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La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
RTS - Radio Télévision Suisse
22 episodes
8 hours ago
Dans un feuilleton de 5 épisodes, un.e artiste ou personnalité du monde culturel, rencontré.e dans un lieu qui lui est cher, retrace sur le ton de la confidence les grandes étapes de son parcours. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion.
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Dans un feuilleton de 5 épisodes, un.e artiste ou personnalité du monde culturel, rencontré.e dans un lieu qui lui est cher, retrace sur le ton de la confidence les grandes étapes de son parcours. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion.
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Society & Culture
Episodes (20/22)
La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Yves Leresche 4/5 - La quête infatigable du paradis
Yves Leresche est un photographe des périphéries, des petits groupes dʹhumains dans les marges -- du langage de leur corps, de leurs regards inscrits dans les paysages quʹils habitent, dans leurs maisons ou leurs abris. Préoccupé plus que tout par le réel, il documente des mondes voués à disparaître. Pour gagner un peu sa vie, il travaille aussi à la commande pour la presse – et remporte, là aussi, des prix prestigieux – toujours le réel... Mais sa démarche la plus emblématique, incomparable, cʹest son travail de trente années au cœur de communautés Rom : en Roumanie, puis à Lausanne, parfois ailleurs. Un engagement total, souvent épuisant, qui affirme que la photo est avant tout une relation. Et que construire une relation, tout comme réussir ses images, requiert du temps. Une série proposée par Francesco Biamonte. Au fil des années, des décennies, Yves Leresche est de plus en plus lié avec certaines familles et communautés Rom. Plus il comprend leur univers, plus il souhaite emmener les non-Roms à voir ces communautés excessivement vulnérables et stigmatisées dans leur réalité, leur humanité. Ce travail, quʹil considère dʹutilité publique, qui culmine avec un livre et une exposition montrant au centre de Lausanne la vie des Roms que lʹon y croise.
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9 hours ago
30 minutes 24 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Yves Leresche 3/5 - Le temps long, irremplaçable
Yves Leresche est un photographe des périphéries, des petits groupes dʹhumains dans les marges -- du langage de leur corps, de leurs regards inscrits dans les paysages quʹils habitent, dans leurs maisons ou leurs abris. Préoccupé plus que tout par le réel, il documente des mondes voués à disparaître. Pour gagner un peu sa vie, il travaille aussi à la commande pour la presse – et remporte, là aussi, des prix prestigieux – toujours le réel... Mais sa démarche la plus emblématique, incomparable, cʹest son travail de trente années au cœur de communautés Rom : en Roumanie, puis à Lausanne, parfois ailleurs. Un engagement total, souvent épuisant, qui affirme que la photo est avant tout une relation. Et que construire une relation, tout comme réussir ses images, requiert du temps. Une série proposée par Francesco Biamonte. Au début des années 1990, un grand projet de reportage journalistique (avec Serge Michel) lʹemmène dans un tour de " lʹEurope des mers ". Le duo longe les côtes de lʹentité politique européenne naissante, de la Mer Noire à la Baltique, en passant par Gibraltar. Cʹest un succès professionnel. Mais la grande leçon quʹil en tire, cʹest quʹil devra désormais travailler seul, en prenant tout le temps dont il a besoin.
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1 day ago
29 minutes 43 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Yves Leresche 2/5 - Des gueules, des looks (surtout la nuit)
Yves Leresche est un photographe des périphéries, des petits groupes dʹhumains dans les marges -- du langage de leur corps, de leurs regards inscrits dans les paysages quʹils habitent, dans leurs maisons ou leurs abris. Préoccupé plus que tout par le réel, il documente des mondes voués à disparaître. Pour gagner un peu sa vie, il travaille aussi à la commande pour la presse – et remporte, là aussi, des prix prestigieux – toujours le réel... Mais sa démarche la plus emblématique, incomparable, cʹest son travail de trente années au cœur de communautés Rom : en Roumanie, puis à Lausanne, parfois ailleurs. Un engagement total, souvent épuisant, qui affirme que la photo est avant tout une relation. Et que construire une relation, tout comme réussir ses images, requiert du temps. Une série proposée par Francesco Biamonte. Ses premières armes de photographe, Yves Leresche les fourbit dans les bars, puis dans le monde alternatif lausannois des années 1980, autour de la mythique Dolce Vita. Sʹil y capte lʹénergie de rockeurs célèbres ou destinés à le devenir (les Red Hot Chili Peppers ou Stephan EIcher), cʹest surtout le public qui attire son attention…
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2 days ago
29 minutes 48 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Yves Leresche 1/5 - Dormir chez les Roms
Yves Leresche est un photographe des périphéries, des petits groupes dʹhumains dans les marges -- du langage de leur corps, de leurs regards inscrits dans les paysages quʹils habitent, dans leurs maisons ou leurs abris. Préoccupé plus que tout par le réel, il documente des mondes voués à disparaître. Pour gagner un peu sa vie, il travaille aussi à la commande pour la presse – et remporte, là aussi, des prix prestigieux – toujours le réel... Mais sa démarche la plus emblématique, incomparable, cʹest son travail de trente années au cœur de communautés Rom : en Roumanie, puis à Lausanne, parfois ailleurs. Un engagement total, souvent épuisant, qui affirme que la photo est avant tout une relation. Et que construire une relation, tout comme réussir ses images, requiert du temps. Une série proposée par Francesco Biamonte. Cʹest dans les années 1990 quʹYves Leresche entre en contact avec des communautés Rom. Il comprend quʹil doit faire ce que personne ne fait : accepter leur hospitalité. La rencontre, entre humanité partagée et gouffres dʹincompréhension, change sa vie. Son premier travail documentaire, réalisé en Roumanie, définit le photographe quʹil sera.
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3 days ago
29 minutes 5 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laetitia Dosch 5/5 - Tout un cinéma
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran. Une série proposée par Thierry Sartoretti. Comment concilier carrière au cinéma et parcours au théâtre ? Comment passer derrière la caméra (" Le Procès du Chien ", 2024) après avoir joué pour Justine Triet (" La Bataille de Solferino ", 2013), les frères Larrieu (" Le Roman de Jim ", 2024) ou encore Danielle Arbid (" Passion simple ", 2020, dʹaprès Annie Ernaux) ? Quels personnages vous sont proposés lorsque vous incarnez, sur scène, des êtres singuliers, voire parfois déjantés ? Laetitia Dosch nʹa pas toujours la réponse car le cinéma et ses codes gardent pour elle une part de mystère.
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6 days ago
30 minutes 22 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laetitia Dosch 4/5 - Rapport aux bêtes
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran. Une série proposée par Thierry Sartoretti. Dans un pays comme la Suisse, qui compte 550 232 chiens pour un peu plus de neuf millions dʹhabitants, Laetitia Dosch a tourné " Le procès du chien ", tragi-comédie sur la condition animale. Réalisatrice et actrice à la fois, elle y incarne une avocate déterminée à changer notre rapport — juridique autant que sociétal — à lʹautre vivant. Cʹest presque une constante chez celle qui partageait déjà la scène avec le cheval Corazon dans son spectacle " Hate ", jouait avec un acteur corbeau dans " Les Corvidés " ou dialoguait avec des végétaux dans la pièce radiophonique " Radio Arbres ".
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1 week ago
30 minutes 27 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laetitia Dosch 3/5 - Jouer pour soi, jouer pour les autres
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran. Une série proposée par Thierry Sartoretti. Cette année 2025, presque par hasard, voici Laetitia Dosch dans le manteau noir de Mère Courage, poussant un énorme globe sous la direction de la metteuse en scène Lisaboa Houbrechts. Au théâtre, on la retrouve plus souvent dans ses propres créations : exercices dʹéquilibre entre humour et tragédie, explorant les limites de la blague, exprimant sa " Hate " avec un cheval ou livrant ses miniatures psychiatriques dans " Un album ". Un rôle est-il un costume que lʹon endosse et abandonne, ou une part de soi livrée au public ?
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1 week ago
29 minutes 28 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laetitia Dosch 2/5 - Lausanne, une Manufacture toute neuve
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran. Une série proposée par Thierry Sartoretti. " Cette école, on lʹa retournée ! " (Bon) souvenir dʹétudiante qui découvre en 2007 une Ecole des arts de la scène tout juste créée. Laetitia Dosch fera partie de la seconde volée, la promotion B, dont bon nombre de ses ex-camarades de classe figurent au casting du " Procès du chien ", son premier long métrage sorti en 2024. A Lausanne, elle découvre le collectif et invente son propre langage théâtral, entre humour corrosif, provocation et goût affûté pour les questions sociétales contemporaines. Depuis, la comédienne habite Paris, mais la Suisse reste son terreau dʹexpression artistique.
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1 week ago
29 minutes 35 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laetitia Dosch 1/5 - Paris, lʹenfance est un œuf
Comédienne, metteuse en scène, réalisatrice, dramaturge et animatrice radio — sans oublier les multiples métiers quʹelle a incarnés à lʹécran, de journaliste à avocate, en passant par maman (oui, cʹest un sacré boulot aussi). Franco-suisse, Laetitia Dosch mène une double carrière. Au cinéma, elle tourne notamment pour Justine Triet et les frères Larrieu, et est nommée au César du meilleur espoir féminin en 2018 pour Jeune femme de Leonor Serraille. Sur scène, elle crée ses propres projets et collabore avec François Gremaud et ses anciens camarades de la Haute École des arts de la scène, La Manufacture à Lausanne. Son style ? Entier, engagé, conscient, voire sensible au vivant qui lʹentoure, maniant parfois la provocation, appréciant lʹhumour, toujours soucieuse dʹaller au fond des choses. En 2024, le " Procès du chien ", son premier long-métrage personnel, a remporté le " Palm Dog " du Festival de Cannes, pour la performance de Kody, un griffon, son partenaire à lʹécran. Une série proposée par Thierry Sartoretti. Tout le monde ne grandit pas dans un appartement empli dʹœufs et dʹanimaux empaillés à deux pas de lʹElysée. De cette enfance singulière, Laetitia Dosch a peut-être conservé une certaine attraction pour les animaux et la mise en scène. Réservée, timide, elle suit pourtant des cours de théâtre à Paris — où on la dit parfois " ingérable " — avant de sʹépanouir théâtralement en Suisse, le pays de son père.
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1 week ago
30 minutes 11 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laurent Aubert 5/5 - Retour aux cordes
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab. Une série proposée par Anya Leveillé. Après trente ans dʹexploration sonore à travers lʹethnomusicologie, Laurent Aubert retrouve en 2013 le plaisir de la pratique musicale. Il se tourne alors vers le rebab afghan et dʹautres instruments à cordes issus de lʹInde du Nord, de lʹAfghanistan et dʹAsie centrale. Au sein de plusieurs ensembles, dont Tarab, il tisse un univers sonore singulier, nourri de toutes ses influences. Motifs turcs ou grecs, couleurs médiévales, accents jazz ou blues : autant de textures qui se croisent et s'entrelacent, parfois à lʹimproviste, sur les cordes du rubāb ou du dotar.
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1 week ago
29 minutes 51 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laurent Aubert 4/5 - Les sons du monde au musée
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab. Une série proposée par Anya Leveillé. Entre 1984 et 2011, Laurent Aubert travaille en tant que conservateur au MEG – Musée dʹethnographie de Genève. Chargé de la collection dʹinstruments, il sʹoccupe également dʹarchives sonores uniques, les AIMP, constituées en 1944 par lʹethnomusicologue roumain Constantin Brăiloiu. Au sein du musée, il impulse également une collection de CD, qui, à son départ en 2011, compte 106 albums, restituant la mémoire sonore des quatre coins du monde. En prolongement de sa démarche de passeur, il fonde en 1988, dans le cadre des Ateliers dʹethnomusicologie, les "Cahiers dʹethnomusicologie", une publication annuelle francophone qui explore, à travers dossiers thématiques, entretiens, portraits, brèves et comptes rendus, la diversité des cultures musicales.
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2 weeks ago
29 minutes 33 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laurent Aubert 3/5 - Terrains et rencontres
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab. Une série proposée par Anya Leveillé. Dans les années 1980 et 1990, Laurent Aubert parcourt la Roumanie et lʹInde pour mener ses recherches de terrain pour le Musée dʹethnographie de Genève. En Roumanie, il enregistre des musiques tziganes et villageoises, observant comment les pratiques musicales contemporaines dialoguent avec celles documentées cinquante ans plus tôt. Au Kerala, dans le sud de lʹInde, il étudie des rituels ancestraux vieux de 5000 ans; une recherche qui sʹétend sur plusieurs années et donne naissance à sa thèse, ainsi quʹà lʹexposition " Les Feux de la déesse " au MEG en 2005. Ces voyages et rencontres marquent profondément sa démarche. A une approche purement académique, il privilégie une ethnomusicologie appliquée, tournée vers la transmission et le partage de ces univers sonores avec le public — à travers des concerts, des ateliers et des activités pédagogiques. Comme il aime le rappeler, "la musique est une arme contre toute forme de racisme: quand on a été ému par une mélodie inconnue, on ne peut plus poursuivre des préjugés contre ceux qui la jouent."
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2 weeks ago
29 minutes 36 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laurent Aubert 2/5 - Écouter, transmettre, partager : lʹaventure des ateliers dʹethnomusicologie
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab. Une série proposée par Anya Leveillé. De retour à Genève, après son premier terrain au Népal au début des années 1970, Laurent Aubert poursuit son apprentissage du sarod, tout en se produisant au sein dʹensembles spécialisés dans les musiques médiévales. Dans une ville en pleine effervescence culturelle, il organise, au sein de lʹAMR, ses premiers concerts de musiques du monde, quʹil fait découvrir au public genevois. Ces expériences posent les fondements des futurs Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), fondés en 1983, une structure qui associe concerts et ateliers pédagogiques, offrant aux musiciens et danseurs, locaux comme venus dʹailleurs, un espace pour jouer et transmettre leur art.
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2 weeks ago
29 minutes 42 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Laurent Aubert 1/5 - Voyager et jouer : entre guitare rock, luth et sarod
" Je suis un passeur ! " Cʹest ainsi que se définit Laurent Aubert, évoquant ses activités à la croisée de lʹethnomusicologie et de la pratique musicale. Animé par sa passion pour les musiques du monde, il fonde en 1983 à Genève les Ateliers dʹethnomusicologie (ADEM), quʹil dirige jusquʹen 2018. Il y développe festivals, concerts, activités pédagogiques et publie les " Cahiers dʹethnomusicologie ", devenus une référence incontournable à lʹinternational. Parallèlement, de 1984 à 2011, il est conservateur au Musée dʹethnographie de Genève (MEG), où il supervise les collections dʹinstruments et les Archives internationales de musique populaire (AIMP), éditant plus dʹune centaine de CDs et concevant des expositions au rayonnement international. Ses terrains de recherche lʹont conduit à explorer la musique savante de lʹInde du Nord, les castes de musiciens au Népal, les danses et musiques rituelles du Kerala – sujet de sa thèse – ainsi que les traditions musicales soufies au Cachemire. Musicien accompli, il joue du sarod, du rubāb, du oud et de nombreux autres instruments à cordes pincées. Après un passage par le jazz et les musiques médiévales, il consacre aujourdʹhui sa pratique à lʹinterprétation des traditions quʹil a longuement explorées, au sein de lʹensemble Tarab. Une série proposée par Anya Leveillé. Né en 1949, Laurent Aubert grandit à Genève dans une famille profondément mélomane. Adolescent, il découvre la guitare et le banjo, sʹimprègne de Jimi Hendrix et Jeff Beck, avant de sʹintéresser aux musiques orientales grâce à un oncle amoureux de musique indienne. Animé par lʹenvie de voyager et par sa passion pour la musique, il étudie lʹethnologie et la musicologie, disciplines qui le conduisent vers lʹethnomusicologie et son premier terrain au Népal, en 1973, où il commence à apprendre le sarod.
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2 weeks ago
29 minutes 38 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Brigitte Rosset 5/5 - En amitié
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset. Une série signée Thierry Sartoretti. Un parcours de comédienne devenu une carrière de plus de trente ans sur les planches. Qui dit carrière dit parfois plan. On le cherche, chez Brigitte Rosset : il nʹexiste pas ! On trouve, en revanche, une suite de rencontres et dʹamitiés fortes : Georges Wod, Gaspard Boesch – le père de ses enfants –, Jean Liermier, Sybille Blanc, Jean-Luc Barbezat, Christian Scheidt… pour ne nommer que des gens de théâtre. Lʹamitié est un bien précieux chez Brigitte Rosset, qui lui a même consacré un spectacle en 2018 avec son complice Frédéric Recrosio. La matière du théâtre nʹest-elle pas, avant tout, la pâte humaine et les sentiments ?
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2 weeks ago
29 minutes 42 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Brigitte Rosset 4/5 - En soi
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset. Une série signée Thierry Sartoretti. Comment écrit-on à partir de soi ? Évoquant ses créations en solo – " Smarties, Kleenex et Canada Dry, Ma Cuisine intérieure, Tigidou " et, tout récemment, " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon " – Brigitte Rosset parle dʹegofiction. Quand une histoire personnelle devient-elle universelle et partageable sur un plateau de théâtre ? Comment fait-on rire un public en parlant de sa dépression ? Et comment peut-on être à la fois sujet, personnage, dramaturge et interprète ? Brigitte Rosset raconte le théâtre de Brigitte Rosset.
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3 weeks ago
29 minutes 29 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Brigitte Rosset 3/5 - Au répertoire
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset. Une série signée Thierry Sartoretti. On connaît surtout Brigitte Rosset pour ses créations en solo, mais la comédienne a aussi un joli parcours dʹinterprète dans le répertoire classique. Pas mal pour une artiste qui nʹest pas passée par les écoles de théâtre. Shakespeare, Marivaux, nous voici ! Parfois joués à la lettre, parfois réinterprétés avec gourmandise et malice. Car chez elle, aimer, cʹest partager. Et partager, cʹest rendre accessible et joyeux — en témoignent ses " Femmes (trop) savantes " et sa " Locandiera (ou presque) ", deux succès inspirés de Molière et Goldoni.
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3 weeks ago
30 minutes 12 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Brigitte Rosset 2/5 - Au cabaret et chez les Soviets
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset. Une série signée Thierry Sartoretti. On peut sʹinscrire à lʹécole de commerce et y pratiquer avec passion… la farce, quitte à prolonger ses études pour cause de dilettantisme scolaire. Avec ses camarades, pourquoi ne pas monter une troupe ? Les Degrés de Poule courent les cabarets genevois et romands, parvenant même jusquʹà New York. Brigitte Rosset ne croit pas quʹon puisse en faire un métier. Jusquʹà ce jour de 1994 où un certain Georges Wod, du Théâtre de Carouge, lui propose de jouer à… Moscou.
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3 weeks ago
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La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Brigitte Rosset 1/5 - Au foot et à l'opéra
Elle est comédienne et personnage à la fois. Dans ses créations en solo, Brigitte Rosset se raconte, partage expériences et souvenirs (les bons comme les pas bons du tout), trouve un chemin personnel entre rires et larmes, créant un théâtre qui tient du récit de vie, du partage dʹexpériences universelles et du spectacle drôle. Un prix dʹhumour romand récompense en 2025 la Genevoise, qui vient de livrer sa création la plus intime : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ". À 54 ans, déjà récompensée en 2015 par un prix suisse " dʹactrice exceptionnelle ", la Genevoise affiche aussi un beau parcours dʹinterprète, tissé de fidélités et dʹamitiés fortes dans le monde du théâtre romand. À lʹheure du café, rythmé par le chant dʹun coucou mécanique, le micro de Thierry Sartoretti prend de la hauteur : direction Les Diablerets, village dʹadoption de Brigitte Rosset. Une série signée Thierry Sartoretti. Une enfance protestante en vieille-ville de Genève. On se figure des clichés bourgeois et sévères à lʹombre de la Cathédrale Saint-Pierre. Tout faux. La famille de la comédienne Brigitte Rosset cultive lʹart des contrastes et des surprises. Aux soirées à lʹopéra répondent les matches du Servette FC aux Charmilles ; à la marionnette Pamplemousse, au Théâtre de Mademoiselle Moynier, les balades en campagne à nommer les fleurs. En 2025, cette histoire est devenue spectacle, un solo en hommage à sa famille et à ses racines : " Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ".
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3 weeks ago
29 minutes 17 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Eric Linder - Polar 5/5 - La création du festival Antigel, une vie entre Paris et Genève et le choc des attentats de n
Eric Linder alias Polar, est une personnalité incontournable de la culture romande. Depuis son premier groupe fondé en 1994, Peeping Tom, jusqu'à la création du Festival Antigel en passant par ses 6 albums en solo, il trace un chemin à part dans le paysage culturel. Né à Genève dʹune mère irlandaise et dʹun père suisse-allemand, il grandit à Onex dans la banlieue genevoise. Son père est un voyageur de commerce qui nʹest présent que les week-ends. En semaine, il est avec son frère aîné et sa mère qui sont les piliers de son existence. Champion suisse du 800 mètres, il est victime dʹun accident qui mettra un terme à sa carrière sportive. Sa convalescence sera lʹoccasion dʹapprendre quelques accords de guitare grâce à son frère : Cʹest une révélation. Il sera plus tard également programmateur de concerts à lʹUsine de Genève, créateur du Festival Antigel tout en menant une carrière dʹauteur-compositeur. Une série proposée par Pierre Philippe Cadert. Il vit en entre Genève et Paris. Tout va bien jusquʹà ce 13 novembre. Polar croise des connaissances du milieu de la musique devant le Bataclan avant le concert des Eagles of Death Metal. Convié au concert, il hésite. Finalement il ne sera pas dans la salle mais vivra lʹévénement dans une rue adjacente. Les tirs, les blessés, et lʹimpossibilité de vivre normalement après. Pourtant la vie reprendra son cours grâce à ses ancrages forts comme le Festival Antigel.
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3 weeks ago
29 minutes 45 seconds

La Vie à peu près ‐ RTS Espace 2
Dans un feuilleton de 5 épisodes, un.e artiste ou personnalité du monde culturel, rencontré.e dans un lieu qui lui est cher, retrace sur le ton de la confidence les grandes étapes de son parcours. Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion.