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Les outils d'une parentalité épanouie !
L'épopée Ludique
11 episodes
1 week ago
Dans ce podcast, nous abordons chaque semaine une thématique autour de la parentalité et du développement de l'enfant entre 3 et 6 ans. Développement de l'autonomie, apprentissage de la gestion des émotions, temps de qualité, communication bienveillante, confiance en soi... Nous cherchons à te donner toutes les clés pour t'accompagner vers une parentalité épanouie !
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Parenting
Education,
Kids & Family,
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Dans ce podcast, nous abordons chaque semaine une thématique autour de la parentalité et du développement de l'enfant entre 3 et 6 ans. Développement de l'autonomie, apprentissage de la gestion des émotions, temps de qualité, communication bienveillante, confiance en soi... Nous cherchons à te donner toutes les clés pour t'accompagner vers une parentalité épanouie !
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Episodes (11/11)
Les outils d'une parentalité épanouie !
La période du non : comment la gérer ?

Ah la période du non, cette période magnifique où ton enfant dit non à tout quasiment sans exception. Dans cet article, on va te donner quelques astuces pour gérer cette l’âge du non, cette période d’opposition qui arrive vers le “Terrible Two” et qui n’est pas facile à gérer ! N’hésite pas à partager en commentaire à la fin de l’article comment ça se passe pour toi à la maison !















La période du non



La phase du non apparaît vers les 2 ans de ton enfant et même si cela peut être drôle dans certaines circonstances, dans l’ensemble c’est assez frustrant quand ton enfant ne veut plus faire ce que tu lui demandes !



Malheureusement, ou heureusement, c’est un stage de développement normal chez ton enfant



En fait, entre 2 et 4 ans, l’enfant rentre dans une phase où il va inconsciemment tester les limites de son autonomie mais surtout de son indépendance. Et même si c’est très sain et nécessaire dans son développement, cela reste très dur et très frustrant à gérer pour les parents, notamment pour la figure d’attachement principale.



Elle arrive à peu près à la période où ton enfant commence à parler. Il commence à acquérir plus d’autonomie et à vouloir faire ses propres choix mais surtout il découvre le pouvoir des mots et il teste les limites de ce nouveau pouvoir.



Quand ton enfant te dit “non”, garde en tête que c’est un très bon signe concernant l’acquisition de son indépendance. A cet âge, il découvre qu’il est une personne à part entière de ses parents et qu’il est libre de prendre des décisions. C’est donc un moyen pour lui de s’entraîner à faire des choix.



Sache que des fois ton enfant va te dire non sans vraiment savoir pourquoi, juste parce qu’il le peut, des fois parce que son réservoir affectif à lui est un peu vide, et d’autres fois parce qu’il sent que le tient l’est. 



Il est même possible qu’il dise non avant même d’avoir compris ce que tu lui demandais. En fait, à cet âge son cerveau est immature et cela devient un peu sa réponse “par défaut”



Garde en tête qu’en aucun cas il souhaite défier ton autorité, te manquer de respect ou te manipuler, son cerveau (avant 5-6 ans) est trop immature pour être en capacité de mettre tout cela en œuvre ! Inconsciemment, il cherche à tester les limites qui l’entourent, il veut découvrir ce qu’il peut négocier et ce qui n’est pas négociable



Le challenge des parents






En tant que parent, cela peut vite devenir frustrant et générateur de cris, de colère. On est tentés d’en venir à la soumission, le soudoiement, la punition ou autres méthodes qui ne fonctionnent pas vraiment et qu’on ne recommande pas du tout.



La première chose à faire dans ces moments, c’est de vérifier comment toi tu te sens, quel est ton état d’esprit et comment est ton réservoir émotionnel ? Cela va vraiment influencer 2 choses :



* comment tu vas te comporter avec ton enfant et* comment tu vas accueillir cette opposition, comment tu vas y répondre



Quand on est fatigués, stressés, on fait parfois moins d’efforts sur notre façon de parler, on va donner des ordres plutôt que de proposer des alternatives



imagine qu’au travail ton chef te crie des ordres. Est-ce que tu as envie de faire ce qu’il te demande ou plutôt de l’envoyer … paître ?



Plus ton réservoir émotionnel va être vide, plus tu vas te dire : ”il me manque de respect, il essaie de défier mon autorité,
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3 years ago
8 minutes 15 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Les 3 piliers de l’estime de soi pendant l’enfance

L’estime de soi se définit comme la perception que l’on a de nous même, comment on se voit et comment on pense que les autres nous voient. Etymologiquement parlant, le concept d’estime de soi revient à s’évaluer, se “mesurer” de manière rationnelle.



L’estime de soi, au même titre que la compréhension et la gestion des émotions est l’un des piliers de l’intelligence émotionnelle chez l’enfant. Elle participe grandement au développement d’un sentiment de bien être au quotidien, à sa capacité à surmonter les épreuves et à interagir positivement avec les autres. Elle se forge dès les premières années de sa vie au travers de ses interactions sociales avec ses parents, l’entourage familial et amical, puis le milieu externe (crèche / nounou / scolaire).



Lorsqu’on parle d’estime de soi autour de nous, que ce soit au sein de notre cercle proche ou de parents, on se rend compte que l’estime de soi peut être vue à tord comme un excès d’amour propre et que la travailler est parfois perçu comme synonyme de favoriser et développer un égo surdimensionné chez notre enfant.



Elle est pourtant primordiale dans la construction de l’équilibre psychologique à venir de ce dernier dès son plus jeune âge et repose, selon Christophe André et François Lelord, auteurs de “l’Estime de soi”, sur trois piliers fondamentaux :



* La confiance en soi* La vision de soi* L’amour de soi





Voici notre vidéo dédiée à ce sujet qui te donnera tous les détails :









Tu peux également écouter le podcast juste ici :





Pilier #1 – La confiance en soi



Généralement confondue avec l’estime de soi, la confiance en soi n’en est que l’une des composantes. Avoir confiance en soi, c’est être capable d’agir pour progresser, aller de l’avant. Elle s’exprime donc au travers de nos actes, au quotidien. Elle permet de faire face aux peurs naturelles et surmonter les inhibitions de l’enfant :



Le sentiment d’infériorité



“Je suis nul(le), je ne vais pas y arriver”.



Surprotection (c’est trop dur pour toi) et critiques (tu es trop petit(e)) sont souvent la cause d’un sentiment d’infériorité chez l’enfant. Naturellement, l’enfant a tendance à être curieux, vouloir découvrir et n’a pas forcément conscience des limites. On cite souvent Mark Twain qui disait très justement : “Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait !”. Protéger son enfant est une chose, mais anticiper son échec en l’empêchant d’essayer l’invitera à ne plus tenter de nouvelles choses en constatant par avance qu’il n’y arrivera pas. Au contraire, le féliciter pour ses tentatives, quels que soient ses résultats l’amènera à dépasser ses limites et conserver sa confiance en soi.



Peur de la critique/du regard des autres



“Ils vont se moquer de moi”.



Si elle est importante, l’opinion des autres, notamment de ses parents, ne doit pas devenir un poids pour l’enfant qui doit avant toute chose se chercher et s’essayer à ce qu’il aime. En tant que parents, notre rôle est de fixer les limites acceptables aux comportements de notre enfant et d’expliquer pourquoi.
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3 years ago
6 minutes 44 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Les 9 formes d’intelligence de ton enfant
- Comment développer l'intelligence de ton enfant ?
- Y a t-il différentes formes d'intelligence ?
- Comment déceler et développer le potentiel de ton enfant, l'aider à découvrir ses passions, les domaines où il a des facilités ?
- Comment l'aider à combler ses lacunes, à surmonter ses difficultés d'apprentissage ?
Si l'on considère qu'il n'existe non pas une, mais 9 formes d'intelligence, on comprend mieux pourquoi notre enfant s'oriente naturellement vers certains domaines, certaines activités plutôt que d'autres. La théorie des 9 formes d'intelligence d'Howard Gardner a cela d'enrichissant qu'elle rejette le fait de considérer que ton enfant est intelligent ou nous en fonction de ses résultats scolaires. Au contraire, elle invite à découvrir où sont "ses" intelligences et comment les exploiter à leur plein potentiel. Dans le cadre d'une parentalité voulue positive et réfléchie, elle nous semble pertinente et nous permet chaque jour de diversifier les activités, d'éveiller l'intérêt et la curiosité de manière globale, et de travailler tous les domaines possibles à part égale.
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3 years ago
8 minutes 4 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Parentalité positive : 5 astuces pour débuter facilement !

Tu souhaites changer ton mode d’éducation et opter pour la parentalité positive mais tu te demandes par où commencer ?



Tu rêves de rétablir une relation bienveillante avec ton enfant, qu’il coopère et participe aux tâches du foyer mais surtout… tu veux cesser de t’énerver au quotidien et arrêter de culpabiliser sans cesse ?



On est d’accord, ça n’a rien d’évident, le changement ne va pas se faire en un claquement de doigts. Et même si cela risque de te demander beaucoup d’efforts et de remises en question, chez L’épopée Ludique, on est persuadés que cette démarche est la bonne.



A long terme, avec les bons conseils et un peu d’organisation, en amenant les choses progressivement et en identifiant les “mauvaises” habitudes qu’on peut avoir au quotidien, il est possible de profiter d’une parentalité positive pour notre enfant, mais également pour nous-même parents !



Dans cet article, on te donne nos 5 astuces pour bien démarrer et franchir les premières étapes vers une éducation positive et bienveillante !





Voici notre vidéo dédiée à ce sujet qui te donnera tous les détails :









Tu peux également écouter le podcast juste ici :





La parentalité positive : définition



Commençons par définir ce qu’est la parentalité positive. Pour reprendre les mots du site les supers parents qui exprime cela très bien, c’est “un style d’éducation et des comportements qui répondent aux besoins de l’enfant, […] centré sur le bien-être de l’enfant”



C’est  donc un mode d’éducation où l’on écoute et respecte les besoins de son enfant en se mettant à sa place pour mieux le comprendre. On va privilégier le fait de guider son enfant plutôt que de le contrôler et de le faire coopérer plutôt que de le punir. En principe, il y aura moins de rapports de force et on va impliquer davantage son enfant dans les décisions qui le concernent pour trouver des solutions ensemble.



Même si cela peut paraître évident, notons quand même que ce n’est pas parce que tu décides de mettre en place la parentalité positive à la maison, que tu vas devenir un parent parfait ! Tout d’abord parce que ça n’existe pas… mais également parce que la parentalité positive n’est pas une solution miracle !



Les conflits vont diminuer mais il y en aura toujours et l’implication qu’elle demande est important. N’oublie donc pas que même si tu n’appliques pas à 100% du temps nos astuces, cela ne fait pas de toi un mauvais parent !



Nos 5 astuces pour débuter la parentalité positive



ASTUCE #1 – Verbaliser les émotions de ton enfant



Pour commencer, parlons des émotions !



Il n’est jamais facile de rester calme face à un enfant se met en colère ou pleure souvent. En tant que parent, on est vite tenté de couper court à tout cela. “Arrête de pleurer!” ou “tu vas te calmer oui ?!” sont des phrases qui peuvent nous échapper.



Cependant, c’est en validant et en verbalisant les émotions de nos enfants, qu’on va les aider à les gérer.  N’oublie pas que ton enfant souffre d’une double immaturité. D’abord,
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3 years ago
3 minutes 39 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Éducation positive, on est contre ?

Éducation positive / parentalité positive, LE miracle pour une famille épanouie ?



On en parle désormais partout à tel point qu’on se demande comment on a pu un jour faire autrement ! Sur le principe, l’idée de placer les besoins de notre enfant au cœur d’une approche pédagogique basée sur l’écoute et l’empathie… est plutôt attirante.



La volonté première d’écarter toute forme de violence éducative et de proposer une méthode favorisant la coopération face à la soumission l’est d’autant plus.



Seulement voilà, sa mise en œuvre n’a rien d’évident et rien de simple parce qu’elle n’a rien de naturel. De fait, ceux qui la vendent comme une solution à tous les problèmes oublient qu’elle s’oppose souvent aux murmures et avis de notre entourage et à notre héritage éducationnel. Si elle relève d’une volonté de bien faire les choses, ses effets visibles prennent du temps et chaque parent doit faire face à de nombreux échecs. Les risques de surcharge mentale et d’excès de culpabilité existent !



Alors, l’éducation positive / la parentalité positive : on est contre ?!





Voici notre vidéo dédiée à ce sujet qui te donnera tous les détails :









Tu peux également écouter le podcast juste ici :





L’éducation positive / la parentalité positive sur le papier c’est bien, mais chez L’époépe Ludique on est plutôt contre certaines choses et on va t’expliquer pourquoi !



L’éducation positive, qu’est-ce que c’est ?



Commençons par un (très) rapide résumé de ce qu’est l’éducation / la parentalité positive !



C’est un mode d’éducation où l’on est à l’écoute et où l’on cherche à respecter les besoins de son enfant. Comment ? En se mettant à sa place pour mieux le comprendre. On cherche à preuve d’empathie.



Cette approche privilégie le fait de guider son enfant plutôt que de le contrôler et de le faire coopérer plutôt que de le punir. Pour cela, on va lui apprendre à verbaliser ses émotions, utiliser des affirmations positives etc.



En introduction, nous disions qu’elle n’avait rien de naturel car elle fait appel à de nombreuses compétences de savoir être qui ne s’apprennent malheureusement ni à l’école, ni dans un cursus d’apprentissage classique et sont généralement absentes de notre héritage éducationnel. (assertivité, prise de recul, communication non violente, intelligence émotionnelle, esprit critique…).



C’est là toute la difficulté de sa mise en œuvre. Sans un minimum de formation et connaissances, sa mise en place va généralement droit dans le mur.



Une image idyllique de l’éducation



Mais finalement, ce à quoi on est VRAIMENT opposés, c’est l’image “instagramisée” ou “parfaite” qui nous est placardée un peu partout sur la parentalité positive.



En forçant un peu le trait, ça pourrait donner quelque chose comme “Tu verras ta famille sera heureuse tout le temps, vous ne pourrez plus vous arrêter de sourire, le soir tu feras “cumbaya” avec tes enfants. Ils vivront d’amour et d’eau fraîche…”



Pourtant, tu le sais sans doute aussi bien que nous, la parentalité ce n’est pas ça. C’est beaucoup de bonheur bien sûr mais c’est aussi des émotions fortes, des larmes, des cris, des soirées où on en peut plus…



Pratiquer la parentalité positive (celle à laquelle nous on adhère),
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3 years ago
4 minutes 9 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Comment se faire obéir sans crier ?!
Comment se faire obéir sans crier, sans s'énerver, sans faire appel de près ou de loin aux violences éducatives ordinaires ? D'abord en acceptant que toutes nos consignes, nos règles, nos ordres... ne sont pas forcément utiles et que notre enfant a besoin de liberté pour s'épanouir, grandir et développer sa confiance en lui. Ensuite en mettant en place une organisation bienveillante et sécurisante et en faisant appel à l'intelligence de notre enfant. Cela passera par la création de routines à l'occasion d'un ou plusieurs ateliers ludiques et leur mise en place au quotidien. Enfin, en détaillant des consignes adaptées au comportement et aux besoins de notre enfant, en les lui faisant valider, et en privilégiant une communication non violente et bienveillante.
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3 years ago
10 minutes 58 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Colères d’enfant, comment les anticiper et les gérer ?

Les colère de ton enfant sont sans doute les émotions les plus difficiles à gérer. Souvent incompréhensibles et sources d’émotions miroirs pour toi parent, elles surviennent la plupart du temps de manière soudaine et la réponse instinctive conduit généralement à l’escalade.



Alors comment les anticiper au mieux et y faire face avec bienveillance et fermeté ? Avant toute chose, nous t’invitons à lire notre article sur la gestion des émotions qui te donnera les clés essentielles de posture et de communication à adopter face aux émotions de ton enfant.



Dans cet article, tu trouveras nos 4 meilleures astuces pour mieux préparer ton enfant et toi même à la venue de cette émotion (qui rappelons le est naturelle) et réagir face au pic de décharge.





Voici notre vidéo dédiée à ce sujet qui te donnera tous les détails :









Tu peux également écouter le podcast juste ici :





L’apparition des premières vraies colères commence généralement autour des 18 mois, en même temps que l’angoisse de séparation. C’est l’âge où ton enfant va se rendre compte qu’il est une personne à part entière de papa et maman. C’est une manière pour lui de s’affirmer en tant que personne.



Sache qu’on ne peut pas échapper à toutes les colères. Il est d’ailleurs important de laisser ton enfant les extérioriser et de comprendre qu’elles expriment un besoin non satisfait (ou qui ne l’est plus).



Les colères ne sont pas des caprices. Il faut savoir prendre du recul face à celles-ci et accepter que ton enfant n’est ni dans le défi, ni malveillant envers toi ! De la réaction que tu adopteras dépendra le temps nécessaire pour retrouver le calme. Cela veut il dire qu’il faut tout céder face à la colère ? Non, bien sûr. Ton travail à toi en tant que parent est avant tout de comprendre ce qui ne va pas et d’y apporter une réponse satisfaisante pour tout le monde.



Astuce #1 – Faire preuve d’empathie



C’est ce qu’il y a de plus dur ! Face à un enfant en colère, face à des cris et de l’agressivité, il pourrait être tentant de lever le ton, de punir et d’expliquer à ton enfant combien son comportement est détestable. Pourtant, tu t’en doutes, cela ne résoudra rien. Pas réellement.



A long terme, ton enfant risquera au contraire d’identifier l’agressivité comme un levier de communication standard et de l’utiliser à chaque fois qu’il aura le moindre désir naissant. Faire preuve d’empathie, c’est au contraire se mettre à la place de son enfant et comprendre qu’il exprime un mal être que vous allez pouvoir tenter de résoudre ensemble.



Verbalise l’émotion qu’il est en train de traverser mais surtout la raison pour laquelle il est en colère “je comprends que tu es en colère, c’est parce que tu voulais mettre ton pull préféré ?”.



Tu lui laissera ainsi la possibilité de se sentir compris et de s’exprimer à son tour. Plutôt que d’être dans le conflit, le simple fait de le laisser répondre “oui” à cette question va déjà permettre de commencer à désamorcer la situation. 



Tu peux continuer en lui expliquant “je comprends que tu voulais mettre ton pull préféré mais malheureusement il est au sale pour le moment” et lui proposer de choisir une alternative : “est-ce que tu veux mettre le pull vert ou le gilet bleu à la place?”.



Cette simple diversion va lui permettre de focaliser ...
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3 years ago
4 minutes 47 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Rituel du coucher : 4 étapes simples pour aider ton enfant à s’endormir sereinement

Pour l’enfant, comme les parents, le rituel du coucher est l’un des moments clés de la journée. En semaine, pour peu que l’on rentre tard du travail, il pourra s’agir du seul moment d’échange, de qualité, que l’on aura avec son enfant. Autant en faire un instant de calme et de douceur ! Facile à dire car, si le coucher peut effectivement s’avérer idyllique, il faut parfois admettre qu’il peut aussi rapidement se transformer en véritable cauchemar…



D’après notre expérience avec notre petite qui a 8 ans aujourd’hui, On te propose quelques conseils pour réussir ce moment important pour chacun !





Voici notre vidéo dédiée à ce sujet qui te donnera tous les détails :









Tu peux également écouter le podcast juste ici :





Le Rituel du Coucher



Nous reviendrons en détail dans un prochain article sur l’importance des rituels et routines dans l’organisation de la journée d’un enfant, mais pour le soir, de manière générale, l’idée est d’avoir un schéma récurrent, quel que soit le jour de la semaine. Tous les soirs, à partir de 18h15 démarre notre routine du soir qui nous conduit jusqu’au rituel du coucher. Celle-ci a l’avantage d’être apaisante et sécurisante pour l’enfant et de le faire progresser dans son apprentissage de l’autonomie et sa collaboration aux tâches du foyer.



A titre d’exemple, après le repas (19h30 si tout va bien), je demande généralement à ma fille (et depuis qu’elle a 4 ans) ce qu’elle va faire ensuite. « Je débarrasse mon assiette, je me lave les mains, je me brosse les dents, je fais pipi, je choisis une histoire et je vais au lit » (L’étape de l’assiette est souvent oubliée, mais on s’accroche). Elle est désormais quasi autonome sur cette partie mais bien sûr, il a fallu beaucoup d’accompagnement et de bienveillance les premières années. Aujourd’hui encore, il lui arrive de “rêvasser” entre deux tâches ou d’en oublier une et c’est à nous de la remettre dans le “droit chemin”. 😉



En général, pendant que ton enfant s’occupe de terminer sa routine, profites-en pour te détendre quelques minutes. Mets un morceau de musique qui t’apaise, prend le temps de respirer et d’écarter les pensées négatives qui pourraient encore te polluer l’esprit. C’est peut-être le meilleur conseil qu’on pourra te donner. Aborder le rituel du coucher chargé du stress de TA journée ne te mettra pas dans la meilleure des dispositions pour échanger avec ton enfant, être en posture d’écoute active et profiter du moment. L’état d’esprit avec lequel tu abordes le rituel du coucher est à mon sens aussi, voir plus important que l’état d’esprit de ton enfant. Lui, n’a pas encore les codes pour comprendre et interpréter ce qu’il ressent. Toi, l’adulte doit être en capacité à le faire pour lui.



Le besoin d’une routine quotidienne bien établie ne nous empêche cependant pas de faire des écarts. Sortir le samedi soir chez des amis en amenant notre fille n’est heureusement en aucun cas exclu. Un simple « ce soir, on fait la fête, tu vas pouvoir te coucher plus tard ! » permet à l’enfant de comprendre que le schéma établi ne sera pas respecté (et qu’en aucun cas ce n’est grave).



Et si la routine du soir n’est pas encore en place de ton côté ne t’inquiète pas, nous t’expliquerons bientôt comment nous l’avons intégré au fil du temps et te fournirons également quelques outils qui nous auraient été utiles à l’époque pour aller plus vite ! 


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3 years ago
7 minutes 47 seconds

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Enfant heureux : enseigner la gratitude !
Diminution du stress, meilleure humeur au quotidien, amélioration de la confiance en soi, ouverture aux autres... On te dévoile tous les avantages de pratiquer la gratitude avec ton enfant et on t'explique comment l'enseigner efficacement grâce à des outils simples et ludiques !
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3 years ago
9 minutes 56 seconds

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5 outils pour apprendre à se repérer dans le temps

La notion du temps qui passe est un concept très difficile à appréhender pour les enfants et dont l’apprentissage est long. Apprendre à se repérer dans le temps … prend du temps.



Dans cet article, on souhaitait te donner quelques conseils et te montrer 5 outils pour accompagner ton enfant dans cet apprentissage de la maternelle au primaire .





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Pourquoi apprendre à son enfant à se repérer dans le temps



Avoir une routine, anticiper les événements à venir, comprendre comment les choses vont se dérouler sont autant d’éléments qui vont rassurer ton enfant et lui donner des repères. Ils vont permettre de lui donner une structure et de créer des automatismes.



C’est essentiel pour le bien être de ton enfant. S’il sait ce qu’il va arriver, il va moins subir, moins s’inquiéter et il va devenir au contraire acteur de son quotidien. 



Savoir qu’une fois levé, on se prépare pour aller à l’école par exemple, ça va aussi rendre les matins moins compliqués 



Les grandes étapes pour apprendre à se repérer dans le temps



Les moments de la journée avec l’horloge des routines



Vers 2-3 ans avec l’entrée en maternelle notamment, on va commencer par l’apprentissage des différents moments de la journée : le matin, le midi, l’après-midi et le soir. Verbalise ces moments de la journée en leur apportant une action : ce matin on va à l’école, cette après-midi c’est l’heure de la sieste, ce soir c’est papa qui te couche



On peut aussi utiliser une horloge des routines Montessori, elle permet de visualiser les différents moments de la journée avec un code couleur différent.



Tu peux utiliser 2 versions de cette horloge, tout d’abord juste avec les moments de la journée puis lorsque ton enfant sera un peu plus grand, la version avec les 24 heures de la journée. Attention à ne pas confondre avec une horloge d’apprentissage de l’heure. Ce n’est pas son objectif et d’ailleurs on apprendra pas à lire l’heure avant plusieurs années.





Les jours de la semaine avec le train de la semaine et le semainier



Dès que tu sens ton enfant prêt et que tout ça est plus clair pour lui, tu peux commencer à aborder la notion des jours de la semaine. En les nommant “lundi, mardi, etc” mais aussi, “hier, demain, après-demain, ce week-end”. 



Pour l’aider à visualiser les jours de la semaine, tu peux utiliser un train de la semaine. Chaque jour est représenté par un wagon avec une couleur différente. Les wagons se trouvent les uns à la suite des autres, ton enfant va donc comprendre que les jours, même s’ils sont différents, se suivent. Tu vas pouvoir différencier les jours d’école vs les jours de “repos” comme le mercredi s’il n’a pas école ou le week-end.



Pour l’aînée, il a permis de lui indiquer quels jours elle était chez maman et quels jours elle allait chez papa.



Sur la version du train de la semaine que tu trouveras sur notre boutique, on a rajouté quelques notions supplémentaires comme la météo du jour pour savoir co...
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3 years ago
5 minutes 35 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Aide ton enfant à exprimer ses émotions
Aider ton enfant à exprimer ses émotions est essentiel pour l'aider à grandir sereinement, développer son intelligence émotionnelle, sa confiance en soi, et mettre en place les bases d'un foyer où l'on favorise la coopération plutôt que la confrontation.
Dans ce podcast, on t'explique pourquoi cette démarche est importante, mais surtout quand et comment la mettre en place avec ton enfant.
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3 years ago
8 minutes 37 seconds

Les outils d'une parentalité épanouie !
Dans ce podcast, nous abordons chaque semaine une thématique autour de la parentalité et du développement de l'enfant entre 3 et 6 ans. Développement de l'autonomie, apprentissage de la gestion des émotions, temps de qualité, communication bienveillante, confiance en soi... Nous cherchons à te donner toutes les clés pour t'accompagner vers une parentalité épanouie !