Home
Categories
EXPLORE
True Crime
Comedy
Society & Culture
Business
Health & Fitness
Technology
Sports
About Us
Contact Us
Copyright
© 2024 PodJoint
Loading...
0:00 / 0:00
Podjoint Logo
US
Sign in

or

Don't have an account?
Sign up
Forgot password
https://is1-ssl.mzstatic.com/image/thumb/Podcasts124/v4/19/47/79/19477945-05d9-1327-a007-6da0479f1ec8/mza_8618923299707634132.png/600x600bb.jpg
Sensible & décomplexée ☽
Julia Bouchinet
26 episodes
5 months ago
Bienvenue sur le podcast qui nous accompagne dans la création de la vie que nous souhaitons mener. Savez-vous que notre inconscient guide 90% de nos actes? Savoir le decrypter est une trésor inestimable. Dans ce podcast, explorons-le ensemble afin de reprendre le pouvoir que nous avons sur notre vie.

Je suis Julia et je vous propose de découvrir ensemble les techniques qui boostent notre bien-être physique et mental. Connaissance de soi, alimentation adaptée, développement personnel, psychologie seront au rendez-vous pour nous aider à nous libérer de nos blocages. Apprenons à nous connaître et à orienter nos pensées pour une vie épanouie!
Show more...
Mental Health
Arts,
Education,
Food,
Self-Improvement,
Health & Fitness
RSS
All content for Sensible & décomplexée ☽ is the property of Julia Bouchinet and is served directly from their servers with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
Bienvenue sur le podcast qui nous accompagne dans la création de la vie que nous souhaitons mener. Savez-vous que notre inconscient guide 90% de nos actes? Savoir le decrypter est une trésor inestimable. Dans ce podcast, explorons-le ensemble afin de reprendre le pouvoir que nous avons sur notre vie.

Je suis Julia et je vous propose de découvrir ensemble les techniques qui boostent notre bien-être physique et mental. Connaissance de soi, alimentation adaptée, développement personnel, psychologie seront au rendez-vous pour nous aider à nous libérer de nos blocages. Apprenons à nous connaître et à orienter nos pensées pour une vie épanouie!
Show more...
Mental Health
Arts,
Education,
Food,
Self-Improvement,
Health & Fitness
Episodes (20/26)
Sensible & décomplexée ☽
Angoisse de séparation: les conséquences
L’angoisse de séparation apparaît pour la première fois lors de la toute petite enfance et peut amener être synonyme de déprime. Voire de dépression à l’âge adulte. Nous la décryptons ensemble !

 
Ecouter le podcast associé
Psychologie de l’enfant 
Un bébé, pour grandir et traverser les différents stades de développement qui se présentent à lui, a besoin de s’émanciper en étant amené à une forme de séparation progressive rassurante, sécurisante et saine pour lui. Baignant dans un amour inconditionnel, il aura aussi besoin, dés ses 6 mois, de goûter à des premiers interdits, de l’ordre de la frustration. Cela lui permettra de comprendre qu’il y’a un cadre et qu’il fait partie d’un environnement générale dans lequel il n’est pas le centre unique d’attention.
Ces frustrations, bien posées sont tout à fait rassurantes pour lui et l’amène à comprendre qu’il fait partie d’u système dans lequel il est un membre à part entière.
Cette prise de conscience pour lui, est très violente car depuis sa naissance, tout est confus entre ce qui est de lui, de l’autre, de l’extérieur ou de l’intérieur.
La relation mère/ enfant
Dés la naissance, l’enfant est en forte demande d’un lien relationnel, avec sa mère ou la personne qui se trouve dans son environnement, qui incarne son premier objet d’amour. C’est d’ailleurs son besoin primaire.En effet, ce besoin est psychique car il souhaite être reconnu.
Contrairement à ce que l’on imagine, le premier besoin de l’enfant n’est pas alimentaire mais relationnel. Il met en oeuvre ce qu’il faut pour entrer en relation avec la mère même avant la naissance:il est préparé à sourire. S’il y’a une relation forte établie entre sa mère et lui, tout le reste va de soi.
Il est vital pour lui que la relation à sa mère soit fusionnelle dans un premier temps (jusqu’à ses 6 mois). Sa première angoisse est une angoisse de séparation. Elle-même, est liée à son appréhension d’avoir la capacité ou non de gérer ses pulsions.
En effet, il a plusieurs choix: gérer ses pulsions (notamment agressives) et préserver la relation à sa mère. Ou bien, les laisser les exprimer, et porter préjudice à cette relation. D’ailleurs, un enfant au stade des 6 mois, se rend compte qu’il n’est pas sa mère et qu’il sont deux être différenciés. Il va alors pouvoir se griffer lui même en ayant pour intention de griffer sa mère.
L’enfant sécurisé
Pour l’enfant sécurisé, les angoisses s’atténuent automatiquement avec le temps. Il ressent et vit très bien la relation à sa mère même s’il est défusionné d’elle. Sa perception de cette relation est alors positive et les « retours sur investissements » de cette relation lui sont satisfaisants. Il passera la phase dépressive qui s’ensuit de manière plutôt stable et équilibrée.
 

L’enfant insécurisé
Pour l’enfant insécurisé (ce qui dépend du comportement de la mère mais aussi de la perception propre de l’enfant), il y’aura une phase dépressive très importante lors de ce premier stade de sa vie. Il vit cette angoisse prédominante de séparation comme un choc traumatique. Il pourrait ne pas réussir à préserver la relation à sa mère… Deux solution s’offrent à lui:

* lui exprimer une très forte agressivité
* retourner l’agressivité contre lui-même.

Tout cela est pulsionnel et instinctif.
Show more...
3 years ago
9 minutes 59 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Les Hypersensibles: 5 souffrances communes
L’hypersensibilité est un fonctionnement du système nerveux qui est plus rapide que  la moyenne. Alors que ce type d’intelligence touche 20% de la population, elle est aussi synonyme de détresse émotionnelle, physique et psychique. En effet, être intelligent et pour autant, avoir des difficultés d’adaptation et de socialisation importantes ne concorde pas. Et pourtant… la réalité démontre des souffrances importantes de la part des hypersensibles qui pensent ne pas pouvoir rentrer dans les normes. Ils le peuvent, à leur façon, mais devront d’abord apprendre à se connaître et à maîtrisiez leurs ressources énergétiques afin de s’épargner plutôt que de se sacrifier. 

« Étranges rapports. Est-ce que l’extrême pensée et l’extrême souffrance ouvriraient le même horizon? Est-ce que souffrir serait, finalement, penser ? » Maurice Blanchot
Nous pouvons aujourd’hui le dire, il existe un lien très fort entre une extrême intelligence et une vulnérabilité psychologique. Nous pouvons l’expliquer par le fait que l’intelligence est souvent synonyme de performance dans la pensée collective. Et pourtant, une intelligence, quelle qu’elle soit, peut être associée à des souffrances et une sensations d’échecs. Car l’intelligence peut être, même si elle est, autrement…
« Étranges rapports. Est-ce que l’extrême pensée et l’extrême souffrance ouvriraient le même horizon? Est-ce que souffrir serait, finalement, penser ? » Maurice Blanchot
Il y’aura des phases de fluctuations et des transitions car être hypersensible c’est ressentir TOUT d’une telle puissance que c’est à se demander demander si cela est réellement possible. Mais, in fine, c’est un très beau cadeau lorsque cette particularité sait être apprivoisée. 

Afin de vous aider sur ce chemin d’introspection, que ce soit pour vous même ou pour vous intéresser à un proche, voici quelques pistes de compréhension de certaines des souffrances, communes à tous les hypersensibles. 
👸1. La Différence. « L’hyperréceptivité émotionnelle est centrale «  chez l’hypersensible (cf. livre « Trop intelligent pour être heureux? »). Il ressent, vit, réceptionne, lit les émotions des autres, des lieux, des situations. c’est comme s’il vivait en même temps que l’autre tout ce qu’il ressent en terme émotionnel. Le challenge sera alors de s’impliquer tout en gardant une pourcentage d’énergie en priorité pour lui-même. Alors, c’est une forme de maîtrise émotionnelle et énergétique qui se doit d’être acquise. Cette hyperesthésie amène l’hypersensible à développer des capacités supérieures à la moyenne qui peuvent le rendre « étrange » aux yeux des autres
🤯2. La saturation. Trop de monde, du bruit, de lumière et un évènement peut devenir une source d’informations infinie pour un hypersensible qui doit les traiter de manière approfondie. Il pourrait alors avoir besoin de plusieurs jours de ressourcement, de recharge énergétique pour se remettre d’aplomb. Cela s’explique par le fait qu’un contexte chargé d’informations, en particulier émotionnelles, peut l’empêcher de canaliser son attention. Il va alors se mettre en pause afin de pouvoir se concentrer sur le minimum nécessaire: ce n’est pas qu’il est absent, mais qu’il tente de s’adapter. Pensez dans ce cas: économie d’énergie! 
💩3. La Honte: Cela rejoint le sentiment d’infériorité par rapport aux autres: ceux qui savent prendre du recul, gérer leurs émotions, être à l’aise en groupe, en public sont vraiment idéalisés par les hypersensibles pour qui c’est un combat permanent.. La honte peut notamment être ressentie lorsque la communication vient à bloquer. Un hypersensible peut facilement bafouiller, chercher ses mots, ne pas réussir à poser des idées sur ce qu’il ressent… C’est assez fréquent car il peut se perdre dans sa pensée qui est en arborescence et qui l’empêche d’être clair et défini. 
 

🤓4. La Vulnérabilité : Lorsque qu’un hypersensible ress...
Show more...
3 years ago
13 minutes 54 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Deuil: Les 5 étapes
Le deuil se produit dans notre vie lorsque nous nous confrontons à une perte. Nous voulons souvent passer à autre chose, avancer, oublier…​Comme si rien n’avait exister, nous pouvons fantasmer que nous avons cette capacité de tourner la page en une décision. Néanmoins, la bienveillance envers nous-mêmes dans ces situations de fragilité psychique, physique et émotionnelle est primordiale. C’est à ce moment-même que nous pouvons parler d’auto-respect, d’auto-valeur, d’auto-compassion.
Ecouter le podcast associé

Attention au refoulement
Il est tout à fait fréquent de souffrir tellement fort que nous voulons juste que cela s’arrête. Alors, via une jolie convention mentale, nous déplaçons cette douleur dans le champ du refoulé afin que cela soit stocké à un autre endroit. Celui qui gère la « casse », les oublis, les traumatismes non digérées. En ce sens, nous clivons certaines situations de notre vie afin que tout le reste de notre quotidien se passe de la meilleure manière possible. Nous pouvons détecter ce clivage lorsque, par exemple, il nous est vraiment difficilement gérable voire impossible d’évoquer la (les) situation(s) en question. Nous pouvons peut-être nous mettre à pleurer instinctivement, ressentir un mal-être profond, être complètement handicapé ou bloqué. Tous ces signes de contraction émotionnelle sont à aller libérer afin d’effectuer un travail accompli de nos difficultés.
Ecouter le podcast associé
Ce qui n’est pas traité en profondeur est latent
Cette fameuse case « refoulé » n’est qu’un leurre temporaire pour nous permettre de survivre, en quelque-sorte, dans une situation de crise. C’est un moyen de se protéger, d’ignorer, de « contrôler » ce qui se passe en nous. Néanmoins, tout ce qui n’est pas réglé, digéré, vécu réellement, est agissant à l’intérieur de nous sans que nous nous en rendions compte. C’est pourquoi, tous les comportements que nous adoptons sont en réponse à notre vie, notre éducation, nos blessures profondes… Nous nous adaptons très fréquemment pour ne plus jamais ressentir ce qui nous a réellement affligé. Lorsque nous avons dû couper des liens, que des disputes ont eu lieu de manière non « rattrapables » ou bien que nous avons eu affaire face à la maladie, à la mort, à la perte… Offrons-nous ce cadeau de ressentir pleinement ce qui se passe à l’intérieur de nous.  Toutes les émotions qui passent ne se bloqueront pas en nous… Elles seront libérées! Ensuite, le temps et le respect de notre rythme seront essentiels.
Ecouter le podcast associé

1. Le Déni. 
Tout deuil débute par un déni. « Non, ce n’est pas possible, je n’y crois pas ». C’est une étape tout à fait normale du processus du deuil. Nous dénions la réalité car elle est trop violente et  agressive pour nous à ce moment-là. Alors, nous nous rassurons avec des images qui nous font du bien et qui nous apaisent. C’est une phase durant laquelle nous ne sommes pas capables d’intégrer la réalité.
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé​ » Lamartine
2. Le Marchandage
Par la suite, nous pouvons rechercher toutes les solutions possibles et inimaginables pour ne pas que cela soit réel. Alors, nous pouvons par exemple regarder sur les forums quelles les possibilités qui s’offrent à nous nous ou à la personne concernée pour transformer la situations. Nous sommes dans une phase de collecte d’informations pour tenter de maintenir sous contrôle ce qui nous effraie le plus...
Show more...
3 years ago
21 minutes 26 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Comment arrêter de culpabiliser et enfin prendre sa place ?
Arrêter de culpabiliser, c’est déjà prendre conscience de notre valeur. Pour créer notre réalité, vivre ce que nous désirons, il est primordial de faire le point sur qui nous sommes et ce qui est important pour nous. En effet, culpabiliser est un moyen de nous continuer à croire que nous sommes « inférieurs », « nul », « moins que », « trop ci, ou trop ça…. ». Et pourtant, c’est souvent une perception biaisée qui nous fait miroiter cela. Mais pas la part de nous qui est confiante, sereine, prête à vivre des expériences constructive.
« La culpabilité et le péché ne sont que des peurs du passé » Charles P.Curtis
 

Comment savoir si l’on culpabilise?
1. Culpabiliser, c’est déjà penser que l’on n’a pas le droit de culpabiliser! C’est ce cercle vicieux dans lequel nous sommes pris, sans fin. En effet, c’est ce sentiment selon lequel nous ne « méritons pas mieux » ou nous « méritons » ce qui nous arrive, car nous avons mal fait. En effet, si vous avez tendance à régulièrement douter de vous-même, de vos capacités, de vos compétences et de votre image, il est fort possible que vous souffriez de culpabilité. Repensez à la dernière fois où vous vous êtes senti coupable de quelque-chose, comment cela se manifestait-il dans votre corps ?
2. Nous nous sentons régulièrement angoissés! C’est un des éléments indissociables de la culpabilité. Elles peuvent être chroniques, régulières ou plus rares… Elles sont vivent ou plutôt latentes. Elles nous prennent de court, par surprise. Elles peuvent survenir dans un environnement dans lequel nous « devrions » nous sentir pourtant bien, en sécurité. Elles sont incompréhensibles et nous prennent énormément d’énergie. Repensez à la dernière fois où vous vous êtes senti angoissé, comment cela se manifestait-il dans votre corps ?
3.Vous utilisez cette phrase « Oui, mais si j’avais fait comme ça… les choses se seraient passées comme ça ». Comme si vous aviez le pouvoir de tout, tout le temps, avec tout le monde. Il est important de remettre dans le contexte que la culpabilité ne survient que si traumatisme il y’a, dans lequel justement nous pensons porter l’entière responsabilité. Cela explique notamment pourquoi dans la même situation, deux personnes ne réagissent pas forcément de la même manière. L’une va se sentir coupable, et l’autre non.
« Les traumatismes infantiles nous suivent à l’âge adulte, c’est une charge que nous porterons toute la vie »​
 

Comment faire lorsque l’on culpabilise ?
1. La première question a vous poser dans ce cas là est la suivante: Avez-vous fait du mieux que vous pouviez ?
Si la réponse est oui, alors sachez que vous n’auriez pas pu faire plus. Lorsque nous souffrons de culpabilité, nous pensons souvent être le responsable de tout. Néanmoins, dans les interactions sociales par exemple, la responsabilité est toujours partagée. Hormis le fait que certaines personnes communiquent mieux que d’autres, parce qu’il n’est pas si aisé de s’exprimer avec clarté et droiture, dés lors que l’intention de départ est bienveillante, il n’y a pas de raison de culpabiliser. Nous pouvons alors constater que la culpabilité repose sur des mécanismes bien plus profonds.
Néanmoins, si l’on en vient à culpabiliser, c’est que cela touche notre réservoir d’estime de nous-même. C’est à dire, que nous avons souvent attiré à nous la déception, la désillusion, l’humiliation, la Show more...
3 years ago
17 minutes 25 seconds

Sensible & décomplexée ☽
5 outils pour gérer ses émotions
 
Cliquer ici pour écouter le podcast:
Il est normal d’être débordé, surmené, dépassé parfois. Les émotions sont des énergies qui nous traversent et qui nous guident intensément. Découvrez 5 clés pour les gérer.
« Le problème aujourd’hui n’est pas l’énergie atomique, mais le coeur des hommes » Albert Einstein
L’idée de gérer l’émotion pour s’en débarrasser peut nous traverser l’esprit. Et pour autant, il est illusoire de penser que nous pouvons nous défaire d’elles seulement au pouvoir de notre intention. D’une part, parce que le soulagement ne serait que temporaire. Et d’autre part, parce qu’elles sont un indicateur puissant de ce que souhaite nous communiquer notre inconscient. Le tout, est de pouvoir les décrypter.
L’angoisse, par exemple, décrit un état de mal-être intérieur qui nous est inconnu. Alors, dans ce cas-là, nous transformerons ce mal être en stress afin d’avoir une explication à celui-ci. Par exemple, si nous sommes angoissé et un mal de ventre se déclenche, nous allons inconsciemment tenter de nous raccrocher à une justification pour nous soulager. Cela ne sera que passager, car l’angoisse de fond n’ayant pas été conscientisée, elle se représentera sous une autre forme. C’est le cas, notamment, des problèmes de peau qui se déplacent de zone corporelle ou bien qui se transforme. Nous pouvons souffrir d’acné, puis ensuite, d’eczéma. Le conflit psychique originel est le même.
« S’inquiéter, c’est du temps perdu. Utilisez la même énergie pour faire quelque chose qui vous inquiète. » Oprah Winfred
Cliquer ici pour écouter le podcast:

Alors, c’est parti pour la présentation de ces 5 clés:
1.Observez-vous: Avant de rejeter nos émotions, il est primordial d’adopter une posture de recul. Si nous voyons nos émotions comme des enfants qui nous appellent, nous ne pourrons plus jamais les renier. Elles sont là, et elles nous délivrent un message qui peut nous permettre d’avancer. Essayas, à chaque fois qu’une émotion se présente, de noter laquelle elle est.
2. Analysez-vous: Après l’observation, peut-être très intéressant de décrire les zones de notre corps concernées et les sensations qui nous parcourent. Nous pouvons nous poser les questions suivantes: Est-ce que je somatise ? Quelles problématiques mon corps exprime t-il? Où est-ce que je ressens une émotion ? Est-ce qu’elle est récurrente ? Quel évènement a provoqué cela en moi ? Est-ce que c’est lié à une situation? A une personne ? A une impression que j’ai ? A une peur ?
3.Comprenez-vous: En fonction des zones localisées et des émotions décelées, nous pouvons alors nous comprendre d’avantage. Mais, ce travaille d’introspection est déjà primordial pour avancer et libérer notre corps du poids qu’il porte. Vous pouvez alors trouver en faisant des recherches, ce que veut vous communiquer votre inconscient au travers de votre corps. C’est un outil vraiment précieux, qui traduit se qui se passe dans votre vie psychique. En plus, il est à disposition! Si cela vous est trop fastidieux, la thérapie est faite pour cela. C’est un moyen de connecter votre esprit et votre corps afin que l‘inconscient devienne conscient. Cela ne se fait pas en un claquement de doigt, mais plutôt en prenant le temps de partir à la découverte de nous-même.
Show more...
3 years ago
11 minutes 49 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Qui es tu?
Qui es tu? Nous pensons souvent que c’est notre posture sociale ou professionnelle qui nous caractérisent. D’ailleurs, quand nous devons nous présenter, ce sont ces informations que nous offrons sur un plateau directement.
Aujourd’hui, je vous partage un extrait d’accompagnement avec une jeune femme qui est sous pression. Changer de travail, trouver un travail à la hauteur de ses exigences, évoluer… telles sont ses préoccupations. Notamment, pour répondre aux attentes de la société, de sa famille, de son entourage proche.
Lorsque nous avons baigné dans une structure familiale dans laquelle la posture sociale est un pré-requis pour être accepté, nous pouvons très vite avoir peur de ne pas être à la hauteur. Alors, entre comparaison, manque d’estime de soi et confiance en soi défaillante…nous pouvons perdre pied.
 
« On est ce qu’où est ; vous ne me referez pas. » Victore Cherbuliez
 
Qui es-tu ? Ta valeur
Nous avons parfois l’impression qu’être fort, c’est avoir un statut social » haut classé ». Quand on nous pose la question: « Qui es-tu », nous pouvons alors, volontairement ou non, omettre certaines informations pour éviter la comparaison.
Cela peut être une grande souffrance car la peur d’être rejette peur pointer le bout de son nez à tout instant. Alors, dans une configuration amicale ou familiale dans laquelle le poste que nous occupons est primordial, nous pouvons réellement ne pas être à notre place et complexer.
Pression, mensualisation, surmenage…Cela peuvent être des difficultés qui rajoutent une souffrance à notre quotidien.
« Il y a des moments où l’on croit être en plein brouillard, et ce n’est que de la buée sur le pare-brise. » Grégoire Lacroix

Qui es-tu ? Ton identité
Nous sommes notre identité. J’en parlais dans cet article, précédemment. Nous pouvons avoir tendance à penser que nous sommes notre personnalité, mais la réalité est que nous sommes nous. C’est à dire, tout ce qu’il reste sans ce derrière quoi nous nous cachons: travail, couple, famille, amis…
Si demain vous êtes handicapés, comment vous vous définirez vous ?
Prendrez-vous votre posture sociale pour parler de vous ?
Penserez-vous que vous n’avez que des qualités au travers ce que vous faites ?
J’aime prendre cet exemple car il nous montre à quel point, si nous sommes coupés de ce qui nous permet de faire, nous pourrons, d’avantage, être. Et, vibrer qui nous sommes. Cela permet de réfléchir et de se poser des questions importantes, au quotidien.
« Les vocations se manifestent d’une façon négative, c’est-à-dire qu’on sait très bien tout ce qu’on ne veut pas être, mais qu’on ne sait pas ce qu’on veut être. » Jean Dutourd

Conclusion
Nous sommes ce que nous étions avant même de savoir parler.
Il nous est souvent difficile de nous décrire, et pourtant, c’est un exercice très intéressant.
Il nous arrive de nous perdre en nous identifiant à ce que nous faisons, mais ce qui restera après notre mort sera ce que nous étions avant notre naissance.
« Paraître, voilà qui est, pour beaucoup, une raison d’être. » Samuel Ferdinand Lot
Crédit photos: Nihal Demirci, Jez-Timms, scott-broome, Miguel bruna, Karsten Würth.
Show more...
4 years ago
13 minutes 59 seconds

Sensible & décomplexée ☽
 » Personnalité: ne plus se cacher derrière elle »
C’est ma personnalité ! J’entends souvent cette phrase, et pourtant… Pas forcément. Nous faisons souvent une confusion entre ce qui nous caractérise vraiment et ce qui constitue notre personnalité. Ce sont deux notions bien distinctes qu’il est intéressant de comprendre pour les utiliser à bon escient.
Souvent, nous pouvons nous coller des étiquettes depuis notre plus tendre enfance, que nous pensons être notre identité. Il s’avère que si nous les utilisons pour nous cacher derrière, cela est dommage car nous avons une marge de manœuvre bien plus importante que ce que nous croyons.
Je suis sûre que vous vous êtes déjà posé les les questions suivantes:

* C’est quoi la personnalité d’une personne?
* Quels sont les traits de personnalité?
* Quels sont les éléments qui composent la personnalité ?

« Le moi de l’homme n’est pas réductible à son identité vécue »Jacques Lacan 
Cliquer ici pour regarder la vidéo

Qu’est-ce qui définit l’identité d’une personne ?
Notre identité est notre essence. C’est notre package! Nous naissons avec un bagage plus ou moins riche, c’est de celui-ci dont nous parlons. Si nous voulons emprunter le terme de « moi »ou « soi », nous pouvons tout à fait.
Notre identité est pure, propre, lisse. Elle est, par le fait que nous sommes. En ce sens, nous pouvons intégrer à notre identité:
L’aspect légale:

* Notre nom
* Prénom
* Date de naissance
* Lieu de naissance
* Héritage

L’aspect historique:

* Notre histoire (conception)
* Celle de nos ancêtres
* Celle de nos parents
* Nos origines
* Capacités
* Appétences
* Passions
* Nos dons….

Nous pouvons peut-être rajouter de nombreux éléments à cette description. Certains porteront fièrement ces facettes de leur origine, et d’autres les renieront car le bagage sera trop lourd à porter. Il est vrai que nous nous éloignons parfois de notre identité, pour y revenir des années après…
« Quand on demandait à Blaise Pascal sa carte d’identité, il sortait un billet de 500 francs » Steven Wright
Cliquer ici pour regarder la vidéo

Qu’est-ce que la personnalité ?
La personnalité est la part de nous qui enregistre toutes nos expériences, vécues positivement ou négativement. C’est comme une bibliothèque qui classe les expérimentations. Nous pouvons d’ailleurs l’appeler « ego », si cela résonne mieux. Cette bibliothèque permet à notre inconscient d’aller y chercher les éléments qu’il a en sa possession pour s’adapter à une situation.
Nous nous construisons une personnalité en rapport avec notre contexte familial, social, économique, relationnel…Une image, apparence, qui nous permettrait de nous adapter à notre environnement.
Alors, quand vous entendez de vous « Petite, tu était comme si », ou « Tu as toujours été comme ça ». De quelles périodes parlent les personnes qui vous décrivent ? Quel âge aviez-vous selon eux ?
Grâce à elle, nos réactions sont orientées. Elle est comme une armure de protection, qui n’en est pas vraiment une. En effet, c’est comme si notre personnalité recouvrait notre identité profonde.
Ce voile peut parfois nous desservir car il recouvre notre pureté, vulnérabilité, sensibilité. Le travail thérapeutique,
Show more...
4 years ago
10 minutes 41 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Estime de soi: « Je ne me sens pas considéré(e) »
Estime de soi ou confiance en soi? Nous avons souvent une hésitation entre ces deux termes qui composent l’image de soi. Nous avons vu, les semaines précédentes, les 5 principales injonctions que nous avons reçues dans notre enfance. Ces drivers vont influencer toute notre vie car notre développement d’enfant nous attachera à ce que l’on nous renvoie de nous-même. Cela peut nous amener à de bien nombreux sacrifices par méconnaissance de nous-même. Alors, si nous souhaitons gagner du temps, il est nécessaire d’apprendre à se considérer soi, avant d’attendre cela de la part de notre entourage: (conjoint(e), amis, famille…)
Aujourd’hui, nous allons évoquer le sentiment de nullité que nous pouvons tous plus ou moins rencontrer tout au long de notre vie.

* D’où peut-il prendre racine ?
* Comment l’entretenons-nous inconsciemment dans notre vie ?
* Qu’est-ce qui nous pousse à nous comparer ?
* Comment changer, rapidement, cela ?

“Il est sans comparaison plus facile de faire ce qu’on est, que d’imiter ce qu’on n’est pas.”
Cliquer ici pour regarder la vidéo

 
« Pourquoi je me sens inférieur aux autres ? »
Lorsque l’on parle de sentiment d’infériorité, nous parlons inévitablement de rapport de force et d’estime de soi à booster. Dans cette vidéo, je vous exposais les situations que j’ai pu rencontrer qui m’ont particulièrement interpellées. En effet, dans trop nombreux discours nous pouvons identifier des conflits remarquablement destructeurs. Non pas en terme de contenu, mais plutôt de contenant.
Le rapport implique une personne ayant l’ascendant (physique, émotionnel, psychique) sur quelqu’un d’autre. Si l’on suit ce principe, les rôles peuvent tout à fait s’inverser. L’idée est d’en sortir sereinement pour ne plus cultiver ce « jeu d’égo ». En effet, ce ne sont pas forcément les mots qui peuvent marquer un esprit (bien qu’il ne faille surtout pas négliger l’impact des mots). C’est plutôt l’attitude que nous adoptons en réponse à ces mots qui est réellement dommageable pour notre construction.
Exemple: une personne qui se force à suivre un proche à un évènement auquel elle n’a pas envie de se rendre.
Cela peut sembler tout à fait anodin, car cela peut l’être sur une courte durée. Néanmoins, quand cela fait des années que le schéma s’est ancré de manière répétitive dans les habitudes d’une personne, c’est plus compliqué. Nous ne parlons pas du fait de suivre une autre personne, mais de négliger ses besoins et ses envies propres sur du long terme.
Voila un élément important de l’estime de soi: la connaissance et le respect de nos besoins.
Alors, si tu te sens ou as pu te sentir inférieur aux autres en général, qu’est-ce qui t’a amené à penser cela ? Respecte-tu tes besoins en général ou as-tu l’habitude de répondre à ceux des autres pour leur apporter ce qu’il te manque dans ta vie ?
 
« Regretter ce que l’on aime est un bien, en comparaison de vivre avec ce que l’on hait » Jean de la...
Show more...
4 years ago
17 minutes 57 seconds

Sensible & décomplexée ☽
« Je ne me sens pas écouté(e) »
Être écouté(e), c’est être pleinement accueilli, dans tout ce que l’on est. Les nombreux conflits lors de ruptures, de divorces ou bien même de situations quotidiennes nous montrent la difficulté que peut engendrer la communication entre deux personnes. Nous sommes des êtres uniques, avec des modes de pensées, des attitudes et des comportements plus ou moins divergents. Pourquoi, alors, est-il si difficile d’écouter l’autre, pleinement, parfois ? Comment résoudre ce sentiment partagé de ne pas être écouté ? Quelles sont les solutions qui s’offrent à nous dans ce cas là ?
« Parler est un besoin, écouter est un art » Goethe 

 
Se sentir écouté(e): Se tourner vers soi en premier lieu
Tout ce que nous attirons à nous, part de nous-même, avant tout. La révélation de cet article est alors de garder en tête que si nous ne nous sentons pas écouté(s), la première chose est de revenir à nous. Nous pouvons commencer avec cette première question: « Est-ce que je suis à l’écoute de moi? ». En effet, nous visons ici le désir qui anime notre vie, notre coeur, notre âme. Pour ce qui est du mental qui se lamente bien souvent de tout et de rien, il est un peu laissé de côté dans cette thématique.
Cette introspection nous permet de reprendre notre responsabilité, à chaque instant de notre vie. Cela est plus ou moins évident, surtout lorsque nous avons « la tête dans le guidon ». Et pourtant, c’est inévitablement constructif de revenir constamment à soi pour réajuster notre état d’esprit. De lui, part tous les évènements de notre vie.
À partir de cette étape, nous pouvons déterminer si, dans notre vie, nous adoptons une posture d’écoute active ou bien s’il nous est difficile d’être ouvert aux échanges. En effet, nous recevons souvent ce que nous donnons. Néanmoins, cela n’est pas de la manière que nous le souhaitons, forcément. Cette règle universelle nous permet réellement de remettre à jour, constamment, notre attitude. Elle détermine notre vie entière.
Par exemple, une personne ayant pour driver « fais plaisir » et « sois parfait » sera bien souvent tellement tournée vers l’autre qu’elle sera déçu de ne pas recevoir ce qu’il donne, sous la même forme. Elle se demandera alors: « Pourquoi est ce que je ne suis pas écouté(e)? ». « Pourquoi on ne m’écoute pas? ».
« Bien écouter, c’est presque répondre » Pierre Carlet de Chamblain Marivaux 
 

Ne pas se sentir écouté(e): Connaître la ou les raison(s)
Lorsque l’on ne se sent pas écouté(e), profondément, il est intéressant de se demander pourquoi. Non pas pour focaliser sur la raison en particulier, mais pour trouver des solutions.
Lorsque l’on vit cela au sein du couple, ou bien même dans d’autres aspects de notre vie, nous pouvons nous demander si cela a toujours été ainsi. En effet, peut-être que nous ne nous sommes jamais réellement sentis écouté(e) depuis le début de la relation mais nos exigences ont évoluées. Il en va de soi que nous sommes de plus en plus proches lorsque nous apprenons à nous connaître, vraiment. De ce fait, nos besoins et nos attentes peuvent être décuplés.
Alors, il sera intéressant d‘exprimer nos ressentis, dans ce cas-là. Admettre que nos besoins vitaux ne sont pas comblés est un des premiers pas de la guérison lorsque nous avons le sentiment de ne pas être écouté(e). En effet, s’il nous est impossible de nous impliquer ...
Show more...
4 years ago
13 minutes 39 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Relation amoureuse: « Pourquoi j’attire toujours le même type d’homme? »
« Ma relation amoureuse est catastrophique! » « Pourquoi j’attire les hommes toxiques? » « Pourquoi j’attire les hommes à problèmes ? » « Pourquoi j’attire les menteurs ? » « Pourquoi j’attire les hommes immatures ? « 
Ces questions, très fréquentes, dépeignent un tableau plutôt définitif des difficultés relationnelles en amour. Nous rencontrons un homme, il nous plait physiquement ou psychiquement et nous nous engageons avec lui. Les mois passent, la flamme s’éteint petit à petit et nous reprochons à l’autre de ne pas avoir su nous apporter ce dont nous avions besoin. Nous nous retrouvons seule, triste et désespérée que cela recommence à nouveau.
Alors…Pourquoi attirons-nous le même type de relations?
Ces derniers jours, plusieurs femmes m’ont confié avoir des problèmes de relation amoureuse. Elles me racontent leurs désillusions et leurs envies de rencontrer enfin un homme « bien », « sain », « loyal », « honnête ». En fait, elles sont confuses car elles ne savent pas réellement pourquoi elles ont cédé à ce type d’homme, qui ne les a pas réellement transporté, dés le début.
« La magie du premier amour, c’est d’ignorer qu’il puisse finir un jour » Benjamin Disraeli
 

Relation amoureuse: Connaissons-nous vraiment nos besoins avant de s’engager ?
Il en va de fait que les nombreux témoignages enregistrés, de femmes désespérées, laissent à penser que les hommes sont de terribles prédateurs. La gente masculine qui en témoigne peut d’ailleurs admettre que le machisme peut les pousser à agir de manière irrespectueuse, voire déloyale. Totalement ! Mais, leur réputation n’est pas forcément justifiée, elle est plutôt à équilibrer…
En effet, il n’y a pas de « mauvais hommes » et de « bonnes femmes ». Il n’y a que des être humains qui revivent leur blessures profondes aux côtés de ceux et celles qui leur permettent. Il n’y pas de sexe à prendre en compte dans ce principe. L’humain évolue malheureusement par la souffrance.
Néanmoins, nous avons plusieurs parts à l’intérieur de nous-même: la part masculine et la part féminine. Si nous devons résumer très largement notre raisonnement, le but de notre vie est d’équilibrer ces deux parts en nous. En ce sens, dans nos relations amoureuses, nous apprenons de l’autre et vice versa. D’ailleurs, il est plus enrichissant de pouvoir vivre avec notre opposé que notre similitude, même si les difficultés peuvent être au rendez-vous.
En effet, sans une communication adéquate, nous pouvons tomber dans le « tu qui tue ».
 

Pourquoi allons-nous contre notre intuition?
Lorsque nous rencontrons un homme, peut-être dans l’illusion du prince charmant romantique qui viendra illuminer notre existence, nous sommes sous influence. En effet, un homme, au même titre qu’une femme, ne pourra venir illuminer notre vie seulement si nous nous connaissons suffisamment pour exprimer nos besoins. C’est la base de toute relation, qui nous permet de revenir dans notre zone d’intimité plutôt que de pointer l’autre du doigt comme ne sachant pas lire en nous.
Nous avons tendance à l’oublier, au profit des ébats des premiers temps et des moments merveilleux qui nous tiennent en haleine. Mais, une fois la routine installée et les habitudes prises, qu’est-ce qui nous fait réellement tenir ?
Il me semble avoir une réponse très claire…Nous pouvons pointer du doigt le côté « fleur bleu » de cet aspect, et pourtant, il est fondamental. Ce qui nous fait tenir dans un couple,
Show more...
4 years ago
11 minutes 20 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Le complexe d’Oedipe: comment l’expliquer concrètement?
Le complexe d’Œdipe, vaste sujet dont nous entendons plus ou moins parler, nous intrigue autant qu’il nous fait peur. Entre mythe et réalité, que devons-nous en comprendre ? Quelles notions pouvons-nous maîtriser pour garder les pieds sur terre ? Entre symboliques et réalité, décryptons ensemble ses enseignements.
Le complexe d’Œdipe, définit par Freud nous informe d’une période de vie plus ou moins importante durant laquelle un enfant ( ou même un adulte) ressent du désir amoureux et sexuel pour le parent du sexe opposé. En effet, les phases de construction d’un enfant passent par des étapes d’expérimentation naturelles. Néanmoins, ce désir peut être fixé sur un autre sujet que le parent. C’est le cas du complexe d’Œdipe qui insinue un instinct de survie de la part d’un enfant de tuer son rival, c’est à dire, le parent du même sexe.
Alors, Qu’est-ce que le complexe d’Œdipe en psychanalyse ? Comment se sortir du complexe d’Œdipe? Comment savoir si nous sommes toujours dans une forme d’Œdipe avec l’un de nos proches?

Qu’est-ce que le complexe d’Œdipe en psychanalyse ?
La psychanalyse est une thérapie longue qui permet à l’inconscient de revivre toutes les étapes par lesquelles il est passé. Il se refait une beauté, il renaît à lui-même et il se libère de ses fardeaux. Bien loin de grandes théories, c’est une démarche de pleine conscience pour comprendre quels ont été les blocages ressentis dans notre vie durant lesquels notre désir a pu se coincer. D’ailleurs, c’est assez impressionnant de constater que ce qui est refoulé ne peut l’être qu’un temps.
La psychanalyse induit la compréhension de ce qui est. C’est à dire, le processus par lequel nous sommes en train de rejouer notre histoire. En ce sens, nous sommes directement au coeur du sujet, même si cela est plus ou moins difficile à entendre.
La discipline, branche de la philosophie, est très au clair avec le complexe d’Œdipe qui identifie trois étapes principales de développement psycho-affectif chez l’enfant. Nous parlons du stade oral, anal et phallique. C’est donc entre 3 et 5 ans que les enfants, autant filles que garçons, peuvent fantasmer inconsciemment sur les objets d’amour qu’il a à disposition: leur mère et leur père. C’est un processus tout à fait naturel, qui, compris, prend tout son sens.

Comment se sortir du complexe d’Œdipe?
En théorie, le complexe s’ensuit d’une phase de déclin pour être glissé dans la case « refoulé ». De manière pratique, cela peut être plus compliqué car de nombreux facteurs peuvent rentrer en jeu. En effet, un enfant qui aurait dû être confronté à la réalité mais ne l’a pas été, de la part de ses parents, peut rencontrer de très grandes difficultés par la suite.
Prenons l’exemple d’un enfant qui est dans l’idéalisation du parent du sexe opposé. Il ne l’est non pas de par son fait, mais de par mimétisme, loyauté, redevance. Personne ne pourra alors toucher à cette idéalisation, par les simple fait que sinon, son fantasme, son illusion, sa réalité, s’écroulent. Jusque-là, nous pouvons nous dire, peut-être, que ce n’est pas si problématique. Et pourtant, la vérité est que cet enfant, une fois adulte, ne pourra s’ouvrir légitimement et naturellement à une autre figure d’amour de peur inconsciente que ce dernier prenne la place du sujet convoité et désiré, initial.
Cela peut faire office de nombreuses émotions: angoisses, peurs, rancoeurs, colères. Nous sommes dans le champ du subi et non du conscient, c’est de là que viennent toutes ces difficultés.
 

Show more...
4 years ago
11 minutes 56 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Somatiser: Pourquoi notre corps exprime une douleur ?
Somatiser, c’est exister ! Lorsqu’une douleur  est ressentie, cela peut être dû à de nombreux facteurs. Physiques, psychiques, émotionnels.. Où donner de la tête quand, justement, notre attention est focalisée sur la douleur elle-même? Dans notre société, somatiser est traitée de manière mécanique. En effet, un dysfonctionnement est considéré la plupart du temps de manière localisée. Nous pouvons cependant nous poser la question suivante: est-ce que ce dysfonctionnement peut-être traitée de manière globale ? Qu’est-ce que cela donnerait ? Lorsque des douleurs se répètent à travers les semaines, les mois, les années, un signal d’alerte peut nous éveiller. En effet, il y’a peut-être en ce sens tout un système interne à aller démanteler. Et non, la problématique, seule. de manière chronique, nous pouvons alors être alertés. Alors, Qu’est-ce que la somatisation?
Découvrez la vidéo en cliquant ici
 

Somatiser: Quelles sont les douleurs psychosomatiques?
Tout d’abord, les douleurs psychosomatiques sont nommées de la sorte lorsqu’à aucune d’entre elles, on ne peut associer une explication organique. Il y’a des réactions physiologiques a des stimuli internes ou externes. En ce sens, lorsque l’on fait du sport, notre coeur s’emballe. C’est normal ! Il en est de même lorsque l’on stress ou bien que l’anxiété nous « prend aux tripes ». Nos pensées ont un impact sur notre corps, et notre comportement s’ajuste en fonction de cela.
Ces réactions physiologiques de notre corps à des évènements divers, peut provoquer des douleurs chroniques. Alors, nous pouvons penser aller bien, et pourtant, nous sommes constamment fatigués, blessés, limités dans notre épanouissement. Comme si quelque-chose bloquait!
Somatiser, c’est réceptionner un message direct de notre inconscient à notre corps. Cela peut paraître fou, et pourtant, nombreux sont ceux qui ont permis d’établir une liste de maladies et leurs symboliques. C’est vraiment bluffant! Vous pouvez d’ailleurs vous procurer le dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel, il pourra vous guider au quotidien.
Découvrez la vidéo en cliquant ici
 

Somatiser : Comment s’en sortir ?
Seule la conscience de ce qui est peut nous permettre de rebondir. En effet, lorsque nous nous permettons de vivre en conscience, nous ne sommes plus dans l’illusion mais bel et bien dans la réalité.
La première chose qui peut être faite, c’est de constater ce qui entrave notre épanouissement quotidien. Est-ce que c’est un mal auquel nous nous sommes habitués ? Ou peut-être une certitude dans laquelle nous nous sommes enfermés? Ou encore, un relationnel abîmé ?
Faire le bilan de notre vie, en tout transparence envers nous-même, peut réellement change la donne dans notre vie. Nous pouvons nous réveiller un matin et décider que cette vie, sous la forme qu’elle prend, doit changer. Ou tout autant la subir, par peur et croyance que le pouvoir est ailleurs sauf en nous.
Show more...
4 years ago
12 minutes 17 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Imperfection: Qu’est-ce l’acné raconte de nous ?
L’ imperfection est une cabosse que l’on souhaite faire disparaître. Boutons, acné, réactions, allergies… Parlons-en. Pourquoi est-ce pointé du doigt ? Est-ce qu’une norme en particulier existe, à laquelle nous sommes soumis ? Pure? Lisse? Homogène? Quelle peau visons-nous dans notre idéal? Et, qu’est-ce que nous reprochons à la notre, finalement? Si les magazines ou même les photos de mannequins que nous pouvons croiser dans la rue plusieurs fois par jours prônent une peau parfaite, la réalité en est tout autre.
De nombreux mots sont posés sur ces fameuses imperfections, qui peuvent devenir un réel complexe à vivre au quotidien. Dans cet article, nous sommes invités à repenser la question de norme sociale pour aller vers notre idéal personnel.

« Je tiens à mon imperfection comme à ma raison d’être » Anatole France.


Imperfection: Qu’est-ce que c’est ?
Une imperfection est l’état de ce qui est imparfait. Les boutons sont, notamment, caractérisés comme étant des imperfections. Mais, si nous nous autorisions à changer notre référentiel et enfin définir ces manifestations de notre corps comme étant plutôt un cadeau? En ce sens, nos imperfections ne seraient plus une faiblesse socialement exposées, honteuse, mais plutôt un message à comprendre de nous-même. En effet, les premières imperfections se présentent à nous en général en période d’adolescence. Pourquoi? Simplement, parce que c’est à ce moment-là de notre existence que nous commençons à affirmer nos traits de personnalité, prendre des décisions, affiner nos choix.
Une imperfection, est l’état de ce qui est imparfait. En ce sens, en tant qu’humains, traversés par des émotions, des sensations, des idées, des envies.. pouvons-nous réellement être parfaits ? Je ne crois pas ! D’ailleurs, est-ce que la perfection existe vraiment ? Il semble que non.. Pourtant, nous courrons souvent après cette perfection illusoire qui nous pousse à nous polir, nous vêtir, nous maquiller. C’est pourquoi, un être imparfait est finalement un être singulier, intéressant, différent, unique. Qu’en pensez-vous ?
Une imperfection, est l’état de ce qui est imparfait. Notre valeur dépend de facteurs totalement indifférents à l’esthétique de notre peau. Nous pensons souvent que si nous avons des imperfections, de l’acné ou d’autres réactions cutanées, nous serons « moins » que les autres. Pourtant, si notre peau traduit cela, c’est bel et bien qu’un message nous est transmis. Ce message, dont nous sommes conscients ou non, peut être plus ou moins virulent. L’idée est de toujours garder en tête que notre valeur, notre beauté interne, notre identité ne dépend pas de notre peau. En ce sens, nous pouvons d’ailleurs tout mettre en place pour faire du bien à notre corps: bien manger, s’hydrater suffisamment, faire du sport, cultiver des pensées positives, et avoir de l’acné. Alors, à ce moment-là, nous pouvons nous dire « pourquoi moi? ». 

Imperfection: La peau, sa fonction et sa symbolique
La peau est la frontière entre notre intérieur et notre extérieur. Elle est vivante, expressive et réceptive. Elle traduit la différence ou bien l’osmose entre nos désirs et l’expression de nos désirs dans notre vie. Etant donné que nos émotions peuvent au mieux, s’exprimer, au pire, s’imprimer dans notre corps…La peau est alors vraiment le filtre entre ce que nous vivons au fond de nous et ce que nous pensons pouvoir montrer de nous.
Show more...
4 years ago
18 minutes 10 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Désir: peut-on le dompter ?
Notre inconscient, aussi puissant soit-il, nous informe de l’état de notre désir. Dans des étapes transitoires de vie, nous avons plusieurs choix. Le premier est de regarder la réalité en face. Le deuxième est de céder à des manifestations plus ou moins importantes de notre corps: fatigue, perte de libido, problèmes cutanées, problèmes physiques: maux de dos, de tête, etc. Pourquoi n’y a t-il que deux choix ? Simplement parce que si nous ne sommes pas alignés avec nos désirs profonds, notre corps nous le fera savoir d’une manière ou d’une autre. Nous pouvons tout à fait le normaliser, mais nous pouvons aussi aller creuser et comprendre la cause de ces sollicitations de la part de notre corps. Le désir est l’essence de l’homme. Alors, vous pouvez vous poser les questions suivantes: Que souhaitez-vous vivre? Êtes-vous prêt à aller vers votre vérité profonde et si singulière ?
« Le désir déconnecte de la raison »- Maryse Wolinski
 

Désir et raison
Dans certaines situations: changement d’emploi, rupture, conflits, notre raison peut essayer de nous dominer. Nous pouvons l’associer à un mental qui souhaite contrôler ce qui serait bon pour nous, en fonction de ses propres critères. Alors, il peut nous faire croire que rester dans cette entreprise dans laquelle nous gagnons une belle somme d’argent est la meilleure solution. Ou bien encore dans cette relation qui nous convient tout juste, par peur de vivre une forme de solitude, est « mieux que rien ». Il peut aussi nous faire miroiter que ce qui est bon pour nous, répond à des normes économiques, sociales, sociétales. Alors, vous êtes- vous reconnus dans une des situations exposées ?
Cela est peut-être lié au fait que votre désir est là, enfoui à l’intérieur de toutes les certitudes que vous avez entendues et que potentiellement, vous avez pu vous approprier. Nous sommes humains et nous avons appris à nous forger sur ce qui est prôné comme les normes applicables à tous. Néanmoins, en tant qu’humain, et donc en tant qu’individu singulier et unique, notre désir ne peut coller à des idéaux. En effet, cette flamme qui nous anime est différente à l’intérieur de chacun d’entre nous. Elle est là, plus ou moins enfouie dans les boîtes dans lesquelles nous l’avons rangé. Mais, il est bien là.
La différence entre le désir et la raison, c’est non pas l’intensité ressentie, mais bien l’authenticité.
« Le désir selon l’autre est toujours le désir d’être un autre.– René Girard »

Le désir est l’unique force motrice
Il n’y a pas d’âge pour ressentir du désir. Certaines personnes, même en fin de vie, exposent leurs regrets. Pour la plupart, c’est de n’avoir pas poursuivi leurs rêves, leurs désirs. Nous avons le temps, oui, c’est ce que nous pensons. Mais il passe vite, en un claquement de doigt. Pourquoi attendre pour lancer un business ? Reprendre une formation? Poursuivre le projet qui nous anime ? Déménager là où nous souhaitons? Voyager comme nous l’entendons?
Le désir est l’unique force motrice car dans les moments les plus instables de notre vie, il conduit nos actions. Il nous permet d’avancer et de suivre les propres signaux que nous avons plus ou moins écouté auparavant. Une vie de désir n’est pas forcément un vie de plaisirs excessifs. C’est une vie qui est alignée avec nos besoins, nos valeurs et nos limites.
Show more...
4 years ago
15 minutes 1 second

Sensible & décomplexée ☽
Pervers narcissique: Les points communs.
Qu’est-ce qu’un pervers narcissique? Comment les reconnaître ? Quel comportement adopté face à eux ? Comment destabiliser un manipulateur narcissique? Anne-Claire, psychanalyste, nous rappelle l’importance de les identifier afin de comprendre les mécanismes recourants qu’ils utilisent pour faire pression sur les victimes qu’ils choisissent volontairement. Si vous vous posez la question de savoir si vous avez rencontré ce type de personnes, utilisant la manipulation pour agir, vous allez très vite avoir votre réponse. Je vous invite à lire cet article et/ ou regarder la vidéo associée afin d’en savoir plus.
Cliquer ici pour découvrir la vidéo 

* Ces personnes sont-elles bien détectées par les professionnels ? Puisqu’elles sont souvent manipulatrices et s’enferment dans leur réalité et leur mensonge ?
*  Si le professionnel n’écoute que son histoire/point de vue, est ce qu’il arrive à se rendre compte que c’est un pervers narcissique sans même avoir les avis de l’entourage de cette personne ?
* Comment ces personnes peuvent elles être « soignées »?
* Comment peuvent elles réaliser qu’elles sont narcissiques ?


1. Quelles sont les caractéristiques du pervers narcissique?
La perversion narcissique est une pathologie du narcissisme. C’est un petit enfant qui a arrêté d’évoluer. Notamment, avant l’oedipe qui est un stade d’évolution finale où il y’a la mise en place d’éléments très importants qui constituent un cadre, une limite. Il a fixé avant, ce qui fait que la structuration n’est pas passée. C’est un petit enfant qui se vit comme fantasme de toute puissance. Il a besoin d’un tiers pour subsister et se sentir entier.
Ce sont des être profondément toxiques. Derrière un pervers narcissique, il y’a un individu en souffrance. C’est important de les identifier pour pouvoir repérer leurs mécanismes. Comme un vampire, il se sert aux dépends de la vitcime.C’est quelque-chose de très difficile pour la victime qui se retrouve pris au piège.

2. Qu’est-ce que l’objectalisation de l’individu ?
Il n’a pas accès à la notion de sujet. Il n’est pas dans le respect de l’autre. L’autre est un objet. C’est un mécanisme très primaire et archaïque qui monte qu’il y’a une pathologie à la clé. Ils sont très talentueux ! Il existe une gradation de la perversion narcissique.
Quelqu’un de névrosé, comme vous et moi, peut emprunter certains moments des mécanismes de pervers narcissique sans l’être pour autant. Cela peut être temporaire. Par contre, un pervers narcissique structurellement accompli. Il a un besoin vital de l’autre donc il va l’attirer dans ses filets. Avec, notamment:

* La séduction au travers de la parole et de la possession. Ce sont souvent des charmeurs, très charismatiques. Ce sont des êtres qui ne perçoivent pas tout mais qui ressentent tout. Ils ont l’art de faire une séduction sur-mesure qui est très dangereuse. Ils n’ont pas plusieurs choses à leur disposition, ils sont coincés dans leur mode de fonctionnement
* L’accusation/ le reproche: Ce n’est jamais de leur faute mais toujours celle des autres. C’est injuste qu’il puisse reprocher à l’autre ce qu’il fait en permanence donc l’idée est de surtout ne rien prendre personnellement.
* Le mensonge: Il se sert de l’autre, comme un objet, dans le but d’en retirer quelque-chose de personnel. Notamment, le fait de se sentir complet: l’autre a ce qu’il n’a pas. Il a besoin de l’autre pour ne pas se sentir seul et pour survivre.
* Identification projective: Toute la part de lui qu’i...
Show more...
4 years ago
23 minutes 52 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Passeur d’âme : Que devient notre âme quand on meurt?
 Qu’est-ce qu’un passeur d’âme ? Notre âme, cette partie subtile à l’intérieur de chacun d’entre nous est amenée à se dissocier de notre corps lors de notre mort. Scientifiquement, il a d’ailleurs été prouvé que celle-ci a un poids bien particulier. Souvent, nous pouvons nous demander ce qu’elle devient, où elle va, comment cela se passe t-il.
Nikolaï, passeur d’âmes, a accepté de répondre à nos questions. Est-ce pareil qu’un passeur de lumière ? Nous allons, au travers de son parcours, comprendre comment cette capacité se développe. De plus, nous nous poserons la question de savoir si cela est donné à tout le monde.
Alors, réellement, quelle est la différence entre l’esprit et l’âme ? Qu’est-ce que l’âme ? Quel est le but de l’âme?
Nous refondrons à ces questions de manière détaillée dans cet article. Je tiens à remercier Sophie qui a pris le soin de nous poser ses questions pour cette interview.
Voici la transcription de la vidéo  » Que devient notre âme après la mort?  » réalisée avec Nikolaï, passeur d’âmes.
Qu’est-ce que l’âme ?
Est-on passeur d’âme sans le savoir? 
Comment devenir passeur d’âme? 
Comment reconnaître un passeur d’âme? 

Qu’est-ce qu’un passeur d’âme ?
Il y’a plusieurs sortes de passeurs. Beaucoup de personnes sont passeur, sans le savoir. Le but est de faire passer une personne d’un état à un autre (comme une sage femme, par exemple). C’est la grande famille des passeurs !
Moi, j’ai la particularité de travailler avec les défunts. Je les fais passer à un autre plan, dans lequel ils vont continuer à évoluer.

Qu’est-ce qu’une entité ?
Sous « entité », il peut y avoir plusieurs dénominations. Nous pouvons notamment penser à:

* Pollution énergétique qui se greffe sur nous
* Energie stagnante dans une demeurre

Dans certains angles de notre maison, il peut y avoir une énergie qui augmente avec le temps. Cela inclus tout ce qui peut être négatif dans une maison: énervement, stress, disputes, conflits, etc. Cela est surtout dans les endroit où l’on ne passe pas car on ne pense pas forcément à dynamiser ces partie du lieu de vie. Si l’énergie stagne, elle prend petit à petit de l’ampleur et nous impactera. Il est recommandé de prendre, ne serait-ce, qu’un bol tibétain pour défragmenter l’énergie pour la remettre en circulation.
Le corps humain ressent la lourdeur, l’angoisse et l’oppression de ces lieux. Nous pouvons comparer cela à un sac chargé d’énergies négatives.


Voici la transcription de la vidéo  » Que devient notre âme après la mort?  » réalisée avec Nikolaï, passeur d’âmes.
Passeur d’âme: comment cette capacité se manifeste t-elle ?
Tout petit, je voyais des défunts. Je voyais des décédés. Il y’avait beaucoup de manifestations: des meubles et des objets se déplaçaient. Petit à petit, j’ai appris qui j’étais! A mon époque,
Show more...
4 years ago
19 minutes 16 seconds

Sensible & décomplexée ☽
« J’ai peur de me faire aider »: stop aux préjugés !







Se faire aider dans les périodes de stress, de perte de repères ou de changement est un cap à passer. Les peurs et les angoisses avant d’aller chez le psy ou lorsque l’on a un premier rendez-vous sont des réactions normales. En effet, prendre la décision d’aller voir un psychologue, un thérapeute ou un accompagnant peut-être stressant. Cela demande du courage, de la vulnérabilité et du lâcher-prise. Nous pouvons d’ailleurs nous poser certaines questions. Dans quel cas aller voir un psychologue ? Dois-je aller voir un psy? Quand faut-il consulter ? Vers qui me tourner ? Dans cet article, nous disons stop aux préjugés. Il est illustré d’idées reçues qui m’ont été personnellement explicitées. Pourquoi a t-on peur d’aller chez un psy? 








Je remercie @cbs9827 pour son commentaire sous le post instagram lancé à ce sujet:
« Voici un retour d’expériences. Lorsque j’ai consulté pour la 1ère fois, je voulais, j’exigeais que ça aille vite car mes symptômes étaient très invalidants (attaques de panique plusieurs fois par jours et phobies). Je ne savais alors pas que j’entamais une thérapie qui a duré 12 ans. Mes symptômes invalidants avaient disparus en quelques mois. J’ai alors décidé de continuer pour me débarrasser du reste. Ces transmissions familiales, un sacré voyage! Aller voir un psy alors que l’on va bien peut être intéressant à titre exploratoire, par exemple pour mieux se connaître ou essayer d’interpréter ses rêves. j’aime croire que l’on ne consulte jamais un psy par hasard, surtout lorsque l’on av bien (ou que l’on croit aller bien) »
 





 » Si je fais une thérapie, je veux que ça aille vite »
« J’ai peur de faire une thérapie car si elle dure, cela veut dire que je vais mal ».
Il est tout à fait légitime d’avoir le besoin profond d’être apaisé, soulagé et serein lorsque l’on vit des périodes de profondes transformations. Dans l’urgence d’agir, nous pouvons exiger que ces modifications internes soient immédiates. Cependant, il est important de toujours être conscient quand au processus d’évolution. Notre inconscient suit un rythme spécifique. Cela dépend des étapes de vie que nous avons franchies, des points de fixation qu’il a pu faire à certaines périodes et bien d’autres paramètres. Lui demander qu’il aille plus vite que nos propres capacités à accéder aux informations semble alors impensable. Nos propres résistances au changement peuvent parfois nous limiter. Intervient alors la résilience, qui peut nous permettre d’accueillir ces étapes de vie comme nécessaires et constructives.
Aller vite, c’est tout à fait possible. D’ailleurs, les thérapies brèves nous le démontrent (hypnose, sophrologie, thérapies psycho-corporelles). Néanmoins, l’idée est d’envisager notre conception-propre. Si cela est pour nous reprogrammer en profondeur, plus de temps nous sera nécessaire. Par contre, si nous avons besoin d’aide pour arrêter de fumer, peut-être que cela peut être plus rapide. Néanmoins, il faudra vérifier que cette addiction ne se faufile pas dans un autre aspect de notre vie. Les thématiques se transmettent, dans un schémas assez répétitif, souvent.


« La thérapie, ce n’est pas pour moi »
« J’ai peur qu’aucune thérapie ne me convienne ».
Nous savons tous,
Show more...
4 years ago
17 minutes 19 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Découvre tes drivers en analyse transactionnelle
Quel est ton driver ? Notre personne, souvent soumise à nos exigences est une machine incroyable. Poussée par des drivers dont nous n’avons pas forcément connaissance, elle s’adapte plutôt bien. Nous ne parlons pas ici forcément de la peur, mais d’une force invisible qui nous pousse à agir par habitude. Soumise à des micro-phrases souvent répétées, elle se construit petit à petit. Avez-vous déjà entendu parler des drivers ? Ces fameux messages sur lesquels nos parents, des enseignants ou une figure nourricière a/ ont pu insister, se sont ancrés dans notre personnalité. Ils nous ont permis de nous construire et influencent inconsciemment notre comportement depuis notre enfance. Nous en possédons un ou deux. Je vous propose dans cet article de les découvrir pour pouvoir faire un peu plus connaissance avec vous-même. C’est parti ?
Qu’est-ce que l’analyse transactionnelle ?
Se connaître, se comprendre et s’accepter sont des principes simples et pourtant si compliqués parfois à mettre en oeuvre. Faire la part des choses en triant toutes les informations auxquelles nous sommes aujourd’hui soumis est un travail de titan! Pourtant, être lucide c’est s’offrir chaque jour le luxe d’être en paix avec nous-même et avec les autres. Dés lors, les relations personnelles, professionnelles et amicales que nous entretenons deviennent ouvertes et sereines.
L’analyse transactionnelle une théorie de la personnalité, des rapports sociaux et de la communication. Etablie par le psychiatre Eric Berne dans les années 50, c’est une psychothérapie qui met en évidence trois facettes de notre personnalité. L’enfant, le parent et l’adulte vivent tous les trois en nous. Pourquoi est-ce si important de les rencontrer ? Tout simplement parce que dans nos échanges quotidiens, ils prennent place, comme dans une pièce de théâtre. Alors, il suffit que notre interlocuteur s’adresse à notre enfant intérieur pour que notre posture toute entière, change.
L’analyse transactionnelle nous permet d’améliorer nos relations au travers de la parole et des émotions.

L’enfant, le parent et l’adulte
En analyse transactionelle, il est stipulé que trois parties cohabitent à l’intérieur de nous: l’enfant, le parent et l’adulte.Ces trois facettes de notre personnalité existent bel et bien en nous et se réveillent en fonction des situations que nous vivons. En effet, chacune des trois nourrit des attentes très différentes en nous!

* L’enfant: il est centré sur ses besoins, désirs, envies. Il attend que le monde extérieur s’adresse à lui pour concrétiser ses demandes. Il peut crier, bouder, pleurer de déception si un évènement est annulé à la dernière minute, par exemple.
* Le parent: C’est celui qui critique, juger, dirige, approuve ou rassure. Il exerce une forte pression sur notre enfant intérieur ! Le parent a des exigences fortes envers lui-même et les autres. Notre parent intérieur régit notre enfant intérieur. C’est pour cela que tant de dualités existent dans notre vie…
*  L’adulte: il est concret et anticipe les situations.Il prend du recul, regarde les situations avec objectivité et trouve des solutions. Il est capable de nous raisonner, en faisant l’intermédiaire entre les deux autres dans des situations de conflits intérieurs.

Notre parent intérieur émet cinq messages contraignants à notre enfant, qui, écoute et obéit, de manière très rodée. Notre enfant ne reçoit pas ces 5 messages de la même manière, il n’est vraiment réceptif qu’à un ou deux. C’est comme si nous avions absorbé nos parents ou bien des figures marquantes de notre vie. Nos attentes vis-à-vis de nous même sont celles qui vi...
Show more...
4 years ago
21 minutes 9 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Mes 3 meilleurs conseils pour prendre son envol
Prendre son envol, c’est un peu comme une deuxième naissance. Nous pouvons qualifier cette étape comme difficile mais libératrice. Ou bien légère et constructive. Nécessaire à notre chemin  de vie, elle nous permet d’instaurer les fondements d’une vie alignée avec nos désirs. En expérimentant ce qui nous convient ou non, nous construisons notre bien-être.
Cet article participe à l’évènement “ Vos 3 meilleurs conseils pour prendre son envol” du blog de Corinne Coulange. J’apprécie les thématiques de ce blog, et notamment Comment bien vivre le changement en période d’incertitude?
Je vous fais part de mes conseils pour gérer cette transition de vie de manière confortable.

 
PLACE A LA LIBERTÉ
Nous aspirons tous à une vie sur-mesure, qui satisfait nos besoins les plus profonds. Lorsque nous sommes adolescents, nous rêvons de grandir pour nous émanciper et cela est un processus normal. Lorsque nous sommes enfants, il est peut-être plus difficile de s’imaginer adulte, autonome et responsable. Et pourtant, c’est ce qui nous permet réellement de nous épanouir au fur et à mesure de notre vie.
Est-ce que prendre notre liberté en mains nécessite forcément de déménager ?
Est-ce que prendre notre liberté en mains nécessite forcément de se couper de notre vie passée ?
Selon moi, il n’y a pas de règles prédéfinies pour vivre ce que dont nous rêvons. Il suffit de se sentir prêt et sécurisé afin de maximiser les chances d’adaptation et de satisfaction à nos nouvelles habitudes.

* Prendre son envol peut être psychique. Nous pouvons tout à fait décider de nous envoler vers une vie qui nous correspond d’avantage, des activités qui nous nourrissent, des personnes qui nous rendent heureux, des projets qui nous font vibrer. Tout cela en étant physiquement présent, au même endroit que dans notre vie actuelle. Simplement, nos priorités et notre agenda nécessiteront quelques aménagements.

 

* Prendre son envol peut-être émotionnel. Le pouvoir de notre intention est illimité ! Il suffit d’opter pour une posture psychique définie afin d’ouvrir ou non nos capacités émotionnelles. Si notre vie actuelle nous fait souffrir, nous demande beaucoup d’énergie et nous amène à douter, préserver nos émotions peut tout à fait nous permettre de grandir. Notre transformation se fera vivement ressentir.

 

* Prendre son envol peut-être physique. Nous pouvons décider de partir pour goûter à une ville, une région, un pays qui nous attire. Lorsque nous avons cette envie de changer de vie et de nous réinventer loin de notre quotidien, la distance physique aménage automatiquement certains paramètres. Nous dédions notre temps éventuellement à une activité principale, sportive qui nous occupe. Mais aussi à des rencontre, des partages, des expériences enrichissantes. Nous en sommes forcément changés. Néanmoins, cette distance physique ne modifie pas les liens d’amour construits.


1. SUIVRE SON INTUITION
Prendre son envol, c’est décider de vivre pour soi. Études, voyages, expériences personnelles ou professionnelles peuvent nous pousser à quitter le nid familial. Entre envie, excitation, peur et tristesse, nous pouvons être chamboulés. De plus, si nous nous sentons bien auprès de notre famille, la décision est d’autant plus lourde.
Suivre son intuition, c’est alors sentir que c’est le bon moment pour nous. Cela, malgré la peur, l’angoisse et le stress qu’un déménagement ou un changement de vie (personnel, professionnel) impliquent. Nous avons cette ressource nous permettant d&r...
Show more...
4 years ago
24 minutes 51 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Comment se libérer de la dépendance affective ?
La dépendance affective et une souffrance dont nous parlons de plus en plus. Entre attachement, soumission, desespoir, combat et peurs, la vie peut prendre un tournant très délicat ! Sarah, que nous recevons pour cette interview, nous présente sa vision de la dépendance affective au travers de son histoire. Comme toute addiction, elle soutient que la dépendance affective doit être très sérieusement accompagnée. Derrière se trouble, se cachent des comportements extrêmes et terriblement destructeurs. Comprendre pourquoi nous avons attirer cette situation à nous et accepter de devoir en guérir est un réel travail d’acceptation. Tel un sevrage, elle pense qu’il est indispensable de trouver un espace de parole pour enfin se délivrer.  Cette adrénaline, la dépendance, doit cesser afin que l’on passe du mode survie à une vie libre et épanouie.
Transcription de la vidéo que vous retrouvez en cliquant ici.

Nous allons vivre le témoignage de Sarah, au travers de cet article qui retrace son histoire.
La dépendance affective: une addiction?
Il existe plusieurs addictions, comme l’alcool et la drogue mais il y’en a plein d’autres. Celle que j’ai vécue, c’est celle de la dépendance affective. Je l’ai vécue dans ma toute première relation, quand j’avais 16 ans, Ca a duré cinq ans.Je n’ai pas vécu cela avec le père de mon fils, c’est d’ailleurs le seul. Après cette relation de 7 ans, je suis de nouveau tombée amoureuse et c’était reparti pour la dépendance affective. C’était très violent, comme toute dépendance !
Quand les personnes alcooliques ou droguées souhaitent arrêter et se sevrer, c’est de leur propre chef. Lorsque l’on est en dépendance affective, la relation s’arrête et nous devons nous détacher de la personne… Alors que nous en sommes complètement accroc! C’est soudain et nous subissons totalement cela.
les troubles obsessionnels au premier plan:
Dans ma famille, il y’a des antécédents par rapport à cela. De plus, quand tu te sépares de la personnes, tu penses à elle du moment où tu ouvres les yeux jusqu’au soir lorsque tu les refermes. Rien d’autre ne compte ! Tu peux avoir des enfants, un travail, plus rien ne compte.
J’en avais des douleurs physiques: dos, épaules, cervicales. Beaucoup le haut du dos!
Quand tu en arrives à ce point-là, tu comprends que cela n’est pas juste une rupture. Je trouve que ce n’est pas assez reconnu comme une addiction, alors que c’en est vraiment une. J’aurais eu besoin de personne formée spécifiquement à cela.

A qui s’adresser lorsque l’on est en dépendance affective ?
J’ai fait de l’hypnose, j’ai été voir une psychologue. J’ai aussi fait de l’EMDR et beaucoup développement personnel.J’ai lu des livres, écouté des vidéos et c’est ce qui m’a le plus aidé. Tu peux aller voir autant de thérapeutes que tu veux, si tu n’es pas dans l’action dans ton quotidien, il ne se passera rien!
Les professionnels peuvent nous aiguiller et nous permettre de nous décharger mais ne nous apportent pas de solutions.
Il y’a des professionnels spécialisés dans la dépendance affective, mais dans les grandes villes. Effectivement, il y’avait des groupes de soutien et c’est primordial. J’aimerais pouvoir en créer un par la suite ! Je sais à quel point cela peut être dramatique, la dépendance affective. C’est être prêt à tout pour avoir cette personne auprès de nous. En plus, la relation est souvent très violente et n’apporte pas quelque-chose de positif.
C’est comme la drogue et l’alcool, on ne peut plus s’en passer!
Show more...
4 years ago
49 minutes 4 seconds

Sensible & décomplexée ☽
Bienvenue sur le podcast qui nous accompagne dans la création de la vie que nous souhaitons mener. Savez-vous que notre inconscient guide 90% de nos actes? Savoir le decrypter est une trésor inestimable. Dans ce podcast, explorons-le ensemble afin de reprendre le pouvoir que nous avons sur notre vie.

Je suis Julia et je vous propose de découvrir ensemble les techniques qui boostent notre bien-être physique et mental. Connaissance de soi, alimentation adaptée, développement personnel, psychologie seront au rendez-vous pour nous aider à nous libérer de nos blocages. Apprenons à nous connaître et à orienter nos pensées pour une vie épanouie!