
Tout commence par un rêve prémonitoire, un avion qui explose, et une bande d’ados persuadés d’avoir échappé à la Mort. Mauvaise idée. Très mauvaise idée.
Ici, la Mort ne porte pas de cape, elle préfère les chaînes d’accidents, les tasses de café mal placées et les bouts de métal volants.
Destination Finale, c’est cette saga qui a réussi l’exploit de transformer le hasard en super-vilain.
On revient sur ce concept génial (et complètement tordu), sur ses scènes les plus absurdes, et sur cette étrange satisfaction qu’on ressent quand le destin reprend ses droits, et chaque cri désespéré (“Non, pas le bus !”).
Un classique du genre qu’on démonte avec sérieux, mauvaise foi et un peu trop d’enthousiasme.
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