Comment s’organiser pour créer un roman complexe qui se passe à l’époque victorienne?
Choisit-on plus un livre pour sa couverture ou pour son titre? Comment arrive-t-on à laisser aller nos personnages quand un livre est terminé?
Dans ce dernier épisode de la saison 2, Marie-Christine et Geneviève discutent avec la très talentueuse Heather O’Neill de ses sept incroyables romans publiés et des ses trois autres jetés aux poubelles. L’autrice anglophone parle de son enfance particulière entre les États-Unis et Montréal, des mères absentes dans ses livres et parallèlement de sa relation très fusionnelle avec sa fille et enfin de sa méthode post-it . Surtout, elles parcourent ensemble son dernier roman « Valentine in Montreal ».
Bonne écoute!
Est-ce que l’écriture peut être une forme de justice alternative
Comment on se reconstruit après une tentative de meurtre ?
Et comment peut-on encore faire confiance aux hommes après ça?
Dans cet épisode, Geneviève et Marie-Christine reçoivent la très résiliente Geneviève Rioux. Avec elle, elles parlent de sa prise de parole via la poésie et l’écriture, des dommages collatéraux d’un traumatisme, de son sujet de doctorat qui porte sur les identités narratives et de sa relation très spéciale avec David Goudreault. Surtout, on plonge dans son roman page turner « Même pas morte ».
Bonne écoute!
Est-ce que c’est facile de laisser aller un roman qu’on a écrit pendant 15 ans? Et est-ce qu’écrire un roman à succès, c’est vraiment ça le rêve? Comment un « finance bro » devient-il un des auteurs les plus encensés de sa génération? Dans cet épisode bercé par la voix envoûtante d’Éric Chacour, Geneviève et Marie-Christine font le saut quand elles apprennent que ce dernier planifie ses romans comme un budget… Avec Excel. Avec lui, elles parlent également du succès monstre de son premier roman « Ce que je sais de toi », de son éditrice qui croyait au canular et de son véritable rêve, la musique.
Bonne écoute!
Comment devient-on la référence en essai féministe dans une librairie? Comment devient-on spécialiste des livres zinzin? Est-ce qu’aimer les livres zinzin, ça teinte notre écriture elle-même à être zinzin? Qu'est-ce qu'un livre zinzin!? Et surtout, comment devient-on poète quand la poésie nous fait peur? Dans cet épisode, Marie-Christine et Geneviève plongent dans l’univers de Sayaka Araniva-Yanez et explorent les thèmes du divin, de la moisissure et de la machine. Avec cet·tte poète, elles parlent de la barrière de la langue entre enfant et parent, d’écrire des romans dont vous êtes le héros sur internet et de son recueil de poésie lauréat du Prix des libraires de 2024 : « Je regarde de la porno quand je suis triste ». Bonne écoute!
Est-ce que c’est correct de faire des modifications jusqu’à la dernière minute? Qui entre l’éditrice et chatGPT donne les meilleurs conseils pour une autrice stressée par la publication de son premier livre? Et en dehors de l’écriture, comment échapper à la pression de vouloir tout optimiser dans la société? Dans cet épisode, Geneviève et Marie-Christine reçoivent l’ancienne journaliste, autrice et chroniqueuse à Urbania, Jessica Beauplat. Avec elle, elles parlent des gens qui trompent leur partenaire avec Strava, de la nostalgie du Zellers, de sa grande passion pour l’Angleterre et de son livre « Le corps dans tous ses états ».
Est-ce qu’on devrait être dérogatoire dans la vie, point? Est-ce qu’on a vraiment besoin des brainstorms? Qu’est-ce que ça fait d’avoir écrit des livres qui se sont vendus à plus de 100 000 exemplaires? Et surtout, est-ce qu’on a besoin de plus de chevaux métaphoriques dans nos livres? Dans cet épisode, Marie-Christine et Geneviève discutent avec Rafaële Germain de sa carrière en télé et d’écrire des affaires le fun qui font du bien. Avec l’autrice de « Soutien-gorge rose et veston noir », elles parlent aussi du terme chick lit et elles se demandent sérieusement si « Le compte de Monte-Cristo » c’est justement pas un peu de la chick lit. Bonne écoute!
Est-ce que les prix littéraires québécois font du racisme systémique? Pourquoi la littérature autochtone est-elle reléguée au statut de littérature de « genre » au Québec? C’est quoi les défis d’être traduits dans plusieurs langues? Ça a l’air de quoi la vie d’un écrivain occupé et à temps complet? Et de celle d’un Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres? Dans cet épisode, Marie-Christine et Geneviève reçoivent Michel Jean et discutent de succès littéraire tardif, de la couverture de « Kukum » qui a propulsé le livre en France et qui a causé quelques soucis de traduction. Bonne écoute!
Est-ce que c’est cliché de dire qu’on a toujours rêvé de devenir écrivaine? Est-ce qu’exercer le métier d’éditrice peut affaiblir la créativité ? Qu’est-ce qui allume la flamme d’écriture : les thèmes ou les personnages? Ou bien c’est autre chose? Dans cet épisode, Marie-Christine et Geneviève plongent dans l’univers de l’autrice prolifique Myriam Vincent, et, avec elle, se lancent dans des discussions sur la poésie et l’art de prendre son temps pour écrire… À la main! Elles parlent également de la fin de « Furie », son premier roman, et de son tout dernier livre qui fait peur « La nuit du cadavre ».
Peut-on parler d’amour et de désir sans être fétichisée quand on est une femme grosse? Pourquoi c’est encore aussi choquant d’écrire le mot « grosse » en 2025? Et pourquoi ce l’est encore plus quand on le met dans son titre de roman? Dans cet épisode, Geneviève et Marie-Christine discutent avec l’autrice de « La grosse qui rêvait d’amour » et ensemble, elles vivent un moment nostalgique de l’époque des Skyrock, Skyblog et compagnie, du syndrôme de l’imposteur en littérature et des nombreuses fan fiction que Nadia aurait écrites dans sa vie.
Qu’est-ce qu’une bonne fin de roman? Faut-il toujours avoir un punch? Ou faut-il toujours se réinventer d’un roman à l’autre? Qu’est-ce qui différencie un écrivain d’un auteur, ou d’un romancier? Et doit-on être gentil et gentille avec Chat GPT au cas où dans 50 ans l’IA se retournerait contre nous? Dans ce premier épisode de la saison 2, Geneviève et Marie-Christine parlent avec Hugo Meunier de quelques-unes de ses immersions journalistiques, de ses millions de dollars perçus en droit d’auteur et de ses « Péchés ordinaires » (son dernier roman).
« Moi, je ne crois pas à ça, l’inspiration », explique Geneviève Pettersen, qui croit beaucoup plus à la rigueur et à l’effort. Dans ce dernier épisode de la saison régulière, on y va à fond avec cette animatrice radio : on parle de tous les chapeaux qu’elle a portés et qui l’ont menée à écrire « La déesse des mouches à feu », de son rythme d’écriture, de sa vie bien occupée et de sa passion pour les chiens. Oui-oui. Bonne écoute!
Les romans graphiques et les bandes dessinées, ça vous dit tu quelque chose? Si vous êtes comme notre chère co-animatrice Marie-Christine, eh ben, vous risquez d’apprendre pas mal d’affaires sur les processus de création qui viennent avec la fabrication d’une bande dessinée. Avec Samuel Cantin, on remonte dans le temps, en 2010, à l’ère des blogues, et on se demande si ce sont les mots ou les images qui viennent en premier dans la tête d’un bédéiste. On parle de son chef-d’œuvre, « Whitehorse » adapté au théâtre Duceppe et de son prochain film qui paraît bientôt, « Vil et Misérable », adapté de sa bande dessinée du même nom. Ah et on vous donne peut-être envie d’aller au ciné.
Est-ce qu’un blocage créatif peut être causé par une surcharge de travail ? Peut-on oublier le plaisir d’écrire à cause des deadlines ? Est-ce que nos échecs amoureux peuvent nourrir notre plume ? Dans cet épisode touchant et révélateur des enjeux profonds que rencontrent plusieurs auteurs et autrices, Matthieu Simard nous parle de ses questionnements incessants, de ses trips d’écriture et des angoisses qu’il ressent envers le milieu littéraire et la critique. Le tout, en nous parlant un tout petit peu de son nouveau livre épistolaire paru le 14 novembre, « Presse-Jus », coécrit avec la talentueuse Valérie Chevalier.
Qu’est-ce que ça représente d’être autrice dans la vie d’une fille de télé? Est-ce que tous les moyens sont bons pour raconter une bonne histoire? Écrit-on pour permettre aux gens de s’évader? Dans cet épisode, l’animatrice, chroniqueuse, comédienne et écrivaine Valérie Chevalier nous parle de son arrivée dans le monde de l’édition, de ses processus de création et de son amour pour les mots. L’autrice de sept livres aux Éditions Hurtubise nous parle aussi de son nouveau roman épistolaire à venir en novembre 2024 et de sa grande passion pour la chick-litt.
Faut-il être obsédé pour écrire? Qu’est-ce que ça prend pour écrire une bonne autofiction? Écrit-on pour être vu? Dans cet épisode, Marie Demers nous parle de sa volonté de ne pas être consensuelle, de sa façon d’écrire pour déranger les gens, de la réception de son dernier livre, Les détournements, des critiques virulentes sur Reddit et de sa difficulté d’écrire le dernier tome de sa trilogie Leslie & Coco.
Qu’est-ce qui donne envie d’écrire? Et qu’est-ce qui donne le goût d’écrire de l’humour? Comment on jongle entre les blagues et le roman? Entre la vie de maman et la vie d’autrice? Dans cet épisode, Gabrielle Caron, autrice de Hanter Villeray, nous parle de son changement drastique de carrière, de ses lectures marquantes et de son amour gênant pour le Romantasy, plus particulièrement pour la « terrible » série Fallen Crest.
Qu’est-ce qu’il a de le fun à faire quand on grandit à Plessisville? Comment devient-on un auteur de théâtre, et puis un auteur de roman? Comment peut-on s’amuser avec les lecteurs et lectrices? Dans cet épisode, le romancier, dramaturge, comédien et metteur en scène, Jean-Philippe Baril-Guérard nous parle de sa passion pour le jeu sur scène, de son complexe de performance, de ses personnages qu’on a du mal à aimer, mais de ses livres qu’on adore, et de son amour des dragons (et des donjons).
Est-ce qu’on a un nombre limité de bonnes idées dans notre vie? C’est quoi, avoir du flair en tant que lecteur ou lectrice? Corner nos pages de livres, pour ou contre?? Dans cet épisode, Carolanne Foucher nous parle de sa job alimentaire, l’écriture, de la réaction du lectorat face aux thèmes difficiles abordés dans ses livres, de son teint complètement glowie et de ses habitudes/manies de lectrice!
Qu’est-ce qui inspire un auteur de l’horreur? Comment garder un rythme d’écriture après 30 ans de carrière? Ça s’écrit comment, une bonne histoire? Comment gérer la censure? Comment trouver sa place dans le monde littéraire quand on écrit de la paralittérature? Dans cet épisode, Geneviève Morin et Marie-Christine Chartier parlent avec l'auteur d'horreur et de suspense le plus prolifique au Québec, Patrick Sénécal.
Dans ce premier épisode de la série, Marie-Christine Chartier parle de sa description Google qui la qualifie de joueuse de tennis de haut niveau, de sa cadence incroyable d'écriture et des sujets qui l'inspirent. Parallèlement, Geneviève Morin explique à quel point elle est nerd, puis parle de sa cadence incroyablement lente d’écriture et de son cerveau divergent. Bonne écoute!