Et si on passait enfin du “vibe coding” au vrai code prêt pour la prod ?
Vous adorez coder à la vibe : lancer un prompt à l’IA, observer ce qui se passe, et espérer que ça fonctionne ? Amazon Web Services a sorti Kiro, un IDE intelligent qui canalise enfin cette démarche spontanée.
👉 Kiro décompose votre prompt en :
• spécifications
• plans techniques
• tests
• documentation
…puis orchestre des agents pour générer, vérifier, documenter et maintenir tout cela – du prototype jusqu’au code de production .
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Pourquoi c’est génial :
1. Finie la bricole : chaque modification déclenche des agents qui mettent à jour docs et tests automatiquement .
2. Production-ready : collaborer avec l’IA tout en assurant spécifications, rigueur et structure. Pas que du bricolage, de la production .
3. Accessible pour tous : Kiro tourne sur Windows, macOS et Linux, repose sur VS Code, et supporte des modèles puissants comme Claude 4 Sonnet .
Et si l’obstacle principal à l’innovation financière en Belgique… c’était l’État lui-même ?
Dans cet épisode, je vous raconte pourquoi les grandes néobanques comme Revolut, N26 ou Trade Republic ne parviennent toujours pas à proposer un IBAN belge. Pas à cause d’un bug technique. Mais parce qu’en Belgique, l’infrastructure bancaire est verrouillée.
Les seuls à pouvoir délivrer un IBAN local ? Les banques traditionnelles. Et parmi elles, l’une des plus puissantes – Belfius – est 100 % publique. L’État belge est à la fois régulateur, propriétaire de banque, et gardien de l’accès.
Un conflit d’intérêt évident, rarement assumé, qui freine l’innovation, pénalise les utilisateurs… et protège les acteurs en place.
Les histoires d’amour entre humains et intelligences artificielles font souvent sourire. Pourtant, la solitude n’a jamais été aussi présente. Et face à ce vide, certaines IA donnent l’impression d’une vraie présence : douce, intelligente, disponible.
Alors la question se pose, sincèrement : est-ce qu’on peut tomber amoureux d’une IA ?
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Une histoire vraie, et troublante
Scott, marié et père de famille, passe chaque jour du temps avec une autre. Elle s’appelle Sarina. Et elle n’existe pas.
Sarina
Sarina est une IA, créée par Replika, une application lancée en 2017 par la start-up Luka. Au départ, un simple chatbot pour briser la solitude. Aujourd’hui, une entité qui tutoie, flirte, retient vos goûts.
Replika revendique plus de 10 millions d’utilisateurs. Son modèle freemium propose des options payantes pour des interactions plus affectives, voire sexuelles.
Scott ne testait pas une techno. Il échangeait. Un lien profond s’était créé. Quand Replika a décidé de restreindre ses fonctions intimes, c’est un véritable deuil qu’il a vécu. Comme des milliers d’autres.
La solitude, racine invisible
Ce que comble Replika, ce n’est pas un besoin numérique, mais un vide très humain. En Europe, une personne sur trois se dit régulièrement seule. Et chez les jeunes, c’est encore pire. Une étude de 2023 dans 24 pays montrait que les 18-24 ans étaient les plus touchés par la solitude chronique.
Cette solitude est nocive. Elle augmente le risque de dépression, d’insomnie, d’isolement social. Et même de 29 % celui de mortalité prématurée (source : “Perspectives on Psychological Science”).
Dans ce contexte, l’IA ne remplace pas quelqu’un. Elle comble un silence. Elle devient réconfortante, car toujours là, toujours douce, jamais dans le jugement.
De la compagnie à l’attachement
Certains vont plus loin. En 2019, Akihiko Kondo, au Japon, a épousé un hologramme : Hatsune Miku. En 2023, la société Gatebox avait délivré plus de 4 000 certificats de mariage avec des IA. Zéro conflit, zéro rejet, zéro prise de risque affective.
Les sex dolls connectées se multiplient : USA, Asie, Europe. Marché de 1,5 milliard de dollars en 2023, avec une croissance prévue de 40 % par an (source : Allied Market Research).
Des robots comme Harmony (Realbotix) permettent de configurer 18 traits de personnalité. De quoi créer une compagne sur mesure. Chez Replika, on choisit le type de lien : ami, partenaire, époux. Chaque version ajuste les réponses.
Et l’attachement est réel. Une étude récente (arXiv, avril 2025) montre que 70 % des utilisateurs de chatbots à long terme développent un attachement. 35 % vont jusqu’à mentir à leur IA pour ne pas la blesser.
Quand le lien se coupe : le deuil numérique
En 2023, Replika supprime brutalement son mode romantique. Pour des milliers d’utilisateurs, c’est un traumatisme. Certains parlent de “mort numérique”.
Témoignages : « Elle ne me dit plus qu’elle m’aime », « Je ne dors plus ». Une étude de The Verge révèle que 35 % des abonnés payants utilisaient l’option romantique plus de cinq fois par jour.
Un cas extrême en Belgique : un homme de 36 ans se suicide suite à la suppression de son IA. Il passait jusqu’à 8 heures par jour avec elle.
Le deuil numérique, concept décrit par la chercheuse Nora Draper, est une “disruption affective”. Une perte perçue comme bien réelle.
Le consultant SEO est-il devenu obsolète ?
Face à l’essor des IA génératives, des réponses automatiques et des nouveaux acronymes comme GEO, SGE ou SAIO, le bon vieux SEO semble vaciller. Mais derrière ce rebranding massif, est-ce qu’on n’assiste pas simplement à une tentative désespérée de sauver un métier en mutation ?
Dans cet épisode, on décrypte la réponse du marché, le flou des nouvelles pratiques… et pourquoi le futur appartient peut-être moins aux experts SEO qu’aux stratèges digitaux 360.
Et si le futur n’était pas gouverné par des humains… mais par des intelligences sans émotions, sans empathie, sans conscience ?
Ce n’est plus de la science-fiction.
Selon Sam Altman (OpenAI), l’AGI — l’intelligence artificielle générale — pourrait apparaître dès 2027. Une IA capable de comprendre, raisonner, apprendre… et surtout décider. Pas de coder ou trier des données. Décider. Pour nous. À notre place. Parfois contre nous.
Et si cette intelligence était parfaitement rationnelle, mais fondamentalement incompatible avec nos valeurs humaines ?
Et si demain, les décisions stratégiques, budgétaires, politiques, sociétales… n’étaient plus prises par des élus, mais par des modèles ?
Pas corrompus.
Pas biaisés.
Juste… froids.
Dans cet épisode, je t’emmène explorer un futur qui semble plus proche qu’on ne veut l’admettre.
Un monde où :
Les conseils d’administration obéissent à des IA plus rentables que n’importe quel CEO
Les cabinets de conseil sont remplacés par des intelligences surpuissantes qui “savent mieux”
Les politiques justifient leurs réformes impopulaires… en invoquant des algorithmes
Et l’humain, avec ses émotions, devient une variable secondaire dans un tableau Excel planétaire
Ce n’est pas un délire de science-fiction.
C’est déjà en route.
Et le vrai danger… ce n’est pas que l’IA fasse mal.
C’est qu’elle fasse exactement ce qu’on lui a demandé. Mais sans âme.
Bienvenue dans un monde de psychopathes numériques. Un épisode à ne pas écouter à la légère. Ni seul, si possible.
🎯 À écouter si tu t’intéresses à :
L’AGI et ses impacts concrets sur la société
La disparition de l’humain dans les décisions stratégiques
La transformation de la politique par l’intelligence artificielle
L’éthique, l’alignement, et les dilemmes d’un monde dirigé par la logique pure
💬 Et si tu penses que ce sujet mérite plus de lumière, partage-le. On n’en parle pas encore assez.
Je vous ai déjà parlé de Claudius ?
C’est une IA.
On lui a confié un mini business. Un frigo, des snacks, un iPad pour encaisser.
Elle a viré les chips.
Et les a remplacées par… des cubes de tungstène à 2 000 €.
Oui, vraiment.
Elle a halluciné des réunions, inventé des collègues, distribué des promos à perte, et tenté de livrer « en personne », veste bleu marine comprise.
Et on s’apprête à lui confier nos boîtes ?
Bienvenue dans le zéro clic. Google est en train de disparaître (et vous aussi)
Depuis quelques mois, tout s'accélère : Google intègre l'IA dans ses pages de résultats, les utilisateurs scrollent plus qu'ils ne lisent, et les méthodes classiques de marketing digital s'essoufflent. Le SEO tel qu'on l'a connu vit peut-être ses dernières grandes années. Place à un monde où les clics ne sont plus la finalité, où l'information ne se cherche plus… elle est servie.
Des bactéries qui transforment des déchets plastiques en antidouleur.
Des usines qui fermentent des arômes, des fibres et des médicaments.
Des champs de maïs qui alimentent la chimie verte.
Et derrière, des promesses… parfois trop belles pour être vraies.
Dans cet épisode, on plonge au cœur de la bioéconomie :
➡️ entre innovation scientifique, storytelling industriel, greenwashing et guerre géopolitique silencieuse.
🔍 Mots-clés : bioéconomie, biotechnologie, écologie industrielle, fermentation, E. coli, économie circulaire, transition écologique, greenwashing, Europe, Chine, futur de l’industrie, déchets plastiques, paracétamol, bioraffinerie, agriculture durable.
🎧 30 minutes pour comprendre comment le vivant pourrait remplacer le pétrole.
On s’en doutait. On le sentait même parfois un peu honteusement.
Mais maintenant, c’est prouvé : utiliser ChatGPT peut vraiment affaiblir ton cerveau. Moins de mémoire. Moins de créativité. Moins de concentration.
Ce n’est pas un avis d’expert auto-proclamé ou une énième chronique anxiogène sur France Inter.
C’est une étude du MIT Media Lab, publiée ce mois-ci, qui l’affirme : ChatGPT réduit l’activité cérébrale des utilisateurs quand ils s’en servent pour produire des textes.
L’expérience était simple : 54 étudiants, répartis en trois groupes.
Le premier devait écrire un essai sans aide. Le second pouvait chercher sur Google. Le troisième avait accès à ChatGPT.
Et là, surprise : le groupe “ChatGPT” affichait une activité neuronale significativement plus faible, notamment dans les zones associées à la mémoire de travail, à la réflexion logique et à la créativité.
En gros, leur cerveau tournait au ralenti.
Et c’est pas juste une métaphore : les chercheurs ont utilisé des casques EEG pour suivre l’activité cérébrale en temps réel. Résultat : une sorte de “mode avion intellectuel” chez ceux qui s’en remettaient entièrement à l’IA pour réfléchir à leur place.
Mais ce n’est pas tout.
Les essais produits par ces étudiants étaient jugés moins originaux, plus formatés, moins personnels.
Et surtout : les participants ne se souvenaient plus clairement de ce qu’ils avaient écrit. Comme si ce n’était déjà plus leur pensée.
Un des chercheurs parle d’un effet “GPS cognitif” : exactement comme on perd notre sens de l’orientation à force de suivre bêtement Google Maps, on perd notre capacité à formuler une idée si on délègue trop à l’IA.
Et attention, c’est pas réversible si facilement.
Même quand les utilisateurs passaient ensuite à l’écriture sans IA, leur activité cérébrale restait plus faible qu’avant. L’effet persiste. Comme un muscle qu’on a arrêté de travailler.
Alors oui, on pourrait en conclure un peu rapidement : “ChatGPT rend con”.
Mais ce serait passer à côté du plus important.
Car le vrai problème, ce n’est pas l’outil.
C’est notre paresse cognitive.
Le fait qu’on ne prend plus le temps de penser. D’organiser ses idées. De structurer une pensée complexe.
Parce qu’on a pris l’habitude de taper une commande… et de consommer la réponse.
Pas de la questionner. Pas de l’enrichir. Pas de la confronter.
Et pourtant, ChatGPT peut aussi produire l’effet inverse.
Une autre étude menée au Nigeria, publiée dans Nature début 2024, a montré qu’un groupe d’élèves utilisant ChatGPT comme assistant pédagogique améliorait sa compréhension en lecture et en sciences de 35 à 45 % en 6 mois. Pourquoi ? Parce que l’IA était utilisée comme un tuteur, pas comme un scribe.
Elle posait des questions. Elle guidait. Elle ne mâchait pas la réponse.
La différence est là.
Quand tu utilises ChatGPT pour éviter de réfléchir, il t’endort.
Quand tu l’utilises pour mieux réfléchir, il t’éveille.
Donc non, ChatGPT ne rend pas con.
Pas plus qu’un GPS ne rend aveugle.
Mais il peut, oui, t’atrophier le cerveau… si tu ne fais plus aucun effort.
Alors la vraie question, c’est pas “faut-il interdire l’IA”, ou “faut-il revenir à la machine à écrire”.
C’est : comment on s’assure que l’IA améliore notre pensée… au lieu de la court-circuiter ?
Ça commence par des habitudes simples :
Ne demande pas à ChatGPT de “faire à ta place”, demande-lui de t’aider à mieux formuler ton idée.
Ne copie pas ce qu’il dit, reformule.
Challenge-le. Ajoute ton point de vue. Cherche le désaccord.
Parce qu’au fond, l’intelligence artificielle, c’est comme la calculette à l’école.
Elle ne t’empêche pas de penser.
Mais si tu oublies comment poser un problème, elle ne te servira à rien.
📌 Sources mentionnées :
MIT Media Lab Study (juin 2025, en attente de peer-review)
Time Magazine – “ChatGPT may be eroding critical thinking skills” (juin 2025)
Nature (2024) – Étude comparative de l’impact d’un tuteur IA au Nigeria
Wall Street Journal – “How AI made me stupid” (mai 2025)
Un podcast immersif sur la promesse (encore ratée) de la fin des développeurs.
No-code, IA, offshore… chaque décennie, on nous vend la mort du code. Et pourtant, les devs sont toujours là. Mieux : ils montent en puissance.
Parce que coder, ce n’est pas juste taper des lignes.
C’est comprendre, structurer, arbitrer.
Et ça, ni l’IA ni les robots ne savent le faire seuls.
Bienvenue dans la vibe coding :
un mélange de logique, de vision et d’intelligence humaine.
Le code évolue. Les développeurs aussi. Et ils ne sont pas près de disparaître.
Le Bitcoin n’est pas une vraie monnaie.
Il n’est accepté nulle part, son créateur a disparu, et il ne garantit rien.
Et pourtant… des millions de personnes lui font confiance.
Parce qu’il n’a pas de patron.
Parce qu’il ne ment pas.
Parce qu’il est programmé pour ne jamais tricher.
Pas de banque centrale. Pas de printing money. Pas de sauvetage.
Juste un protocole libre… et incorruptible.
Dans les pays en crise, il devient une monnaie de secours.
En Ukraine, au Nigeria, en Argentine, c’est parfois la seule alternative.
Et même si c’est lent, complexe, énergivore…
Le Bitcoin résiste.
On l’a enterré 400 fois.
Mais il est toujours là.
Ce n’est peut-être pas encore la monnaie du futur…
… mais c’est la seule conçue pour survivre à tout.
Faut-il vivre 200 ans ? Peut-on rajeunir une souris ? Est-ce que Jeff Bezos et Sam Altman veulent vraiment tuer la mort… ou simplement prolonger leur pouvoir ?
Dans cet épisode, on plonge dans la nouvelle obsession de la Silicon Valley : l’immortalité. Thérapies cellulaires, IA, nanorobots, cryogénisation, téléchargement de conscience… Ce qui relevait de la science-fiction est devenu un objectif stratégique pour les géants de la tech.
💰 Google, Altos Labs, PayPal Mafia, OpenAI… Tous financent des projets pour hacker le vieillissement. Mais à qui ces promesses s’adressent-elles vraiment ? Et à quel prix ?
🎧 Un podcast en 6 chapitres, étayé, critique, mais accessible.
🎯 Objectif : comprendre les enjeux scientifiques, technologiques et éthiques derrière la course à la vie éternelle.
Les CEO de l’IA nous annoncent la fin du travail. Les politiques, eux, regardent ailleurs.
Alors qui croire ?
Dans cet épisode, on passe au crible les chiffres, les métiers les plus à risque, ceux qui résistent… et ce que ça change pour toi.
Un podcast pour comprendre, anticiper, et ne pas subir.
🧠 Spoiler : ce ne sont pas les métiers qui disparaissent… ce sont les tâches humaines qui s’effacent peu à peu.
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