LIBRES ECHANGES évolue et devient MISMATCH !
Bienvenue sur MISMATCH. [traduction : décalage, écart, disparité, asymétrie, déséquilibre, manque d’accord, discordance]
MISMATCH, c’est l’envie d’étudier les mutations du monde en croisant les visions, les approches, les perceptions des changements.
MISMATCH, c’est l’envie de décoder posément les attentes et les points de crispation autour de sujets émergents.
MISMATCH, c’est l’envie d’explorer de nouvelles frontières en alliant l’expertise et la spéculation audacieuse.
Un programme animé par Olivier Jacquemond pour l’ESCE, l’École Supérieure du Commerce Extérieur, et l’IFG Executive Education, du groupe Omnes Education.
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MISMATCH, c’est l’envie de décoder posément les attentes et les points de crispation autour de sujets émergents.
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Un programme animé par Olivier Jacquemond pour l’ESCE, l’École Supérieure du Commerce Extérieur, et l’IFG Executive Education, du groupe Omnes Education.
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Chaque année, 13 millions de personnes, soit un français sur cinq, souffrent d'une maladie psychique. Au cours de son existence, 1 personne sur 3 souffrira de dépression, troubles anxieux, TOC, troubles du comportement alimentaire, bipolarité, schizophrénie. Depuis la crise sanitaire, la santé mentale s'est dégradée et les troubles socio-psychologiques s'invitent sur tous les plans de l'existence et parmi toutes les catégories sociales. Alors si nous avons fait le choix de nous concentrer sur le travail, c'est en raison de la dimension structurante qu'il revêt dans la construction de l'identité et l'équilibre de chacun. Si 70% des salariés français considèrent le travail comme important, 87% des salariés le voient comme premier facteur agissant sur leur état psychologique.
Alors le travail, facteur de bien-être ou agent du malaise ? Partie du problème ou de la solution ?
Pour répondre à ces questions, Olivier Jacquemond reçoit Dominique Méda, professeure de sociologie à l'Université Paris Dauphine-PSL, présidente de l'institut Veblen et spécialiste des questions relatives au travail, à l'emploi, aux politiques sociales et à la reconversion écologique ; Gaëlle Deharo, docteur HDR en droit privé, et enseignante chercheuse à l'ESCE ; Hélène Garner, agrégée d'économie et docteur en sciences de gestion, directrice des Données et Études de l'APEC.
Et enfin, à distance, Aurélie Judlin, DG de Stimulus, cabinet expert de la santé psychologique au travail.
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Qu’on parle d’un service public de la culture ou des politiques publiques de la culture, ce qui semble faire tenir debout tout l’édifice, c’est ce terme polysémique de public.
Directeur de scène nationale ou compagnie émergente, collectivités territoriales ou lieux intermédiaires, le public ne renvoie pas forcément à une même réalité. Et pourtant chacun s’en réclame volontiers pour asseoir sa légitimité, gagner des arbitrages.
Aujourd’hui, alors que la culture est dans tous ses états, nous avons choisi pour dresser les états de la culture de nous tourner vers des acteurs qui représentent la belle diversité du secteur, qui font vivre la culture, l’expression artistique et citoyenne.
Pour parler des pratiques culturelles, du spectacle vivant et de ses publics, Olivier Jacquemond reçoit dans la première partie : Flora Saladin, responsable du développement des publics au sein de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris et professeure à Paris 8 dans le cadre du parcours culturel et artistique international, Jenny Lauro Mariani, dramaturge et metteuse en scène, co-directrice du collectif Avant Nous le Déluge, Valia Kardi, artiste performeuse, curatrice et chargée du développement des projets culturels au sein de Main d’Œuvre, et Marjorie Glas, socio-historienne, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 2 et autrice de Quand l’art chasse le populaire, fruit de sa thèse menée à l’EHESS.
Dans la deuxième partie, Olivier Jacquemond reçoit Isabelle Ronayette, comédienne, metteuse en scène, fondatrice de la compagnie de théâtre LRIR. Elle a également lancé le festival Micra Cosmos entre Belle-Île-en-mer et Lorient, avec des jeunes, à qui elle fait découvrir/vivre le théâtre dans toutes ses dimensions. Au programme : transmission, du jeune public et des défis de la création théâtrale aujourd’hui.
Pour en savoir plus sur Dislex, le spectacle d'Isabelle autour de la dyslexie : https://vimeo.com/862864506
Pour en savoir plus sur le festival Micra-Cosmos : https://vimeo.com/1122663501/49ee3ea2bb?share=copy
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Dans cette deuxième partie, Olivier Jacquemond reçoit Isabelle Ronayette, comédienne, metteuse en scène, fondatrice de la compagnie de théâtre LRIR. Elle a également lancé le festival Micra Cosmos entre Belle-Île-en-mer et Lorient, avec des jeunes, à qui elle fait découvrir/vivre le théâtre dans toutes ses dimensions.
Au programme : transmission, du jeune public et des défis de la création théâtrale aujourd’hui.
Pour en savoir plus sur Dislex, le spectacle d'Isabelle autour de la dyslexie : https://vimeo.com/862864506
Pour en savoir plus sur le festival Micra-Cosmos : https://vimeo.com/1122663501/49ee3ea2bb?share=copy
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Qu’on parle d’un service public de la culture ou des politiques publiques de la culture, ce qui semble faire tenir debout tout l’édifice, c’est ce terme polysémique de public.
Directeur de scène nationale ou compagnie émergente, collectivités territoriales ou lieux intermédiaires, le public ne renvoie pas forcément à une même réalité. Et pourtant chacun s’en réclame volontiers pour asseoir sa légitimité, gagner des arbitrages.
Aujourd’hui, alors que la culture est dans tous ses états, nous avons choisi pour dresser les états de la culture de nous tourner vers des acteurs qui représentent la belle diversité du secteur, qui font vivre la culture, l’expression artistique et citoyenne.
Pour parler des pratiques culturelles, du spectacle vivant et de ses publics dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Flora Saladin, responsable du développement des publics au sein de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris et professeure à Paris 8 dans le cadre du parcours culturel et artistique international, Jenny Lauro Mariani, dramaturge et metteuse en scène, co-directrice du collectif Avant Nous le Déluge, Valia Kardi, artiste performeuse, curatrice et chargée du développement des projets culturels au sein de Main d’Œuvre, et Marjorie Glas, socio-historienne, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 2 et autrice de Quand l’art chasse le populaire, fruit de sa thèse menée à l’EHESS.
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Quel employeur n’a jamais rêvé de voir ses salariés abattre le travail plus vite, obtenir des résultats plus précis et boucler l’ensemble de leurs dossiers avant les dead lines ? De son côté, quel salarié n’a pas rêvé de terminer plus tôt sa journée, pour retrouver sa famille, ses amis, pour s’adonner à ses passions ou simplement pour rêvasser.
Ce rapport entre temps passé au travail et tâche réalisée porte un nom bien connu : la productivité.
Mais à qui profite-t-elle ? Pourquoi a-t-on les yeux rivés sur elle ? Est-ce la seule mesure de qualité du travail ?
Chapitres :
#1 Introduction 00'57
#2 Description des mécanismes 01'30
#3 Impact de la productivité 10'25
#4 Effets négatifs de la baisse de productivité 17'42
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Imaginez un monde où chaque individu possède une réplique virtuelle de son corps, réagissant en parfaite synchronisation avec lui. Ce jumeau numérique, nourri par nos données médicales, génétiques et comportementales, existe déjà, et il suscite à la fois espoirs, fantasmes et craintes.
Un big-bang s'annonce dans le domaine de la santé. Médecine, biologie, épidémiologie, informatique, sciences des données, sciences comportementales, droit, éthique – et bien d'autres encore – convergent autour de ce sujet fascinant.
Pour en parler, Olivier Jacquemond reçoit Marguerite Brac de la Perrière, avocate associée, numérique et santé au cabinet Fieldfisher, Philippe Gesnouin, responsable du programme Santé Numérique / Digital Health Program Leader à l’INRIA, Serge Soudoplatoff, expert-conférencier sur le numérique en santé, créateur de MENTIA, et Claire Garand, auteure de science-fiction.
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Doit-on vivre vite pour vivre heureux ? Ou au contraire, faut-il décélérer, ralentir le rythme, pour établir un nouveau mode de relation plus apaisé au monde, aux autres, à soi ? N’y aurait-il pas urgence à ralentir ?
Chapitres
#1 Introduction 01'01
#2 Augmentation et accélération des déplacements...01'38
#3 Mobilité et inégalités sociales 13'15
#4 Les impacts sur l'environnement 19'47
#5 Covoiturage, rationnement, infrastructures...que faire ? 25'00
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Une volonté de revenir à une alimentation plus locale est en marche chez les consommateurs, les producteurs et les politiques.... Mais comment concrétiser de belles intentions et changer durablement nos modes de production et de consommation ? Jusqu’où peut-on aller dans la « reterritorialisation » ? L'« indépendance alimentaire » est-elle un horizon réaliste ? C’est à ces questions que nous répondrons dans Circuits courts : face à la mondialisation, manger local ?
Chapitres
#1. Le mythe d’une production alimentaire autosuffisante 1’59
#2. La solution offerte par les circuits courts 10’22
#3. Les zones d’ombres 16’58
#4. Conclusion : face à la mondialisation, manger local ? 19’09
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Lors des confinements de 2020, les citadins ont fait l’expérience aigüe de leurs sens, ils ont appris à distinguer ce qui les entoure, les englobe et leur demeurait invisible. Les travailleurs de première ligne, venant souvent de loin pour faire tourner l’économie et procurer les produits de première nécessité dont ils avaient besoin, mais aussi les animaux sauvages, qui s’emparaient de la ville, vide d’occupants et de circulation. Si les urbains exprimèrent leur reconnaissance pour les travailleurs, c’est un autre sentiment qui émergea face au retour de la nature dans nos villes : l’émerveillement. Voir des cerfs, des chevreuils, des renards, entendre le chant des oiseaux nous procura un plaisir primaire, essentiel. Devenus inactifs, ce surgissement inattendu nous permit de redécouvrir ce que l’humain et les animaux partageaient : être vivants.
À l’issue de la pandémie, certains ont fait le choix de quitter la ville pour s’installer à proximité de la nature, montrant que la ville perdait de son attractivité et que son imaginaire s’était quelque peu tari. Et pourtant… la ville, autrefois espace d’émancipation, de rencontre, de tolérance, ne serait-elle pas justement l’endroit propice pour réfléchir au mode de relation à construire avec les animaux ? Loin de la robinsonnade, la ville, lieu de tous les vivants ?
Pour en parler, dans la première partie, Olivier Jacquemond reçoit Léa Mosconi, architecte, maîtresse de conférences à l’ENSA Nantes, cofondatrice de l’atelier Bony Mosconi, présidente de la Maison de l’architecture en Île-de-France et commissaire scientifique de l’exposition Paris Animal présentée au Pavillon de l’Arsenal en 2023, Nathalie Blanc, géographe et plasticienne, directrice de recherche au CNRS et directrice du Centre des Politiques de la Terre, et Joëlle Zask, philosophe,maîtresse de conférences à l’Université d’Aix-Marseille, membre de l’Institut universitaire de France et du Centre Norbert Elias et auteure de « Zoocities. Des animaux sauvages dans la ville ».
Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Simon Cobigo, architecte, paysagiste et cataphile pour parler de biotope, de régénération hydrique, mais aussi de formes d'intervention légère, ludique éphémère dans l'espace public.
0:44 Introduction
2:00 Le débat avec Léa Mosconi, Nathalie Blanc et Joëlle Zask
1:04:37 Le face à face avec Simon Cobigo
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Lors des confinements de 2020, les citadins ont fait l’expérience aigüe de leurs sens, ils ont appris à distinguer ce qui les entoure, les englobe et leur demeurait invisible. Les travailleurs de première ligne, venant souvent de loin pour faire tourner l’économie et procurer les produits de première nécessité dont ils avaient besoin, mais aussi les animaux sauvages, qui s’emparaient de la ville, vide d’occupants et de circulation. Si les urbains exprimèrent leur reconnaissance pour les travailleurs, c’est un autre sentiment qui émergea face au retour de la nature dans nos villes : l’émerveillement. Voir des cerfs, des chevreuils, des renards, entendre le chant des oiseaux nous procura un plaisir primaire, essentiel. Devenus inactifs, ce surgissement inattendu nous permit de redécouvrir ce que l’humain et les animaux partageaient : être vivants.
À l’issue de la pandémie, certains ont fait le choix de quitter la ville pour s’installer à proximité de la nature, montrant que la ville perdait de son attractivité et que son imaginaire s’était quelque peu tari. Et pourtant… la ville, autrefois espace d’émancipation, de rencontre, de tolérance, ne serait-elle pas justement l’endroit propice pour réfléchir au mode de relation à construire avec les animaux ? Loin de la robinsonnade, la ville, lieu de tous les vivants ?
Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Léa Mosconi, architecte, maîtresse de conférences à l’ENSA Nantes, cofondatrice de l’atelier Bony Mosconi, présidente de la Maison de l’architecture en Île-de-France et commissaire scientifique de l’exposition Paris Animal présentée au Pavillon de l’Arsenal en 2023, Nathalie Blanc, géographe et plasticienne, directrice de recherche au CNRS et directrice du Centre des Politiques de la Terre, et Joëlle Zask, philosophe,maîtresse de conférences à l’Université d’Aix-Marseille, membre de l’Institut universitaire de France et du Centre Norbert Elias et auteure de « Zoocities. Des animaux sauvages dans la ville ».
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Documenter des crimes de guerre grâce à des vidéos de témoins publiées sur les réseaux sociaux, révéler des scandales environnementaux à l’aide d'images satellites, identifier un terroriste avec l’assistance de caméras de surveillance, prouver l’implication d’officiers russes dans la tentative d’assassinat de Navalny en consultant les cartes d’embarquement sur les compagnies aériennes, tout ceci n’est pas réservé aux services de renseignement, mais rendu possible à toutes et à tous à partir des informations et données disponibles en ligne.
Ce domaine d’investigation s’appelle l’OSINT, soit open source intelligence, et peut se définir comme « un ensemble de pratiques consistant en la collecte et l’exploitation systématique d’informations provenant de sources accessibles au public dans le but de répondre à un besoin d’informations ».
Mais répond-il à ce besoin, parvient-il à nous éclairer, à révéler des zones grises de l’information, ou participe-t-il de ce brouillage actuel du trop de données, trop d’informations ? L’OSINT, au-delà de l’investigation, peut-elle nous inspirer pour désaturer le sens, nous guider dans un environnement complexe et conflictuel et nous aider dans la prise de décision ?
Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Renault, chercheur en renseignement guerre et stratégie à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM), visiting fellow au King's College de Londres et enseignant à Sciences Po Paris, Allan Deneuville, maître de conférences à l'université Bordeaux Montaigne, vice-président Relations Internationales de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication, co-directeur, avec Gala Hernández López, de la structure "Après les Réseaux Sociaux" et en charge du pôle recherche de l'association leader de l'OSINT en France OpenFacto, et Hervé Letoqueux, ancien analyste pour la douane judiciaire, puis assistant spécialisé en cyber auprès du pôle antiterroriste du Tribunal Judiciaire de Paris et fondateur de l’association OpenFacto et actuellement chef de la division des opérations à VIGINUM, le service technique et opérationnel de la France chargé de la vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères.
Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Lého Galibert-Laîné, réalisateur de film et maître de conférence en cinéma à l'Université américaine de Paris.
0:52 Introduction
1:53 Le débat avec Clément Renault, Allan Deneuville et Hervé Letoqueux,
1:06:21 Le face à face avec Lého Galibert-Laîné
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Enquête OSINT, un jeu très sérieux ? LE FACE À FACE
Dans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Lého Galibert-Laîné, réalisateur de film et maître de conférence en cinéma à l'Université américaine de Paris.
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Documenter des crimes de guerre grâce à des vidéos de témoins publiées sur les réseaux sociaux, révéler des scandales environnementaux à l’aide d'images satellites, identifier un terroriste avec l’assistance de caméras de surveillance, prouver l’implication d’officiers russes dans la tentative d’assassinat de Navalny en consultant les cartes d’embarquement sur les compagnies aériennes, tout ceci n’est pas réservé aux services de renseignement, mais rendu possible à toutes et à tous à partir des informations et données disponibles en ligne.
Ce domaine d’investigation s’appelle l’OSINT, soit open source intelligence, et peut se définir comme « un ensemble de pratiques consistant en la collecte et l’exploitation systématique d’informations provenant de sources accessibles au public dans le but de répondre à un besoin d’informations ».
Mais répond-il à ce besoin, parvient-il à nous éclairer, à révéler des zones grises de l’information, ou participe-t-il de ce brouillage actuel du trop de données, trop d’informations ? L’OSINT, au-delà de l’investigation, peut-elle nous inspirer pour désaturer le sens, nous guider dans un environnement complexe et conflictuel et nous aider dans la prise de décision ?
Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Renault, chercheur en renseignement guerre et stratégie à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM), visiting fellow au King's College de Londres et enseignant à Sciences Po Paris, Allan Deneuville, maître de conférences à l'université Bordeaux Montaigne, vice-président Relations Internationales de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication, co-directeur, avec Gala Hernández López, de la structure "Après les Réseaux Sociaux" et en charge du pôle recherche de l'association leader de l'OSINT en France OpenFacto, et Hervé Letoqueux, ancien analyste pour la douane judiciaire, puis assistant spécialisé en cyber auprès du pôle antiterroriste du Tribunal Judiciaire de Paris et fondateur de l’association OpenFacto et actuellement chef de la division des opérations à VIGINUM, le service technique et opérationnel de la France chargé de la vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères.
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86% des Français se disent préoccupés par le changement climatique, et pourtant la cause écologique patine malgré la vigueur et créativité des activistes sur le terrain, la parole de leaders d’opinion et la mobilisation à l’échelle mondiale d’une jeunesse vigilante. Comme si l’agenda pour la planète butait sur l’agenda budgétaire, économique, électoral, reléguant la crise écologique au bas des programmes politiques.
Comment parvenir à briser le plafond vert ? Surtout, comment s’y prendre en tant que militante et militant, en tant qu'activiste, en tant que chercheuse, chercheur, en tant que think tank, pour convertir l’indignation morale et les déclarations de bonnes intentions générales en élan démocratique profond et durable ?
Pour en parler, Olivier Jacquemond reçoit dans la première partie (jusqu'à 1:06:00) Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique, membre du comité de rédaction de la revue Esprit et présidente du Prix du roman d’écologie, Fabien Locher, historien de l’environnement, chargé de recherche au CNRS et co-auteur du livre Les Révoltes du ciel, et Léa Falco, cofondatrice du collectif Construire l’écologie, elle travaille également à la formation des agents publics aux enjeux écologiques.
Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Pauline Lida, chorégraphe, directrice artistique et co-fondatrice de Minuit 12, un collectif de création et de recherche destiné aux artistes qui explorent les thématiques écologiques.
0:35 Introduction
2:18 Le débat avec Lucile Schmid, Fabien Locher et Léa Falco
1:06:10 Le face à face avec Pauline Lida
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86% des Français se disent préoccupés par le changement climatique, et pourtant la cause écologique patine malgré la vigueur et créativité des activistes sur le terrain, la parole de leaders d’opinion et la mobilisation à l’échelle mondiale d’une jeunesse vigilante. Comme si l’agenda pour la planète butait sur l’agenda budgétaire, économique, électoral, reléguant la crise écologique au bas des programmes politiques.
Comment parvenir à briser le plafond vert ? Surtout, comment s’y prendre en tant que militante et militant, en tant qu'activiste, en tant que chercheuse, chercheur, en tant que think tank, pour convertir l’indignation morale et les déclarations de bonnes intentions générales en élan démocratique profond et durable ?
Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique, membre du comité de rédaction de la revue Esprit et présidente du Prix du roman d’écologie, Fabien Locher, historien de l’environnement, chargé de recherche au CNRS et co-auteur du livre Les Révoltes du ciel, et Léa Falco, cofondatrice du collectif Construire l’écologie, elle travaille également à la formation des agents publics aux enjeux écologiques.
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Un nouveau terme s’impose dans le monde professionnel : le prompt, cette commande adressée à des intelligences artificielles comme le désormais incontournable ChatGPT. Avec ses millions d’utilisateurs et des investissements colossaux, l’IA s’implante de plus en plus dans les entreprises. Mais au-delà de l’efficacité promise, quels changements profonds entraîne-t-elle ? Redéfinit-elle nos métiers, redistribue-t-elle le pouvoir au sein des organisations ? Qu’en est-il de l’autonomie des travailleurs et du sens de leur labeur ?
Pour en parler, Olivier Jacquemond reçoit dans la première partie (jusqu'à 57:56) Caroline Gans Combe, professeur associé à l’ECE, Omnes Education, experte indépendante pour la Commission européenne pour les sujets de santé, TIC et sécurité des données notamment, Mircea Vultur, docteur en sociologie, chercheur en socio économie du travail et de la formation à l’Institut national de la recherche scientifique de Québec (INRS) et Marc Grosser, Consultant en organisation.
Dans la seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Le Moine Veillon, ancien chercheur à l'IRCAM après sa thèse "Conversion neuronale des attitudes sociales dans les signaux vocaux", aujourd'hui à l’ENS au sein du laboratoire de neuropsychologie interventionnelle, dans lequel il développe des protocoles et des algorithmes visant à représenter/prédire l'état clinique des patients atteints de la maladie de Huntington sur la base d'échantillons de parole.
0:35 Introduction
1:20 Le débat avec Caroline Gans Combe, Mircea Vultur et Marc Grosser
58:05 Le face à face avec Clément Le Moine Veillon
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Dans cette seconde partie, Olivier Jacquemond reçoit Clément Le Moine Veillon, ancien chercheur à l'IRCAM après sa thèse "Conversion neuronale des attitudes sociales dans les signaux vocaux", aujourd'hui à l’ENS au sein du laboratoire de neuropsychologie interventionnelle, dans lequel il développe des protocoles et des algorithmes visant à représenter/prédire l'état clinique des patients atteints de la maladie de Huntington sur la base d'échantillons de parole.
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Un nouveau terme s’impose dans le monde professionnel : le prompt, cette commande adressée à des intelligences artificielles comme le désormais incontournable ChatGPT. Avec ses millions d’utilisateurs et des investissements colossaux, l’IA s’implante de plus en plus dans les entreprises. Mais au-delà de l’efficacité promise, quels changements profonds entraîne-t-elle ? Redéfinit-elle nos métiers, redistribue-t-elle le pouvoir au sein des organisations ? Qu’en est-il de l’autonomie des travailleurs et du sens de leur labeur ?
Pour en parler, dans cette première partie, Olivier Jacquemond reçoit Caroline Gans Combe, professeur associé à l’ECE, Omnes Education, experte indépendante pour la Commission européenne pour les sujets de santé, TIC et sécurité des données notamment, Mircea Vultur, docteur en sociologie, chercheur en socio économie du travail et de la formation à l’Institut national de la recherche scientifique de Québec (INRS) et Marc Grosser, Consultant en organisation.
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