Dans cet épisode, on explore les nouveaux dieux du XXIᵉ siècle : la peur comme moteur politique, le travail vidé de sens, la culture devenue propagande et l’argent érigé en foi.
De la panique médiatique à l’adoration du profit, des super-héros aux cryptos, tout s’aligne : le monde ne croit plus en Dieu, il croit en la croissance.
Bienvenue dans une époque où l’on prie les algorithmes et où la seule transcendance restante… c’est le rendement.
Dans ce nouvel épisode, on démonte les mécaniques cachées derrière Call of Duty, les réseaux sociaux et cette mode glauque qui transforme la souffrance en contenu.
Recrutement militaire déguisé, addiction à la dopamine, culture de la dépression... même la guerre devient divertissement.
Bienvenue dans un monde où tout se vend, même la douleur.
Sept Premiers ministres en huit ans de macronisme, dont 4 en 18 mois… Des salaires cumulés, des cabinets doublons, des jets officiels et des millions partis en fumée pour masquer un pouvoir à bout de souffle. Cet épisode démonte la farce budgétaire d’une République en crise permanente, où chaque remaniement coûte plus cher que le précédent.
Entre petites magouilles dans l’audiovisuel, promesses bidon et un assassinat politique qui pue la manipulation, cet épisode démonte le cirque des faux-semblants.
Déchets triés, mais brûlés. Un streamer qui meurt sous vos yeux. Un Premier ministre qui fuit avant la tempête. Cet épisode démonte l’hypocrisie écologique, la décadence numérique et la lâcheté politique d’une France en chute libre.
C’est la rentrée du Débrief sans Filtre ! 🎧
Pour ce premier épisode de la saison 2, on attaque léger… mais cash :
Mon été entre galères de dettes, un job chez M6, le mariage de ma cousine et 5 kilos envolés.
La claque de l’ingratitude familiale (spoiler : ça m’a vacciné).
Et côté actu : le Premier ministre qui balance que la dette de la France, c’est « la faute du peuple », et une révolte type Gilets Jaunes annoncée pour le 10 septembre.
Toujours le même ton sans détour, mais avec une énergie neuve : le podcast sort désormais chaque samedi.
Bienvenue dans la saison 2. 🚀
Combien de fois t’as bossé dur, proposé des idées… pour te heurter à des blocages sournois, des critiques déguisées, ou carrément du sabotage masqué ? Dans la première partie, je démonte ces mécanismes toxiques : jalousie planquée, besoin de domination, schémas qui t’aspirent vers le bas. Et surtout : pourquoi tu laisses ça se répéter… encore et encore.
Deuxième partie : liberté d’expression, gauche, laïcité… On t’a vendu ça comme des piliers sacrés. La réalité ? Des armes politiques habillées en vertu. Derrière les beaux principes, c’est toujours la même logique : contrôler, imposer, étouffer ce qui dérange. Je te montre comment on se fait enfumer depuis des décennies… en croyant être du bon côté.
Un épisode qui pique. Pas fait pour ceux qui veulent rester confortablement aveugles.
Dans cette 11e édition, on commence par un petit mea culpa sur le handisport, pour rétablir les faits. Puis on entre dans le dur avec deux thématiques majeures :
Partie 1 : Métissage et schizophrénie identitaire.
Quand t’es né entre deux cultures, t’es sommé de choisir un camp. T’es jamais vraiment “d’ici”, ni complètement “de là-bas”. Je vous parle de la fracture loyale, ce mal silencieux qui oblige les métis à jongler entre loyauté, rejet et représentation forcée. Anecdotes perso, coups de gueule et questions que personne ne pose, ici on parle vrai.
Partie 2 : John Edgar Hoover, le parrain de l’État profond.
Le type a dirigé le FBI pendant 48 ans, fiché Martin Luther King, menacé des présidents et infiltré des mouvements entiers. Un homme qui surveillait tout le monde… sauf lui-même. On retrace son ascension, ses méthodes, ses dérives, et comment il a transformé la peur en pouvoir. Spoiler : c’est flippant.
Un épisode entre introspection identitaire et thriller politico-historique.
Prenez un café ou un verre, branchez vos écouteurs.
C’est parti pour un vrai débrief. Sans filtre.
Première partie introspective, entre souvenirs d’enfance, élan créatif et déceptions amères. Il est question de caméscope, de séquenceurs, de BD bricolées, mais surtout de création viscérale, d’influences non reconnues et de pillage artistique sous couvert d’amitié. De l’inspiration aux rancunes, du silence à l’évidence, on raconte ce que ça coûte d’être un générateur d’idées dans un monde qui recycle sans crédit.
En deuxième partie, changement d’ambiance : le Kompromat. L’art de faire chanter, ou de faire taire. L’affaire Brigitte/Jean-Michel devient prétexte à questionner nos angles morts : pourquoi certains sujets déclenchent l’hystérie ? Qui décide de ce qui est respectable ou complotiste ? Et surtout : à partir de quand une rumeur devient-elle une menace pour l’équilibre diplomatique d’un pays ?
Pas de certitude ici, mais des questions dérangeantes, des exemples concrets, et des contre-arguments qu’on n’entend jamais.
Bonne écoute...
Dans la première partie, on s’intéresse à BlackRock, ce géant financier qui, sans être élu, influence des pans entiers de nos vies : industries stratégiques, politiques publiques, tech, climat… Que signifie le pouvoir d’une entreprise qui possède (presque) tout, mais sans jamais apparaître au premier plan ?
En seconde partie, on plonge dans le transhumanisme : quête d’immortalité, technologies du vivant, entreprises comme Calico (Google) ou Neuralink (Elon Musk) qui rêvent de repousser les limites du corps et du cerveau. En toile de fond : la série “Au-delà du réel”, plus prophétique qu’il n’y paraît.
Bonne écoute.
Pendant qu’on te parle de progrès, les IA décident déjà à ta place. Derrière les applis “intelligentes”, y’a des boîtes comme Palantir, fondée par un milliardaire américain, qui gère des données sensibles en Europe depuis le Covid. Santé, justice, défense : ils sont partout, et personne n’a voté pour ça.
Et puisque personne n’a voté pour ça, est-ce que voter sert encore à quelque chose ? Deuxième partie : je te parle de l’illusion de l’homme providentiel. Les figures qu’on te vend comme des sauveurs, c’est souvent juste des avatars d’un système qui ne veut pas changer.
Spoiler : c’est pas une personne qu’il faut attendre, c’est un réveil collectif.
Dans la première partie de ce septième épisode du « Débrief sans Filtre », je reviens sur l’entrée en vigueur du Digital Services Act, cette nouvelle législation européenne qui impose aux plateformes de supprimer les contenus jugés “problématiques”. Le flou autour de ces critères soulève une question troublante : sommes-nous en train d’entrer dans une ère de censure douce made in Europe ?
Dans la seconde partie, on explore le réalignement mondial initié par les BRICS : dédollarisation, alliances stratégiques, résistance à l’hégémonie occidentale. Et si le “monde libre”… ne se trouvait plus à l’Ouest ?
Bonne écoute !
Dans la première partie de ce sixième épisode du Débrief sans Filtre, je vais vous parler de mon expérience dans le monde du cinéma, de loyauté et d’engagement. Dans la deuxième partie je vous parlerai d’un sujet hautement complotiste, celui des chemtrails. Mythe ou réalité ?
Bonne écoute !
Aujourd’hui, dans la première partie de ce nouveau Podcast, on va parler de misère sexuelle, d’égalité femme / homme et de nos schémas de pensée certainement prédestinés par rapport à notre génétique. Dans la deuxième partie, on va parler d’Edward Bernays « el grande manipulator » et de son neveu qui a co-fondé Netflix. Bonne écoute !
Aujourd’hui, dans ce nouveau podcast, dans la première partie, on va parler de Pole Emploi et de ses 61% d’annonces frauduleuses, des commerciaux formés à devenir des escrocs, de l’esclavage moderne et d’argent public. Dans la deuxième partie, on va parler de Ziad Takieddine, la machine à laver les slips sales d’Edouard Balladur, de Nicoco Sarkozy et de la victime collatérale, le colonel Kadhafi. Bonne écoute !
Aujourd’hui, dans un premier temps on va parler d’un artisan nul (Jo le rigolo) et de sa complice, et des animaux de compagnie. Dans un second temps on va aborder le sujet de l’économie, de l’origine des billets de banque, de l’or français, sa valeur marchande et d’une des personnes qui a aidé à sa dilapidation. En vous souhaitant une bonne écoute !
Aujourd’hui nous allons parler des États-Unis d’Amérique, du sang de la sueur et des chaînes qui ont permis sa création, de leur indépendance et des moyens fournis par Louis XVI pour y arriver. Puis nous parlerons dans un deuxième temps du projet MK-Ultra, des raisons de son influence dans la culture pop. Un projet complètement fou qui avait pour but d’asservir mentalement des cobayes et d’en faire des « agents dormants » (Manchurian Candidate) que l’ont peut déclencher à distance par une simple phrase. Bonne écoute.
Aujourd’hui nous allons parler de Trump qui a possiblement fait tomber Epstein, de son copain Musk qui dit qu’il va balancer la liste des participants aux soirées blanche de P Diddy, des Municipaux (quand la réalité dépasse la fiction), de popcorn et de cola, du prochain GTA qui sera woke et d’un documentaire dans les tuyaux. Bonne écoute.