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Bonjour chez vous !
Public Sénat
653 episodes
17 hours ago
“Bonjour Chez Vous !”, c’est le rendez-vous politique matinal présenté par Oriane Mancini, entre 7h30 et 9h. Chaque matin, un invité politique sur un format long de 20 minutes, en partenariat avec la presse quotidienne régionale. “Bonjour Chez Vous !”, c’est également une émission ancrée dans l’actualité et le quotidien des citoyens, et dans les territoires, grâce à un réseau unique de partenariats avec la PQR et les chaînes locales. Dans la dernière partie de l’émission, “Le Club des Territoires”, Oriane Mancini est accompagnée d’une bande de chroniqueurs, pour débattre de l’actualité locale et nationale.

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“Bonjour Chez Vous !”, c’est le rendez-vous politique matinal présenté par Oriane Mancini, entre 7h30 et 9h. Chaque matin, un invité politique sur un format long de 20 minutes, en partenariat avec la presse quotidienne régionale. “Bonjour Chez Vous !”, c’est également une émission ancrée dans l’actualité et le quotidien des citoyens, et dans les territoires, grâce à un réseau unique de partenariats avec la PQR et les chaînes locales. Dans la dernière partie de l’émission, “Le Club des Territoires”, Oriane Mancini est accompagnée d’une bande de chroniqueurs, pour débattre de l’actualité locale et nationale.

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Episodes (20/653)
Bonjour chez vous !
L'intégrale du vendredi 7 novembre
Au programme de cette édition : cap sur un affrontement qui dépasse les frontières : l’État français peut-il réellement tenir tête à Shein ? Contrôles renforcés sur les colis, appel à une riposte européenne, engagement affiché de la plateforme chinoise à respecter les règles…S’agit-il d’une reprise en main ou d’une bataille symbolique face à la logique du low-cost mondialisé ? Décryptage avec Arnaud Benedetti et Bérengère Bonte.Dans L’Entretien, nous donnons la parole à François-Xavier Ménage. Depuis plusieurs années, il traverse les territoires en marge, à la rencontre de celles et ceux qui se sentent oubliés du débat public. Il en tire le récit d’un pays fracturé, où les colères silencieuses forment une autre histoire nationale.Au Sénat : La question de la probité démocratique est au cœur des débats, avec la création d’un répertoire national des personnes inéligibles. Un outil pensé pour clarifier le jeu électoral et restaurer la confiance dans la représentation politique. Nous en parlons avec la sénatrice Sophie Briante-Guillemont, à l’initiative de ce texte.Enfin, à la une de nos régions, et plus précisément Brive, où se tient l’une des plus grandes foires littéraires de France. La 43e édition de la Foire du Livre de Brive s'ouvre ce vendredi. Jusqu'à dimanche, 400 auteurs sont attendus et 80.000 visiteurs pour un chiffre d'affaire qui a dépassé le million d'euros l'année dernière. Les retombées touchent toute la ville à commencer par les commerçants du centre.

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17 hours ago
1 hour 28 minutes 4 seconds

Bonjour chez vous !
Sophie Briante Guillemont : « Il y avait 50 peines d’inéligibilité par an, maintenant c’est 6500 »
Suite à l’annulation d’élections anticipées avec des candidats arrivés au second tour - malgré leur condamnation par la justice à une peine d’inéligibilité - la sénatrice Sophie Briante Guillemont a proposé un texte de loi pour centraliser l’ensemble des fichiers de personnes déclarées inéligibles. Un texte approuvé de manière transpartisane mais sur lequel le gouvernement s’est abstenu.Pour Sophie Briante Guillemont, sénatrice (RDSE, centriste) représentant les Français de l’étranger : « Avant la loi de confiance sur la vie publique de 2017, il n’y avait environ que 50 peines d’inéligibilité prononcées par an. Maintenant on est montés à 6.500. Et ce n’est prononcé que dans 42% des cas, c’est-à-dire que pour le reste, le juge pénal devrait prononcer l’inéligibilité mais ne le fait pas, pour des motifs variables. Le fait que le gouvernement n’ait pas soutenu politiquement ce texte est inexplicable. La ministre était dans la caricature du ‘en même temps’, en disant être pour puis en s’abstenant. Je pense qu’il y a une sorte de guerre entre administrations, entre l’Intérieur et la Justice, pour savoir qui va s’occuper de ce fichier ».Sophie Briante Guillemont est également revenue sur la polémique autour du magasin chinois Shein depuis l’ouverture d’un magasin en plein Paris : « L’œil médiatique est sur Shein. L’entreprise clame respecter la loi française mais elle ne va pas dire le contraire. Il y a toute une opération de communication de leur part. Elle a pris des engagements, mais on n’en serait pas à des sanctions si l’on était certain qu’elle faisait ce qu’elle dit. La France ne remportera pas seule ce bras de fer face à Shein. C’est pour ça que la procédure devant la Commission européenne est fondamentale. En tout cas on voit une opposition forte à ce sujet, et c’est aussi la responsabilité de BHV d’avoir choisi Shein comme partenaire ».

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17 hours ago
26 minutes 34 seconds

Bonjour chez vous !
Carole Delga : « Le nouvel acte de décentralisation est indispensable »
Public Sénat et sa matinale « Bonjour chez vous ! » organisent une émission spéciale, ce mardi 6 novembre pour couvrir en direct le 21e Congrès des Régions de France, qui se tient dans le Palais des Congrès de Versailles. Avec le contexte budgétaire actuel, le gouvernement demande pour le moment 4,6 milliards d’efforts de réduction des dépenses aux collectivités territoriales. Le Sénat et les présidents de régions tentent de négocier un effort de 2 milliards, comme l’année dernière.Pour Carole Delga, présidente (PS) de la région Occitanie et présidente des régions de France, « les présidents de région font partie de l’équipe France et nous voulons participer au redressement de notre pays. En priorité, nous demandons à Sébastien Lecornu les moyens d’agir pour les régions et les collectivités de manière générale. Nous avons une crise institutionnelle, nous avons une crise budgétaire, en plus une crise climatique mondiale, nous n’allons pas rajouter une crise territoriale ».Carole Delga a insisté sur la nécessité pour Emmanuel Macron de tenir sa promesse de décentralisation de 2017 : « Le nouvel acte de décentralisation est indispensable. La France se trouve, en 2025, dans une situation beaucoup plus préoccupante qu’en 2017. Pourquoi on a besoin de donner plus de pouvoir localement ? Pour répondre à la crise institutionnelle. Les Français n’ont plus confiance dans le pouvoir politique, parce qu’ils pensent que les politiques ne connaissent pas leurs difficultés de vie. En donnant plus de pouvoirs à toutes les collectivités, nous avons la capacité à nous adapter à la réalité et à être réactifs aux besoins des Français ».

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1 day ago
22 minutes 52 seconds

Bonjour chez vous !
Olivier Cadic : « La Roumanie, la Bulgarie et la Serbie sont le laboratoire de la Russie »
Quels sont les risques d’ingérences étrangères sur les élections en France ? Une question au cœur d’une table ronde ce mercredi au Sénat. Pour Olivier Cadic, sénateur (Union Centriste) représentant les Français de l’étranger, « en manipulant bien les réseaux sociaux on arrive à avoir des résultats qui ne sont pas ceux qui auraient pu être, si vraiment la démocratie s’était exercée sereinement. La France, comme tous les autres pays, est victime d’ingérences étrangères extérieures. Taïwan est le laboratoire de la Chine. La Roumanie, la Bulgarie et la Serbie sont le laboratoire de la Russie. Et on voit chez nous se développer des choses qui sont testées ailleurs (…). On voit ce que ces puissances étrangères sont capables de faire en soutenant les extrêmes pour polariser le débat ».Également vice-président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, Olivier Cadic affirme que : « La Russie considère que les démocraties sont faibles. Et c’est justement l’enjeu, de se battre pour continuer à vivre dans un monde démocratique. Nous subissons la désinformation, le sabotage, une guerre hybride, les cyber-attaques, on a affaire à quelqu’un qui est déjà en guerre avec nous. Le problème c’est qu’en démocratie on ne se fait pas élire pour faire la guerre. Il faut faire comprendre qu’il est indispensable qu’on augmente notre budget de défense ».

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1 day ago
25 minutes 13 seconds

Bonjour chez vous !
Sauver l’industrie : quel rôle pour les régions ?
L’entreprise Duralex est sauvée de la faillite après une récolte de dons et de promesses d’investissement de 19 millions d’euros en 24 heures. La région Centre-Val de Loire a participé à ce refinancement à l’aide d’un prêt à la hauteur de 1 million d’euros. Pour les présidents de région, ce geste est un autre exemple qui vient justifier le rôle des régions dans l’investissement industriel à l’échelle locale. Le sujet est au cœur du 21 congrès des régions de France à Versailles.François Bonneau, président (PS) de la région Centre-Val de Loire, analyse l’engouement autour de la renaissance de Duralex : « Depuis que nous avons soutenu la relance de Duralex, il y a autour de cette entreprise, autour de produits qui font partie de nos vies, un engagement extraordinaire, au niveau citoyen, au niveau des régions, au niveau national. Cela veut dire que les Français croient et aiment notre industrie. Qu’ils ont véritablement envie d’un patriotisme, d’une souveraineté industrielle ».Pour Franck Leroy, président (Divers Droite) du conseil régional du Grand Est : « La réindustrialisation est un engagement que nous avons tous pris. On pensait dans les années 80-90 que l’Europe pourrait se passer d’ateliers de production, qu’on pourrait envoyer ça en Chine ou ailleurs, et qu’on pourrait simplement garder les cols blancs chez nous. C’était une erreur monumentale. Il n’y a pas de souveraineté européenne ou de souveraineté française sans une industrie ancrée dans ses territoires ».

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1 day ago
31 minutes 13 seconds

Bonjour chez vous !
Détenus depuis 3 ans en Iran, Cécile Kholer et Jacques Paris libérés
Après 1277 jours d’incarcération dans la prison d’Evin en Iran, Cécile Kholer et Jacques Paris ont obtenu une « libération conditionnelle » et se sont entretenus avec le président de la République par visioconférence. Ils avaient été arrêtés pour « espionnage » par la République islamique d’Iran, qui avait obtenu de Cécile Kholer des « aveux » forcés sur les raisons de sa présence en Iran. Les deux prisonniers français ont ensuite été maintenus en prison.Pour Françoise Degois, éditorialiste politique : « Pour une fois il y a des bonnes nouvelles, en tant que grand reporter on connaît bien la diplomatie française. Alors il est vrai que l’on a tendance à se moquer de la diplomatie française, mais la réalité c’est qu’on a un réseau diplomatique absolument hors norme, probablement l’un des plus beaux du monde, avec des ambassadeurs extrêmement rôdés, contrairement à la carricature que l’on peut en faire ».Pour Michael Darmon, éditorialiste politique chez i24NEWS : « Cette libération c’est l’aboutissement du travail de la diplomatie, adossée au service de renseignements, chapeautés par des discussions qui ont eu lieu au niveau présidentiel. On a tous tendance, et c’est normal, à critiquer un pouvoir lorsqu’il met du temps à faire sortir des otages. Mais il y a ce travail de l’ombre qui existe. Mais c’est aussi que les dictatures n’aiment pas le bruit, elles préfèrent le silence, et peut-être que ça a joué aussi ».

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2 days ago
27 minutes

Bonjour chez vous !
Sébastien Martin : « Sur l’automobile électrique, il nous faut un Made in Europe »
Avec le mouvement de désindustrialisation amorcé dans les années 1970, les thématiques de « souveraineté » et de « réindustrialisation » sont revenues dans le discours politique. Pour Sébastien Martin, ministre délégué chargé de l’Industrie : « La désindustrialisation de la France a baissé les salaires des Français. Forcément car en moyenne, l’industrie paye entre 25 et 30% plus que les métiers de service. Quand vous réduisez la part de l’industrie, vous réduisez quelque part les salaires, avec moins de gens qui bénéficient de salaires plus intéressants. C’est donc une question de pouvoir d’achat, et quand les gens sont mieux payés ils ont moins envie d’acheter du Shein, et on devient ensuite moins dépendants de la Chine : tout est lié ».Sébastien Martin et le ministre de l’Économie Roland Lescure étaient ce mardi 4 novembre à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris pour réunir les différents acteurs industriels du secteur automobile. Une norme européenne inquiète, fixée sur 2035 après un premier décalage : l’interdiction de vendre des voitures thermiques. Pour Sébastien Martin : « L’horizon 2035 il y a deux manières de le voir. On peut dire que c’est un totem, on n’y touche pas et c’est 100% de véhicules électriques. La France elle dit être prête à ‘des flexibilités sur 2035’, et à voir dans quelles dispositions elle peut avoir une part importante de véhicules électriques et pourquoi pas d’autres technologies à côté en complément. Mais à la condition que l’on continue à produire ces véhicules, et que tous leurs composants soient made in Europe ».

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2 days ago
21 minutes 9 seconds

Bonjour chez vous !
Marc-Philippe Daubresse : « Les ordonnances feront des débats sur ce budget une vaste pantalonnade »
Le vote du budget est mis sur pause à l’Assemblée nationale les députés ayant entamé l’examen des amendements sur le budget de la Sécurité sociale. Marc-Philippe Daubresse, sénateur (LR) du Nord et vice-président de la commission des lois constitutionnelles est « sidéré par l’information que l’on donne en laissant l’impression que tout ce qui a été voté, notamment les folies fiscales, restera dans le budget. (…) Supposons que le budget soit voté : il arrive au Sénat. Nous avons travaillé, nous avons un contre-budget à l’opposé de ce qui a été voté la semaine dernière. Donc ce budget ressortira du Sénat profondément transformé ou il n’ira pas à son terme. Et dans ce deuxième cas, on reprendra la copie initiale du gouvernement, avec éventuellement quelques amendements dedans, et tout ça n’aura été qu’une vaste pantalonnade ».Co-auteur du rapport parlementaire sur la relance de l’investissement locatif du 30 juin 2025, Marc-Philippe Daubresse est également revenu sur « une crise du logement historique et sans précédent. J’ai été ministre il y a quelques années, on en sortait d’une crise, mais elle n’était pas aussi violente. Là elle touche tous les segments : le neuf et l’ancien, le locatif et l’accession à la propriété, donc on doit à la fois agir sur la demande, notamment les taux d’intérêts trop élevés et agir sur l’offre, et pour que les gens aient envie d’investir dans la pierre, il faut que le statut de bailleur privé soit attractif, avec une déduction fiscale plus importante sur les loyers qu’il reçoit ».

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2 days ago
23 minutes 11 seconds

Bonjour chez vous !
Budget 2026 : un accord est-il possible ?
Après le texte budgétaire de l’État (PLF), c’est au tour du texte budgétaire de la Sécurité sociale (PLFSS) de rentrer dans l’arène de l’Hémicycle ce mardi 4 novembre. La ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin s’engage à transmettre au Sénat le texte amendé par l’Assemblée nationale malgré l’absence de vote. Cela suffira-t-il comme gage pour trouver un accord sur le budget ?Pour Anna Pic, député (PS) de la Manche : « Il faut aller au bout de ce débat. Les Français ne comprendraient pas que nous passions tout ce temps à discuter de choses en ayant le sentiment que nous faisions exprès de le faire durer. Néanmoins, nous ne sommes pas parvenus aujourd’hui à quelque chose de satisfaisant. Il nous faut nous fixer l’objectif d’avancer et d’aboutir dans les temps ».Pour Thomas Ménagé, député (RN) du Loiret : « Il reste plus de 2.000 amendements, le vote devait être aujourd’hui, ce mardi 4 novembre, il est reporté pour que l’on commence à étudier le projet de loi de la Sécurité sociale. Vraisemblablement, on ne voit pas comment on va tenir les délais. Sauf grande surprise, le Rassemblement National s’opposera à ce budget, et le gouvernement devra recourir à des ordonnances ou à une loi spéciale ».Jean-François Husson, sénateur (LR) de Meurthe-et-Moselle et rapporteur général de la commission des finances, « admet sa perplexité ». Pour lui : « Les Français ne doivent plus y comprendre grand-chose. Je respecte le choix du Premier ministre d’ouvrir la discussion à 360°, mais je ne comprends toujours pas comment on décide de mettre de côté les règles constitutionnelles, comme le 49.3 ou d’autres modalités de travail, qui ont été imaginées sur les décombres de la IVe République ».

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3 days ago
32 minutes 27 seconds

Bonjour chez vous !
François-Xavier Bellamy : « Aux élections municipales, il faut tout faire pour sortir la gauche »
Dans le cadre des milliers d’amendements du volet « recettes » du budget de l’État, les propositions d’impôts, de taxes et de subventions se multiplient à l’Assemblée nationale. Pour le parti Les Républicains, c’est la ligne rouge : c’est à l’État de faire des économies sur son train de vie. François-Xavier Bellamy, député européen et vice-président exécutif des Républicains, était l’invité de « Bonjour chez vous ! » pour défendre cette ligne. Pour lui, « il faut qu’un budget soit voté mais un budget avec moins d’impôts. Ce qui se joue aujourd’hui à l’Assemblée nationale c’est la résistance désespérée de nos collègues Les Républicains contre la folie fiscale qui est en train de s’emparer de la représentation nationale. En quelques jours nous avons vu se multiplier les impôts, les taxes créées de toutes parts, chaque fois avec les meilleurs intentions du monde, mais l’enfer est pavé de bonnes intentions. Et l’enfer fiscal français en l’occurrence est en train de s’aggraver de manière très dangereuse pour l’avenir de notre pays ».Le député européen est également revenu sur la prochaine échéance électorale, les municipales, où Les Républicains soutiennent dans certaines villes des candidats Renaissance : « Nous avons un seul objectif dans ces élections, c’est de tout faire pour sortir la gauche. On pourrait parler de ces villes conquises par la gauche en 2020, et qui ont été tellement abîmées : Lyon, Grenoble, Bordeaux, Strasbourg, Nantes. Nantes, que je connais bien, où il faisait bon vivre qui est devenue une catastrophe du point de vue de l’insécurité, avec un délitement économique… Ces villes, il faut les sauver ».

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3 days ago
23 minutes 42 seconds

Bonjour chez vous !
Nathalie Goulet : « Le budget est dans une incertitude totale, il nous faudrait un bon astrologue »
Ce mardi 4 novembre était supposé se jouer le vote à l’Assemblée nationale du texte budgétaire de l’État (PLF). Cependant, avec plusieurs milliers d’amendements encore à examiner, le débat a été suspendu pour entamer l’examen du PLFSS, le budget de la Sécurité sociale. Pour Nathalie Goulet, sénatrice (Union Centriste) de l’Orne : « Nous sommes dans une incertitude totale, il nous faudrait un bon astrologue ou une bonne voyante pour nous éclairer sur l’avenir de ce budget. Nous sommes dans une République du chantage permanent, où chacun fait son marché en menaçant de censurer le gouvernement si l’on n’accepte pas ses dispositions. Dans tous les cas le Sénat retravaillera son propre budget ».Membre de la commission des finances et à l’origine de nombreux rapports sur la fraude fiscale, Nathalie Goulet déplore que les débats sur le budget l’obligent à simplifier sa proposition de loi pour lutter contre le blanchiment d’argent : « On parle d’estimations de 38 à 50 milliards d’euros d’argent blanchi. Avec 2% de recouvrement, je ne vois pas de quoi pavoiser. Donc ‘tout va bien, circulez il n’y a rien à voir’, moi je ne suis pas d’accord. Le blanchiment d’argent et le crime organisé sont les frères siamois de la fraude. Les criminels sont opportunistes et pluridisciplinaires : ils font de la drogue, de la contrefaçon, du trafic d’or, de bijoux, de migrants, tout ça dans le même circuit de criminalité. Il faut donc être beaucoup plus cohérents dans la lutte contre la fraude ».

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3 days ago
27 minutes 57 seconds

Bonjour chez vous !
Éric Coquerel : « C’est pratique pour le gouvernement que le budget passe au Sénat sans vote »
Malgré des centaines d’heures de débats à l’Assemblée nationale et des milliers d’amendements votés, la date du vote du volet « recettes » du texte budgétaire a été repoussée à cause du nombre d’amendements qu’il reste à examiner.Éric Coquerel, député (LFI) de Seine Saint-Denis et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, alerte : « Mon inquiétude est que l’on n’arrive pas à voter la partie ‘recette’ du budget parce qu’elle sera battue et que ça peut être pratique pour le gouvernement de justifier qu’elle parte au Sénat sans vote. Tel que nous sommes partis, elle ne sera même pas examinée le 23 novembre. J’entends beaucoup ‘les débats s’enlisent à l’Assemblée’, mais rappelons que tout est parti avec deux semaines de retard du fait du gouvernement».Éric Coquerel note également que tous les groupes parlementaires font des efforts sur le nombre d’amendements déposés, sauf les groupes centristes : « Le Parti Socialiste et le Rassemblement National ont fait le plus d’efforts sur le nombre d’amendements déposés. Depuis, La France Insoumise en a enlevés, Les Républicains en ont enlevés un peu, mais il en reste énormément. Il faut aussi que le gouvernement arrête de gagner du temps, les ministres prennent beaucoup de temps pour répondre : moi je pense qu’ils jouent la montre pour faire passer le budget par ordonnance ou loi spéciale ».

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4 days ago
20 minutes 37 seconds

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Budget : l’impossible vote ?
Alors que le vote du projet de loi de finances pour 2026 doit être voté mardi 4 novembre, même la première partie du texte seule, le volet « recettes » n’a pas été entièrement discuté et amendé. S’achemine-t-on vers un budget 2026 adopté par ordonnance ou loi spéciale ?Pour Élizabeth Martichoux, éditorialiste politique sur LCI et Public Sénat : « C’est le budget de l’impossible prévision, on ne sait pas où on va. Le plus vraisemblable, c’est que ce budget ne sera pas voté. La question demeure : est-ce que le budget ira bien jusqu’au vote, qu’il soit une approbation ou un rejet ? Mais l’hypothèse selon laquelle il y aurait une majorité pour voter ce budget 2026 est peu probable. Mais le drame de notre situation aujourd’hui, c’est que les députés ne pensent pas au budget, ils ne pensent qu’à leur clientèle ».Pour Yves Thréard, directeur adjoint de la rédaction au Figaro : « Il n’est pas souhaitable que ce budget passe finalement, car il risque de foutre l’économie en l’air. Le plus simple et le plus sage c’est le recours à la loi spéciale, qu’on reprenne les grandes lignes du budget de 2025, en faisant exactement ce que l’on a fait l’année dernière. Et puis une censure, et puis peut-être qu’il y aura cette fois une dissolution ? La difficulté étant que les élections municipales se tiennent au mois de mars ».

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4 days ago
34 minutes 54 seconds

Bonjour chez vous !
Christine Lavarde : «J’ai du mal à comprendre quelle est la ligne directrice de ce budget»
Avec encore plus de 2000 amendements à discuter sur le budget 2026, les débats à l’Assemblée nationale prennent une tournure de course contre-la-montre.Pour Christine Lavarde, sénatrice (LR) des Hauts-de-Seine et présidente de la délégation sénatoriale à la prospective, le budget surnommé « Frankenstein » semble de plus en plus difficile à voter : « J’ai du mal à comprendre quelle est la ligne directrice de ce budget. Certains jours, on vient diminuer la pression fiscale, le lendemain on l’alourdit fortement, parfois en votant des dispositifs qui ne font plaisir qu’à ceux qui l’ont voté puisqu’ils sont inapplicables et anticonstitutionnels, voire qui remettent en cause la compétitivité de notre économie ».Christine Lavarde a déploré le fait que Sébastien Lecornu n’ait pas reçu les sénateurs et leurs chefs de groupe : « Autant avec le gouvernement Barnier, il y avait un véritable travail collaboratif entre députés et sénateurs des groupes politiques qui composaient le ‘socle commun’. Aujourd’hui on ne sait pas si c’est une ‘plateforme de stabilité’ ou un ‘socle commun’, on utilisera les termes que l’on veut. En tout cas, nous travaillerons ensemble de manière à donner un budget responsable, car il ne faut pas avoir peur de dire que nous sommes tous appelés à faire des efforts vu notre dépense publique ».

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4 days ago
26 minutes 20 seconds

Bonjour chez vous !
Véronique Guillotin : « Le budget doit être réorganisé en faveur des sujets régaliens »
Avec encore plus de 2500 amendements à examiner d’ici le mardi 4 novembre, l’Assemblée nationale semble se diriger vers une impasse sur le texte budgétaire. En cas de non-vote du budget par insuffisance de temps pour examiner toutes les propositions, le gouvernement fera passer par ordonnance le texte budgétaire initial, qui comprend par lettre rectificative la suspension de la réforme des retraites, mais aucun des autres amendements de façon obligatoire. Malgré cela, c’est la fameuse taxe Zucman qui est discutée dans l’Hémicycle ce vendredi 31 octobre.Pour Véronique Guillotin, sénatrice (RDSE, centriste) de Meurthe-et-Moselle et vice-présidente de la commission des affaires sociales : « On doit avoir un travail de réorganisation en profondeur et mieux flécher l’argent vers la santé, l’éducation, tous les sujets régaliens. On ne peut pas s’en sortir budgétairement avec la foire à la taxation. Quand on taxe, il faut mettre en parallèle l’économie du pays, c’est une question de curseur. Et sur la taxe Zucman, ce qui pose problème c’est le pilier du patrimoine professionnel. Il faut être vigilant à ne pas casser l’outil de travail parce que c’est l’emploi de demain ».Lors d’un dernier vote au Sénat, jeudi 30 octobre, le Parlement a introduit dans la définition pénale du viol la notion de « consentement ». Pour Véronique Guillotin : « C’est une bonne chose, et c’est important qu’on l’ait fait. Cela ne rajoutera pas davantage de cas englobés dans cette définition du viol, par contre elle exprime clairement ce qui était implicite, c’est-à-dire le non-consentement. La loi doit dire les choses pour sanctionner, mais également pour que notre pays ait un langage commun. Le viol c’était plutôt la surprise, la menace, la violence ».

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1 week ago
26 minutes 52 seconds

Bonjour chez vous !
Franz-Olivier Giesbert : « Je ne crois pas que la France soit finie »
Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste politique et auteur, était l’invité de « Bonjour chez vous ! » suite à la parution de ce qu’il qualifie « d’ouvrage d’une vie ». C’est un livre qui regarde avec nostalgie la France du XXème siècle : « Voyage dans la France d’avant ». Il y fait un portrait de la France tel qu’il l’a étudiée dans l’histoire, depuis la Révolution, et telle qu’il l’a vue évoluer depuis sa naissance, après la Seconde Guerre mondiale.Évitant le pessimisme, Franz-Olivier Giesbert proclame : « Je ne crois pas que la France soit finie. Sans dire que ‘c’était mieux avant’, même si c’était mieux avant sur certains plans, il y a de nombreuses choses qui ont périclitées, notamment la chanson française, qui donnait l’impression à l’époque de dominer le monde, qui était davantage basée sur les paroles. Brassens était écouté autant par la duchesse que la femme de ménage, qui chantonnaient et connaissaient ses airs. Ce n’est plus vrai aujourd’hui, la chanson n’est plus un ciment, elle est devenue générationnelle ».Pour Franz-Olivier Giesbert : « La France a énormément d’atouts, mais elle a vraiment été massacrée par toute une série de gouvernants. On a des dirigeants qui ont tout laissé filer : la dette, l’immigration, l’autorité à l’école ou ailleurs, et ça il faut le reprendre. On est un peu finalement dans la situation de 1958, quand le général de Gaulle est arrivé, la France était par terre : 15% d’inflation, un endettement dingue, un risque de guerre civile avec la guerre d’Algérie. En un an ou deux on était déjà remonté, la croissance est revenue très vite car cela était bien géré. Évidemment quand on fait un déficit budgétaire chaque année vous n’avez pas de croissance ».

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1 week ago
25 minutes 16 seconds

Bonjour chez vous !
Taxe Zucman : l’heure de vérité
Le budget 2026 examiné à l’Assemblée nationale, surnommé « Frankenstein » pour ses amendements aussi divers que parfois contradictoires, semble nécessiter un miracle pour voir le jour. Si le texte pourrait ne pas être rejeté, il n’est même pas certain qu’il aboutisse : il reste trop d’amendements déposés à examiner pour que le vote ait lieu, et le gouvernement prépare le passage en force avec des ordonnances. C’est donc avec un rythme effréné qu’est abordé, ce vendredi 31 octobre, la question de la fameuse taxe Zucman, cet impôt sur le patrimoine des entreprises à plus de 100 millions d’euros de revenus soutenu par l’ensemble de la gauche.Pour Anne-Laure Delatte, directrice de recherche économique au CNRS rattachées à l’université Paris-Dauphine PSL : « La taxe Zucman est une des bonnes mesures dont on a besoin. Les caisses sont vides. Il y a eu des baisses de prélèvements obligatoires massives depuis 2017, et c’est ce qui fait qu’on est dans cette situation de déficit budgétaire. Ces baisses de prélèvements obligatoires auraient dû générer de l’activité, des emplois et compenser, mais ça n’a pas eu lieu. Gabriel Zucman estime la mise en application de sa taxe à 20 milliards d’euros, mais on a besoin en réalité de plus de 100 milliards d’euros sur 6 ans. ».Pour Bertrand Martinot, économiste expert et associé à l’institut Montaigne : « Les revenus du capital sont déjà surtaxés en France, comme toutes les assiettes d’ailleurs, nous sommes les champions du monde de la taxation. S’il y avait un prix Nobel de fiscalité, c’est un Français qui le gagnerait chaque année. Les députés sont hors-sols, en une semaine le monde a changé : Apple s’est associé à Space-X pour connecter ces iphones aux satellites Starlink, ce qui est peut-être la fin des opérateurs télécoms, Nvidia a dépassé les 5.000 milliards de capitalisation boursière, Amazon licencie 30.000 personnes à cause de l’intelligence artificielle… Et pendant ce temps-là, on a un Parlement qui vote des taxes massives, estimées à plus de 15 milliards d’euros, en espérant que ça n’ait aucun effet collatéral sur l’économie française ».

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1 week ago
31 minutes 52 seconds

Bonjour chez vous !
L'intégrale du vendredi 31 octobre 2025
Au programme de cette édition : L’heure de vérité pour la taxe Zucman. Les députés s’interrogent sur son efficacité : mesure de justice ou folie fiscale ? Au-delà du symbole, la taxation des hauts patrimoines pose la question du rapport entre équité et compétitivité. Deux économistes, Anne-Laure Delatte et Bertrand Martinot, confrontent leurs analyses.L’entretien : « C’était mieux avant » : c’est le message que porte Franz-Olivier Giesbert dans son dernier livre. Il y raconte sa nostalgie d’une France d’antan, ses doutes sur le présent, et sa vision d’un pays en quête de sens.Sénat : Les violences dans le sport restent un sujet tabou. Comment protéger les victimes, prévenir les dérives et rétablir la confiance ? La sénatrice Véronique Guillotin, à l’origine d’un colloque sur ce thème, expose ses pistes pour faire bouger les lignes.À la une de nos régions : Face à la multiplication des événements climatiques extrêmes, les territoires s’adaptent. Inondations, sécheresses, feux de forêt : la Drôme devient un laboratoire de résilience et de prévention. Un reportage au cœur d’un département qui tente de se reconstruire.

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1 week ago
1 hour 28 minutes 27 seconds

Bonjour chez vous !
L'intégrale du jeudi 30 octobre
Au programme de cette édition : L’examen du budget se poursuit au Parlement. Les débats s’enchaînent et les tensions s’aiguisent : la gauche et le Rassemblement national votent de nouvelles taxes sur les grandes entreprises — le gouvernement dénonce une folie fiscale, tandis que Les Républicains jugent le texte de plus en plus invotable. Le budget pourra-t-il aller au bout du parcours parlementaire, et surtout sous quelle forme ? Nos éditorialistes Élizabeth Martichoux et Michaël Darmon décryptent les rapports de force politiques et les scénarios possibles.L’entretien : Au cœur des discussions budgétaires, le Pacte Dutreil : cette niche fiscale qui facilite la transmission familiale des entreprises. Elle est aujourd’hui contestée. Son créateur, Renaud Dutreil, revient sur l’esprit de cette mesure et sur la manière dont elle s’inscrit dans le modèle économique français.Le Sénat s’interroge sur l’avenir de la viticulture française, confrontée à une crise profonde. Un rapport sénatorial formule vingt-quatre recommandations pour redonner de l’air à la filière.L’un de ses auteurs, le sénateur socialiste de l'Aude Sébastien Pla, partage son diagnostic et ses pistes d’action.Dans nos régions, c’est l’industrie automobile qui cherche à se réinventer. Reportage dans la Somme, où un sous-traitant historique se diversifie pour éviter la fermeture et accompagner la transition vers le véhicule électrique.

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1 week ago
1 hour 28 minutes 9 seconds

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Sébastien Pla : « La filière du vin n’a pas su anticiper les changements de mode de consommation »
Avec une filière des vins et spiritueux représentant autour de 15 milliards d’euros dans la balance commerciale française, le secteur viticole est un enjeu majeur pour l’économie française. Cependant, de nombreuses contraintes frappent la filière : la désolation provoquée par les incendies cet été, notamment dans l’Aude, les changements climatiques qui obligent un déplacement des viticulteurs, les taxes douanières américaines et les taux de change qui frappent de plein fouet les ventes vers le premier acheteur mondial de vins, et la baisse de consommation drastique en France.Pour Sébastien Pla, sénateur (PS) de l’Aude et viticulteur lui-même : « Aujourd’hui il y a une déculturation au vin. Il est vrai que par le passé, il y a quarante ans en arrière, c’était un produit de consommation courant, il y avait aussi une culture où l’on passait beaucoup plus de temps à table. Il y a une coupure générationnelle claire avec une baisse de consommation auprès des moins de 30 ans. C’est une culture qu’il faut remettre en avant, l’art de la table, car le vin est avant tout un terroir, un art de vivre et du partage. On voit que la filière n’a pas su anticiper les changements de mode de consommation, alors que les spiritueux y sont parvenus ».Sébastien Pla est par ailleurs revenu sur la politique nationale, notamment sur les risques d’impasse sur le vote du budget 2026 : « Il faut absolument que la France soit dotée d’un budget et fonctionne correctement. Ce que je déplore c’est que les partis politiques aujourd’hui pensent beaucoup plus à l’échéance de la présidentielle qu’aux problématiques que rencontrent le pays et les gens au quotidien. En particulier les partis extrêmes qui ne veulent pas faire d’effort de compromis. Notre ADN au Sénat c’est la recherche permanente du compromis ».

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1 week ago
24 minutes 57 seconds

Bonjour chez vous !
“Bonjour Chez Vous !”, c’est le rendez-vous politique matinal présenté par Oriane Mancini, entre 7h30 et 9h. Chaque matin, un invité politique sur un format long de 20 minutes, en partenariat avec la presse quotidienne régionale. “Bonjour Chez Vous !”, c’est également une émission ancrée dans l’actualité et le quotidien des citoyens, et dans les territoires, grâce à un réseau unique de partenariats avec la PQR et les chaînes locales. Dans la dernière partie de l’émission, “Le Club des Territoires”, Oriane Mancini est accompagnée d’une bande de chroniqueurs, pour débattre de l’actualité locale et nationale.

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