdre du ventre avec une seule kettlebell (et rien d’autre)
Au programme :

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Les applis de méditation, ça fonctionne ou pas ?
Les applications de méditation ne cessent de gagner du terrain : les dix plus téléchargées totalisent déjà plus de 300 millions d’installations dans le monde. Une revue scientifique publiée dans American Psychologist révèle que ces applis, même utilisées seulement 10 à 21 minutes trois fois par semaine, peuvent réduire le stress, l’anxiété, la dépression et améliorer le sommeil.
Leur succès s’explique par l’accessibilité : n’importe qui, y compris dans des zones rurales dépourvues de programmes en présentiel, peut méditer à toute heure. Les chercheurs y voient aussi une opportunité unique : là où une étude portait autrefois sur 300 patients, les applis permettent désormais d’imaginer des cohortes de 30 000 personnes suivies en temps réel, grâce à l’intégration de données biométriques via montres connectées et capteurs de santé.
Ces programmes digitaux s’adaptent à la vie quotidienne : trois minutes de pleine conscience en attendant son café suffisent pour débuter. L’avenir s’annonce encore plus personnalisé avec l’arrivée de l’intelligence artificielle et des chatbots. Mais un défi majeur persiste : 95 % des utilisateurs abandonnent l’appli dans le mois suivant le téléchargement.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/09/250922075000.htm

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L’histoire oubliée des « six-packs » : comment l’obsession du corps masculin est née
L’article retrace l’évolution culturelle de l’idéal masculin jusqu’à notre ère dominée par l’image du ventre « sculpté ». Il montre comment la préoccupation pour un abdomen ciselé, loin d’être née avec Instagram, s’enracine dès la fin du XVIIIᵉ siècle. Dans l’Antiquité, le corps masculin idéal valorisait l’harmonie et la vigueur plutôt que les abdominaux dessinés ; cette notion ne devient un standard visuel qu’en parallèle de la montée du néoclassicisme et des idéaux héroïques.
Au XIXᵉ siècle, les peintres et sculpteurs redécouvrent l’Antique, imposant une musculature fine, même sur des sujets masculins, comme nouveaux critères de beauté masculine. Dans les milieux sportifs du début du XXᵉ siècle, l’attention aux abdos reste mineure : on recherchait plutôt les formes fortes et la santé durable. Ce n’est qu’au tournant des années 1980-1990 que le six-pack devient symbole de virilité et de discipline physique—en miroir de la culture de la performance, des médias et de la mode.
Source : https://www.rte.ie/brainstorm/2022/0919/1324172-history-male-body-image-six-pack-abs/

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Graisse cachée : ce tissu invisible qui accélère le vieillissement du cœur
Une vaste étude publiée dans l’European Heart Journal montre que la graisse viscérale, ce tissu invisible qui entoure les organes, accélère le vieillissement du cœur, même chez les personnes actives et de poids normal.
Les chercheurs du MRC Laboratory of Medical Sciences à Londres ont analysé les données de plus de 21 000 participants de la UK Biobank, incluant des imageries complètes du corps et du cœur. Grâce à l’intelligence artificielle, ils ont pu attribuer un « âge cardiaque » en fonction de la rigidité et de l’inflammation des tissus. Résultat : plus la quantité de graisse viscérale est élevée, plus le cœur vieillit vite.
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1 month ago
52 minutes 20 seconds

La pause Fitness
Fatigue chronique, dépendance à la mélatonine et hormone de croissance
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de fatigue chronique, dépendance à la mélatonine et hormone de croissance.
La mélatonine, complément star du sommeil, peut entraîner une dépendance psychologique si elle est prise tous les soirs. Une vaste étude sur 6 000 personnes a identifié 7 molécules sanguines liées à la fatigue chronique, dont les oméga-3 protecteurs et la tyramine aggravante. Enfin, des chercheurs californiens révèlent un « commutateur du sommeil » qui régule l’hormone de croissance, essentielle pour les muscles, le métabolisme et le cerveau. En clair : mieux dormir naturellement reste la clé.
Nouveau : Rester en forme à 20, 40 et 60 ans -> https://wp.me/p3K20L-iMr
Au programme :

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Mélatonine et dépendance : faut-il s’inquiéter de cet allié du sommeil ?
La mélatonine s’impose comme l’un des compléments les plus vendus au monde pour mieux dormir. Mais la popularité d’un produit ne garantit pas son innocuité, surtout lorsqu’il est consommé chaque soir. L’article de Mindbodygreen rappelle que ce supplément, présenté comme une solution miracle, peut créer une forme de dépendance psychologique, où l’on croit ne plus pouvoir dormir sans lui.
La nouveauté, selon cette analyse, est que l’usage quotidien de mélatonine pourrait brouiller les signaux naturels du corps et nuire à la production interne de cette hormone du sommeil. Les experts recommandent donc de l’utiliser uniquement sur de courtes périodes, par exemple après un décalage horaire ou lors de nuits particulièrement perturbées, mais pas comme une habitude durable.
Le message central reste clair : mieux vaut privilégier une bonne hygiène de sommeil – lumière naturelle le matin, chambre sombre et fraîche, pas d’écrans avant le coucher – plutôt que de s’appuyer uniquement sur la mélatonine comme béquille chimique.
Source : https://www.mindbodygreen.com/articles/how-to-know-if-youre-reliant-on-melatonin-and-what-to-do-for-make-it-safe

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Sept molécules sanguines liées à la fatigue chronique
Un tiers des Américains se plaint de somnolence excessive en journée. Cette fatigue persistante, appelée somnolence diurne excessive, augmente le risque de maladies cardiovasculaires, d’obésité et de diabète. Des chercheurs du Mass General Brigham et du Beth Israel Deaconess Medical Center viennent de publier dans Lancet eBioMedicine une étude d’envergure sur 6 000 participants, qui met en lumière un facteur biologique inattendu.
Les chercheurs ont identifié sept molécules présentes dans le sang, appelées métabolites, directement associées à la somnolence diurne excessive. Trois autres varient selon le sexe. Parmi elles, les acides gras oméga-3 et oméga-6 – fréquents dans les régimes de type méditerranéen – semblent réduire le risque de fatigue. À l’inverse, la tyramine, présente dans certains aliments fermentés ou trop mûrs, accroît la somnolence, surtout chez les hommes. Des hormones comme la progestérone influenceraient également ce mécanisme en lien avec la mélatonine.
Cette recherche repose sur des cohortes multiculturelles, dont la Hispanic Community Health Study, puis confirmée dans d’autres bases de données aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Finlande. Le niveau de preuve est élevé pour une étude de cohorte à large échelle, même si elle reste observationnelle et non expérimentale. Les auteurs soulignent que des essais cliniques seront nécessaires pour tester si des changements alimentaires ou des compléments peuvent réellement réduire la somnolence.
Source : Show more...
1 month ago
34 minutes 15 seconds

La pause Fitness
Vo2max, frissons, perte de graisse et petit déjeuner
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de Vo2max, frissons, perte de graisse et petit déjeuner.
Nouveau : Les illusions du développement personnel (et apprendre à Vivre sans recettes toutes faites)
Au programme :

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VO₂ max : combien de temps faut-il pour l’améliorer vraiment ?
Le VO₂ max, souvent considéré comme le “graal” de la condition physique, mesure la quantité maximale d’oxygène que votre corps peut utiliser à l’effort. Améliorer cette valeur, c’est relever votre plafond de performance et rendre chaque course plus fluide.
Mais combien de temps faut-il pour voir une vraie progression ? La nouveauté soulignée par les experts est qu’un coureur débutant peut déjà améliorer son VO₂ max en seulement 6 à 10 semaines, alors qu’un athlète entraîné peut plafonner malgré une année complète d’efforts. Une étude de 2019 (Sports Medicine International Open, étude contrôlée randomisée, valeur probante élevée, DOI : 10.1055/a-0883-2079) a montré des gains significatifs en huit semaines seulement chez des adultes sédentaires. À l’inverse, des recherches sur des coureurs d’élite n’ont constaté aucun progrès notable après trois ans d’entraînement.
Pour la plupart des coureurs amateurs, trois mois est le délai minimum conseillé avant de refaire un test VO₂ max. La clé ? Un entraînement équilibré : environ 70 à 80 % de sorties lentes en endurance fondamentale (zone 2) pour développer les capillaires et mitochondries, et 20 à 30 % de séances intenses pour exploiter ces adaptations.
Attention toutefois : si l’amélioration est lente, la perte est rapide. On peut observer une baisse de 5 % après seulement deux semaines d’arrêt, même si rester actif au quotidien limite la chute.
En résumé, patience et régularité sont les vrais leviers pour faire grimper durablement son VO₂ max.
Source : https://www.runnersworld.com/training/a65910520/how-long-to-improve-vo2-max/

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Petit-déjeuner et longévité : l’heure à laquelle vous mangez pourrait prédire votre espérance de vie
Avec l’âge, nos habitudes alimentaires changent, mais leur impact reste souvent sous-estimé. Des chercheurs du Mass General Brigham et de l’Institut de technologie d’Izmir ont analysé les données de 2 945 adultes britanniques âgés de 42 à 94 ans, suivis sur plus de 20 ans. Résultat : en vieillissant, les repas se décalent, notamment le petit-déjeuner et le dîner, et la fenêtre globale d’alimentation quotidienne se rétrécit.
La nouveauté de cette recherche est qu’un petit-déjeuner pris plus tard dans la matinée est associé à une mortalité plus élevée chez les personnes âgées. Ce décalage est aussi lié à des problèmes de santé mentale et physique : fatigue, dépression, troubles du sommeil ou encore difficultés à préparer les repas. Les personnes génétiquement enclines à être des “couche-tard” présentaient aussi une tendance à manger plus tard.
Selon les auteurs, surveiller la régularité et l’heure des repas, en particulier du petit-déjeuner, pourrait devenir un indicateur simple et accessible de l’état de santé global des seniors. Ces résultats invitent également à nuancer certaines tendances comme le jeûne intermittent, dont les effets pourraient varier fortement selon l’âge.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/09/250904103917.htm

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Frissons : ce n’est pas la graisse brune mais les muscles qui génèrent le plus de chaleur dans le froid
Une étude canadienne, publiée le 2 septembre 2025 dans Cell Metabolism,
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1 month ago
28 minutes 17 seconds

La pause Fitness
Polar loop le Rival du bracelet Whoop, brûler des graisses la nuit et piéger les graisses dans l’intestin
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler du Polar loop, le Rival du bracelet Whoop, brûler des graisses la nuit et piéger les graisses dans l’intestin
Nouveau : Programme remise en forme à la maison : 4 semaines
Au programme :

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Polar Loop : le bracelet minimaliste qui mise tout sur l’essentiel
Polar revient sur le marché du suivi d’activité avec son Polar Loop, un bracelet pensé pour ceux qui veulent comprendre leurs habitudes de vie sans se noyer sous les gadgets numériques. Ici, pas d’écran, pas de notifications, mais un capteur optique de fréquence cardiaque et un accéléromètre qui suivent vos mouvements, votre sommeil et vos temps de récupération.
Connecté à l’application Polar Flow, le Loop enregistre vos données 24 heures sur 24 et les analyse pour vous aider à identifier vos points faibles. La nouveauté, c’est sa capacité à mettre en lumière vos habitudes et à vous orienter vers des changements durables pour votre santé. Concrètement, il détecte automatiquement vos entraînements, estime les calories dépensées, mesure votre charge d’effort et suit la qualité de vos nuits.
Avec un poids plume de 29 grammes et une autonomie pouvant atteindre huit jours, le Loop se fait oublier au poignet. Son design étanche jusqu’à 30 mètres, ses trois coloris (noir, sable, cuivre) et la possibilité de changer de bracelet en font un compagnon discret et personnalisable.
Côté technique, on retrouve une mémoire capable de conserver quatre semaines de données, une connectivité Bluetooth 5.1, et un système de recharge par câble USB-C. En revanche, pas de GPS ni de fonctions avancées comme le chronomètre ou les alarmes : le pari est clair, rester simple et efficace.
Le Polar Loop est équipé d’une batterie qui tient jusqu’à 8 jours en utilisation normale avec un suivi continu 24/7 (activité, fréquence cardiaque, sommeil).
Le prix annoncé est d’environ 179 euros en Europe (199 dollars aux États-Unis, 149 livres au Royaume-Uni). Les bracelets interchangeables sont proposés à partir de 19,90 euros.
Source : https://www.polar.com/fr/loop?srsltid=AfmBOopP0B6J9gOQ2V2ZLVyqXMKoBV1b8JIvuumxP-OFzoTjvW1JC57M

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Votre cerveau brûle des graisses la nuit pour éviter les chutes de sucre
Les chercheurs ont découvert qu’un groupe précis de neurones de l’hypothalamus, appelés VMHCckbr, empêche l’hypoglycémie durant les premières heures de sommeil.
En inactivant ces neurones chez la souris, les scientifiques ont observé une baisse du glucose nocturne. À l’inverse, leur activation augmentait la production de glycérine, une molécule issue de la dégradation des graisses, utilisée ensuite pour fabriquer du sucre. Concrètement, ces cellules ordonnent au corps de puiser dans ses réserves de graisse pour maintenir un niveau stable de sucre dans le sang entre le dernier repas du soir et le réveil.
Ce mécanisme pourrait éclairer certains cas de prédiabète, où une activité excessive de ces neurones stimulerait trop la dégradation des graisses et contribuerait à une glycémie élevée. Les chercheurs insistent : le contrôle du sucre n’est pas un simple interrupteur « on/off », mais un système finement coordonné entre différentes populations de neurones.
L’équipe poursuit ses travaux pour comprendre comment le cerveau, en lien avec le foie et le pancréas, orchestre ces régulations aussi bien en période de jeûne que de stress.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250824031536.
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1 month ago
44 minutes 9 seconds

La pause Fitness
Les aliments qui font chuter la testostérone, rajeunir l’âge biologique, devenir cool
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler des aliments qui font chuter la testostérone, rajeunir l’âge biologique et de devenir cool.
Nouveau : FAQ 32 pt 2 : trouble alimentaire, image corporelle, compléments
Au programme :

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L’exercice pourrait réellement inverser l’horloge du vieillissement du corps
Et si bouger un peu chaque jour ralentissait bien plus que votre tour de taille ? Une équipe dirigée par Takuji Kawamura, de l’Université de Tohoku, vient de passer en revue des dizaines d’études sur l’activité physique et son effet sur le vieillissement biologique, mesuré par l’« âge épigénétique ». Contrairement à l’âge en années, cet indicateur se base sur des modifications chimiques de l’ADN qui traduisent l’état de santé réel des cellules.
La nouveauté de cette recherche, c’est qu’elle suggère que l’exercice structuré – planifié, régulier et ciblé – ne se contente pas de ralentir mais pourrait même inverser le vieillissement biologique.
Chez la souris, l’endurance et la musculation ont limité les marques moléculaires liées à l’âge. Chez l’humain, des résultats frappants : huit semaines de cardio et de musculation ont rajeuni biologiquement de deux ans des femmes sédentaires d’âge moyen. Autre donnée parlante : les hommes âgés dotés d’une meilleure capacité respiratoire présentaient un vieillissement épigénétique nettement plus lent.
Les chercheurs notent que les bénéfices ne se limitent pas aux muscles. Le cœur, le foie, le tissu adipeux et même l’intestin profitent de l’activité physique. Des analyses montrent aussi que les athlètes olympiques affichent un âge biologique inférieur à celui de la population générale.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250831010510.htm

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Trois ajustements simples au régime méditerranéen réduisent le risque de diabète de 31 %
Manger méditerranéen est bon pour la santé, mais des chercheurs montrent que l’accompagner de quelques ajustements clés décuple ses bénéfices. Dans l’essai clinique PREDIMED-Plus, le plus vaste d’Europe sur nutrition et mode de vie, 4 746 personnes âgées de 55 à 75 ans, en surpoids et présentant un syndrome métabolique, ont été suivies pendant six ans.
Les résultats révèlent que combiner régime méditerranéen, réduction de 600 calories par jour, activité physique modérée et accompagnement professionnel diminue de 31 % le risque de développer un diabète de type 2.
Concrètement, le groupe ayant suivi ces recommandations a perdu en moyenne 3,3 kilos et réduit son tour de taille de 3,6 centimètres, contre seulement 0,6 kilo et 0,3 centimètre pour ceux qui se contentaient du régime méditerranéen classique. Ce gain correspond à environ trois cas de diabète évités pour 100 personnes suivies.
Le régime méditerranéen, riche en fruits, légumes, céréales complètes et bonnes graisses, avait déjà montré des effets protecteurs contre l’inflammation et une meilleure sensibilité à l’insuline.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250829022835.htm

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Alimentation ultra-transformée : des effets néfastes sur la fertilité et le métabolisme des hommes
Un essai contrôlé rigoureux, publié dans Cell Metabolism, met en lumière les impacts inquiétants d’un régime riche en aliments ultra‑transformés sur la santé masculine, même lorsque les calories ingérées restent constantes.
Les résultats montrent une découverte majeure : manger des aliments ultra-transformés favorise une prise de masse g...
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2 months ago
41 minutes 19 seconds

La pause Fitness
30 min pour vivre, cohérence cardiaque et addiction au sucre
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de 30 minutes pour vivre, de sucre et de cohérence cardiaque.
Nouveau : FAQ 32 pt 1 : sèche, musculation, libido, motivation, pulsions alimentaires
 
Au programme :

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Une séance de sport de 30 minutes pourrait freiner la croissance du cancer
Une nouvelle étude menée à l’Université Edith Cowan en Australie révèle qu’un seul entraînement, qu’il soit de musculation ou en intervalles à haute intensité, peut réduire la croissance des cellules cancéreuses de 20 à 30 % chez les survivantes du cancer du sein. C’est la première fois que l’on démontre que même une seule séance d’exercice augmente la production de protéines musculaires, appelées myokines, aux effets anti-cancer, chez des personnes ayant déjà été traitées pour un cancer.
Les chercheurs ont mesuré les niveaux de myokines avant, juste après et trente minutes après l’effort. Résultat : la hausse est bien présente, comme chez des personnes en bonne santé. L’étude, dirigée par Francesco Bettariga dans le cadre d’un doctorat, souligne que ces protéines aident à ralentir la progression des tumeurs, tout en renforçant les défenses immunitaires.
Au-delà de l’effet immédiat, l’équipe insiste sur l’importance de l’entraînement régulier. En réduisant la masse grasse et en augmentant la masse musculaire, l’exercice contribue à limiter l’inflammation chronique, un facteur clé de récidive et de mortalité liée au cancer du sein. À l’inverse, perdre du poids uniquement par le régime prive l’organisme de ces bénéfices, car la masse musculaire est essentielle pour produire les myokines protectrices.
Cette étude de type expérimental clinique (essai contrôlé), bien que préliminaire et menée sur un échantillon limité, s’inscrit dans la littérature croissante qui considère l’activité physique comme une véritable thérapie complémentaire dans la lutte contre le cancer. Niveau de valeur : modéré à fort, mais nécessitant confirmation par des études à plus grande échelle.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250813083603.htm

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Réduire le sucre ne change pas vos envies de sucré, selon la science
Une étude contrôlée randomisée menée aux Pays-Bas vient de briser une idée reçue : manger plus ou moins d’aliments sucrés ne modifie pas notre goût pour le sucre. Pendant six mois, 180 volontaires ont suivi trois régimes différents – riche en produits sucrés, pauvre en sucré ou équilibré – avec des menus fournis toutes les deux semaines. Résultat : les préférences pour le goût sucré sont restées identiques, quelle que soit la quantité de sucre consommée.
L’équipe de Kees de Graaf, professeur émérite à l’Université de Wageningen, a évalué le goût des participants avant, pendant et après l’intervention, puis de nouveau un et quatre mois après la fin. Non seulement l’appétence pour le sucre n’a pas changé, mais l’apport calorique total, le poids corporel et les marqueurs biologiques liés au diabète ou aux maladies cardiovasculaires sont restés stables.
Cette étude se distingue des travaux précédents, souvent limités à une seule journée d’observation. Ici, les chercheurs ont conçu une approche rigoureuse : aliments calibrés pour leur intensité sucrée, répartition équilibrée en protéines, graisses et glucides, et suivi éthique strict. Le message est clair : éviter systématiquement les aliments sucrés n’empêche pas d’aimer le sucré, et en consommer davantage ne crée pas de dépendance accrue.
Les chercheurs souhaitent désormais reproduire l’expérience chez les enfants, dont les préférences gustatives sont encore en construction.Il s’agit d’un essai contrôlé randomisé, considéré comme une étude de haute valeur scientifiq...
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2 months ago
47 minutes 12 seconds

La pause Fitness
Mon avis sur The Biggest Loser le poids du show sur netflix
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de maigrir avec un lipœdème, des frites et l’insuline, des protéines végétales et des glucides.
Nouveau : Les clés de la motivation à l’âge adulte
Au programme :

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Frites et diabète : un lien inquiétant révélé par les scientifiques
Une vaste étude suivie depuis 1984 auprès de plus de 205 000 professionnels de santé américains a été publiée dans le BMJ et relayée par ScienceDaily. Les chercheurs ont analysé la consommation de pommes de terre et son association avec l’apparition du diabète de type 2. Ils ont observé que manger des frites trois fois par semaine augmentait le risque de diabète de 20 %, tandis que consommer des pommes de terre bouillies, cuites au four ou écrasées n’avait pas d’effet significatif. En revanche, chaque portion hebdomadaire supplémentaire de frites entraînait une hausse de risque, tandis que remplacer des pommes de terre par des céréales complètes réduisait le risque.
L’étude précise qu’en substituant trois portions de pommes de terre par des grains entiers, le taux de diabète diminuait de 8 %. A contrario, remplacer les pommes de terre par du riz blanc augmentait l’incidence du diabète, soulignant que le contexte alimentaire importe autant que l’aliment lui-même. Les auteurs mettent en garde : le mode de préparation et l’aliment de remplacement sont déterminants pour la santé, et les frites, riches en glucides rapidement assimilables et en matières grasses, semblent particulièrement délétères pour le métabolisme. Bien qu’observationnelle, la recherche confirme les recommandations actuelles de privilégier les céréales complètes et invite à modérer la consommation de frites pour prévenir le diabète. Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250811104201.htm

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Les protéines végétales réunies égalent le lactosérum pour la récupération musculaire
Le site News‑Medical rapporte une revue systématique publiée dans la revue Nutrients qui évalue l’efficacité des protéines végétales dans la récupération après un effort de résistance. En compilant 24 études menées auprès de jeunes adultes en bonne santé, les auteurs ont constaté que les mélanges de protéines végétales fournissant au moins 30 g de protéines totales et environ 2,5 à 3 g de leucine par prise sont aussi efficaces que le lactosérum (whey) pour la récupération musculaire. Les mélanges qui combinent par exemple pois, riz et soja permettent de compenser les déficits en acides aminés des sources isolées. En revanche, les protéines végétales utilisées seules, comme le soja ou le pois, s’avèrent moins performantes pour stimuler la synthèse protéique et favoriser la croissance musculaire.
La plupart des études analysées portaient sur des réponses aiguës après un entraînement unique ; les données à long terme restent limitées. Selon les auteurs, des essais plus longs sont nécessaires pour confirmer si ces mélanges végétaux soutiennent réellement la force et la masse musculaire de manière durable. En attendant, ils soulignent l’intérêt environnemental et éthique de ces mélanges pour les sportifs et recommandent d’augmenter l’apport protéique total afin de compenser la moindre digestibilité des protéines végétales.
Source : https://www.news-medical.net/news/20250812/Plant-based-protein-blends-can-match-whey-for-muscle-recovery.aspx
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Un régime pauvre en glucides pour soulager le lipœdème : la clé de Sunniva »
Sunniva Kwapeng découvre dans l’adolescence la douleur d’un corps qui change,
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2 months ago
51 minutes 41 seconds

La pause Fitness
Forme & Esprit : Cuisine maison, marche express et esprit léger
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de cuisine maison pour maigrir, de marcher 15 minutes mais vite, et de fatigue mentale.
Nouveau : Comment rester sec et musclé toute l’année (sans faire n’importe quoi).
Au programme :

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La cuisine maison fait perdre deux fois plus de poids que la nourriture industrielle
Des chercheurs de l’University College London ont mené la première étude de terrain comparant un régime à base d’aliments ultra-transformés (UPF) à un régime composé de plats faits maison et peu transformés (MPF). Cinquante-cinq adultes ont été répartis en deux groupes et ont suivi les deux régimes pendant huit semaines chacun, avec quatre semaines de transition. Les repas étaient livrés à domicile et respectaient les recommandations nutritionnelles officielles (protéines, glucides, fibres, fruits et légumes). Les participants pouvaient manger à satiété. Résultat : ceux qui mangeaient des plats minimalement transformés ont perdu 2 % de leur poids, soit deux fois plus que ceux qui mangeaient des plats ultra-transformés (1 % de perte). L’étude précise que cette différence provient principalement d’une diminution de la masse grasse, sans perte musculaire, et que la réduction de l’apport calorique (290 kcal/jour contre 120 kcal/jour) est survenue spontanément. Sur une année, on estime que ce régime entraînerait 13 % de perte de poids chez les hommes et 9 % chez les femmes, contre 4 % et 5 % avec un régime ultra-transformé. En outre, les participants ont signalé une meilleure maîtrise des envies alimentaires et une réduction du nombre de pulsions : l’amélioration du contrôle des fringales était deux fois plus importante avec les plats maison, quatre fois pour les envies salées. Selon le professeur Chris van Tulleken, cette recherche montre que l’industrialisation des aliments joue un rôle majeur dans l’obésité. Il plaide pour des politiques ciblant l’environnement alimentaire plutôt que la seule responsabilité individuelle.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/08/250805041616.htm

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Marcher vite quinze minutes par jour réduit la mortalité
Une vaste étude menée sur près de 80 000 personnes majoritairement noires et à faible revenu dans le sud des États-Unis confirme les bienfaits de la marche rapide. Les participants déclaraient la durée de marche lente et rapide, et les chercheurs ont croisé ces données avec le registre national des décès. Ils ont constaté qu’une marche rapide de 15 minutes par jour réduisait de près de 20 % la mortalité totale, tandis que trois heures de marche lente n’apportaient qu’un faible gain. Cet avantage s’étend à toutes les causes de décès mais est particulièrement marqué pour les maladies cardiovasculaires. Le taux de marche rapide nécessaire n’est pas réservé aux athlètes : une cadence qui rend le chant difficile mais permet encore de parler suffit. Les auteurs soulignent que, même si l’activité physique globale est importante, la vitesse de marche procure un bénéfice supplémentaire indépendant du temps passé à marcher. L’étude renforce l’idée que des interventions simples et accessibles, comme encourager la marche rapide dans les communautés défavorisées, peuvent réduire les inégalités de santé. Les chercheurs recommandent aux campagnes de santé publique de promouvoir cette habitude, car elle améliore l’efficacité cardiaque, aide à gérer la pression artérielle et les lipides, et reste adaptée à tous les âges.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250729001211.htm

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Fatigue mentale : le cerveau arbitre l’effort
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2 months ago
43 minutes 44 seconds

La pause Fitness
Dormir avant MINUIT, 100 pas/min : +14 pas/min qui changent tout (et ce que disent vraiment les œufs & les sucres cachés)
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de vitesse de marche, des oeufs, du cholesterol et des aliments cachant leur secrets.
Nouveau : Muscler sa respiration et l’oxygénation pour progresser
Au programme :

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Votre rythme de sommeil vous rend malade
Cette vaste étude internationale, publiée dans la revue Health Data Science, a analysé les données objectives d’activité de sommeil de 88 461 adultes, suivis en moyenne pendant 6,8 ans via des moniteurs. Il s’agit d’une étude de type cohortes avec un niveau de preuve élevé, incluant une analyse phénotypique étendue à 172 maladies, dont 92 étaient liées à des habitudes de sommeil irrégulières (risque majoré de plus de 20 %)
Les résultats montrent que ce n’est pas le nombre d’heures dormies mais la régularité des horaires de coucher qui est cruciale. Aller au lit après 00 h 30 multipliait par 2,57 le risque de cirrhose du foie. Une faible stabilité circadienne augmentait de 2,61 fois le risque de gangrène.
Contrairement à certaines croyances, dormir plus de 9 heures n’a pas été associé à une plus grande mortalité lorsque mesuré objectivement : une portion significative des personnes considérées comme “long sleepers” dormaient en réalité moins de 6 heures, révélant des biais dans les enquêtes subjectives (21,67 % de malclassifications).
D’après les chercheurs de l’Université de Pékin et de l’Armée Médicale chinoise, « Il est temps de redéfinir un bon sommeil en incluant la régularité, pas seulement la durée », évoquant l’inflammation comme mécanisme possible de ces liens puissants entre sommeil et maladies.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250729001227.htm
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Vieillir moins vite en marchant plus vite : 14 « pas par minute » qui changent la donne
Augmenter le rythme de marche améliore la forme physique chez les personnes âgées pré-fragiles ou fragiles, révèle une nouvelle étude menée dans 14 résidences seniors à Chicago. Les chercheurs ont analysé les données de 102 participants, âgés de 60 ans et plus, répartis entre un groupe de marche à allure modérée et un autre, invité à marcher « aussi vite que possible, en toute sécurité ». Après 4 mois, ceux qui avaient augmenté leur cadence à 100 pas par minute (contre 77 dans le groupe modéré) ont affiché de bien meilleurs progrès lors du test de marche de 6 minutes, couvrant en moyenne 50 mètres de plus.
Ce qui est nouveau : il suffit d’augmenter son rythme de 14 pas par minute par rapport à sa vitesse habituelle pour multiplier par dix les chances d’améliorer sa capacité physique de façon significative. Cette étude de cohorte randomisée, publiée dans PLOS One, s’appuie sur une mesure objective grâce à un capteur fixé à la cuisse, et met en avant la cadence comme un indicateur fiable de l’intensité de l’effort, plus simple à suivre que la fréquence cardiaque ou l’essoufflement.
Les auteurs précisent n’avoir aucun conflit d’intérêt et recommandent l’intégration de la cadence dans les programmes d’activité physique pour seniors. Prochaine étape : définir les protocoles idéaux et tester l’efficacité du feedback en temps réel pour motiver les pratiquants.
DOI : https://doi.org/10.1371/journal.pone.0323759
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Deux œufs par jour n’augmentent pas le “mauvais” cholestérol
Une étude randomisée en cross-over menée auprès de 61 adultes en bonne santé montre que consommer deux œufs par jour dans le cadre d’une alimentation pauvre en graisses saturées réduit même le taux de “mauvais” cholestérol (LDL), contrairement aux idées reçues. Les participants ont suivi trois régimes de cinq semaines chacun : un riche en c...
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3 months ago
41 minutes 7 seconds

La pause Fitness
Plus de sport ou moins de calories pour sécher, hack santé, additifs de fast‑food
Dans ce podcast nous allons parler de : Obésité (10× l’alimentation), médecine médiévale visionnaire, additifs de fast‑food
Nouveau : Programme musculation après 50 ans à la maison – guide complet
Au programme :

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Pourquoi l’obésité progresse dans les pays riches : l’étude qui bouscule les idées reçues sur la dépense énergétique
Une vaste étude internationale, publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, vient bouleverser une croyance répandue : la progression de l’obésité dans les pays riches ne s’expliquerait pas par la baisse de l’activité physique, mais d’abord par l’augmentation de la consommation alimentaire. Les chercheurs de l’université Duke ont analysé plus de 4 200 adultes, âgés de 18 à 60 ans, issus de 34 populations variées (chasseurs-cueilleurs, agriculteurs, citadins de pays industrialisés) sur six continents, en tenant compte du niveau de développement (via l’indice de développement humain des Nations Unies).
La grande nouveauté de cette recherche : dans les pays industrialisés, la dépense énergétique quotidienne reste égale, voire supérieure à celle de populations rurales ou traditionnelles. Ainsi, malgré une activité physique comparable, la masse grasse et l’indice de masse corporelle augmentent avec le niveau de vie. Seule une très légère baisse de la dépense d’énergie a été observée avec le développement économique, mais elle n’explique qu’une infime partie de la hausse du taux d’obésité.
Les auteurs insistent : la clé de l’épidémie mondiale d’obésité serait donc avant tout dans nos assiettes. Ils invitent à ne pas opposer alimentation et exercice physique, mais à considérer les deux comme complémentaires dans la prévention. Nature de l’étude : étude de cohorte multi-pays, niveau de preuve élevé.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250720034023.htm

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Mille ans avant TikTok, la médecine médiévale dictait déjà les tendances santé
Un projet de recherche international mené par l’université de Binghamton révèle que la médecine médiévale, loin d’être archaïque, reposait sur une véritable culture de l’observation et de l’expérimentation. En étudiant des centaines de manuscrits, récemment réunis dans le catalogue du Corpus of Early Medieval Latin Medicine, les chercheurs montrent que les populations du « Moyen Âge » cherchaient activement à comprendre et soigner le corps humain, bien plus qu’on ne le pensait jusqu’ici.
La nouveauté révélée : de nombreux remèdes, des onguents aux cures détox, rappellent étonnamment les pratiques bien-être aujourd’hui populaires sur les réseaux sociaux, certains ayant même fait l’objet d’études scientifiques récentes. Des exemples : soulager la migraine avec de l’huile de rose, ou utiliser un shampooing à base de lézard pour embellir les cheveux !
Le catalogue, fruit de deux ans de travail, double quasiment le nombre de manuscrits médicaux connus pour la période antérieure au XIᵉ siècle. Il montre aussi que les savoirs médicaux circulaient dans les marges de manuscrits variés, signe de l’importance accordée à la santé au quotidien.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250716000836.htm

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Additifs dans la restauration rapide : l’UFC-Que Choisir dénonce un manque de transparence
Selon un rapport publié le 16 juillet 2025, l’association UFC-Que Choisir pointe le manque de transparence des grandes enseignes de fast-food sur la présence d’additifs dans leurs menus. L’enquête, menée auprès de quatre leaders du secteur (McDonald’s, Burger King, KFC, Quick),
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3 months ago
56 minutes 27 seconds

La pause Fitness
Cortisol, exercice psychique et de jeûne intermittent 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de cortisol du lundi, exercice psychique et de jeûne intermittent.
Nouveau : Combien de PAS par jour pour perdre du poids 
Au programme :

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Le stress du lundi laisse une empreinte durable sur notre biologie, selon une nouvelle étude
Une équipe dirigée par le professeur Tarani Chandola de l’Université de Hong Kong vient de dévoiler un phénomène frappant : le stress ressenti le lundi s’imprime durablement dans notre organisme, peu importe si l’on travaille ou non.

Les personnes qui déclarent une anxiété particulière en début de semaine affichent, deux mois plus tard, un niveau de cortisol — l’hormone du stress — 23 % plus élevé dans leurs cheveux que ceux qui stressent davantage un autre jour. Ce marqueur biologique du stress chronique, bien connu pour augmenter le risque de maladies cardiovasculaires, ne concerne pas que les actifs. Les retraités ne sont pas épargnés, montrant que le lundi agit comme un véritable « amplificateur culturel du stress », ancré dans nos rythmes sociaux.
L’étude rappelle qu’en Angleterre, le lundi est associé à une hausse de 19 % des infarctus par rapport aux autres jours. Or, ce n’est pas tant l’intensité du stress le lundi que la réaction biologique à ce stress qui pose problème : seuls 25 % de l’effet observé sont dus à un ressenti d’anxiété plus fort ce jour-là, le reste provient de l’impact biologique disproportionné du lundi.
C’est la première fois qu’on démontre que le lundi, plus qu’un autre jour, dérègle profondément l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, ce chef d’orchestre des hormones du stress.  À lire aussi : Souffrez-vous du syndrome du boulot irritable ? ( Test inclus )
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250706230309.htm

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Sauriez-vous reconnaître une noyade ?
Au début de l’été 2025, les noyades sont en hausse de 58 % en France par rapport à l’année précédente. Ce phénomène ne concerne pas seulement les enfants : chaque année, près de 2 000 noyades sont recensées dans l’Hexagone, dont un tiers sont mortelles selon les chiffres du ministère de la Santé.
La plupart des témoins ne savent pas reconnaître une noyade, car elle ne ressemble pas aux scènes dramatiques du cinéma. En réalité, une personne en train de se noyer est souvent silencieuse, garde la tête à la surface et tente désespérément de respirer, sans appeler à l’aide. Les gestes clés : elle peine à garder la bouche hors de l’eau, agite les bras dans un mouvement réflexe, et ne parvient pas à nager ou à crier.
L’article met en avant un test simple proposé par les sauveteurs pour sensibiliser la population
Source : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sauriez-vous-reconnaitre-une-noyade-le-test-indispensable-avant-d-aller-a-l-eau_187171?xtor=RSS-16

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Pourquoi le contexte compte plus que l’exercice lui-même pour la santé mentale
La croyance populaire veut que bouger, peu importe la forme, soit bon pour le moral. Pourtant, une étude récente de l’Université de Géorgie, publiée en juillet 2025, nuance ce constat. Les chercheurs ont passé au crible plusieurs types d’études — analyses épidémiologiques à grande échelle, essais contrôlés randomisés, et revues sur les facteurs contextuels. Résultat : ce n’est pas simplement l’activité physique en elle-même qui améliore la santé mentale, mais surtout le contexte,
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3 months ago
42 minutes 41 seconds

La pause Fitness
Exercice et sommeil, travail de nuit, perte de graisse et personnalité. 
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de travail de nuit, cardio, perte de graisse et personnalité.
Nouveau : Survivre au travail de nuit
Au programme :

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Avant une garde de nuit, mieux vaut un footing modéré qu’un HIIT explosif
Une étude taïwanaise publiée dans Scientific Reports a comparé chez 14 infirmières de nuit l’effet d’une séance de 47 min à 70 % FCmax versus 28 min d’intervalles à 95 % FCmax. Le footing à intensité continue améliore la qualité subjective du sommeil et allonge la durée totale, alors que le HIIT perturbe l’efficacité du sommeil et augmente la fragmentation nocturne. Le message est clair : lorsqu’on manque déjà de repos, la séance modérée soutient la récupération, contrairement à l’entraînement très intense qui excite le système nerveux sympathique. Source : https://www.nature.com/articles/s41598-025-09404-1

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Perdre du poids : une arme puissante contre le vieillissement cellulaire et la mauvaise graisse
Cette étude de grande ampleur a comparé le tissu adipeux de 70 personnes, dont des individus ayant perdu en moyenne 25 kilos après une chirurgie bariatrique.
La découverte majeure est que la perte de poids déclenche non seulement l’élimination des cellules vieillissantes et abîmées dans la graisse corporelle, mais aussi un recyclage actif des lipides. Ce phénomène favorise la combustion d’énergie et pourrait réduire les dépôts de mauvaises graisses dans le foie et le pancréas, contribuant ainsi à améliorer la santé métabolique.
En analysant plus de 170 000 cellules, les chercheurs ont constaté que la perte de poids aide à « nettoyer » le tissu adipeux des cellules sénescentes, responsables d’inflammation et de cicatrices. Ces avancées offrent un éclairage inédit sur les bienfaits de la perte de poids, expliquant pourquoi elle est si efficace pour traiter des complications comme le diabète.
Cependant, tout n’est pas parfait : certains effets de l’obésité persistent dans le système immunitaire, même après une perte de poids importante. Les cellules immunitaires inflammatoires gardent une « mémoire » de l’obésité, ce qui pourrait nuire à long terme si le poids est repris.
Source : https://medicalxpress.com/news/2025-07-weight-loss-aging-cells-boosts.html

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Adapter son sport à sa personnalité : une clé pour aimer bouger et réduire le stress
Moins d’un quart des adultes atteignent les recommandations mondiales en matière d’activité physique. Pour inverser cette tendance, une équipe de l’University College London a voulu comprendre l’influence de la personnalité sur le plaisir ressenti lors de l’exercice et l’engagement à long terme.
La grande nouveauté révélée : adapter le type d’exercice à sa personnalité multiplie le plaisir et les bénéfices sur la santé mentale, notamment en matière de réduction du stress. Les plus extravertis préfèrent les activités de groupe et les exercices à haute intensité : ils se sentent stimulés par la compagnie et la compétition. À l’inverse, les personnes à tendance anxieuse, dites « névrotiques », apprécient les séances individuelles ou à faible intensité, et profitent d’une baisse marquée de leur niveau de stress après l’entraînement. Les plus consciencieux s’entraînent régulièrement, même si le plaisir immédiat est moindre, motivés par le souci de leur santé. Enfin, l’ouverture à l’expérience prédispose à essayer différents sports, sans effet direct sur le plaisir ressenti.
À l’issue des huit semaines, seuls les participants du groupe entraînement voient leurs indicateurs de forme progresser (...
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3 months ago
43 minutes 3 seconds

La pause Fitness
Perdre 6 kg, entrainement respiratoire, fromage et de cauchemars
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de perdre 6 kg, d’entrainement respiratoire, de fromage et de cauchemars.
Nouveau : Les habitudes invisibles de ceux qui réussissent à se muscler (et bien plus )
Au programme :

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Régime végan vs. régime méditerranéen : le véganisme alcalin favorise la perte de poids
Un essai clinique mené à Washington et publié dans Frontiers in Nutrition compare, pour la première fois, l’impact direct d’un régime méditerranéen et d’un régime végan pauvre en graisses sur l’acidité de l’alimentation et le poids chez des adultes en surpoids. L’étude, un essai croisé randomisé, a suivi 62 volontaires, chaque participant testant tour à tour les deux régimes pendant 16 semaines, séparés par une période de transition.
La nouveauté de cette recherche réside dans le fait que seul le régime végan a permis de réduire de manière significative l’acidité alimentaire, aboutissant à une perte de poids moyenne de 6 kg, alors que le régime méditerranéen n’a pas entraîné de variation du poids.
La diminution du poids observée sous régime végan était due principalement à une réduction de la masse grasse. Les analyses statistiques révèlent un lien direct entre la baisse de l’acidité alimentaire (calculée par les scores PRAL et NEAP) et la perte de poids, indépendamment de la quantité de calories consommées. Cela signifie que l’effet bénéfique est bien lié à l’alcalinité apportée par une alimentation riche en fruits, légumes, céréales complètes et légumineuses, sans produits d’origine animale.
En conclusion, cette recherche de haut niveau (essai clinique randomisé en cross-over) montre que le choix d’un régime végan pauvre en graisses peut offrir des avantages concrets pour perdre du poids et réduire l’acidité alimentaire, par rapport à un régime méditerranéen pourtant considéré comme modèle de santé.
Source : https://www.frontiersin.org/journals/nutrition/articles/10.3389/fnut.2025.1634215/full

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L’entraînement respiratoire améliore la santé cardiaque sans impact direct sur le sommeil, révèle une étude
Une étude prospective pilotée par des chercheurs américains, publiée sur bioRxiv, explore les effets de l’entraînement des muscles respiratoires sur le sommeil et la santé cardiovasculaire chez des adultes en bonne santé. Soixante-sept volontaires, équipés de bracelets connectés, ont suivi pendant cinq semaines un programme quotidien d’exercices combinant renforcement des muscles inspiratoires et expiratoires, tandis qu’un groupe témoin poursuivait sa routine habituelle.
Les scientifiques ont mesuré à la fois la qualité du sommeil et des indicateurs de la fonction cardiaque comme la variabilité de la fréquence cardiaque, un marqueur reconnu de la santé du système nerveux autonome. Résultat : l’étude montre que l’entraînement respiratoire améliore de façon significative la variabilité de la fréquence cardiaque, reflétant une meilleure santé cardiaque, sans pour autant modifier la qualité du sommeil chez les participants, qu’ils soient bons ou mauvais dormeurs. Les effets positifs sur la fonction autonome cardiaque persistent au-delà de la période d’entraînement.
Cette recherche randomisée contrôlée, réalisée en conditions réelles et à distance grâce à des objets connectés, constitue une première dans une population non clinique. Elle suggère que l’entraînement respiratoire pourrait devenir une stratégie simple et non-médicamenteuse pour renforcer la santé cardiovasculaire, y compris chez les personnes sans pathologie particulière. Toutefois, l’étude souligne la nécessité de poursuivre les recherches sur des périodes plus longues et sur un plus large public.
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3 months ago
34 minutes 24 seconds

La pause Fitness
Un café c’est mieux que le jeûne, sieste de 90 minutes, congestion et changer le futur
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler du café qui serait mieux que le jeûne, de sieste de 90 minutes, de congestion et de changer notre futur.
Nouveau : Pourquoi sommes-nous accros aux féculents ?
Au programme :

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Bain chaud : l’atout santé inattendu face au sauna
Une équipe de l’Université d’Oregon a comparé trois modes de « thermothérapie passive » : bain à 40 °C, sauna sec classique et sauna infrarouge. Verdict : le bain immerge le corps dans un milieu où la transpiration ne refroidit plus la peau. La température centrale grimpe alors plus haut qu’au sauna, ce qui dilate davantage les vaisseaux, abaisse la pression artérielle et mobilise les globules blancs. Les chercheurs observent aussi un pic d’interleukine-6, messager clé de l’immunité. Autrement dit, quinze minutes dans un jacuzzi génèrent un stress thermique proche d’une séance de cardio modérée, sans bouger. Cette découverte démontre qu’un simple bain chaud déclenche à lui seul les réponses cardio-vasculaires et immunitaires recherchées en rééducation. De quoi offrir une option aux personnes âgées ou blessées qui ne peuvent pas s’entraîner.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250625232208.htm

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Café du matin : un « interrupteur » de longévité activé
Boire son expresso au saut du lit ferait bien plus que vous réveiller. Des microbiologistes de l’Université de Vienne ont montré que la caféine active directement l’AMP-kinase, enzyme centrale du métabolisme cellulaire, et enclenche la même voie énergétique que le jeûne intermittent. Les chercheurs observent une augmentation de 26 % des marqueurs de recyclage cellulaire après une seule tasse. Chez la levure puis chez la souris, ce « coup d’accélérateur » réduit l’accumulation des protéines endommagées et prolonge la durée de vie de 15 %. L’équipe souligne qu’il suffit d’une dose humaine standard (80-100 mg) pour reproduire l’effet. En pratique : un café noir, sans sucre, dans l’heure suivant le réveil optimise la fenêtre métabolique où l’AMP-kinase est la plus réceptive. Les auteurs préviennent toutefois que l’ajout de crème ou de sucre inhibe partiellement la réponse. Un hack simple, gratuit et potentiellement puissant pour préserver ses mitochondries sans bouleverser son emploi du temps matinal.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250625054448.htm

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Modifier son futur grâce à l’IA
Mass General Brigham a formé un réseau profond à repérer le calcium coronaire sur 8 052 scanners thoraciques « non gated ». L’algorithme détecte une charge calcique élevée avec 89 % de précision et anticipe la mortalité à 10 ans (risque multiplié par 3,5 si score > 400). Grâce à cette IA, chaque vieux scanner pulmonaire devient un dépistage cardiovasculaire gratuit. Implémenter IA-CAC dans les hôpitaux VA pourrait prévenir des infarctus avant le moindre symptôme. Le sport et la diète vont prendre leur essor. Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250623233238.htm

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Sieste stratégique : 25 ou 90 min sans nuire au sommeil
Faut-il éviter la sieste pour bien dormir ? Des physiologistes australiens ont testé trois conditions chez 14 sportifs universitaires : pas de sieste, 25 min à 14h35 ou 90 min à 13h30. Aucun protocole n’a réduit la durée ou la qualité du sommeil nocturne. Le sommeil total restait autour de 7 h ± 10 min. Conclusion : une micro-sieste ou un cycle complet avant 15 h soutient la récupération neuromusculaire sans effet rebond. Idéal les jours de double séance ou de compétition en soirée.Source : Show more...
4 months ago
40 minutes 8 seconds

La pause Fitness
L’huile d’olive fait grossir, dormir + le week-end et fatigue mentale
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de l’huile d’olive qui fait grossir, de dormir deux heures de plus pour performer et fatigue mentale.
Nouveau : Bougez plus sans quitter votre bureau
Au programme :

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L’huile d’olive fait grossir 
Un travail de l’Université d’Oklahoma révèle que l’acide oléique – le principal lipide de l’huile d’olive – accroît la fabrication de cellules adipeuses en activant la protéine AKT2 et en freinant le régulateur LXR-α. Les chercheurs montrent ainsi qu’un excès d’acide oléique déclenche à lui seul une “recrue massive” de cellules gardiennes du gras : un terrain fertile pour l’obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires, même sans surplus calorique global.Méthode : des souris ont reçu des régimes enrichis en divers acides gras ; seul l’acide oléique a dopé la prolifération des pré-adipocytes. L’étude rappelle que « la nature du gras compte autant que la quantité ». Pour le pratiquant de musculation, le message est clair : varier les sources lipidiques (poissons gras, noix, colza, etc.) et surveiller la part d’huile d’olive, surtout lors des phases de prise de masse où l’on augmente les calories.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250611084111.htm

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Dormir deux heures de plus le week-end calme l’anxiété des sportifs
L’American Academy of Sleep Medicine a suivi 800 lycéens pratiquant un sport en club. Ceux qui repoussaient le réveil de 90 à 120 minutes le samedi et le dimanche affichaient 30 % de symptômes anxieux en moins et une baisse de 18 % du cortisol matinal. Un “rattrapage” modéré – mais pas excessif – optimise l’humeur et la récupération neurale sans perturber l’horloge interne. Pour un jeune athlète qui enchaîne cours, entraînements et compétitions, programmer volontairement ces deux heures supplémentaires pourrait limiter le surentraînement et améliorer la rétention des apprentissages moteurs.Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/06/250613013854.htm

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Fatigue mentale, le nouveau talon d’Achille
Synthèse de 22 études publiées en 2025, l’éditorial montre que un programme de pleine conscience de 7 semaines diminue de 28 % l’anxiété de compétition chez des sprinteurs chinois et booste leur variabilité cardiaque parasympathique. Les auteurs appellent les coaches à « periodiser le cerveau » comme on periodise la force, via micro-siestes, entraînement aux tâches doubles et méditation guidée.Source : https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1640470/full

* Bougez plus sans quitter votre bureau

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4 months ago
33 minutes 40 seconds

La pause Fitness
Prise de ventre à 40 ans, sommeil et retour de la créatine
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de prise de ventre à 40 ans, du sommeil et de la créatine.
Nouveau : Vitamine B1 : Pourquoi tu crèves de faim même en mangeant sainement
Au programme :


Stopper la « bedaine » de la quarantaine
Le 7 juin, Drugs.com résume les conseils NIH (basés sur plusieurs études 2024-2025) pour contrer la prise de poids typique entre 30 et 45 ans. Intermittent fasting, musculation bi-hebdomadaire et 7 h de sommeil par nuit composent le trio gagnant contre la prise de poids progressive. Les spécialistes rappellent qu’un simple déficit de 250 kcal/j ,évite deux kilos par an.Source : https://www.drugs.com/news/expert-s-guide-keeping-middle-age-spread-bay-125298.html


Trop d’écran, trop assis : le cocktail qui sabote le sommeil des sportifs
Une enquête nationale chinoise parue le 10 juin dans Frontiers in Neurology  révèle que dépasser huit heures assises réduit de 25 % la durée de sommeil réparateur et augmente de 30 % le risque de blessure pendant l’entraînement. Les auteurs préconisent des pauses actives toutes les 30 minutes.Source : https://www.frontiersin.org/journals/neurology/articles/10.3389/fneur.2025.1488443


La créatine, une vieille star qui revient en force
Des chercheurs américains publient le 10 juin dans Journal of Dietary Supplements  une méta-analyse de 50 essais contrôlés : la créatine n’est pas seulement un booster de force, elle soutient aussi la mémoire chez les plus de 60 ans et réduit la perte de masse maigre après 12 semaines d’entraînement. Les auteurs insistent sur la sécurité du supplément, même à long terme, et proposent de l’intégrer aux programmes de recomposition corporelle.Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40198156/


Vitamine B1 : Pourquoi tu crèves de faim même en mangeant sainement

Pourquoi même un petit déficit en B1 peut ralentir ta sèche
Le lien entre manque d’énergie cérébrale et envies de sucre irrépressibles
Comment la B1 agit sur l’AMPK, l’enzyme qui régule la faim dans ton cerveau
Quels aliments riches en B1 consommer dès aujourd’hui
Pourquoi toi, sportif ou jeûneur, tu es peut-être à risque sans le savoir
La stratégie simple pour retrouver ton énergie, calmer tes fringales et relancer ton métabolisme
INCLUS : Audio MP3 + Résumé PDF
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4 months ago
50 minutes 16 seconds

La pause Fitness
On parle de musculation, de nutrition et de développement personnel. Les régimes qui fonctionnent, les entrainements sportifs à tester ou bien des méthodes pour la motivation à appliquer.
Le seul podcast français régulier sur la musculation ( culturisme, bodybuilding, fitness ) qui regroupe la bonne santé, l'alimentation, le style de vie. Pour reprendre le terme de Tim ferriss, c'est un lifestyle design particulier.
Retrouvez moi sur le site www.fitnessmith.fr