✨Pourquoi certaines personnes osent-elles se lancer, persévérer et réussir là où d’autres abandonnent ?✨
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on explore le sentiment d’efficacité personnelle. Popularisé par le psychologue Albert Bandura, ce concept décrit la croyance en sa propre capacité à atteindre un objectif ou à surmonter un défi.
L’idée n’est pas de distribuer des recettes miracles, mais de donner des repères pour comprendre pourquoi croire en soi change profondément la manière de vivre ses expériences et d’agir dans le monde.
Références :
Bandura, A. (1997). Self-efficacy: The exercise of control. New York: W.H. Freeman.
Luszczynska, A., & Schwarzer, R. (2005). Social cognitive theory. In M. Conner & P. Norman (Eds.), Predicting health behaviour (2nd ed., pp. 127–169). Maidenhead: Open University Press.
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Jusqu'en septembre 2026, venez découvrir 1 épisode par mois ✨Dans nos têtes✨.
✨Pourquoi certaines personnes vivent-elles les émotions si intensément ?✨
Dans cet épisode de Dans Nos Têtes, on explore l’hypersensibilité. Ce terme, souvent mal compris, décrit un fonctionnement particulier où les émotions et les sensations sont vécues plus fort que la moyenne. Ce n’est pas une faiblesse ni une maladie, mais une manière d’être qui influence la relation au monde, aux autres et à soi-même.
L’idée n’est pas de coller des étiquettes, mais de donner des repères pour comprendre ce fonctionnement, que ce soit pour soi-même ou pour mieux comprendre quelqu’un de proche.
Références :
Bressac, V. (2018). Hypersensibilité et émotions : Étude de la relation entre hypersensibilité sensorielle et régulation émotionnelle [Mémoire de master, Université Toulouse II – Jean Jaurès].
Lacroix, M. (2019). Vivre avec sa personnalité hyper-émotive : rôle de la thérapie [Thèse de doctorat, Université de Sherbrooke].
✨Pourquoi ça fait si mal quand ça se termine ?✨
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on plonge dans une douleur que presque tout le monde a connue, mais qui reste toujours aussi brutale : la rupture amoureuse.
De l’extérieur, on pourrait croire que c’est “juste une histoire qui s’arrête”. Mais à l’intérieur, ça ressemble à une déchirure. Parce que ce n’est pas seulement la personne que tu perds, c’est aussi un projet de vie, des habitudes, des repères, parfois même une partie de ton identité.
Pour préparer cet épisode, je me suis appuyée sur des ressources en psychologie et en neurosciences, mais aussi sur des témoignages, parce que derrière les explications, il y a surtout une expérience profondément humaine : celle de devoir dire adieu à un “nous” pour réapprendre à être un “je”.
Dans cet épisode, on plonge dans un sujet qui nous façonne sans qu’on s’en rende toujours compte : l’éducation.
Ce qu’on nous transmet, ce qu’on observe… et la manière dont tout cela imprime nos choix, nos habitudes, ou même nos manières de voir le monde.
Autour de la table, Paul et Mounsef partagent leurs histoires. On parle de ce qui reste ancré, de ce qu’on réussit à déconstruire, et de ces petites choses qu’on reproduit presque malgré nous.
On se demande : qu’est-ce qui nous appartient vraiment ? Et qu’est-ce qui est le reflet de ce qu’on nous a appris ?
C’est un échange où l’on gratte un peu le vernis, où l’on parle autant de transmission que de liberté.
✨Pourquoi tu t’épuises à toujours vouloir sauver les autres ?✨
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on parle d’un mécanisme qui a l’air noble vu de l’extérieur, mais qui peut te vider de l’intérieur : le syndrome du sauveur.
C’est ce rôle que tu prends presque sans t’en rendre compte, où tu portes les autres, tu es là pour eux quoi qu’il arrive, tu devances leurs besoins… Mais derrière cette générosité, il y a souvent la peur de ne plus compter si tu n’es plus indispensable, ou la crainte d’être abandonné(e) si tu arrêtes de donner.
On va voir ensemble d’où ça vient,. On parlera aussi de la façon dont ça influence nos relations et de ce qu’on peut faire pour s’en libérer. Parce qu’apprendre à dire non, à écouter ses propres besoins, et à exister sans toujours sauver, ce n’est pas de l’égoïsme, c’est une question d’équilibre.
Pour préparer cet épisode, je me suis appuyée sur plusieurs articles et ressources trouvés sur internet, afin de t’apporter un regard clair et accessible sur le sujet.
✨Pourquoi tu as beau réussir, tu ressens toujours que ce n’est “pas mérité” ?✨
Dans cet épisode de Dans Nos Têtes, on plonge dans un sentiment aussi discret que ravageur : le syndrome de l’imposteur.
Ce moment où tu te dis que tu es “juste chanceux·se”, où tu doutes en secret de ta légitimité, où chaque compliment te met mal à l’aise, et où tu vis ta réussite comme un malentendu. Tu n’es pas seul·e : selon la Dre Sandi Mann, 70 % d’entre nous y seront confronté·es un jour. Et ce chiffre grimpe chez les profils perfectionnistes, sensibles, ou issus de minorités.
Mais ce n’est pas juste une question de confiance en soi. Le syndrome de l’imposteur prend souvent racine dans quelque chose de plus profond : l’estime de soi.
Alors dans cet épisode, je te guide à travers ses origines, ses mécanismes, et les profils les plus concernés, pour t’aider à y voir plus clair, mettre des mots sur ce que tu vis peut-être en silence… et commencer à t’en libérer.
Pour construire cet épisode, je me suis appuyée sur deux sources précieuses :
– Le livre Le syndrome de l’imposteur de la Dre Sandi Mann
– Et la thèse clinique de Kévin Chassangre : Le sentiment d’imposture chez les adultes
✨Pourquoi tu te sens parfois divisé(e) comme s’il y avait plusieurs voix en toi qui veulent des choses opposées ?✨
Dans cet épisode de Dans Nos Têtes, je t’emmène au cœur d’un trio psychique aussi fascinant qu’inconfortable : le Ça, le Moi et le Surmoi. Freud a été le premier à dire que notre esprit n’est pas un bloc uni, mais un véritable champ de tensions, où s’affrontent des forces contradictoires.
Comprendre ce qui se joue entre ces instances, c’est aussi apprendre à mieux se repérer, à prendre du recul sur ses réactions, et à vivre avec un peu plus de douceur envers soi-même.
Pour nourrir cet épisode, je me suis appuyé sur le livre "Le Ça et le Moi" de Sigmund Freud.
Dans cet épisode, on parle d’un sujet intime: la spiritualité.
Ce besoin de sens, de lien, de réponses, ou juste de ressentis, face à ce qui nous dépasse.
Avec une invitée qui souhaite préserver l’anonymat, nous ouvrons un espace de parole libre, honnête, où chacune raconte son propre rapport à l’invisible. On se demande s’il faut croire pour tenir, s’il y a un destin, une âme, ou simplement, du hasard.
C’est une discussion entre doutes et convictions, entre silences intérieurs et grandes questions.
Parfois on croit, parfois on ne sait pas trop, et c’est là que ça devient intéressant.
Cet épisode s’adresse à celles et ceux qui cherchent, qui ont cessé de chercher, ou qui ne savent même plus quoi chercher, mais qui sentent qu’il y a peut-être « quelque chose ».
Un échange sans masque, pour poser les mots sur ce qu’on ne voit pas.
✨Et si guérir, ce n’était pas effacer, mais apprendre à rester avec ce qui fait mal ?✨
Dans cet épisode, on explore un sujet que beaucoup préfèrent éviter : la guérison. Pas celle qu’on imagine douce et lumineuse, mais celle qui gratte, qui dérange, qui fait remonter l’ancien.
On parle des 5 blessures de l’âme - rejet, abandon, humiliation, trahison, injustice - non plus pour les comprendre, mais pour voir comment, concrètement, on s’en libère. Ou du moins, comment on apprend à ne plus s’y soumettre.
Parce que guérir, ce n’est pas supprimer ce qui nous a abîmé. C’est arrêter de fuir ce qui a laissé une trace. C’est regarder ses masques, ses réflexes, ses peurs. Et choisir, petit à petit, d’en sortir.
Si tu veux approfondir cette réflexion, je m’appuie ici sur l’ouvrage suivant :
Bourbeau, L. (2021). La guérison des 5 blessures. Éditions Pocket.
✨Et si ce qu’on croyait avoir surmonté n’avait jamais vraiment été regardé ?✨
Dans cet épisode, on parle des blessures de l’âme. Ici, on parle d’humilation, de trahison et d’injustice comme des expériences fondatrices, qui s’impriment profondément et qui continuent, des années après, à parler à travers nous.
Ce ne sont pas juste des émotions passagères. Ce sont des marques anciennes,et tant qu’on ne les reconnaît pas, elles continuent d’agir, quoi qu’on en dise.
Si tu veux approfondir cette réflexion, je m’appuie ici sur l’ouvrage suivant :
• Bourbeau, L. (2001). Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même. Éditions E.T.C.
✨Et si ce qu’on croyait avoir surmonté n’avait jamais vraiment été regardé ?✨
Dans cet épisode, on parle des blessures de l’âme. Ici, on parle du rejet et de l’abandon comme des expériences fondatrices, qui s’impriment profondément et qui continuent, des années après, à parler à travers nous.
Ce ne sont pas juste des émotions passagères. Ce sont des marques anciennes,et tant qu’on ne les reconnaît pas, elles continuent d’agir, quoi qu’on en dise.
Si tu veux approfondir cette réflexion, je m’appuie ici sur l’ouvrage suivant :
- Bourbeau, L. (2001). Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même. Éditions E.T.C.
Dans cet épisode, on explore un sujet qui nous concerne tous, tôt ou tard : sortir de sa zone de confort.
Ce moment où l’on sent que rester là où l’on est ne suffit plus. Ce tiraillement entre sécurité et transformation.
Pour cet échange, je suis accompagnée de Valéria et Alejandra. Ensemble, on revient sur ces choix qui bousculent, ceux qui font peur, qui demandent de lâcher prise, mais qui, au fond, réveillent.
On parle de quitter ce qu’on connaît, d’affronter l’inconnu, et de ce qu’on découvre en chemin, surtout sur soi. C’est parfois fragile, parfois puissant, mais toujours sincère.
Cet épisode s’adresse à tous ceux qui sentent qu’il est temps de bouger, même sans tout comprendre.
C’est une conversation sans filtre, pour se rappeler que c’est souvent en dehors du confort qu’on commence vraiment à vivre.
Ps: Petit souci sonore à trois reprises (grésillements), désolée pour ça et merci pour votre compréhension. :)
Et si ce n’était pas ton entourage, ni les circonstances, mais ton ego qui te freinait au quotidien ?
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on plonge dans ce compagnon invisible qu’on porte tous, ce petit « moi » intérieur qui, sous couvert de nous protéger, risque de nous enfermer. On part à la découverte de son origine, de ses mécanismes, de la façon dont il influence ta perception, tes succès comme tes échecs, et surtout comment on peut apprendre à l’accueillir sans le laisser guider toute notre vie.
Tu découvriras comment l’ego s’est construit à partir de nos blessures, comment il te fait voir le monde à travers ce filtre souvent biaisé, et pourquoi il transforme parfois la réussite en illusion et l’échec en épreuve insurmontable. Le ton est simple, sincère et parlant : c’est une conversation, pas un cours.
Un épisode pour celles et ceux qui souhaitent mieux se comprendre, apaiser les conflits intérieurs, et retrouver un peu de liberté et d’authenticité.
Pour aller plus loin, je me suis appuyé sur ces deux livres :
Lise Bourbeau, La guérison des 5 blessures
Ryan Holiday, L'ego est l'ennemi
Et si la zone de confort n’était pas si confortable que ça ?
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on explore en profondeur ce lieu intérieur où tout semble stable… mais où l’on finit parfois par s’éteindre doucement.
On parle de ces habitudes qui nous rassurent mais nous enferment, de cette impression de paix qui cache parfois une peur de changer, et de cette lente perte d’élan qu’on ne remarque qu’une fois bien installés.
Tu découvriras pourquoi notre cerveau préfère la routine, comment l’inconfort peut devenir un signal de croissance, et surtout pourquoi sortir de sa zone de confort, ce n’est pas se mettre en danger : c’est se donner une chance de vivre plus pleinement.
Un épisode pour celles et ceux qui ont l’impression de stagner, de tourner en rond, ou de ne plus vraiment avancer et qui cherchent à redonner du sens et de la liberté à leur vie.
Pour aller plus loin et approfondir les concepts abordés, voici les références sur lesquelles cet épisode s'appuie : • André, C. (2004). Psychologie de la peur : Craintes, angoisses et phobies. Paris : Odile Jacob. • Wiest, B. (2023). La montagne, c’est toi : Se libérer de l’autosabotage (N. Defays, Trad.). Courrier du Livre.
Et si ce qui nous protège était aussi ce qui nous empêche d’avancer ?
Dans cet épisode de Dans nos têtes, on explore en profondeur les mécanismes de défense psychiques : ces réactions automatiques, souvent inconscientes, que notre esprit met en place pour nous épargner la douleur émotionnelle.
Du déni à la projection, en passant par le refoulement ou l’humour, tu découvriras comment ces stratégies se mettent en place, pourquoi elles sont utiles… et quand elles deviennent un frein.
À travers des exemples concrets et des explications claires, je t’invite à porter un regard nouveau sur tes propres fonctionnements intérieurs. Car mieux les comprendre, c’est déjà commencer à s’en libérer.
Un épisode essentiel pour toutes celles et ceux qui veulent mieux se connaître, comprendre leurs réactions… et avancer vers plus d’authenticité.
( Contenu sensible ) Dans cet épisode, on plonge ensemble dans un sujet intime et universel : la mort. Comment on la perçoit, comment elle nous parle, comment on vit avec cette pensée qui peut faire peur ou au contraire apaiser.
Pour cet échange, je suis accompagnée de Basma et Gabriel. Ensemble, on se pose les vraies questions, on partage nos regards, parfois légers, parfois plus lourds, mais toujours sincères.
Cet épisode s’adresse à tous ceux qui veulent explorer un sujet souvent évité, comprendre différentes façons de vivre avec la mort, ou simplement entendre une conversation vraie, sans fard. C’est une invitation à accueillir ce qui fait partie de notre humanité, même quand c’est compliqué.
Dans une époque où l’on valorise l’indépendance comme un idéal, une force, presque une norme, faut-il vraiment apprendre à ne compter que sur soi ?
Peut-on se construire seul, avancer seul, vivre seul… sans jamais avoir besoin de l’autre ?
Dans cet épisode, on s’interroge sur cette idée très contemporaine d’autosuffisance totale. D’où vient-elle ? Est-elle compatible avec notre vraie nature ? À travers des exemples concrets, des observations issues du monde animal, et des recherches psychologiques, ce podcast explore ce qui, en nous, résiste à ce mythe.
Il y sera question de nos origines biologiques, de notre cerveau social, du rôle fondamental que joue le lien humain dès la naissance — comme l’ont montré les travaux de René Spitz sur les nourrissons privés d’interactions, ou encore les recherches en neurosciences affectives sur la construction de l’identité à travers le regard de l’autre.
Mais plus encore, cet épisode interroge les deux extrêmes : celui de la dépendance affective, et celui de l’autonomie radicale. Deux pôles parfois opposés en apparence, mais qui peuvent tous deux traduire une peur du lien.
Dans cet épisode, les réflexions et les idées sont basées sur plusieurs travaux académiques fondamentaux. Pour aller plus loin et approfondir les concepts abordés, voici les références sur lesquelles cet épisode s'appuie :
Ferraris, A. (2016). Le lien qui libère : pour une approche gestaltiste des besoins relationnels. Paris : L'Exprimeur.
Pervillé, H. (2022). « Le mythe de l’individu autosuffisant : une illusion contemporaine ? », Revue Sociétés et Représentations, Cairn.info.
• Spitz, R. A. (1952). La première année de la vie de l’enfant. Paris : PUF.
( Contenu sensible ) Dans cet épisode, on explore une vision radicale et percutante de la condition humaine à travers Métaphysique de l’amour, métaphysique de la mort d’Arthur Schopenhauer. Au cœur de sa pensée : une force invisible, irrationnelle, persistante — la Volonté.
Qu’est-ce qui nous pousse à vivre, à désirer, à fuir la mort, même quand tout semble vide ? Pourquoi la souffrance semble-t-elle si liée à notre conscience ? Et si l’amour n’était qu’un prolongement de cet élan vital, une ruse de la nature pour continuer l’espèce ?
En s’appuyant fidèlement sur ce texte, cet épisode propose une plongée lucide dans le tragique de l’existence humaine, là où survie, ennui, désir et peur de la fin se répondent sans fin.
Un temps de réflexion brute et honnête, pour aborder autrement ce qui nous anime , même quand on ne sait pas toujours pourquoi. ✨
✨Et si ce que l’on pense être un ‘choix amoureux’ n’était en réalité qu’un reflet de notre environnement capitaliste ?✨
Dans cet épisode de Dans Nos Têtes, nous interrogeons la manière dont nos relations amoureuses sont influencées et modelées par les logiques sociales et économiques de notre époque.
À partir de l’ouvrage La fin de l’amour d’Eva Illouz et d’une mise en perspective historique, nous explorons comment le capitalisme s’est introduit dans l’intime : du passage progressif de l’amour sacré à l’amour-marchandise, à l’émergence d’un “capitalisme relationnel” dans lequel le lien devient un produit, et le partenaire, un profil parmi tant d'autres .
Nous abordons l’illusion du choix dans un monde d’abondance apparente, où la multiplication des profils et la fluidité des outils numériques donnent l’impression de liberté, mais fragilisent la qualité du lien. L'influence des réseaux sociaux qui structurent notre rapport à l’autre, à soi, à la possibilité même de construire quelque chose de durable.
Ce n’est pas un épisode uniquement sur l’amour, mais surtout sur les conditions sociales dans lesquelles nos attachements prennent forme.
🎧 Un épisode pour celles et ceux qui veulent interroger le fond plutôt que la forme, et repenser les relations actuelles.
Dans cet épisode, les réflexions et les idées sont basées sur plusieurs travaux académiques fondamentaux. Pour aller plus loin et approfondir les concepts abordés, voici les références sur lesquelles cet épisode s'appuie :
Illouz, E. (2020). La fin de l'amour. Enquête sur un désarroi contemporain. Seuil.
Deschodt, G. (2010). La pudeur, une clé de lecture du mariage grec ancien ? Hypothèses, (1), 141–153.
Pirenne-Delforge, V., & Pironti, G. (2016). Héra. La déesse du mariage. Les Belles Lettres.