Lyoum, nzidou Kess… m3a les auditeurs.
Souvent, vous nous parlez, vous nous écrivez.
Mais on s’est dit que c’était trop étroit pour vos pensées.
Alors on vous ouvre notre Zid Kess.
Nous aussi, on a envie de rigoler, d’être émus, d’écouter vos histoires… wela juste netmenyekou m3akoum.
Dorka, Zid Kess… c’est aussi le vôtre.
🎧 Envoyez-nous vos audios,
on se fera un plaisir de vous écouter et de les partager.
Un jeudi sur deux, l’épisode est dédié aux auditeurs de Zid Kess
📩 zidkess.podcast@gmail.com
Wela nghbantou… arreslouna !
C’est lors du Festival Panafricain d’Alger, en 2009, que j’ai rencontré Amazigh. Ce jour-là, c’était Amazigh sans Gnawa Diffusion, seul face à ses mots et à ceux de son père.
Il chantait des poèmes de Kateb Yacine, mis en musique dans son premier album solo « Marchez Noir ». Deux héritages qu’il porte sans concession : celui d’un père symbole de liberté et celui d’un groupe devenu la voix d’une génération algérienne orpheline de repères.
Au fil des années, j’ai découvert derrière l’artiste, l’homme entier : libre, fidèle à ses racines et à ses principes inébranlables. Le mari attentionné, le père présent malgré les routes et les tournées. Un papa qui transmet comme il compose : avec sincérité, exigence et amour. Et puis l’ami généreux, qui aime recevoir, rire et partager un repas qu’il aura lui-même préparé.
Il y a aussi l’humain en colère, fatigué, parfois en manque d’inspiration. Celui qui doute de tout, même de la musique, quand le monde devient absurde. Mais même dans ses silences, on sent la même exigence : rester vrai, vivant, debout. Ses prises de position dérangent parfois — on l’a dit provocateur, utopiste, complotiste. Mais ceux qui le connaissent savent : il ne parle jamais pour plaire, encore moins pour choquer. Il parle parce qu’il croit. Parce qu’il refuse la résignation.
Dans la vie quotidienne comme dans le tumulte du monde, il interroge, analyse, discute sans relâche. Avec lui, j’ai appris à écouter autrement. À comprendre que la création n’est pas un refuge, mais une manière de vivre debout. C’est là que réside sa force : dans cette alliance entre la pensée et l’émotion, entre la mémoire et l’avenir.
Amazigh n’appartient à aucun camp, sinon à celui de la conscience.
Texte écrit et pensé par Taghzout Ghezali
Lors de cet épisode on a parlé de :
De son enfance à travers l'Algérie
De son exil à Grenoble
De la perte de son père et de la décennie noire
De sa vision de la musique et des traditions
De son amour pour la création
Références :
Kateb Yacine et el Anka : https://youtu.be/4sAm8x3EPZc?si=xSLLZ4U1_FRdRw_p
Salem brahimi documentaire sur l'émir : https://babzman.com/documentaire-emir-abd-el-kader-de-salem-brahimi/
Concert de TIF la coupole : https://www.elmoudjahid.com/fr/culture/tif-fait-trembler-la-coupole-soiree-epoustouflante-238312
Discographie d’Amazigh Kateb: https:/fr.wikipedia.org/wiki/Amazigh_Kateb
Le vrai Diwan Gnawa : https://youtu.be/aF_-lBnZCbo?si=i-GLXh0ZRvjoB6S9
Pour retrouver Amazigh Kateb : Instagram
Pour retrouver Gnawa Diffusion : Instagram | Youtube
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Avec Réda, nous avons pris l’habitude de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur et de réfléchir à ce qui s’est passé au cours d’une saison de Zid Kess. Cette fois-ci, nous faisons le bilan de la saison 3. Dans cet épilogue nous prenons le temps de nous questionner mutuellement sur nos accomplissements, l'impact du podcast sur nos vies quotidiennes, les changements qui s’opèrent en nous et les paroles de nos invités qui résonnent en nous.
Cette saison, on a fait silence pour laisser de la place. Parce que souvent, les personnes qui viennent ici arrivent avec un bagage, un discours, une urgence qu’ils veulent partager. Et souvent repartent un peu plus légers. Comme si ce silence qu’on essaie de tenir, Réda et moi, devenait peu à peu une orbite autour de laquelle, nos invités pouvaient tourner, déposer, réfléchir.
Ce n'est pas simple. Ça prend du temps. Des épisodes longs, lents parfois, mais qui finissent par accoucher d’une parole sans contrainte. Une parole brute, pas cadrée, pas polie et c’est exactement ce qu’on aime, tous les deux.
Cet épilogue est finalement qu’un écho de plus. Un écrit qui n’a de sens que si vous écoutez. Et surtout, si vous nous parlez.
Vos vocaux, vos mots, vos silences aussi, c’est ce qui continue à faire Zid Kess.
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Prenez soin de vous. Bel été. On se retrouve en septembre.
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La rencontre avec Mohamed Aksouh était un épisode crucial dans le cheminement de mon apprentissage. Je me souviens d’avoir découvert la photographie du peintre dans la bibliothèque de mon père, j’avais alors dix-ans. À ce moment-là, je lisais El Cheikh wa el bahr, Le Vieil Homme et la Mer que mon père m’avait offert ; je ne comprenais pas grand-chose à l'histoire, mais sur la photographie en noir et blanc, j’ai immanquablement rattaché le regard gracieux de Mohamed Aksouh à Santiago, le personnage d’Ernst Hemingway. Trente-ans plus tard, j’ai reconstitué les fragments de mes souvenirs, lorsque j’ai retrouvé Mohamed Aksouh, à Paris, le Santiago de mon enfance. À mesure que je côtoyais le peintre dans sa demeure, un phrasé musical m’échappait : je ne pouvais totalement reproduire la même mer agitée, le même clapotis de vagues, la même prosodie salée que j’avais vécus dans mon livre de chevet. Plusieurs fois, dans la mer blanche de Mohamed Aksouh, je guettais avec irascibilité les instances émotives, pour revivre le même émoi juvénile, en vain. Aucune autre image filmique ne pouvait faire resurgir l’ardeur de mon théâtre d’enfance insouciante. Je me sentais dépossédé d’images, de sons, du même instant furtif ponctué de silence, en compagnie de Mohamed Aksouh. Immédiatement après, j’ai aperçu mon père rire sur ma rage contre les vagues déchaînées qui venaient de défaire le personnage esquissé dans une mer ingrate, par le prisme de mon imagination. Ce n’était plus la mer endormie, mais la mer en mouvement, en émotion, écumeuse, élégiaque. L’eau d’Ernst Hemingway qui a jadis étreint mon enfance avec Le Vieil Homme et la Mer m’a aujourd'hui noyé, à l’âge adulte, dans les blancs impassibles de Mohamed Aksouh. La mer du peintre est un monde arabesque, conçu de mots affables : le verbe est fœtal, utérin, sain, et d’autres verbes continuent de gicler, toujours colorés de blanc. Des verbes qui tournent, qui tourbillonnent, se greffant sur les ombres sous-jacentes de l’indicible, faisant souvent vaciller les vivants face aux affres des non-dits. Des verbes nouveaux accrochés aux cimaises qui libèrent du supplice. Des verbes salvateurs qui brisent le totem des ancêtres muets face auxquels on éprouve étrangement un attachement morbide. Les décombres continuent à être présents dans l’anamnèse des vivants presque morts, d’ailleurs, tant leur matin est calcinée par les implicites qui leur ont été légués au milieu de friches.
Il ne peut ainsi y avoir d’intermédiaire entre mon regard et les couleurs de Mohamed Aksouh, à force de flamber ma rétine sur le viseur de ma caméra que j'ai aussitôt éteinte. La parole est désormais notre adage. Je baigne dans l’allégresse pittoresque, atemporelle, entouré de pinceaux frêles et fantasques du peintre qui m’émeut sans répit avec des mots et des blancs...
Texte pensé et écrit par : Mohamed-Racim Boughrara
Lors de cet épisode on a parlé de :
De sa famille et ses parents
De son premier travail dans la ferronnerie
Sa transition vers l’art et la peinture
De sa vie avant et après l’indépendance de l’Algérie
Sa vision de la peinture
Son regard sur son époque
Références :
Sa biographie : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Aksouh
Nicole Algan : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Nicole_Algan
Louis Nallard : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis_Nallard
Jean Senac : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Jean_S%C3%A9nac_(po%C3%A8te)
Atelier 54 : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Aksouh
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Keira Maameri est réalisatrice et podcasteuse. Pour la décrire, je pourrais parler de ses films, de ses engagements… mais je préfère vous partager ce message. Celui qu’elle nous a envoyé juste après l’enregistrement.
Amine, Reda,
Il me faut vous écrire ces mots, non pas parce que les convenances l'exigent, mais parce qu'il existe des gestes qui méritent qu'on s'y arrête, qu'on les regarde en face, qu'on leur rende leur juste place dans le désordre de nos vies. Hier, vous m'avez tendu le micro. Ce geste, apparemment simple, cache en réalité quelque chose de plus profond, quelque chose qui touche à l'essence même de ce que nous sommes quand nous acceptons d'être vulnérables ensemble.
Car enfin, qu'est-ce que tendre un micro, sinon dire à quelqu'un : "Nous vous écoutons, nous vous croyons digne d'être entendue" ? Dans un monde où tant de voix se perdent dans le bruit, où tant de paroles tombent dans le vide, vous avez créé cet espace...cet espace sacré où les mots peuvent résonner, où les idées peuvent prendre forme, où l'humanité peut se révéler dans toute sa complexité.
Je dois vous avouer une chose qui vous amusera peut-être : je ne me souviens presque plus de ce dont nous avons parlé. Cette amnésie soudaine n'est pas le signe d'un manque d'intérêt, bien au contraire. Elle révèle, je crois, la nature particulière de ces moments où l'on se laisse aller à être soi-même, où les mots viennent sans qu'on les surveille, où la conversation devient cette chose vivante qui nous dépasse tous. J'étais là, présente, entière, et c'est précisément pour cela que ma mémoire a choisi de retenir l'essentiel : la chaleur de votre accueil, la sincérité de vos questions, cette complicité qui naît quand des inconnus acceptent de se faire confiance.
Alors j'attendrai, avec une patience qui est mienne, de pouvoir m'écouter à travers vos oreilles, de redécouvrir mes propres mots filtrés par votre générosité. Car c'est cela aussi, le miracle du podcast : il nous permet de nous entendre comme nous ne nous entendons jamais, de nous découvrir à travers le regard et l'écoute de l'autre.
Merci, donc, pour ce cadeau. Merci d'avoir su créer ces conditions où la parole peut être libre, où l'authenticité n'est pas un luxe mais une nécessité. Merci d'avoir fait de moi, l'espace d'un moment, quelqu'un qui méritait d'être écouté.
Avec toute ma reconnaissance et mon affection,
Kheyroura !!
Lors de cet épisode on a parlé de :
Références :
Pour retrouver Keira : Instagram et son Podcast
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Wela nghbantou… arreslouna !
Derrière ce pseudo "Rouji" se cache Abderrahim.
C’est fou de se dire que j’aurais pu le croiser fi Cheraga, wela fel houma, ou même lors d’un événement de musique chaâbi, voire dans les cours de dessin au centre culturel de Chéraga où, à l’époque, je faisais de la musique andalouse.
Mais non. Finalement, Abderrahim, je l’ai rencontré ailleurs : dans un autre podcast, "SiCult by Amine Rahmani".
C'était l'époque où avec Réda on commençait à publier nos premiers épisodes.
Le titre de son épisode m’a interpellé : "urbanisme, design et esthétique". Je m’attendais à un podcast très technique, très métier d’architecture. Finalement pas du tout.
Un mec qui sait parler d’art, avec une darja impeccable, un discours simple, une vision forte sur nos imperfections, sur la nécessité de les intégrer à notre architecture, à nos façades.
Ses mots ont résonné en moi. Je me suis dit : il faut qu’on l’accueille m3a Réda.
C’est chose faite. Et pas n’importe comment : sous le micro sans filtre de Zid Kess, avec de l’humour populaire et une vision de l’art ultra accessible.
J’ai adoré faire cet épisode m3ah. Et surtout, j’ai beaucoup appris de lui.
Dès les premières minutes de la rencontre, c’était comme si je l’avais toujours connu.
Des références communes, nos vies parallèles à Chéraga.
En vrai, notre rencontre kanet mektouba. Et je suis très heureux de lui avoir offert cette tribune pour déployer sa pensée.
Rouji, c’est un gars comme Réda et moi.
Il a grandi dans un monde parallèle au nôtre, il a traversé différents milieux : Alger, Ghardaïa, Marseille, Paris.
Des quartiers populaires, aux matchs du Mouloudia, du cyber, jusqu’aux Beaux-Arts d’Alger.
Il est de ceux qui sont capable de lire l’art, du plus populaire au plus pointu.
Tout ça l’a forgé autour d’un combat simple :
Assumer qui nous sommes, avec nos imperfections.
Depuis la forme de nos balcons jusqu’à nos émotions les plus enfouies.
Son mantra : il faut ntsam7ou m3a rouhna
Nassim Djezma, je l’ai connu avant qu’il ne me connaisse, il y a de cela une vingtaine d’années (j’avais environ 2 ans). Auditorium de la Radio Nationale, 2005 ou 2006, Nassim était déjà connu, une star naissante de la musique pop-rock algérienne, moi, j’étais dans le public. La soirée était consacrée à la nouvelle vague de la musique Algérienne et Djezma était avec d’autres groupes, une lueur d’espoir dans un pays qui venait de sortir des ténèbres de la Décennie noire. Le groupe Djezma est monté sur scène, 2 membres retiennent mon attention, le guitariste, talentueux et exubérant, il brille par sa technique, puis le chanteur, un personnage élégant, fluet, timide, mais qui écrase tout quand il se met à chanter : une voix haut perchée, cristalline, aigüe, comme j’en ai rarement entendu et une justesse presque "scientifique", c’était Nassim Djezma. Ce soir-là, il avait interprété ses propres chansons, Zahra notamment, puis il a repris une chanson de Michael Jackson et je n’ai jamais entendu quelqu’un en Algérie reprendre le King comme ça. Il faut l’avouer, tous ceux qui reprennent Michael Jackson tombent dans la caricature ou le mimétisme, mais pas Nassim qui reprend avec aisance Michael Jackson, sans forcer (j’ai découvert plus tard ses reprises de Prince et c’est aussi un délice). C’était ma première rencontre avec Nassim !
Plus tard, je rencontre Nassim en personne, pour une émission sur Canal Algérie, puis le croise souvent dans des plateaux télé, des émissions et des spectacles et bien que nos échanges soient courts, il m’a toujours laissé une impression d’humilité et de timidité derrière laquelle se cache un grand talent et un regard acerbe sur le monde. Nos rencontres s’espacent au fur et à mesure de l’amenuisement des espaces médiatiques et des événements culturels, puis j’ai perdu le contact avec Nassim, qui s’est peu-à-peu effacé de la scène artistique, préférant l’ombre à la lumière des réseaux sociaux et aux appels des "trend" et des "nombre de vues". Puis un jour, je découvre que Nassim aussi était en France, comme moi, apparaissant de manière sporadique sur scène, en exil.
Discrètement, Nassim continue à produire de la musique, restant fidèle à son style et à sa passion : du pop-rock avec des touches électro.Récemment, j’ai invité Nassim sur scène, il a été comme d’habitude impressionnant autant par sa voix et son talent que par sa modestie. J’ai découvert aussi que Nassim n’est pas "Mweswess", il a beaucoup d’autodérision, acceptant avec le sourire mes vannes (des fois lourdes).Nassim est pour moi l’exemple du jeune Algérien, de « l’Algérois », élégant, polyglotte, instruit, ouvert sur le monde, talentueux et apte à hisser l’image de l’art et du pays avec sa voix et son humilité. Pour finir, un souhait : revoir Nassim briller sur scène, produire de nouveaux albums et nous régaler avec sa voix et sa singularité.
Texte pensé et écrit par Kamel Abdat
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Lyoum nzidou kess mour l'aid vous les auditeurs. La première saison de Ramadan, c’était nous qui parlions et vous qui écoutiez. La deuxième, on vous a ouvert nos portes. Cette fois, on a inversé les rôles : c’est vous qu’on a écoutés ! Vous nous avez envoyé vos enregistrements, et c’est comme ça qu’est né ce nouvel épisode de Zid Kess. Pour la première fois, on s’est mis dans votre peau… et franchement, on a adoré ! Yaatikoum sahha
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Lyoum nzidou kess mour leftour avec vous les auditeurs. La première saison de Ramadan, c’était nous qui parlions et vous qui écoutiez. La deuxième, on vous a ouvert nos portes. Cette fois, on a inversé les rôles : c’est vous qu’on a écoutés ! Vous nous avez envoyé vos enregistrements, et c’est comme ça qu’est né ce nouvel épisode de Zid Kess. Pour la première fois, on s’est mis dans votre peau… et franchement, on a adoré ! Yaatikoum sahha
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Je connaissais P’tit Moh, par des posts sur Youtube, des cassettes VHS ou audio avec Amar EZZAHI, Allah yerahmou, dont il était l’alter ego durant plus de 10 ans, et qui fut, en quelque sorte, son mentor.
Le 24 Janvier 2025, j'ai eu la chance de le rencontrer à PARIS, avant une soirée qu’il animait avec Rafik KASMER au Kanoun et... CHAOUI à la derbouka ! MÉMORABLE.
En discutant avec lui, j’ai connu l’être exquis qu’il était : simple, sensible et plein d’empathie envers celles et ceux qui se succédèrent pour le saluer. J’avais compris que sa proximité avec feu Amar alias “Cheikh leblad”, avait eu une influence certaine et bénéfique sur son comportement. Comme lui ,il officiait loin des lampions du show biz.
Il m’avait dit , je cite de mémoire, en se remémorant Amar : “ il est parti, en emportant avec lui une part de nos souvenirs, c'est-à-dire une part de nous même ! ”
P’tit Moh, est dans son domaine de prédilection, la musique, et pas uniquement chaabi un génie qui illumine la scène artistique algérienne et française, de par son talent exceptionnel. Son œuvre est un mélange subtil de créativité et de passion, par lesquels il a su capter l’essence de son art. Chaque note, émise par les nombreux instruments qu'il a domestiqué, a été pensée et orchestrée avec une précision et une sensibilité qui nous émeuvent et nous font rêver.
Sa musique donne la paix à ceux qui sont sans repos, et console ceux qui pleurent.
Ptit Moh, Que ton art soit un cadeau précieux qui continuera à nous émerveiller encore longtemps, et ton passage sur Zid Kess en sera le prolongement !
Texte par : Firouz Benchekroun : https://www.instagram.com/ali.gattor.31/
On a parlé de :
Son histoire avec Amar Ezzahi
Références :
Le lieu Babour Sauvage : https://www.instagram.com/babour.sauvage/
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J'ai rencontré Pierre lors d'une session de formation qu'il a animé en 2009. Sa curiosité, son empathie et sa chaleur m'avaient surpris pour un gawri. Il nous a raconté son histoire, et j'ai compris. Il avait vécu plus d'années que moi en Algérie.
Sarah, Wafa et moi, nous nous souvenons encore de tous ses conseils pro, mais surtout de sa générosité et son sens du partage.
Il nous a pris en sympathie. Nous lui avons promis qu'il y aurait une autre formation, que ça serait avec lui et que ça se passerait à Oran, sa ville natale. Un an après, on y était. Cela faisait 30 ans que Pierre n'avait pas revu Wahran. La manière dont Pierre racontait sa ville à l'époque, son quartier, sa famille, son école, ses vacances à port aux poules et les bêtises d'enfants m3a sahbou Mohamed... Et puis son départ en France. Un autre parcours que je ne connaissais pas.
Son histoire m'a profondément touché. Cette histoire-là, on ne l'entend pas souvent, ni men 3andna, ni men 3andhoum.
J'ai beaucoup appris avec Pierre, dans le domaine professionnel, où il excelle, mais surtout sur l'histoire.
Aujourd'hui, au-delà d'être un mentor, Pierre est un ami. Nous nous sommes revus en janvier 2023, et c'était le bonheur : les discussions et débats qui durent des heures, on dirait qu'on s'était quitté la veille !
Kanet Bayna tekhlass avec un Zid Kess.
Texte par : Salima
On a parlé de :
De son enfance pendant la guerre de libération
Sa période au lycée à Oran
Le parcours de combattant de ses parents
De son rapport à ses identités multiples
Sa relation à sa mère
De ses engagements pour ses idéaux
De son rapport à l’histoire d’Algérie
Références :
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Aujourd’hui, je veux rendre hommage à une amie chère, Sarah Chetouane, alias "Chetouana" ou "le Général". Je l’ai rencontrée en 2000, grâce à des amis en commun, lors d’une journée à Zemmouri, une petite station balnéaire à l’est d’Alger. Dès notre première rencontre, son sourire immense, sa gentillesse naturelle et son énergie contagieuse m’ont marqué. Elle vivait déjà à Paris, et moi, j’étais à Alger, mais malgré la distance, on a su créer un pacte d’amitié. Les smartphones et Internet n’étaient pas encore là pour faciliter nos échanges, mais on trouvait toujours un moyen de rester connectés. À chaque retour de Sarah à Alger, c’était la même joie de se retrouver, de partager des moments simples mais profonds.
Quand j’ai enfin obtenu le visa, nos rencontres se sont multipliées lors de mes passages à Paris. Sarah m’a ouvert les portes de son “Paris” à elle. Passionnée de marche, elle m’emmenait découvrir la ville à son rythme, avec ses récits et son regard. Ce que j’apprécie le plus chez elle, c’est cette capacité à transformer une conversation banale en une discussion sincère et percutante. Sarah a ce talent rare de mettre les gens à l’aise, de créer des espaces où les mots circulent librement entre les personnes.
Elle m’a souvent encouragé à franchir des étapes, à explorer des voies nouvelles. Et c’est ça que j’aime dans notre lien : même après des périodes où la distance s’impose, il suffit d’un instant pour raviver l’essentiel, pour se retrouver comme si rien n’avait changé.
Aujourd’hui, 25 ans plus tard, on échange toujours sur nos parcours, nos doutes, nos réussites. Elle reste cette présence constante et bienveillante, cette amie qui traverse les années sans perdre sa lumière. C’est rare, et c’est précieux.
Texte pensé et écrit par : Mehdi
Références :
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Lina, c’est une amie, une petite sœur d’amie, une passionnée insatiable et une femme aux multiples talents. Ingénieure en cybersécurité, elle est avant tout un électron libre, toujours à la recherche de son orbite. Pour libérer son trop-plein d’énergie, elle se plonge dans l’art, le chant, et l’acting. Elle explore désormais les scènes parisiennes des comedy clubs, où elle s’essaye avec audace au stand-up.
Ma première rencontre avec Lina remonte à un repas que j’avais cuisiné pour sa grande sœur. Je ne sais plus trop comment, mais Lina était là. Et quand Lina est là, elle est là et partout, sur tous les bords des discussions. Lors de cette soirée en 2020, en plein confinement, alors que les restaurants étaient remplacés par nos cuisines, elle m’avait confié qu’elle étouffait dans sa routine d’étude d’informatique en alternance et rêvait de théâtre. Tandis que sa grande sœur, qui lui conseillait de se concentrer d’abord sur sa carrière de salarié avant de plonger dans le domaine artistique.
Lina incarne cet électron libre qui, en bougeant partout, électrise les lieux et les gens autour d’elle. Elle déborde d’énergie et possède une puissance créative qui, je le crois sincèrement, finira par trouver sa bonne fréquence de résonance. Et, quand ce moment viendra, je suis sûr qu’elle nous fera vibrer avec elle.
Références :
Pour retrouver Lina : Instagram
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Réda Seddiki :
Amine Bench :
Karina :
(Image) El 3ou :
(Musique)
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Ma rencontre avec Billel a commencé chez une pote, elle m’a appelé et m’a dit je te présente un gars qui y est venu du bled, à l’époque Billel été harag. On s’est apprécié directement, il m’a raconté, le bled et tout, et comment il est arrivé à Paris. Tout doucement on est devenu amis, bla39el, rak 3aref tu tisses quelque chose, directement il y’a eu une alchimie, le courant est passé direct. On a vécu ensemble en coloc dans le 18ème, et quand tu vis avec lui c’est pas quelqu’un d’ennuyant, c’est quelqu’un comme on dit « ظلو خفيف » , on a échangé les idées sur la musique et tout, que ce que tu en penses, il avait déjà commencé les remix à l’époque. Il m’a fait découvrir son univers musical, j’ai adoré.
Je me souviens qu'il est parti à Marseille, il était parti la veille après ana la7a9tou car on avait un concert là- bas, c’était pour un concert, en co-plateau avec Amine Babylone et c’était la première scène ta3 Billel en France à l’Espace Julien. Après quand il est descendu à marseille, il a recommencé à faire des remixes et des reprises, il en a sorti pas mal, toutes belles. Mais parfois il te faut un titre phare pour que ça décolle. Un jour il m’a envoyé le titre avec Chaama, j’ai trop adoré, c’était une nouvelle couleur de Joee, wash 7ab n9oulek, version 2.0 ou khlass, version 1000 ga3.
C’est quelqu'un qui te motive, ce quelqu’un li may7ssedech, j’ai pas vu fih el ghira, j’ai pas vu fih hadik ta3 quelqu’un qui te casse au contraire, il te pousse pour aller de l’avant, c’est choses là sont rares dans l’amitié, même kayen nass, ils sont amis, mais dans la musique ils sont jaloux. Nous on a pas ça, honnêtement parce que le but, quand tu rencontres une belle personne, faut garder un lien, surtout quand tu tisses quelque chose marakach ra7 t9at3ou, faut que tu le portes. Certainement qu’il a des défauts, c’est propre à lui. ça lui arrive de s’énerver quand on faisait des morceaux ensemble.
A part ça aussi on prépare un petit truc ensemble, on le sort bientôt, on reprend « Ya zina diri latay » sur un style blues avec un nouvel univers.
Texte pensé et dit par : Miassi
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وسيم عرفتو في رمضان
C’était pas prévu que je sorte et il ne devait pas passer par là où j’étais … maktoub Rabi ❤️
La rencontre
تعنا فيها البراكة تع رمضان وسيم كيما مداريا نقولو نحبو
Nhabou mixage, c’est un peu l’enfant que je n’ai pas et aussi un petit frère. J’aime les détails de notre relation il suffit qu’on se voit pour qu’on soit comme dans une bulle …
J’aime le surnom qu' il me donne 9alb deux téraoctets. Je l’aime, je le soutiens et le soutiendrai toujours quoi qu’il arrive. Je suis fière de lui et fière d’avoir pu réaliser un film avec lui. Film qu’il a d’ailleurs coécrit…, car en plus d’être un musicien surdoué, c’est une plume d’une extrême justesse et poésie.
Nhabek Wassim même si 3andek ch7al ma b3atli vidéo wela vocal tghanili.
Texte pensée et écrit par : Belamri Louiza
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Dans les silences et la lenteur de Zidkess, il y a quelque chose d’unique : une capacité à suspendre le temps, à créer un espace où tout devient plus doux, plus feutré, plus chaleureux. C’est comme entrer dans un monde qui nous oblige à ralentir, à prêter attention, à écouter profondément, intensément ; et enfin ressentir.
C’est la même sensation que je ressens avec Réda. Mon ami Réda incarne cette douceur, cette sensibilité. Être avec lui, c’est comme contempler un ciel traversé de nuages blancs. Depuis le hublot d’un avion par une journée de printemps, je savoure. Tout est apaisant, et pourtant, rien n’est lassant. Parce qu’avec Réda, même le nuage devient plaisant.
Et sur scène, il nous emporte. On regarde les nuages avec lui. Réda flotte, il donne l’impression de se mouvoir dans un équilibre qui n’appartient qu’à lui. Il ne s’agite pas, il ne cherche pas à impressionner. Aucun artifice avec lui. Au contraire, il a en lui le stand-up sincère, artisanal, il crée une connexion intime. Et moi, je l’écoute, transporté dans une poésie et une finesse qui transcendent la simplicité apparente.
Quand j’ai rencontré Réda à La Ferme – Comedy, je ne pouvais pas imaginer à quel point cette rencontre allait me faire douter. Avec lui, je doute de tout, mais pas de la manière oppressante. Je me remets en question, je réfléchis différemment, parce que Réda lui-même est un miroir. Un miroir qui s’interroge, qui doute, qui se demande presque chaque matin s’il s’appelle bien Réda. Cette introspection, si rare dans notre métier d’humoriste où l’assurance est souvent reine, vient d’une qualité exceptionnelle : l’humilité.
Et paradoxalement, cette humilité, cette capacité à douter, c’est ce qui me donne confiance. Avec Réda, j’ai foi en la simplicité, en la délicatesse. Chaque fois que je le vois, il me rappelle qu’il n’y a pas besoin d’être bruyant pour être entendu, ni excessif pour laisser sa trace. Il est une invitation à ralentir, à savourer.
Texte pensé et écrit par : Melikoun
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Ma rencontre avec Assia s’est faite tout naturellement, au détour d’une discussion sur Instagram. Je me souviens qu’en 2018/2019, je cherchais à me reconnecter avec Alger, à sentir ce qui s’y passait après sept ans loin de la ville. J’avais besoin de comprendre comment la vie avait évolué là-bas, de saisir ce qui animait ceux que j’ai laissés là- bas. C’est avec Assia que j’ai retrouvé ce lien. Elle venait d’arriver en France pour ses études en sciences sociales et humaines, mais ça, c’est juste l’introduction. Ce qui m’a vraiment marqué chez elle, c’était son regard critique, déjà finement affûté, sur la musique et l’art en général, et ce, à seulement 21 ans. On a longuement parlé de chaâbi et de raï ; elle m’a fait découvrir l’histoire des studios, l’évolution des styles, les musiciens derrière chaque album. Sa passion était impressionnante.
Assia m’a fait comprendre que l’art, quand il t’habite, n’a pas d’âge, et que, quand on sait le raconter, on peut emporter l’autre loin. Ce que j’admire chez elle, au-delà de sa curiosité inépuisable, c’est son sens aigu de la critique. Depuis que je la connais, je crois qu’on n’a jamais été d’accord – et c’est ce qui rend chaque échange si enrichissant. Avec elle, j’ai affûté ma vision de la musique algérienne, brisé une certaine lecture “essentialiste” de nos arts. Assia est, si tu veux, une véritable sparring partner, avec cet humour bien piquant de l’ouest qui la caractérise. Avec son talent pour raconter, il n’est pas surprenant qu’elle ait choisi le cinéma d’auteur, et je lui souhaite de tout cœur de réussir dans cette voie.
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