Et coupez ! Dans cet épisode pas d'invité ou disons que l'invitée c'est moi ! Bienvenue dans le dernier épisode de la saison 2 d'Échos de Ferme où je vais revenir sur les moments clés, les épreuves, les enseignements et pleins d'autres choses, notamment s'il y a une suite ou non. Mais patience, je t'en parle à la fin.
L'an dernier, j'avais divisé ces sujets en deux avec un épisode pour faire la conclusion de la saison 1 et partager mon opinion sur le secteur agricole et un autre épisode sur mon expérience de podcasteuse agricole. Cetteannée, j'optimise dans un unique épisode avec toujours la même volonté : restée authentique. J'espère qu'il te plaira.
Allez, c'est parti !
Pour ce dernier épisode de la saison 2 d'Échos de Ferme sur les routes d'Occitanie, retour dans le Tarn-et-Garonne. Cette fois, je donne la parole à Yvon Sarraute, une figure de ce département. Installé en 1971 sur la petite ferme familiale de 15 ha, il nous raconte les évolutions marquantes l'ayant conduit à une ferme de 300 ha toujours diversifiée.
A mon micro, Yvon explique les défis actuels et donne sa vision du métier d'agriculteur à travers son expérience. Une très longue carrière dans le secteur qu'il n'est pas encore prêt d'arrêter au vu de ses engagements. Parce qu'Yvon a toujours chercher à évoluer avec son temps, à anticiper, à rechercher l'innovation dans ses vergers et à promouvoir l'agriculture. Voilà pourquoi il est encore investi aujourd'hui dans plusieurs structures et pour l'emploi agricole.
Terminons cette saison avec un autre regard sur l'agriculture qu'Yvon partage du haut de ses 75 ans. Belle écoute !
Pour ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, nous découvrons Martial, éleveur caprin dans le Lot. Avec ses 300 chèvres il produit du lait qu'il livre à une petite coopérative pour la fabrication du célèbre Rocamadour.
A mon micro, il explique le fonctionnement de sa ferme et de son métier d'éleveur laitier. Il évoque aussi ses frustrations et la pression administrative qui met à mal la liberté de son métier. Il revient sur la filière AOP Rocamadour qu'il défend ardemment. Car Martial est avant tout un défenseur de la ruralité, de l'agriculture locale et de son terroir.
Mais ne deviens pas chèvre, l'épisode commence !
Belle écoute !
Pour ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, prenons de l'altitude en Ariège au milieu des montagnes pyrénéennes. Dans ces paysages sauvages, j'ai rencontré Janice, une nouvelle apicultrice qui a quitté sa carrière de rêve pour retrouver sa créativité au milieu des ruches. Les abeilles, c'est une histoire de femmes, celle de sa mère et maintenant la sienne.
A mon micro, Janice explique son quotidien d'apicultrice et les menaces qui pèsent sur ses colonies comme l'ours mais surtout le frelon asiatique. Elle revient sur l'importance des abeilles qui est le 1er maillon de la chaîne alimentaire pour assurer l'avenir de notre alimentation.
C'est un épisode mielleux, alors pose-toi et viens butiner avec nous.
Belle écoute !
Pour ce dixième épisode de la saison 2, j'ai donné la parole à Marie qui élève des brebis laitières dans le sud de l'Aveyron. Ses brebis fournissent le lait pour la fabrication du célèbre Roquefort.
Marie n'est pas issue du milieu agricole et s'est donc installée hors cadre familial. Elle présente son parcours et le fonctionnement de sa ferme où elle fait aussi de la sélection ce qui apporte un autre volet à son métier d'éleveuse.
A mon micro, elle explique ce qu'est la FCO, la fièvre catarrhale ovine, qui touche les fermes et comment elle s'en prémunie. Elle revient aussi sur son engagement local au sein d'un syndicat agricole et partage son opinion sur la gestion politique nationale et régionale.
Si tu veux écouter son avis, savoir ce qu'est la « promotion utérus » et découvrir son bel écho final, installe-toi et belle écoute !
Départ imminent pour un nouvel épisode dans le Gers, à la limite Ouest de l'Occitanie, pour découvrir les coulisses d'un élevage de canards. Dans la ville de Condom j'ai retrouvé Roseline sur la ferme familiale transmise depuis 5 générations. Ici ils sont éleveurs, gaveurs et conserveurs : 3 casquettes complémentaires pour proposer de la vente directe.
A mon micro, Roseline revient sur son parcours ; elle qui ne voulait absolument pas reprendre la ferme. Elle explique le fonctionnement de son élevage de canards jusqu'au célèbre foie gras. Elle revient sur les défis de cette filière notamment sur le bien-être animal mais aussi la grippe aviaire. Une période éprouvante en tant qu'éleveuse aussi bien économiquement que psychologiquement.
A l'approche des fêtes et avec le froid de canard qu'il fait, ça tombe bien qu'on en parle !
Belle écoute !
Dans ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, prenons le large sur le Bassin de Thau pour découvrir la filière de l'huître, typique du département de l'Hérault. Pour cela, tous à bord pour retrouver Loïc sur le mas ostréicole de la famille Sanchez, l'un des plus gros producteurs de la région.
A mon micro, Loïc présente l'univers de la production d'huîtres sur le bassin, différente de sa cousine élevée dans l'Atlantique. Il nous explique que la France a une place notoire grâce à ses huîtres de qualité reconnues sur le marché mondial. Et la famille Sanchez ne manque pas d'imagination pour être innovante et se démarquer afin de répondre aux attentes du consommateur.
Loïc aborde aussi les défis de son métier liés au changement du climat ou encore aux habitudes de consommation. Représentant la 4ème génération d'ostréiculteurs dans la famille, il revient sur un enjeu crucial : le renouvellement des générations qui touche aussi la filière ostréicole.
Allez viens moussaillon, je t'embarque avec moi !
Pour ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, je suis partie en Camargue chez Jean-Louis, riziculteur depuis 3 générations à Saint-Gilles dans le Gard. Et oui, au-delà des plages et de l'emblématique flamand rose, on y retrouve des rizières avec des plants de riz qui ont toujours les pieds dans l'eau et la tête au soleil.
A mon micro, Jean-Louis explique les étapes de production du riz qui pour lui ne se cultive pas mais s'élève. Ce camarguais passionné par son terroir a su se démarquer de ses concurrents européens et asiatiques grâce à sa marque Canavere et à l'IGP Riz de Camargue.
Jean-Louis revient aussi sur le potentiel de la Camargue et nous rappelle à quel point ce territoire est fragile et lié à la riziculture. Une filière primordiale mais en difficulté alors que cette céréale est indispensable pour notre autonomie alimentaire.
Belle écoute !
Dans ce sixième épisode de la saison 2 d'Échos de Ferme, je t'emmène chez Maïté en Lozère sur le célèbre plateau de l'Aubrac. C'est à plus de 1000 mètres d'altitude qu'elle élève des vaches de la race Aubrac et qu'elle gère aussi un buron avec une partie restauration et chambres d'hôtes.
Ses propos transpirent la passion de l'Aubrac et du partage avec les consommateurs. A mon micro, elle revient sur cette race rustique, autonome et maternelle. Une race avec un patrimoine culturel fort sur le plateau mais surtout une race dite durable qui répondrait aux enjeux environnementaux.
Maïté partage aussi ses difficultés quotidiennes en tant qu'éleveuse et sa vision sur l'avenir de l'agriculture en Lozère, un territoire très rural. Et puis, stop à la controverse car tu apprendras enfin d'où vient vraiment l'aligot !
Belle écoute !
Pour ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, j'ai rendez-vous avec Bernard Ader, céréalier en Haute-Garonne mais pas seulement. Il présente ses nombreuses casquettes, dans l'enseignement, le lobbying mais aussi la complémentarité de ses fonctions actuelles. Un parcours inspirant qui lui confère une vision systémique.
Il explique toutes les méthodes de production qu'il expérimente sur sa ferme, son avis sur l'avenir de la filière céréalière et le fait d'être un bon agriculteur ou pas.
A mon micro, il revient aussi sur les contestations agricoles de début 2024 avec le blocage de la A64 à Carbonne impulsé par Jérôme Bayle. Il partage avec transparence son opinion sur le traitement médiatique mais surtout politique de cette crise agricole.
Un épisode extrêmement riche d'expériences et de recul où Bernard souligne l'urgence agricole pour devenir, comme il le dit, soit des héros soit des salauds. L'épisode est plus long mais vraiment, je te le dis, il vaut le coup !
Belle écoute !
Dans ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, je te fais découvrir la filière du Porc Noir de Bigorre. C'est au milieu des Hautes-Pyrénées que je retrouve Jean-Michel, éleveur de porc gascon notamment et président du Consortium du Noir de Bigorre. C'est un ambassadeur de cette race qui était pourtant vouée à disparaître.
A mon micro, il nous raconte cette belle histoire et les coulisses de cette filière d'excellence reconnue. Jean-Michel nous transmet de beaux messages où l'on comprend que la création de cette filière est liée à une démarche collective, sauvant ainsi cette race et un savoir-faire ancestral. Un témoignage qui invite à regarder le monde autrement et où le bon gras c'est la vie !
Belle écoute !
Pour ce nouvel épisode, je t’emmène chez Mathieu dans l'Aude près de Narbonne. C'est un viticulteur passionné qui malgré les épreuves familiales a repris le flambeau. A mon micro, il transmet son goût pour la recherche continue car Mathieu a une âme de testeur pour innover et limiter son impact environnemental.
Il explique les problèmes majeurs de la filière viticole et les spécificités de son département divisé en deux avec une sécheresse accablante qui met en péril son vignoble et l'avenir de son métier. C'est aussi l'occasion d'entendre son opinion sur les actualités agricoles.
L'épisode est plus long mais il est réalisé dans la bonne humeur et Mathieu nous offre une information en exclusivité sur mon podcast.
Bonne écoute !
Pour ce deuxième épisode de la saison 2 d'Échos de Ferme, nous partons à la découverte de Maxime au milieu de ses vergers de pêches, nectarines et autres fruits estivaux. Des fruits savoureux cultivés sous le soleil catalan près de Perpignan dans les Pyrénées-Orientales. Un climat propice mais aussi difficile avec la sécheresse et le manque d'eau, caractéristiques de ce département.
Maxime nous explique la gestion de l'eau sur sa ferme, son engagement pour le bio et la valorisation de sa production notamment avec la structure Sibio. Il partage avec franchise son opinion sur l'agriculture française où selon lui la solution sera l'adaptation. Un épisode pleins de vitamines pour l'été.
Belle écoute !
Le premier épisode de la saison 2 d'Échos de Ferme est enfin là, il était temps. Aujourd’hui nous rencontrons Stella qui gère l'exploitation du lycée agricole d'Albi-Fonlabour dans le Tarn. Cette ferme est en polyculture-élevage bovin, un système typique de ce territoire et aux nombreux avantages.
Stella a un parcours pour le moins inhabituel qui l'a amené à vouloir développer des projets agro-écologiques sur cette ferme en cohérence avec les objectifs pédagogiques de formation. Et oui, cet épisode est aussi l'occasion de parler de l'enseignement agricole, de faire un point sur les vocations et de comprendre les freins actuels à l'installation. Que tu sois issu du milieu agricole ou non, Stella partage de beaux messages à travers son expérience où la résilience est la clé.
Belle écoute !
Bonjour !
Très heureuse de te retrouver pour la reprise d'Échos de Ferme avec une nouvelle saison de témoignages d'agriculteurs et agricultrices passionnés. Cette fois-ci, je pars sur les routes d'Occitanie et de ses 13 départements.
Dans ce nouvel épisode, je t'explique comment cela va se passer et les particularités de cette saison 2.
Belle écoute !
Dans ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, partons à la découverte d'un domaine viticole, le Château Baudare, situé dans la région du Frontonnais.
Nous sommes accueillis par David, 5ème génération de vignerons qui nous partage sa passion du vin. Il nous présente les particularités de son domaine, de l'AOP Fronton ainsi que sa recherche du meilleur assemblage pour se démarquer, ce qui lui a déjà valu de remporter plusieurs prix.
Pendant cette interview, David nous explique comment il relève les défis agronomiques face aux aléas climatiques et aux maladies avec une agriculture raisonnée et dans le respect de la certification HVE (Haute Valeur Environnementale). L'occasion d'échanger avec lui sur les récentes polémiques à ce sujet et d'avoir son opinion sur la filière viticole.
Belle écoute !
Oyez, oyez jeunes gens, la saison 1 d'Échos de Ferme est fini. Ce mini épisode sera dédié à mon bilan en tant que podcasteuse agricole pour te partager mon expérience avec authenticité.
Aujourd'hui, prenons du recul ensemble sur cette belle aventure humaine que j'ai vécu.
Belle écoute !
Dans ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, l'invité c'est moi-même, Sophie. Après 12 interviews, j'ai décidé de prendre la parole seule pour faire un bilan de cette saison 1. C'est l'occasion de donner mon avis sur la filière et l'avenir de l'agriculture française et donc de notre assiette. Mais c'est aussi l'occasion de laisser mon propre écho en tant qu'ingénieure agronome et podcasteuse agricole.
Belle écoute !
Pour ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, nous découvrons Arnaud, ingénieur agronome de formation qui a décidé de s'installer pour élever près de 18 000 poules pondeuses. Après avoir visité les installations et rencontré toutes ces pipelettes, nous avons pris le temps de discuter de son parcours et de son quotidien d'éleveur.
C'est surtout un échange fourni pour comprendre la réalité de la filière de l’œuf et donc de l'élevage de poules pondeuses. Alors ne va surtout pas te faire cuire un œuf avant la fin de l’épisode car promis, tu vas apprendre de nouvelles choses !
Belle écoute !
Dans ce nouvel épisode d'Échos de Ferme, je te fais découvrir l'un des plus grands producteurs de pommes du Tarn-et-Garonne, la ferme familiale Buratti. Leurs pommes sont exportées dans le monde entier et contribuent à la réputation de la pomme française, dite la French Pomme.
Aurélie, la fille, m'a ouvert les portes de l'unité de triage et de conditionnement très sophistiquée et a accepté de parler de son quotidien.
À mon micro, elle partage avec transparence l'histoire de cette structure, leur fonctionnement et leurs choix. Aurélie nous expose les contraintes qu'ils doivent surmonter en tant que grosse exploitation aussi bien au niveau structurel que conjoncturel. Comme la majorité des arboriculteurs, le manque de main d’œuvre est une problématique qui selon elle va sceller l'avenir de la filière pomme.
Belle écoute !
