Home
Categories
EXPLORE
True Crime
Comedy
Society & Culture
Business
Sports
History
Health & Fitness
About Us
Contact Us
Copyright
© 2024 PodJoint
Loading...
0:00 / 0:00
Podjoint Logo
US
Sign in

or

Don't have an account?
Sign up
Forgot password
https://is1-ssl.mzstatic.com/image/thumb/Podcasts126/v4/32/bd/2d/32bd2d90-9ffa-2cbd-dfa0-d148cc9a42b8/mza_3233413518334517026.jpg/600x600bb.jpg
Impact.info en français
Impact Info
437 episodes
3 hours ago
Impact.info Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
Daily News
News
RSS
All content for Impact.info en français is the property of Impact Info and is served directly from their servers with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
Impact.info Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
Daily News
News
Episodes (20/437)
Impact.info en français
Pourquoi est-il essentiel de réaliser que les violences touchent toutes les couches de la société ?
A 32 ans, Astrid Le Menestrel quitte un conjoint violent avec 4 enfants en bas âge. “On m’a dit, “Madame, si vous ne partez pas, c'est l'État qui va s'occuper de vos enfants. Et là ça a été le déclic. Mais je venais de liquider mon entreprise. Alors, on m'a proposé un hébergement d'urgence. Pour moi je l'aurais fait, mais pour mes enfants, je ne pouvais pas, c'était trop dur et je me suis promis que le jour où j'irais mieux, ce serait à mon tour d'aider et de créer quelque chose qui soit adapté à ce public qui n'est pas encore précaire mais qui peut tomber très vite en précarité”. L’idée de l'Etoile du berger est de faire reconnaître que les violences intrafamiliales concernent toutes les franges de la société, et pas seulement les publics en situation de précarité. “Plus la sphère sera élevée, plus la violence sera sournoise, avant tout psychologique, qui ne laisse pas de traces visibles”, explique Astrid Le Menestrel. L’idée est de former un maximum de personnes à détecter les violences intrafamiliales, notamment celles qui sont silencieuses, les violences psychologiques, partout où elles se trouvent. Former les managers également et tous ceux qui le souhaitent dans les entreprises, pour apprendre à détecter et orienter vers des ressources et des associations comme l'Etoile du berger, où sont accompagnés justement des gens qui travaillent et qui ne rentrent pas dans les dispositifs existants. L'Etoile du berger, c’est une équipe de référents “parcours victimes violences intrafamiliales”, une personne qui va écouter et, en fonction des besoins, monter une équipe pluridisciplinaire avec un avocat, un psychologue spécialisé dans le traumatisme, un agent immobilier, une éducatrice spécialisée… Un accompagnement va se faire sur le long terme, le temps nécessaire pour retrouver confiance en soi et reconstruire sa vie professionnelle, personnelle, des relations saines avec ses enfants, ses parents, ses amis, construire des bases solides pour ne pas replonger dans des relations toxiques. Les personnes accueillies à l’Etoile du berger vont participer financièrement, tout ne sera pas gratuit, mais cela va leur permet d’être accompagnées et soutenues, ce qu’elles ne trouveront pas ailleurs. “Parce que si elles ont un peu de ressources financières, on leur dit de se débrouiller. Elles peuvent se payer un psy, un avocat, donc elles n’ont pas besoin d’accompagnement. Par conséquent, c'est toute une frange de la société qui se retrouve seule face à ces situations et qui aujourd'hui ne prend pas les mesures nécessaires pour sortir des violences, qui ne se protège pas, qui n’agit pas. Et donc c'est comme ça qu'on on trouve cette chaîne de la violence qui se transmet de génération en génération”, insiste Astrid Le Menestrel. "Mon avocate m'avait dit à l'époque, “Madame, c'est pour ça que les femmes restent”. Je m'étais dit, ce n'est pas possible. Il faudra inventer quelque chose de différent qui soit adapté. C’est en ça que l’Etoile du berger fait bouger les lignes”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
10 minutes 47 seconds

Impact.info en français
Pourquoi être accompagné change tout pour sortir d’une situation de violence ?
L’association SAVE intervient en termes de conseils et d’accompagnement, sur toutes les problématiques que va rencontrer une victime de violences, juridiques, psychologiques, médicales. Sur le côté juridique, ça peut être aider à faire un dépôt de plainte, être accompagné physiquement au commissariat ou à la gendarmerie, voire lors des audiences. Au niveau psychologique, l'association propose un entretien individuel, des groupes de parole, des médiations thérapeutiques, de l’hypnose, de la sophrologie, de l’EMDR, de l’art thérapie, de l’équithérapie, des ateliers d'écriture, des contes. Le côté social également, qui va être de les aider à fuir leur domicile, à déménager, à la reprise d'un emploi. Ou encore le côté médical, c’est-à-dire l’accompagnement chez un médecin afin d’obtenir un certificat médical pour des démarches judiciaires afin de faire reconnaître les violences subies. Sans oublier un volet prévention dans les établissements scolaires, les entreprises, auprès des professionnels de santé, des pompiers, de la police, de la gendarmerie, du parquet, de la préfecture et des hôpitaux. Il s’agit aussi de faire remonter tout ce que les victimes vont pointer, que ce soient les aspects positifs, comme ceux à améliorer dans leur prise en charge. Des difficultés parfois amplifiées lorsque l’on vit dans une commune rurale, - l’association SAVE intervient dans une vingtaine d’entre elles – lorsqu'on est isolé géographiquement sans moyen de transport. "C'est aussi pour ça que l'association a voulu être présente un peu partout sur le département mais surtout en milieu rural”, explique Marion Doyen. “Et grâce aux mairies qui nous prêtent gracieusement des locaux, de pouvoir accompagner au mieux ces victimes où elles se trouvent, près de chez elles ou de leur lieu de travail, dans un endroit où elles savent qu’elles peuvent être en sécurité”. La spécificité de SAVE c’est de soutenir les victimes à chaque pas de leur parcours, pas seulement en tant que conseiller mais en étant présent physiquement à chaque étape. “Avoir une personne qui vous tient la main et qui leur dit “allez, on y va, on va faire ensemble !”, ça les aide aussi parce qu’elles peuvent vite être complètement dépassées, ne plus savoir par où commencer et du coup elles laissent tomber. Les aider à faire les premiers pas, je pense que c’est important”. D'autant plus que l’association a la chance d’avoir dans ses rangs des bénévoles de tous corps de métier. Avocats, juristes, travailleurs sociaux, psychologues sont présents à chaque instant en un seul endroit et sont consultables très facilement, ce qui allège grandement le parcours. Enfin, l’association travaille avec des familles bénévoles qui vont pouvoir accueillir en urgence les victimes, de quelques jours à plusieurs semaines, ce qui permet de trouver une solution même lorsque les places en hébergement d’urgence ou à l’hôtel viennent à manquer. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
10 minutes 39 seconds

Impact.info en français
Pourquoi la maîtrise du numérique est incontournable pour tous ?
Le numérique, ça commence avec l’écran de notre télévision, et ça va jusqu’aux montres connectées, en passant par nos smartphones, mais avec la dématérialisation des démarches administratives qui prend de plus en plus d’ampleur, les citoyens se doivent désormais de savoir utiliser les outils, de bien savoir les utiliser même. “Et nous, on a des gens qui n'ont jamais touché un ordinateur de leur vie”, explique Catherine Charlot, “parce qu’ils sont âgés, parce qu’ils arrivent juste en France et n’avaient pas cet accès dans leur pays, ou parce que ce sont des gens qui ont des difficultés cognitives”. Des personnes qui ont tout à apprendre, c’est pourquoi l’association Marie et Alphonse a souhaité apporter une approche ludique pour faire entrer plus facilement et confortablement ces publics dans le numérique. Avec par exemple un fablab, un endroit où l’on bricole, où machines à commande numérique et machines traditionnelles cohabitent. On vient créer, tester, expérimenter, en se faisant plaisir ensemble. Un dispositif est spécialement dédié aux femmes, pour qu’elles puissent apprendre en toute confiance, en osant dire qu’elles ne savent pas. “On convoque des leviers de création”, explique Catherine Charlot. “On va mélanger la linogravure et le numérique, la sérigraphie et le numérique, la couture et le numérique. On a une brodeuse numérique, une découpeuse vinyle, on peut floquer des tissus. On travaille aussi la création, la sculpture, avec la question du réemploi. On récupère du textile dédié à être jeté”. Un autre aspect d’éducation aux médias est également abordé, en particulier avec les jeunes, autour de la fabrique de l'image, en collaboration avec un journaliste. Dans les ateliers, ils sont invités à créer des reportages ou des films avec leurs smartphones et des logiciels de montage libres pour leur permettre, sans avoir de moyens financiers, de tourner et monter. “Ça leur permet, en fabriquant, de mieux comprendre le monde numérique”. Des ateliers qui permettent de nombreux bénéfices. Pour les femmes, outre la confiance retrouvée, ce sont des compétences supplémentaires acquises dans le cadre de leurs parcours de réinsertion professionnelle ; et pour les jeunes, qui sont souvent décrocheurs, une curiosité et une une envie ravivées, du collectif et de la collaboration créées, et parfois un tremplin vers une projet professionnel. "On aurait travaillé dans la couture, je pense que le projet aurait presque pu être similaire”, s’amuse Catherine Charlot. “Ce qu'on aime nous, c'est vraiment créer du lien avec ces publics, permettre aussi des croisements, avec des créateurs, en collaboration avec d'autres associations. Donc on fédère beaucoup, et ça c'est très chouette”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
10 minutes 42 seconds

Impact.info en français
Pourquoi faut-il rompre le silence sur les souffrances psychiques lors de la grossesse et de la maternité ?
On estime qu’entre 30 et 50% des parents ressentent des difficultés avant et après avoir accueilli un enfant, selon la Commission des 1 000 premiers jours rendue en septembre 2020 (NDLR : Commission constituée de 18 spécialistes de la petite enfance et présidée par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, qui permet d’envisager une approche globale de la santé de la mère et de l’enfant pour promouvoir des environnements favorables au développement harmonieux du fœtus et du nouveau-né, de la conception jusqu’aux 2 ans de l’enfant. Le rapport a été remis au ministère de la Santé). "De nombreux parents se sentent en difficulté, en souffrance psychique, mais ne vont pas en parler par peur du jugement, par peur d'être considéré comme de mauvais parents, par culpabilité, par honte”, explique Elise Marcende. "Parce qu’avoir un enfant, c’est forcément épanouissant, c'est le comble du bonheur. Les phrases comme celles-ci, les idées préconçues sont encore extrêmement présentes dans la société et laissent peu de place à ce qui peut se vivre par ailleurs. La maternité, ce n'est pas que du bonheur, c'est tout un tas d'états qui vont être traversées, vécus par les personnes qui vont accueillir des enfants. Et ça peut être extrêmement beau, extrêmement agréable à vivre. Mais ça peut être aussi extrêmement fatigant et stressant”. Face aux difficultés maternelles, de l'ordre de la dépression ante et/ou postnatale, les troubles anxieux, les difficultés d'attachement avec le bébé ou avec l'enfant, Maman blues s’est créée pour accueillir ces femmes et parfois ces hommes, pour rompre l’isolement et ouvrir le dialogue, via un forum ou encore des groupes de discussion, à l’aide de référentes partout en France qui ont toutes elles-mêmes vécu des difficultés maternelles. Une libération de la parole qui fait son chemin. “Contrairement au début de notre existence en tant qu’association il y a vingt ans, aujourd'hui on est énormément sollicités pour coconstruire des outils de sensibilisation, de prévention avec les professionnels de santé et les instances publiques”, raconte Elise Marcende. “Et puis, on avance aussi grâce aux femmes qui prennent la parole sur les réseaux sociaux, où elles se livrent sans tabou, disent ce qu'elles traversent, documentent leurs souffrances psychiques périnatales. C'est vraiment à travers la parole des personnes concernées que les choses évoluent”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
10 minutes 47 seconds

Impact.info en français
Comment s'engager pour faire reculer les excisions et les mariages forcés ?
Comment s'engager pour faire reculer les excisions et les mariages forcés ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
4 minutes 8 seconds

Impact.info en français
Comment créer l'espoir et la résilience en même temps que son association ?
Comment créer l'espoir et la résilience en même temps que son association ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
2 minutes 8 seconds

Impact.info en français
Comment aider à se reconstruire après une excision ou un mariage forcé ?
Comment aider à se reconstruire après une excision ou un mariage forcé ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 days ago
3 minutes 55 seconds

Impact.info en français
Comment aider à se reconstruire après une excision ou un mariage forcé ?
Comment aider à se reconstruire après une excision ou un mariage forcé ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
3 days ago
3 minutes 55 seconds

Impact.info en français
Comment permettre aux personnes en situation de rue de se délester d'un poids ?
Comment permettre aux personnes en situation de rue de se délester d'un poids ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
3 minutes 54 seconds

Impact.info en français
Comment un lieu pour poser ses bagages permet de se remobiliser ?
Comment un lieu pour poser ses bagages permet de se remobiliser ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
4 minutes 5 seconds

Impact.info en français
Comment un lieu chaleureux quand on est à la rue peut aider ?
Comment un lieu chaleureux quand on est à la rue peut aider ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
2 minutes 6 seconds

Impact.info en français
Pourquoi prendre en charge la santé des femmes est-il essentiel ?
“Le premier objectif de l’ADSF, c'est de rencontrer des dames en très grande difficulté là où elles se trouvent”, expose Stefania Parigi. “Et on a aussi un accueil qui permet à ces femmes d’être prises en charge, notamment par des sages-femmes, gynécologues, médecins, infirmiers...”. Des rencontres se font également avec des associations spécialisées, notamment dans les bois de Vincennes et de Boulogne, dans le milieu prostitutionnel. “Plus longtemps vous vivez à la rue, plus longtemps vous déconnectez de votre corps”, explique Stefania Parigi. “Alors, se rattacher à ce corps, c'est révéler des douleurs qui sont parfois immenses, psychiques, physiques. C'est une question de sécurité, de protection, que d'ignorer son corps quand on a été trop abîmé”. Ainsi, le travail de l’ASDF va être de ramener ces femmes vers le soin. Une des spécificités de l'association, ce sont les "femmes repères”, des bénévoles qui sont des femmes issues de la rue ou d’un parcours migratoire, qui ont été repérées et sollicitées par les équipes parce que dans leur pays d'origine, elles ont été sages-femmes, aides-soignantes, infirmières. Elles parlent aussi des dialectes qui permettent d’entrer en contact plus facilement avec d’autres femmes. L’association va donc à la rencontre des plus précaires via des maraudes à pied, mais aussi à bord du Frottis truck, également sollicité par certaines communes en manque de professionnels de santé ou pour toucher un public de femmes qui ne déplace pas, en bas des immeubles dans les quartiers prioritaires par exemple. "Le soin gynécologique est difficilement accessible, notamment pour le droit commun”, explique Stefania Parigi. "Quand vous habitez un petit village au fin fond de la Dordogne ou de la Creuse, pour avoir un rendez-vous avec un gynécologue, ça peut être difficile. Alors, vous imaginez bien que quand vous êtes très désocialisée, c'est encore plus compliqué. Donc on a aussi cette possibilité d'aller vers des dames qui ne sont pas à la rue, mais qui n'ont aussi pas accès aux soins pour plein d'autres raisons”. Une fois le contact noué, une première phase de dépistage est réalisée. “Beaucoup de ces femmes n'ont parfois jamais vu de gynécologue à 7 mois ou 8 mois de grossesse par exemple. Ou alors, on fait du dépistage cancer du sein ou cancer en général”. Celles en bonne santé ont tout de même besoin de voir un dentiste ou un généraliste. L’objectif est très clair pour l’ADSF : “Nous ne sommes pas une équipe soignante, ni un hôpital. On est un lieu de dépistage et d'orientation. C'est de pouvoir justement, avec une équipe pluridisciplinaire, en toute bienveillance avec nos femmes repères, de pouvoir identifier les problématiques les plus urgentes à prendre en charge, avec tout un travail d'orientation vers un hôpital, une permanence d'accès aux soins, un médecin de ville, un pharmacien ou un laboratoire". L’ASDF propose aussi des groupes de parole, des ateliers ménopause, maternité avec des sages-femmes et des psychologues, parentalité, massages bébé, café des parents, des ateliers autour de la danse aussi et de l'art thérapie, de la salsa thérapie, de la sophrologie, ainsi que des permanences juridiques. L’association travaille aussi main dans la main avec les entreprises et les professionnels de santé, pour faire du plaidoyer. "On souhaiterait que l'ADSF soit lieu de stage dans le cadre d'internats en médecine ou lieu de stage police / justice, pour que le regard sur ces femmes change", explique Stefania Parigi. "Le fait de travailler avec des soignantes, ça aide beaucoup à apaiser la communication autour de ces sujets. Et finalement, le fait que ces femmes soient sans papiers, ce n'est pas si grave. Ce qui transparaît auprès de nos partenaires, c'est la nécessité d'améliorer l'état de santé de ces dames”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
10 minutes 35 seconds

Impact.info en français
Pourquoi l’activité physique est-elle essentielle pour prévenir cancers et maladies cardio-vasculaires ?
La sénologie est une spécialité médicale qui s’intéresse aux pathologies du sein. "Et moi je suis sénologue dans le sens où je fais de la rééducation après cancer du sein”, précise Gwenaëlle Landrieu. C’est via son activité qu’elle réalise que certaines femmes rencontrent des difficultés pour continuer de pratiquer un sport pendant et après la maladie, faute de moyens financiers. Alors, l’association Phoenixea se propose de leur fournir un abonnement annuel pour l'activité physique de leur choix. En effet, le cancer va précariser des femmes dans des situations déjà complexes. Celles qui sont salariées mais n'ont pas de convention collective avantageuse et qui ne vont donc pas pouvoir toucher les indemnités journalières, souvent dans des métiers déjà peu valorisants. On va aussi trouver des femmes qui sont en profession libérale. La plupart ont souvent des enfants. Sans compter que dans 60% des cas, les femmes qui traversent un cancer sont quittées par leurs conjoints, se retrouvant seules en charge du foyer. Au final, on estime que dans les deux années qui suivent l'annonce d’un cancer, environ 50% des femmes vont perdre la moitié de leurs revenus. Un stress supplémentaire qui vient s’ajouter à celui, déjà conséquent, dû à l’annonce de la maladie, et qui ne va pas aider à faire face. "C'est pour ça qu’on recommande l’activité physique”, explique Gwenaëlle Landrieu, “qui va permettre de diminuer la fatigue, mais également toutes les douleurs liées aux différents traitements”. Elle va aussi permettre de limiter les récidives. Elle redonne moral et confiance en soi. Mais le sport permet aussi de bien dormir, de déstresser. L'activité physique permet de diminuer l'inflammation, mais aussi la glycémie, des facteurs qui peuvent justement favoriser l'installation d'un cancer. C’est pourquoi Phoenixea organise aussi des actions de prévention, notamment en direction des femmes qui résident dans des quartiers prioritaires, et qui n’ont pas le budget pour pratiquer un sport. Là, des ateliers découverte de différentes activités physiques sont organisés, comme la boxe, la danse, le macadam qui est du renforcement musculaire à l'aide du mobilier urbain, des percussions brésiliennes, pour se bouger mais aussi créer du lien, de la cohésion. “Phoenixea, par le biais du sport, va permettre aux femmes de se renforcer physiquement et mentalement”, insiste Gwenaëlle Landrieu. “C'est vraiment un ancrage dans son corps qui va aussi permettre de pouvoir traverser des moments difficiles avec courage. Et l'activité physique permet vraiment de se valoriser, soi-même et vis-à-vis des autres”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
10 minutes 41 seconds

Impact.info en français
Pourquoi soutien et lien social sont essentiels pendant et après un cancer ? 
Il y a près de 5 ans, Céline et Loeiza luttent contre un cancer. Si elles estiment leur prise en charge médicale complète, elles constatent qu’elles se retrouvent face à elles-mêmes quant à l’aspect accompagnement pendant la maladie, avec aussi un sentiment d’abandon une fois les traitements terminés. C’est là que leur vient l’idée de créer l'association Symbiose. "On a fait ce constat-là qu’il manquait vraiment un accompagnement sur un plan global”, se remémore Céline Prodhomme. “On a aussi échangé avec des médecins pour savoir comment ils percevaient les choses, puisqu'on sentait qu'il y avait aussi une détresse de leur côté, une frustration de pas pouvoir accompagner leurs patientes à 100%”. La maison Symbiose, c’est un accompagnement à 360°, le plus complet pour tout type de femme et toute situation, qui intervient dès l'annonce de la maladie, pendant les traitements et jusqu'à un an après leur arrêt. Le but étant que les femmes puissent venir s’y ressourcer, mais aussi y trouver des conseils sur l'activité physique adaptée, la nutrition, les astuces de détente et de relaxation, la remédiation des facultés cognitives impactées par les traitements. Un accompagnement qui permet de faire baisser les risques de récidive, de reprendre plus rapidement le travail et confiance en soi. Le lien social créé se révèle également d’une grande aide pour les accueillies. “Elles tissent des liens sociaux avec d'autres femmes”, raconte Céline Prodhomme. “Et ça, c'est très important pour la reconstruction, qu’elles ne soient pas seules et qu'elles puissent prendre du temps pour elles aussi, avoir des moments de lâcher prise dans leur quotidien”. La maison Symbiose est également très active vis-à-vis des entreprises. “Notre but est d'expliquer aux chefs d'entreprise que l'association peut intervenir pour leurs salariés concernés”, explique Céline Prodhomme. “Et en parallèle, une entreprise peut aussi être actrice de l’association en termes de soutien via le mécénat, financier ou de compétences. Il y a beaucoup de choses à s’apporter mutuellement”. Depuis son ouverture en 2023, ce sont 146 femmes qui ont été accompagnées par l’association Symbiose sur le territoire des Côtes d'Armor. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
10 minutes 46 seconds

Impact.info en français
Pourquoi monter des projets d’énergies renouvelables permet de rassembler dans les territoires ?
L'idée est de monter des projets d'énergies renouvelables maîtrisés par les territoires partout en France. Pour cela, Energie partagée utilise deux outils. Le premier est associatif et permet d’organiser des formations, faire du plaidoyer, de la sensibilisation pour que citoyens et collectivités soient outillés et accompagnés pour monter ces projets d'énergies renouvelables à gouvernance partagée, projet de toiture solaire, de centrale hydraulique, d’éolien... Et puis un outil d'investissement. L’ambition étant d'aller chercher l'épargne de ceux qui veulent abonder dans des projets de construction d'actifs d'énergies renouvelables différents. Aujourd’hui, ce sont plus de 500 projets portés dans l’Hexagone, initiés par des citoyens et collectivités, ou bien même des développeurs privés. “Notre capacité est d'écouter tous les protagonistes et de faire en sorte qu'un projet collectif soit défini où tout le monde puisse se retrouver”, explique Erwan Boumard. “Il faut savoir qu'au début du XIXe siècle, c'était bien les territoires qui ont électrifié et développé les réseaux. C'est suite à la guerre que tout a été centralisé. Aujourd'hui, il y a une volonté de reprendre le pouvoir, de choisir le type d'énergie renouvelable que l’on souhaite”. Un choix éclairé qui n’a pas été possible quant au développement du nucléaire, ce qui fait partie des revendications d’Energie partagée, pour qui c'est aux territoires de choisir ce qu'ils veulent faire, en collaboration avec les citoyens. L'association s’est d’ailleurs dotée d’une charte, pour que tous soient représentés dans les choix et l’exploitation des projets avec une gouvernance minimum. “On s'inscrit sur des temps longs puisqu'en développant de projets d’énergies renouvelables, c'est 6 mois, 1 an, 2 ans pour, ne serait-ce que faire émerger l'idée”, explique Erwan Boumard. “Et puis après c'est une dizaine d'années de développement, une vingtaine d'années d'exploitation. Ce temps-là permet aux personnes de se rencontrer, de créer du lien, en portant un projet concret et transparent, ce qui fait que la transition énergétique est comprise dans les territoires”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
1 week ago
10 minutes 47 seconds

Impact.info en français
Comment prendre en compte les enfants des femmes victimes de violence ?
Comment prendre en compte les enfants des femmes victimes de violence ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 weeks ago
4 minutes 2 seconds

Impact.info en français
Comment former l'entourage des femmes victimes de violence à les soutenir ?
Comment former l'entourage des femmes victimes de violence à les soutenir ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 weeks ago
3 minutes 57 seconds

Impact.info en français
Comment répondre au plus près des besoins des victimes de violences ?
Comment répondre au plus près des besoins des victimes de violences ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
2 weeks ago
2 minutes 4 seconds

Impact.info en français
Pourquoi faut-il absolument investir les zones rurales dans la lutte contre les violences conjugales ?
Lorsque l’on quitte une situation de violence, l’une des questions les plus importantes est de savoir où on va aller. “Et nous, on a encore plus cette problématique parce qu'en zone rurale, toutes les informations ne sont pas aussi accessibles que dans les grandes villes”, explique Sandra Barba. “On n'a pas de panneaux qui nous invitent partout à composer le 39 19, le 115 ou à appeler la gendarmerie. On a ces problématiques d'isolement, mais on a également des problématiques de transport. Ici, sans voiture, on ne peut pas faire grand-chose". Et puis, dans un village de 6 000 habitants, comme celui qui héberge Transition-Elles, créé par l'association Vivre Femmes, tout le monde connait tout le monde, le gendarme local, le maire, ou c'est le mari qui connait le maire. “Alors, il y a une culture de la honte et du secret”. C’est pour rompre cet isolement que l’association a pris le parti d'aller chercher ces femmes partout où elles se trouvent, communiquant massivement sur les réseaux sociaux, auprès des entreprises, dans les écoles, les boulangeries, les épiceries sociales, en lien avec la gendarmerie, les CCAS, les mairies. Sur des évènements aussi, en organisant un salon d'art contemporain dans le village, avec pour consigne donnée aux artistes de présenter au moins une œuvre sur le thème de la femme, ou en rassemblant quelques 300 motos pour un clapping sur la place centrale. L’idée étant d’ouvrir le débat, de rendre la parole, de redonner aussi confiance et dignité à ces femmes. Dans les espaces communs, d’abord, de la structure d’hébergement, “pour qu'elles se remettent à discuter, qu'elles voient qu'elles peuvent être appréciées, qu'elles ont le droit d'être heureuses, de sourire, de faire rire les personnes autour d’elles, qu’elles ne sont pas folles, comme elles se sont entendu répéter. On travaille beaucoup sur l'image de soi et la reconstruction de la confiance”, raconte Sandra Barba. “Elles ont besoin de réapprendre à être soi, à réapprendre à choisir, à reprendre possession de leur vie”. Un message à marteler, même si cela doit passer par des actions coups de poing, quitte à “rentrer dans le lard”. “Je pense qu’on est parfois encore dans les zones rurales sur des stéréotypes bien ancrés et on essaie de faire bouger les choses de toutes les façons possibles”, conclut Sandra Barba. “C'est la récurrence des informations qui fait rentrer dans les mentalités une façon de voir différente”. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
3 weeks ago
10 minutes 44 seconds

Impact.info en français
Pourquoi sensibiliser et mobiliser l’entreprise et ses collaborateurs sur la question du sans-abrisme ?
Une initiative née d’un illustre grand patron local, Alain Mérieux, également connu pour sa philanthropie, qui en 2019, de retour chez lui après une série de déplacements en Haïti et à Madagascar, est sidéré de constater qu’autant de personnes vivent à la rue dans la capitale des Gaules, quand il n’en a pas vu lors de ses voyages, dans des pays réputés pourtant plus en difficulté. Il fédère alors des chefs d’entreprises autour d’associations qui œuvrent dans le domaine du sans-abrisme et créé l’Entreprise des possibles, d’abord avec une vingtaine d’entreprises. Aujourd’hui, elles sont 160. L'Entreprise des possibles propose plusieurs leviers d'action. Le premier étant les dons de congés payés monétisés. Il s’agit de proposer aux collaborateurs, avant qu'ils ne perdent des jours de congés payés ou de repos qu'ils ne prennent pas, d'en faire don. Et donc à charge de l'employeur de verser le montant du salaire journalier avec la possibilité pour l'entreprise d'abonder du même montant, soit un effort partagé entre les collaborateurs et l'employeur. À cela s'ajoute du mécénat financier classique. Du bénévolat est également proposé aux collaborateurs, via une plateforme, où le salarié peut choisir les missions pour lesquelles il souhaite s’impliquer, souvent le temps d'une demi-journée sur leur temps de travail. “Des missions où on a surtout besoin, non pas de leurs compétences”, précise Etienne Piquet-Gauthier, “mais surtout d'huile de coude, de courage, de tout ce qui va qui permettre de contribuer très concrètement : procéder à des travaux de jardinage, monter des lits et des armoires dans un bâtiment mis à la disposition d’une association”… Mais ça peut être aussi des collectes, des dons en nature, des prêts de biens immobiliers ou du mécénat de compétences, donc des mises à disposition de collaborateurs. Les sommes récoltées permettent de soutenir des projets portés par des associations locales qui travaillent à l'hébergement et au logement des personnes sans abri. “Nous ne sommes pas opérateurs”, explique Etienne Piquet-Gauthier. “On est quelque part des collecteurs de générosité. Et on essaie de décloisonner toutes ces actions des associations, en lien évidemment avec les pouvoirs publics que sont la métropole de Lyon et l'État, pour trouver des solutions pratiques de mise à l'abri, soit d'hébergement d'urgence, soit de logements pérennes”. Des actions qui permettent de collecter chaque année entre 600 000 et 700 000 €. Avec le mécénat financer, ce sont une vingtaine de projets qui sont soutenus annuellement, à hauteur d'un peu plus d'un million d'euros. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show more...
3 weeks ago
10 minutes 48 seconds

Impact.info en français
Impact.info Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.