Tout commence par un rêve prémonitoire, un avion qui explose, et une bande d’ados persuadés d’avoir échappé à la Mort. Mauvaise idée. Très mauvaise idée.
Ici, la Mort ne porte pas de cape, elle préfère les chaînes d’accidents, les tasses de café mal placées et les bouts de métal volants.
Destination Finale, c’est cette saga qui a réussi l’exploit de transformer le hasard en super-vilain.
On revient sur ce concept génial (et complètement tordu), sur ses scènes les plus absurdes, et sur cette étrange satisfaction qu’on ressent quand le destin reprend ses droits, et chaque cri désespéré (“Non, pas le bus !”).
Un classique du genre qu’on démonte avec sérieux, mauvaise foi et un peu trop d’enthousiasme.
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Des explosions, encore des explosions… et des robots géants ! Michael Bay est derrière la caméra, prêt à faire trembler la planète entière (et nos tympans). Aujourd’hui, on parle de Transformers !
Dans cet épisode, on démonte cette superproduction mécanique boulon par boulon : la nostalgie Hasbro, les effets spéciaux XXL et les répliques beaufs de Sam.
Blockbuster culte ou nanar surchauffé ? On vous dit tout — entre analyse sérieuse (mais pas trop) et vannes bien huilées.
Eragon, le film qui voulait être Le Seigneur des Anneaux… mais qui a surtout offert des dialogues insipides et beaucoup (beaucoup trop) de balades à cheval.
Dans cet épisode, on démonte scène par scène ce monument du nanar fantastique : casting lunaire, scénario ultra-condensé et mise en scène qui se prend un peu trop au sérieux.
On revient aussi sur les différences avec le livre, les ratés de production et nos plus beaux fous rires face à ce festival de maladresses.
Un film d’aventure ? Un désastre légendaire ? On vous dit tout — avec nos vannes, nos analyses et la bière du jour !
🎬 Taken, le film qui a transformé Liam Neeson en papa vénère, prêt à tout pour retrouver sa fille… et à réciter son fameux discours culte qu’on a tous déjà parodié au moins une fois.
Dans cet épisode, on démonte scène par scène ce classique de l’action made in EuropaCorp : les poursuites improbables et bien sûr la performance de Neeson, qui n’avait jamais autant distribué de mandales avant ses 50 ans.
Un film culte ? Un nanar survitaminé ? On vous dit tout, avec nos vannes, nos analyses et la bière du jour !
Futur dystopique, coquillages mystérieux et Sylvester Stallone cryogénisé : Demolition Man débarque dans Pizza Ananar !
Entre bastons futuristes et un Wesley Snipes en roue libre, on plonge dans ce classique improbable qui mélange SF, comédie et nanar pur jus.
Alors accrochez vos ceintures, révisez vos répliques et venez rigoler avec nous devant ce chef-d’œuvre aussi explosif que jouissif.
Un pêcheur en ciré noir, quatre ados coupables et une menace qui revient chaque été : Souviens-toi l’été dernier, c’est le slasher qui a voulu surfer sur la vague de Scream… mais qui a fini par prendre l’eau.
Quatre astronautes reviennent de l’espace avec des pouvoirs incroyables : l’un s’étire comme un chewing-gum oublié au soleil, l’autre flambe comme un briquet Zippo sous stéroïdes, la troisième disparaît quand ça l’arrange, et le dernier… devient un caillou ambulant. Les 4 Fantastiques (2005), c’est le film où les super-pouvoirs servent surtout à résoudre des disputes d’appartement et des triangles amoureux dignes d’une sitcom du dimanche après-midi.
Ioan Gruffudd tente de jouer un leader charismatique mais finit coincé dans son propre costume en latex, Jessica Alba brille littéralement plus par ses effets spéciaux que par la direction d’acteurs, Chris Evans cabotine comme s’il avait déjà compris qu’il finirait dans un vrai film Marvel, et Michael Chiklis, lui, hérite du seul rôle où s’habiller en mousse orange reste un choix artistique discutable. Quant au Docteur Fatalis, il passe plus de temps à bouder qu’à dominer le monde.
À l’occasion de Fantastic Four: First Steps, cette nouvelle tentative de faire briller la famille la plus dysfonctionnelle de Marvel, on se souvient de cette première adaptation qui oscillait entre soap opéra cosmique et pub géante pour crème solaire, et qui, malgré tout, reste un étrange témoin de l’ère pré-MCU : plus naïf, plus cheap… mais étrangement attachant.
Un Superman parti chercher du lait cosmique pendant cinq ans, Lex Luthor transformé en promoteur immobilier de luxe, et un héros tellement occupé à espionner son ex-copine qu'il en oublie presque de sauver le monde : Superman Returns, c’est le comeback le plus awkward de l’histoire des slips rouges.
Brandon Routh joue les clones timides de Christopher Reeve, Kevin Spacey surjoue un génie du mal en plein burn-out, et Metropolis n’a jamais semblé aussi vide qu’un dimanche soir devant la télé. Coincé entre reboot paresseux et fan fiction hors de prix, le film troque les combats épiques pour une séance de psychanalyse kryptonienne interminable, où Superman plane plus souvent sur ses souvenirs amoureux que sur des scènes d'action.
À l'occasion de la sortie de Superman: Legacy, la nouvelle tentative de James Gunn pour faire redécoller le slip mythique, on replonge dans ce chapitre étrange d’une saga qui aura vraiment tout tenté : l'innocence naïve des débuts, les délires disco des années 80, et ce retour étrange où Superman avait moins l'air invincible que sérieusement déprimé.
Raptors dressés comme des chiens de chasse, T-Rex en guest star nostalgique, et un dinosaure mutant conçu par un comité marketing : Jurassic World, c’est le parc d’attractions où les idées sont clonées aussi vite que les dinosaures.
Chris Pratt joue au dresseur de vélociraptors façon Navy SEAL, Bryce Dallas Howard court en talons dans la jungle, et les créatures préhistoriques sont désormais gérées comme des produits Apple. Blockbuster sous stéroïdes numériques, le film transforme la peur de l'inconnu en une montagne russe sponsorisée. On rembobine cette époque où la franchise jurassique troquait la terreur paléontologique pour des combats de kaijus sous popcorn.
À l’occasion de la sortie de Jurassic World: Rebirth, on revient sur une saga qui a tout connu : la révolution Spielberg, les suites bancales, le revival calibré... et ce dernier volet, qui tente tant bien que mal de recoller les fossiles d’un mythe à bout de souffle.
Tétons sur l’armure, lumière fluo et un Bruce Wayne qui a l’air de vouloir parler à son thérapeute : Batman Forever, c’est le moment où Gotham se transforme en décor de laser game. Entre Jim Carrey qui fait du Riddler un startupper schizophrène et Tommy Lee Jones qui cabotine, le film transforme le mythe en vitrine Toys'R'Us. On rembobine cette époque où les studios voulaient vendre des figurines avant de raconter une histoire, et où le Chevalier Noir troquait l’ombre pour les stroboscopes.
Des jouets de guerre sous stéroïdes, une puce militaire qui bug, et une banlieue américaine transformée en champ de bataille : Small Soldiers, c'est Toy Story qui a mal tourné. Comment cette satire explosive des années 90 a-t-elle prédit un futur où Hasbro s’associe avec ChatGPT et Boston Dynamics pour transformer nos jouets en unités tactiques autonomes ? On démonte le Commando d'élite, puce par puce, entre nostalgie VHS et paranoïa techno.
On remonte en selle avec Wild Wild West : cowboys steam-punk, araignée géante et Will Smith en plein freestyle. Comment ce western déjanté est-il devenu un ovni culte de la pop culture ?
On démonte la machine, boulon par boulon, avec chapeau et lunettes d’ingénieur.
On plonge dans le tout premier Fast & Furious : tuning, courses illégales et corona. Comment ce film de bagnoles est devenu une saga culte ? On décortique le mythe, une clé de 12 à la main.