
Première partie introspective, entre souvenirs d’enfance, élan créatif et déceptions amères. Il est question de caméscope, de séquenceurs, de BD bricolées, mais surtout de création viscérale, d’influences non reconnues et de pillage artistique sous couvert d’amitié. De l’inspiration aux rancunes, du silence à l’évidence, on raconte ce que ça coûte d’être un générateur d’idées dans un monde qui recycle sans crédit.
En deuxième partie, changement d’ambiance : le Kompromat. L’art de faire chanter, ou de faire taire. L’affaire Brigitte/Jean-Michel devient prétexte à questionner nos angles morts : pourquoi certains sujets déclenchent l’hystérie ? Qui décide de ce qui est respectable ou complotiste ? Et surtout : à partir de quand une rumeur devient-elle une menace pour l’équilibre diplomatique d’un pays ?
Pas de certitude ici, mais des questions dérangeantes, des exemples concrets, et des contre-arguments qu’on n’entend jamais.
Bonne écoute...