Le Cheat Code, c'est une émission dédiée aux avocats, où l'on apprend tout ce qu'on ne trouve pas dans les livres de droit classiques. Autrement dit, des méthodes de marketing concrètes à mettre en place pour votre propre activité d'avocat.
Ces "codes de triche", vous allez les découvrir tout en apprenant à connaître nos invités, qui se composent aussi bien d'avocats que de marques, d'entrepreneurs, de business développeurs, de cabinets renommés ou émergents.
Ici, on parle franchement, on vous donne des techniques et des outils concrets pour vous inspirer dans votre travail.
Cette émission est produite par Ourama, l'agence de communication spécialisée dans le développement de sites web pour cabinets d'avocats. N'hésitez donc pas à prendre contact avec nous si vous avez un besoin en ce sens. Je vous souhaite une excellente écoute.
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Le Cheat Code, c'est une émission dédiée aux avocats, où l'on apprend tout ce qu'on ne trouve pas dans les livres de droit classiques. Autrement dit, des méthodes de marketing concrètes à mettre en place pour votre propre activité d'avocat.
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Cette semaine dans Le Cheat Code, Ant Ercin reçoit Harry Seror, avocat manager chez Ernst & Young Société d’Avocats (EY).
Un parcours inspirant, entre passion pour le droit, intérêt pour la tech et envie de faire bouger les lignes au sein d’un grand cabinet.
Avant de devenir avocat, Harry Seror s’imaginait huissier de justice.
Mais le hasard (ou peut-être le destin) l’a finalement conduit vers le droit de la propriété intellectuelle et des nouvelles technologies (IP/IT), un domaine où il s’épanouit pleinement aujourd’hui.
Ce virage professionnel, il le raconte avec simplicité et humour, en évoquant les rencontres et opportunités qui l’ont amené à mêler droit, innovation et stratégie digitale.
Dans cet épisode, Harry partage sa vision de la place de la tech et de l’IA dans les cabinets d’avocats.
Pour lui, ces outils ne remplacent pas l’avocat, ils le renforcent, en lui permettant de se concentrer sur la valeur ajoutée humaine : la réflexion, le conseil, la créativité.
Il évoque aussi les transformations à venir dans la profession, les nouvelles compétences à développer, et la manière dont les jeunes avocats peuvent tirer parti de ces mutations pour construire un parcours unique.
Harry aborde un sujet qui parle à beaucoup : comment développer une activité personnelle tout en travaillant dans une grande structure.
Il livre des conseils concrets pour concilier les deux mondes :
trouver un équilibre entre les exigences du cabinet et ses projets personnels, rester curieux, et surtout, oser entreprendre.
Au-delà de la technique juridique, Harry souligne l’importance des valeurs humaines qu’il a acquises chez EY :
Ces qualités, il les considère comme indispensables pour évoluer durablement dans le métier d’avocat.
Un échange authentique et inspirant, avec un avocat qui voit dans la technologie non pas une menace, mais une formidable opportunité d’innovation et de croissance.
Si vous vous interrogez sur l’avenir du droit, l’IA dans les cabinets ou la façon de bâtir sa propre voie dans ce milieu exigeant, cet épisode est fait pour vous.
👉 Écoutez l’épisode complet du Cheat Code avec Harry Seror sur votre plateforme de podcast préférée.
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Cette semaine dans Le Cheat Code, nous avons le plaisir de recevoir François Mazon, avocat associé chez MAZON ARNAUD DECONINCK, dans un épisode animé par Louis Gaillot.
François nous raconte un parcours atypique : après 30 ans dans le monde de l’entreprise, où il a dirigé de grandes sociétés comme Capgemini France, il a décidé de devenir avocat pénaliste et de mettre son expérience au service des dirigeants confrontés aux enjeux juridiques.
Ingénieur de formation (École Centrale de Paris) puis diplômé de SciencesPo, François a repris des études de droit à 50 ans et obtenu le CAPA en 2013.
Son expérience de dirigeant lui a permis de vivre de l’intérieur les risques pénaux auxquels sont exposées les entreprises :
Cette expérience vécue renforce aujourd’hui sa capacité à accompagner efficacement ses clients, en alliant expertise juridique et connaissance pratique du monde de l’entreprise.
François intervient régulièrement dans différents domaines du droit pénal :
Il forme également les dirigeants sur la prévention du risque pénal, notamment avec HEC pour le compte de la BPI, et est expert auprès de l’APM. En 10 ans, il a formé plus de 5 000 dirigeants à ces enjeux critiques.
François explique comment il a décidé, à 50 ans, de changer de vie pour se consacrer au droit pénal :
“Après 25 ans dans le monde de l’entreprise, j’ai voulu mettre mon expérience au service des dirigeants, mais cette fois en tant qu’avocat.”
Son cabinet, MAZON ARNAUD DECONINCK, basé à Paris et Marseille, se spécialise dans le pénal des affaires, le pénal du travail et le pénal économique.
Dans ce podcast, François partage sa vision de la justice, les défis de la profession d’avocat, et les conseils qu’il donnerait à ceux qui souhaitent se lancer dans le pénal.
Entre anecdotes personnelles, retours d’expérience et conseils pratiques, cet épisode est une véritable mine d’informations pour les dirigeants et les futurs avocats.
François Mazon y dévoile comment conjuguer expertise juridique et expérience opérationnelle, et comment naviguer dans le monde complexe du droit pénal des entreprises.
👉 Écoutez l’épisode complet du Cheat Code avec François Mazon sur votre plateforme préférée.
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Cette semaine dans Le Cheat Code, on reçoit Maître Mathieu Cochet, avocat au Barreau de Grasse depuis janvier 2025. Après quatre années passées à Paris, il exerce désormais à Cannes, où il a fondé son propre cabinet : Mathieu Cochet Avocat.
L’épisode est animé par Ant Ercin, qui explore avec lui les coulisses d’un parcours à la croisée du droit, de la finance et de l’entrepreneuriat.
Avant de lancer son activité indépendante, Mathieu a travaillé au sein de cabinets internationaux de renom, notamment Fieldfisher et A&O Shearman (anciennement Allen & Overy).
Ces années parisiennes lui ont permis de se forger une solide expérience en droit des sociétés, réglementation bancaire et financière, et gestion d’actifs.
Il s’est également passionné pour les nouvelles technologies, en accompagnant des acteurs de la blockchain et des crypto-actifs, sur des sujets réglementaires complexes, en français comme en anglais.
Ce mélange entre rigueur juridique et curiosité pour l’innovation constitue aujourd’hui la marque de fabrique de son cabinet.
Dans cet épisode, Mathieu revient sur la décision qui a changé sa carrière : quitter la sécurité des grands cabinets pour ouvrir son propre cabinet à Cannes.
Un choix motivé par l’envie de retrouver du sens, de la proximité avec ses clients et une plus grande liberté dans sa pratique du droit.
Il partage les défis concrets auxquels il a été confronté :
Ce parcours illustre parfaitement l’esprit entrepreneurial qui anime de plus en plus d’avocats de la nouvelle génération.
Mathieu explique comment sa double appétence pour le droit et l’économie a orienté ses choix professionnels.
Pour lui, comprendre les mécanismes financiers et les enjeux économiques est indispensable pour conseiller efficacement ses clients — qu’ils soient entrepreneurs, investisseurs ou institutions.
Son approche du métier :
“Être avocat, c’est bien plus que connaître la loi. C’est comprendre les besoins réels de ceux qu’on accompagne.”
Au fil de la discussion, Mathieu partage aussi des conseils précieux pour les jeunes avocats :
Le podcast aborde sans filtre les réalités du métier : la pression, les doutes, mais aussi les satisfactions et la liberté que procure l’entrepreneuriat juridique.
Que vous soyez étudiant en droit, jeune collaborateur, ou simplement curieux de comprendre les coulisses de la profession, cet épisode vous donnera une vision lucide et inspirante du métier d’avocat aujourd’hui.
Écoutez l’épisode complet du Cheat Code avec Maître Mathieu Cochet sur votre plateforme préférée
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Un nouvel épisode animé par Louis Gaillot accueille Nicolas Decaudain, Président de Prosper Conseil.
Nicolas Decaudain n’est pas seulement à la tête d’un cabinet de conseil en gestion de patrimoine indépendant.
Passionné d’investissement depuis 2009, actions, immobilier et bien plus, il a cofondé en 2018 le site d’éducation financière Avenue des Investisseurs, devenu une référence avec plus de 200 000 visiteurs par mois.
En 2022, il franchit une nouvelle étape en lançant Prosper Conseil, avec une vision claire : délivrer un conseil objectif et sans conflits d’intérêts, rémunéré uniquement par honoraires. Un modèle inspiré des standards européens (MIF 2), mais encore très peu appliqué en France.
Dans le podcast, Nicolas Decaudain aborde un sujet central : la valeur des honoraires.
En France, beaucoup peinent encore à comprendre pourquoi payer directement un conseiller.
Dans d’autres pays, c’est pourtant une évidence : la transparence et l’indépendance passent par une rémunération claire et assumée.
Ce frein culturel s’explique en grande partie par le manque d’éducation financière.
L’AMF l’a rappelé : les Français figurent parmi les plus mal formés d’Europe en matière économique et financière.
Résultat, la notion de rentabilité d’un conseil indépendant reste mal comprise, alors même qu’elle peut générer de la valeur sur le long terme.
Pour Nicolas Decaudain, l’enjeu est double : développer la pédagogie financière et démontrer concrètement l’impact d’un conseil objectif dans la réussite des projets de vie.
🎙️ Retrouvez l’intégralité de l’épisode, et sur toutes les plateformes de podcast !
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Un nouvel épisode animé par Louis Gaillot, avec comme invité Marlone Zard, fondateur du cabinet Howard.
Après une école de commerce et une expérience en fusion-acquisition dans une grande boutique, Marlone réalise rapidement que ce métier n’est pas fait pour lui. Trop cyclique, trop épuisant : il frôle le burnout.
Le déclic arrive un jour presque par hasard, lorsqu’il accompagne un ami au conseil de prud’hommes pour une audience de conciliation. Il raconte :
« L’avocat avait un vrai rôle : il plaidait, il se battait pour son client. Derrière chaque dossier, il y avait un humain. Et là, je me suis dit : c’est ça que je veux faire. »
Il plaque alors tout pour créer son propre cabinet, Howard, avec une idée claire : aider celles et ceux qui, comme lui, traversent un burnout ou une relation toxique avec leur employeur. Pendant six mois, il se forme intensivement au droit du travail, et met toute son énergie dans ce nouveau projet.
Au départ, Marlone trouve ses clients uniquement grâce au bouche-à-oreille. Très vite, il lance un site internet. Mais son véritable coup de génie, c’est d’y intégrer dès le départ un système de forfaits transparents – à une époque (2017) où la majorité des sites d’avocats se limitaient à de simples vitrines.
Il mise alors sur la communication digitale (réseaux sociaux, SEO, SEA) pour faire connaître son approche. Résultat : les premiers leads arrivent rapidement.
Le cabinet grandit, Marlone recrute une première collaboratrice, puis d’autres au fur et à mesure que les dossiers affluent. Aujourd’hui, Howard regroupe une dizaine d’avocats à Paris, avec également des antennes à Nantes et Lille.
- Découvrez le parcours inspirant de Marlone Zard
- Ses conseils pour développer un cabinet autrement
- Sa vision du rôle de l’avocat aujourd’hui
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On vous propose un épisode animé par Louis Gaillot, avec comme invité Charles Jamet, cofondateur du cabinet Jaberson Avocats.
Après plus de dix ans dans des cabinets d’avocats d’affaires de premier plan, où il a occupé des fonctions de direction en Corporate – M&A, en capital investissement et en audit légal, Charles Jamet décide en 2017 de lancer Jaberson à Marseille.
Son ambition : créer un cabinet où l’excellence juridique rime avec bien-être et performance.
Dès le départ, Jaberson a mis en place des processus rigoureux, de l’aménagement des locaux à la gestion des ressources humaines.
Mais ce qui fait vraiment la différence, c’est la culture d’entreprise : transparence, esprit d’équipe et ambition collective.
Cette vision a permis au cabinet de croître rapidement et d’attirer des talents qui partagent la même philosophie.
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Un épisode qui a une saveur particulière. Derrière le micro, c’est le portrait d’un homme hors du commun qui se dessine : Robert Renier, Général de Corps d’Armée… et grand-père de Louis Gaillot, CEO de Ourama.
Il y a quelque temps, une première conversation avait été enregistrée, presque comme un trésor de famille, pour garder une trace de ses souvenirs. Trois heures d’échange qui avaient permis de découvrir une vie riche, pleine d’expériences et de convictions fortes.
Aujourd’hui, il revient pour partager ce qui a guidé toute son existence : le commandement, l’art de diriger, mais surtout deux valeurs qui ne l’ont jamais quitté : l’Amour et le Service. Être au service des autres, sans jamais se détourner des plus humbles, et toujours avancer avec bienveillance : voilà ce qui a façonné son parcours et ses choix.
À 21 ans seulement, à peine sorti de l’École supérieure de guerre, il commandait déjà 70 harkis en Algérie. Une première mission qui a marqué le début d’une carrière exceptionnelle, où il a su garder intégrité et fidélité, quelles que soient les circonstances.
Dans cet épisode, il confie ce que signifie être un véritable leader : fédérer, inspirer, rester droit dans les moments difficiles, et mettre l’humain au centre de toute action.
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On vous propose un épisode animé par Ant Ercin, avec deux invitées spéciales : Julie Younes et Caroline Willm. Elles viennent partager leur parcours, leurs hauts et leurs bas en cabinet, et surtout, l’histoire derrière la création de Willness Partners.
Caroline explique très simplement leur choix : toutes les deux ne se reconnaissaient pas dans la façon dont fonctionnent beaucoup de cabinets aujourd’hui, notamment dans la relation client-avocat.
- Pour elles, cette relation ne doit pas tourner uniquement autour de l’argent. Le client vient confier ses problèmes, il a besoin de confiance avant tout.
Comme le dit Caroline :
« Tu ne trouveras pas ta place… sauf si tu la crées toi-même. »
Julie, de son côté, raconte que dès le début, elle imaginait s’associer avec Caroline — mais elle n’y croyait pas trop, pensant que ça demanderait trop d’argent et de temps. Elles sont donc parties chacune de leur côté, en collaboration… jusqu’à ce que la réalité du métier les rattrape.
Julie parle même d’une véritable descente aux enfers : surcharge de travail, manque d’alignement avec la façon de pratiquer, perte de sens. À la fin de leurs collaborations respectives, elles se sont retrouvées. Pour Julie, c’était presque écrit : « du destin ! »
C’est là que l’aventure Willness Partners a commencé.
Un autre point marquant de leur témoignage : le manque de modernisation dans certains cabinets.
Caroline insiste : un bon cabinet, c’est avant tout un cabinet qui respecte l’esprit libéral. Exemple simple : un collaborateur termine son travail à 17h ? Très bien, il part, pas besoin de justification.
Or, beaucoup de structures restent figées dans une logique d’“horaires” à l’ancienne, où l’on juge celui qui part tôt, même si son travail est terminé.
Créer leur propre structure, c’était donc aussi une façon d’échapper à ce carcan et de retrouver plus de liberté.
💡 Julie : s’écouter.
Dès sa première collaboration, elle savait que ça ne lui correspondait pas. Si elle s’était écoutée plus tôt, elle aurait évité certaines expériences négatives. Son message : faites confiance à votre ressenti, ne laissez pas la peur vous bloquer.
💡 Caroline : oser.
Oser se lancer, oser se poser les bonnes questions, oser structurer son projet au lieu de foncer tête baissée.
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Cette semaine dans Le Cheat Code, on vous embarque dans le parcours atypique de Matthieu Pacaud, un avocat qui a décidé de réinventer sa manière d’exercer… et sa vie par la même occasion.
Après une courte expérience en cabinet, une collaboration qui ne dure même pas un an, Matthieu bifurque vers le monde de l'entreprise. Il rejoint le Groupement des Mousquetaires, où il négocie des contrats. Rapidement, il se rend compte que ce n’est pas fait pour lui. Ce qu’il aime, c’est le contact, la création, le mouvement.
En 2015, c’est le déclic : il remarque qu’aucun avocat ne s’adresse vraiment aux start-up.
Il décide alors de créer son propre site internet, avec une volonté claire : se démarquer, être moderne, casser les codes de la profession.
En 2019, son activité tourne bien. Il accompagne des clients, développe sa présence… et c’est là qu’un événement inattendu vient tout bouleverser, dans le bon sens du terme.
Un cabinet de recrutement le contacte pour une mission ponctuelle : remplacer un juriste dans une entreprise.
Ce qui devait durer quelques mois devient une activité à temps plein, et Matthieu découvre le modèle du détachement. Une révélation.
Puis arrive le COVID.
Il commence à trouver des clients via la plateforme Malt, en full remote. Et là, une évidence : il n’a plus envie de retourner à Paris.
Il veut travailler autrement, à distance, en voyageant, sans jamais perdre le lien avec ses clients.
Son modèle plaît : sa cible, majoritairement composée de start-up, adhère totalement à cette façon de travailler.
Là où une clientèle plus classique aurait pu être frileuse, la sienne y voit au contraire une vraie valeur ajoutée.
Disponible sur toutes les plateformes de streaming. Bonne écoute, et surtout, partagez-nous vos retours !
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🎙️ Nouveau podcast Le Cheat Code : on reçoit Rokhaya Pondi, présidente de Lamy Liaisons, pour parler transformation du secteur juridique, innovation, IA et vision stratégique. Un échange inspirant sur les défis d’aujourd’hui… et les solutions de demain.
Face aux bouleversements qui redéfinissent les métiers du droit, Lamy Liaisons mise sur une stratégie claire : allier expertise juridique et innovation technologique, avec une approche centrée sur les usages et la satisfaction client.
Cela se traduit par des solutions concrètes, à forte valeur ajoutée, pensées pour répondre aux besoins des professionnels, tout en anticipant les tendances de demain.
L'intelligence collective, l’écoute terrain et la montée en compétences des équipes sont les piliers de cette dynamique, portée depuis 2023 par Rokhaya Pondi, aujourd’hui à la tête de l’entreprise.
Juriste de formation, diplômée en droit international et économique, Rokhaya Pondi démarre sa carrière comme enseignante à la Faculté de Droit de Nantes. Elle enchaîne ensuite les postes à responsabilité dans des groupes majeurs de l’information juridique, jusqu’à intégrer le comité de direction du Groupe Lefebvre, où elle pilote le développement de nouvelles offres en France et à l’international.
En 2023, elle rejoint Lamy Liaisons comme directrice commerciale, avant d’en devenir la présidente. Très vite, elle y insuffle une culture de la performance, portée par l’écoute client et une forte exigence d’impact opérationnel.
Depuis plus de 130 ans, Lamy Liaisons facilite l’accès à l’information juridique pour les professionnels. Aujourd’hui, l’entreprise s’organise autour de 4 pôles complémentaires :
Avec le soutien du Karnov Group, Lamy Liaisons poursuit sa mission : proposer des solutions juridiques d’excellence, innovantes et humaines, dans un monde où le droit change chaque jour.
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Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi passionnant qu’original : le droit du sport et des affaires. Et pour ça, on reçoit un invité d’exception : Amir N'Gazi, fondateur du cabinet N’GAZI AVOCAT, avocat au barreau de Paris et aux Comores.
Dans cet épisode, Amir revient sur son parcours, comment il a réussi à percer, et il nous partage sa vision du sport pro, côté coulisses.
Dès la fin de ses études, Amir fait un choix fort : lancer son propre cabinet. Pas évident, surtout qu’il décroche son diplôme… en pleine pandémie. À cette époque, les offres qu’il reçoit ne correspondent pas à ses ambitions. Alors, il se pose une question simple mais puissante : « Et si l’opportunité que je cherche, je la créais moi-même ? »
C’est ce qu’il fait. Il fonde N’GAZI AVOCAT, avec une vision claire : faire du droit autrement, au plus près des enjeux concrets du sport et des affaires.
Pendant le confinement, il poste une seule publication sur LinkedIn… et tout s’enchaîne. Aucun plan de com, aucune stratégie, juste un message authentique.
Résultat : des dizaines de clients, des demandes en pagaille, au point que sa mère doit poser des congés pour l’aider à gérer sa boîte mail et ses appels. Fou, non ?
Amir partage aussi une anecdote marquante : celle d’un jeune joueur de 18 ans qui passe, du jour au lendemain, de 2000 à 75 000 € par mois. Il pose une question simple : « Tu fais quoi à 18 ans avec autant d'argent, sans accompagnement ? »
Spoiler : tu fais n’importe quoi. Et c’est bien là que le droit du sport prend tout son sens. Il ne s’agit pas seulement de signer des contrats, mais d’accompagner, conseiller, protéger.
- Parce que cet échange est une masterclass d’audace et de vision.
- Parce qu’on parle vrai, sans filtre.
- Parce qu’on découvre les coulisses d’un métier trop peu mis en lumière.
- Et surtout, parce qu’Amir, avec son parcours hors normes, donne envie d’oser.
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🎙️ Nouveau podcast le Cheat Code — on a reçu deux invités de haut niveau pour parler d’un sujet que beaucoup préfèrent encore éviter : la conformité LCB-FT (lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme).
Mais en vrai, c’est justement parce que c’est complexe que ça mérite d’être écouté.
Lior Delfassi est avocat, spécialisé en compliance, sanctions internationales et contrôles des exportations. Il accompagne ses clients (ETI, grands groupes, institutions) dans la mise en place de programmes de conformité ou lors d’investigations internes. Il est aussi le fondateur de sanctions.fr, un moteur de recherche de sanctions économiques qui permet de vérifier en temps réel si une contrepartie figure sur une liste de sanctions. Lior est un avocat geek assumé, passionné de tech, et hyper à l’aise pour vulgariser des sujets complexes.
Pierre Launay, de son côté, est business developer chez Reglab, un outil pensé pour aider les cabinets d’avocats à automatiser leurs obligations LCB-FT. Leur promesse : une mise en conformité fluide, adaptée à la réalité des cabinets, sans s’y perdre ni exploser le temps administratif.
Lior partage des cas concrets, des conseils pratiques et une vraie vision du sujet. Pierre, lui, revient sur la réalité terrain des avocats : le manque de temps, la peur de mal faire, la tentation de remettre ça à plus tard.
Parce que ce podcast est une bulle d’oxygène dans un sujet souvent vécu comme anxiogène. Parce qu’il vous permet de :
Un épisode à écouter pour se rassurer, s’outiller, et anticiper ce qui attend tous les cabinets dans les mois à venir.
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Dans le dernier épisode de notre podcast Le Cheat Code, on a eu le plaisir d’échanger avec deux invitées expertes du monde juridique : Émilie Gille, responsable de la documentation juridique chez Goodwin, et Carole Guelfucci, responsable documentation chez Darrois Villey Maillot Brochier.
Ce n’est pas quand un cabinet en a les moyens qu’il doit intégrer ses équipes support à sa stratégie.
C’est parce qu’il les intègre dès le départ qu’il crée les conditions de sa performance.
On sous-estime trop souvent l’impact que peuvent avoir les membres des équipes support dans les cabinets d’avocats.
Pas par mépris. Plutôt par habitude. Par réflexe hiérarchique. Par inertie, aussi.
Et pourtant, dans un environnement où :
Les documentalistes, knowledge managers, responsables LegalOps, office managers… sont bien plus que des soutiens logistiques. Ce sont de véritables moteurs.
Mais des moteurs qu’on pousse rarement.
Alors qu’en réalité, ce sont eux qu’il faudrait pousser en premier.
Pousser, ce n’est pas leur déléguer quelques recherches ou des tâches répétitives.
C’est leur donner :
Un documentaliste, ce n’est pas juste quelqu’un qui fait des veilles ou qui retrouve des références.
C’est celui ou celle qui valorise la connaissance interne pour en faire un véritable outil de pilotage.
C’est ce travail de l’ombre qui rend un cabinet plus efficace, plus rigoureux, plus crédible.
On parle beaucoup d’IA, de data, de gestion de l’information, de knowledge capital…
Mais sans les bonnes personnes pour structurer, organiser, fiabiliser cette matière, tout ça reste de la poudre aux yeux.
Aujourd’hui, j’ai eu la chance d’enregistrer un épisode passionnant du podcast Le Cheat Code avec deux professionnelles inspirantes de cette “ligne de fond” :
Elles partagent une vision fine et engagée de leur métier — et montrent à quel point leurs compétences sont stratégiques pour les cabinets.
Un épisode à écouter absolument, surtout si vous pensez encore que le support, c’est accessoire.
Disponible sur toutes les plateformes de streaming. Bonne écoute, et surtout, partagez-nous vos retours !
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Legora est une plateforme d’intelligence artificielle juridique collaborative conçue pour accélérer la recherche, affiner l’analyse, automatiser la rédaction et appuyer les avocats dans leur capacité de conseil.
Le mot-clé ici, c’est collaborative. Contrairement aux outils qui balancent de l’IA à la va-vite pour faire joli sur une plaquette, Legora s’intègre profondément dans les workflows des cabinets.
80 millions d’euros levés. Ce n’est pas anodin. C’est un signal très clair : les investisseurs savent que le marché du droit est en train de basculer. Et ils parient sur une solution qui a décidé de ne pas faire dans la demi-mesure.
Ce n’est pas une "legaltech de plus". C’est une machine de guerre. Structurée. Lucide. Et surtout : alignée sur ce que veulent les avocats (même s’ils ne le savent pas encore).
Lors de notre échange, Jonathan Williams – qui pilote Legora en France – m’a exposé une vision du métier qui tranche avec le discours ambiant. Pas de promesses marketing fumeuses. Juste une réalité brute : les avocats qui refusent d’évoluer vont se faire dépasser. Vite.
“L’objectif n’est pas de remplacer les avocats. L’objectif, c’est d’armer les meilleurs pour qu’ils deviennent inarrêtables.”
Beaucoup d’outils se contentent de plaquer un modèle d’IA sur une interface. Legora fait l’inverse : ils partent des besoins réels des avocats, puis intègrent l’intelligence artificielle pour résoudre des problèmes concrets. Résultat : une efficacité opérationnelle rarement vue.
Adopter Legora, ce n’est pas un effet de mode. C’est un choix stratégique. Pour les cabinets qui veulent :
Dans le prochain épisode du podcast Cheat Code, Jonathan Williams partage sans filtre sa vision de l’avenir du droit à l’ère de l’IA. C’est direct, sans langue de bois, et franchement inspirant.
Si vous êtes avocat, entrepreneur du droit ou juste fatigué de perdre du temps sur des tâches à faible valeur ajoutée, cet épisode est pour vous.
📆 Sortie mardi prochain. À ne pas rater.
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Si vous êtes avocat et que vous vous demandez pourquoi les directeurs juridiques ne vous rappellent jamais, c’est probablement parce que vous n’avez jamais pris le temps de vous mettre à leur place.
Chez Ourama, on a décidé de corriger ça.
Dans notre dernier épisode du podcast Le Cheat Code, on a reçu Pierre Lumeau, ancien avocat, aujourd’hui Associate General Counsel chez Contentsquare, où il pilote les opérations M&A et la structuration corporate du groupe.
Et on a fait ce que peu d’avocats prennent le temps de faire : écouter ce que cherche un DG dans ses relations avec les cabinets d’avocats.
Le parcours de Pierre est tout sauf linéaire. Il a passé plus de huit ans chez FTPA, a fait un passage chez Scotto Partners, avant de rejoindre Contentsquare.
Avocat dans l’âme, il aimait le business development, l’autonomie, la posture de conseil indépendant. Et pourtant, un jour, un client — Contentsquare — lui propose de passer de l’autre côté. Et là, déclic : une vision produit, une boîte en hypercroissance, un environnement où le droit est un accélérateur stratégique. Pierre dit oui. Pas pour fuir la robe. Mais parce qu’il a vu une opportunité rare : participer à la croissance d’une entreprise tech de l’intérieur, au plus près des décisions.
La direction juridique de Pierre est structurée, compétente, et bien outillée pour traiter une large variété de sujets en interne. Mais quand les dossiers se multiplient ou que les sujets deviennent ultra-spécifiques, ils ont besoin de renfort. Là, pas de place à l’à-peu-près : ils cherchent des avocats de très haut niveau, soit reconnus sur leur marché, soit hyper-spécialisés sur une problématique pointue. Et le filtre est double : la qualité technique, et la capacité à s’inscrire dans un budget annuel strict. Traduction : chaque mission est scrutée, chaque mode de facturation analysé. Vous n’êtes pas là pour meubler, vous êtes là pour délivrer — vite, bien, et au juste prix.
🎙 Écoutez l’épisode complet pour entendre ce que votre prochain client pense vraiment de vous
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Dans le dernier épisode de notre podcast Le Cheat Code, on a eu le plaisir de tendre le micro à Arnaud Dumourier, directeur de la rédaction chez Le Monde du Droit et LegalNews, mais aussi journaliste et présentateur sur la chaîne B SMART. Un invité au parcours passionnant, à la croisée du droit, des médias et de l’innovation éditoriale.
Juriste de formation, Arnaud a commencé sa carrière comme documentaliste juridique dans de grands cabinets internationaux.
Très vite, il développe une passion pour l’écriture : il rédige des articles pour les newsletters internes, les sites web des cabinets… à une époque où le web juridique en était à ses balbutiements.
On est alors dans les années 2000, et l’idée même de partager de l’information juridique en ligne était encore toute nouvelle.
C’est cette passion qui le pousse à lancer son propre site : Le Portail du Droit en Ligne, une plateforme de veille juridique qu’il anime sur son temps libre.
Le succès est immédiat : le site atteint rapidement les 50 000 visiteurs mensuels. Une visibilité qui ne passe pas inaperçue, et qui l’amène ensuite à prendre la tête de LegalNews.
Dans l’univers de l’édition et de la veille, le vrai défi, c’est la sélection de l’information.
Pour Arnaud, il est essentiel de s'entourer de bons rédacteurs, fiables et variés, afin d’avoir des contenus à la fois justes et riches.
Il insiste aussi sur la diversité des plumes, pour éviter de tourner en rond et offrir des angles nouveaux.
Tous les sujets ne méritent pas d’être traités, et tous ne doivent pas être dictés par l’actu : l’important, c’est que cela fasse sens avec la ligne éditoriale.
Même un sujet déjà traité peut être relancé… s’il est abordé sous un angle différent.
Arnaud revient aussi sur l’importance cruciale des réseaux sociaux dans la communication des juristes, médias et experts.
Pour lui, il faut être présent régulièrement, construire une relation dans la durée avec son audience, et surtout, soigner la forme : bon son, bonne image, bon rythme.
On ne peut plus se permettre de faire amateur, même si le fond est solide.
On ne pouvait pas passer à côté du sujet : l’intelligence artificielle et son impact sur la rédaction et le journalisme.
Pour Arnaud, l’IA est un outil, pas un substitut.
Elle peut accompagner, accélérer, inspirer… mais elle ne remplace pas le regard d’un professionnel.
Un journaliste, surtout dans le domaine juridique, c’est quelqu’un qui :
L’IA peut produire du texte, mais elle ne garantit ni la véracité, ni la pertinence, ni la légitimité de l’info.
C’est là que l’humain reste irremplaçable.
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Dans notre dernier épisode du podcast Le Cheat Code, on a tendu le micro à Franck Morel, avocat associé chez Flichy Grangé, ancien conseiller du Premier ministre Édouard Philippe et véritable architecte de nombreuses réformes sociales. Un épisode taillé pour celles et ceux qui veulent croiser la toge et l’engagement politique.
Franck Morel n’a pas choisi entre la politique et l’avocature : il a construit un parcours à cheval entre les deux mondes. Inspecteur du travail, puis conseiller de quatre ministres du Travail entre 2007 et 2012, il rejoint ensuite le cabinet Barthélémy en tant qu’avocat pendant 5 ans, avant de devenir le conseiller social d’Édouard Philippe de 2017 à 2020.
Aujourd’hui, il accompagne entreprises, fédérations et branches professionnelles sur les sujets les plus sensibles du droit du travail, avec un œil toujours affuté sur l’intérêt général.
Ce qui fait la force de Franck Morel, c’est sa maîtrise technique exceptionnelle du droit du travail. Il intervient notamment sur :
Ses analyses vont toujours plus loin que le texte brut : il pense le droit comme un outil de transformation, d’équilibre et de pragmatisme dans l’entreprise.
Au micro, on a aussi discuté intelligence artificielle et jeunes générations. Franck Morel pose un regard lucide sur les mutations du monde professionnel : la digitalisation, les nouvelles attentes des collaborateurs, la recherche de sens, l’aspiration à un autre rapport au travail. Le tout sans posture, avec beaucoup de recul… et de pédagogie.
On ne pouvait pas passer à côté de sa casquette d’auteur. Parmi ses ouvrages de référence :
Des lectures recommandées pour tous ceux qui veulent penser le droit au-delà de la pratique.
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Dans notre dernier épisode du podcast Le Cheat Code, on a eu le plaisir d’échanger avec deux profils aussi inspirants qu’audacieux : Séverine Audoubert, CEO de Myentrepreneurbox, et Jullian Hoareau, CEO de SWIM. Deux personnalités qui réinventent la façon d’exercer le droit, en mêlant entrepreneuriat, innovation et vision à long terme.
D’un côté, Jullian Hoareau a lancé SWIM, la première plateforme française dédiée à la mise en relation entre avocats freelance et professionnels du droit (cabinets ou directions juridiques). L’idée est simple mais puissante : offrir plus de flexibilité aux avocats tout en permettant aux structures d’accéder rapidement à des compétences pointues. Le tout dans un cadre déontologique strict, validé par le Barreau de Paris. Sur SWIM, tout est centralisé : devis, facturation, messagerie, suivi des missions… bref, un vrai espace de travail digital pensé pour les pros du droit.
De l’autre, Séverine Audoubert a imaginé Myentrepreneurbox, une marketplace pensée pour les avocats et juristes qui veulent réinventer leur cabinet. Elle accompagne ces profils dans toutes les étapes de leur transformation : de l’idéation à la structuration juridique, en passant par la stratégie financière, la communication digitale, la formation, voire même le recrutement d’une équipe. Une vraie boîte à outils pour passer d’un cabinet “classique” à un modèle plus innovant, agile et tourné vers les besoins clients de demain.
Jullian ne mâche pas ses mots : “Avant d’être avocat, la vie était un long fleuve tranquille”. Il explique que, contrairement à ce qu’on pourrait croire, être avocat ne prépare pas vraiment à être chef d’entreprise. Monter sa boîte, c’est un autre monde. Il faut apprendre à tout faire : comprendre la tech, piloter le marketing, penser produit, gérer les finances, animer une équipe… Il raconte avec franchise qu’il n’a jamais autant bossé de sa vie que depuis qu’il a lancé SWIM. Et pourtant, il ne reviendrait en arrière pour rien au monde.
Avec Séverine, ils partagent un constat : les avocats ne sont pas formés à l’entrepreneuriat. Ils doivent se former sur le tas, expérimenter, rater parfois, apprendre vite. Cette absence de préparation rend la transition exigeante, mais aussi très riche. Parce qu’au bout du chemin, il y a la liberté d’inventer une nouvelle manière d’exercer.
Séverine insiste aussi sur un point souvent mal compris : la notion d’activité connexe ou accessoire. Non, ce n’est pas une zone floue ou risquée. C’est au contraire une vraie opportunité de diversification pour les avocats, à condition de respecter les règles. Il peut s’agir d’enseignement, de rédaction juridique, de médiation, de formation en entreprise… toutes ces activités qui utilisent les compétences de l’avocat sans relever directement du contentieux ou du conseil.
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Natasha, une avocate au parcours remarquable, a travaillé dans deux cabinets prestigieux avant de rejoindre Reed Smith : un cabinet américain et un cabinet anglais. Son expérience professionnelle l'a menée à travers trois des plus grandes villes du monde : New York, Londres et Paris. Ce parcours international reflète non seulement sa carrière, mais aussi sa vie personnelle, marquée par une ouverture et une diversité culturelle.
Avec une clientèle majoritairement internationale, Natasha comprend mieux que quiconque les besoins spécifiques de ses clients. Ces derniers, tout comme elle, évoluent dans un environnement globalisé où les défis juridiques sont souvent complexes et variés. Reed Smith, grâce à sa présence mondiale et à son esprit entrepreneurial, est parfaitement équipé pour répondre à ces exigences.
Il y a huit ans, Natasha a pris une décision cruciale pour sa carrière : rejoindre Reed Smith avec son équipe. Mais avant de franchir le pas, elle a consulté ses meilleurs clients. Elle leur a présenté une courte liste de cabinets qui l'intéressaient et leur a demandé lequel, selon eux, serait le meilleur choix. La réponse a été unanime : Reed Smith.
Certains clients travaillaient déjà avec le cabinet et se sentaient chez eux, tandis que d'autres étaient attirés par l'image et les valeurs de Reed Smith, qui répondaient parfaitement à leurs critères.
Reed Smith est un cabinet d'avocats international reconnu pour son esprit entrepreneurial et sa capacité à accompagner ses clients dans leurs projets de développement. Avec une présence mondiale et une intégration étroite de ses bureaux, Reed Smith a su tisser des relations durables avec ses clients à l'échelle internationale. Le cabinet s'est imposé comme un partenaire incontournable pour la résolution de litiges complexes, le succès des transactions et l'analyse des questions réglementaires.
Le bureau de Paris de Reed Smith, fondé en 2005, est souvent reconnu comme l'un des meilleurs dans de nombreux domaines de pratique par des annuaires juridiques tels que Chambers ou The Legal 500.
Les avocats de Reed Smith à Paris sont des praticiens respectés dans leurs domaines, servant des entreprises françaises et internationales, des fonds d'investissement, des institutions financières et des multinationales dans divers secteurs, y compris la fabrication, le transport maritime, l'énergie, et bien d'autres.
Natasha, en tant que co-responsable du département Concurrence et Droit Européen de Reed Smith et associée-gérante du bureau de Paris, incarne cet engagement pour l'excellence.
Elle est également maître de conférences à l'Université de Paris dans le programme de master "European business lawyer", ainsi qu'à Paris II Assas, Paris-Dauphine, Seton Hall University School of Law et INSEAD.
Natasha publie régulièrement des articles, donne des interviews et est souvent invitée à parler lors de conférences internationales à travers le monde.
Le parcours de Natasha et son choix de rejoindre Reed Smith illustrent parfaitement la synergie entre une carrière internationale et un cabinet d'avocats capable de répondre aux besoins complexes de ses clients. Reed Smith, avec son esprit entrepreneurial et sa présence mondiale, continue de s'imposer comme un partenaire de confiance pour les entreprises et les institutions à travers le globe.
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Le Village de la Justice, créé en 1997 par Christophe Albert, est bien plus qu'un simple site web.
C'est une véritable communauté en ligne dédiée aux métiers du droit.
À une époque où les médias et les congrès étaient cloisonnés, Christophe Albert et ses cofondateurs ont vu en Internet une opportunité de décloisonner ces espaces et de créer un lieu de rencontre interprofessionnel. Aujourd'hui, le site est exploité par la société Legi Team et continue de jouer un rôle crucial dans le paysage juridique français.
Le Village de la Justice se distingue par sa capacité à rassembler divers professionnels du droit : avocats, notaires, magistrats, étudiants, et bien d'autres.
En s'inspirant de l'imagerie d'un village, le site favorise les échanges et la collaboration entre ses « habitants ».
Les forums de discussion sont au cœur de cette dynamique, permettant aux membres de partager leurs connaissances, de poser des questions et de débattre sur des sujets d'actualité.
L'un des objectifs fondamentaux du Village de la Justice est de rendre le droit accessible à tous.
En publiant régulièrement des articles rédigés par des experts du secteur, le site contribue à la vulgarisation du droit et à la sensibilisation du grand public sur des questions juridiques complexes.
Cette initiative permet également aux professionnels de se tenir informés des dernières évolutions législatives et jurisprudentielles.
Le Village de la Justice est également reconnu pour sa rubrique « Emploi », qui est la première en France en termes de visites mensuelles.
Avec plus de 1,6 million de visites par mois, cette section offre une multitude d'opportunités pour les étudiants et les professionnels en quête de nouvelles perspectives de carrière.
Les offres d'emploi, de stages et de collaborations y sont régulièrement mises à jour, facilitant ainsi la mise en relation entre recruteurs et candidats.
Le site ne se contente pas d'être une plateforme en ligne ; il organise également des événements physiques, tels que les Journées du Management Juridique.
Ces rencontres, orchestrées par Legi Team, visent à améliorer le management des directions juridiques et à insuffler une dynamique d'innovation au sein de la profession. Elles offrent aux participants l'occasion de réseauter, d'échanger des bonnes pratiques et de découvrir les dernières tendances en matière de gestion juridique.
Le Village de la Justice est un acteur incontournable dans le domaine des métiers du droit en France.
Grâce à sa vision pionnière et à son engagement en faveur de la démocratisation du droit, il continue d'inspirer et de soutenir des milliers de professionnels et d'étudiants.
Que ce soit à travers ses forums, ses articles ou ses événements, le site contribue activement à la construction d'une communauté juridique informée, connectée et innovante.
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