Et si nous étions tous des surhommes en puissance ? Qu'est ce qui nous empêche de réaliser notre plein potentiel ? Je vous propose de me suivre pour trouver votre réponse... Alors, ce trail, on le fait ? A tout de suite !
Retrouvez des récits de courses, des chroniques de livre, des interviews d'experts, des reportages...
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Et si nous étions tous des surhommes en puissance ? Qu'est ce qui nous empêche de réaliser notre plein potentiel ? Je vous propose de me suivre pour trouver votre réponse... Alors, ce trail, on le fait ? A tout de suite !
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Je vous en avais parlé dans le dernier mail. Je n’écris pas pour les sportifs. Pas pour le traileurs de base.
Celui qui me dit au départ d’une course que je n’ai pas « la tenue adapté pour courir ».
Ici, c’est un puits à idée, une invitation à oser, à découvrir.
Je t’invite alors à une petite mise en perspective…
Mise en perspective
Au début de l’écriture d’un article, je ne sais pas encore où il va m’emmener.
Où je souhaite t’emmener.
Tant de choses à dire, et dans un même temps, tout me semble si cohérent, si logique, que j’en arrive à la conclusion : à quoi bon dire des banalités ?
Et du coup, je me tais.
À quoi bon dire ce que tout le monde sait déjà ? On peut savoir sans adhérer.
Là est mon erreur.
Car je tiens pour acquis ce que je crois que les autres savent sur moi.
Je me retrouve tout étonné le jour où je mesure la différence entre l’image que j’ai de moi, et l’image que les autres ont de moi. Je crois que je suis un être sans mystère pour mon entourage, que mes traits de caractère, mes idéaux et mes convictions ne sont une surprise pour personne.
Cependant, ils ne peuvent pas avoir une image fidèle de ce que je suis, si je ne laisse rien paraître, gardant (par peur ? par timidité ? par pudeur ?) pour moi ce qui me semble couler de source.
Pour simplifier :
Nouveau concept / idée -> Apprivoisement (ou rejet) -> Incorporation au sein de ma vision -> il me devient familier -> Pourquoi ne l’ai-je pas compris plus tôt ? Cela tombe sous le sens, le reste de l’univers doit déjà l’avoir compris.
Je me livre ici, sur ce site, à expliquer ce qui constitue mes choix et mon mode de vie. J’espère que vous trouverez matière à réfléchir, et même, encore mieux à agir. Si je faillis à ces deux missions, j’aurai au moins réussi à clarifier, ne fut-ce qu’un temps, à ce moment précis, ma pensée.
Tout est mouvement. Les mots ne peuvent que photographier la réalité et non la filmer, la capter comme le ferait une caméra. La réalité se retrouve figée.
Considérez toujours que mes écrits sont dépassés, et que seul mes actions me reflètent.
Réfléchir, c’est fléchir deux fois.
Alain Damasio
C’est l’histoire du Petit Prince et du Renard. Le Renard est cette connaissance extérieure, inconnue (et peut-être même inquiétante, désagréable). Je dois d’abord apprivoiser l’intrus, ce perturbateur de la représentation du monde que j’ai construit jusqu’à présent.
Si le savoir est une arme, elle est dirigée avant tout vers moi-même, c’est avant tout une menace pour mon propre confort. Repenser les choses, c’est se dépenser.
Mais se mortifier dans sa pensée devenue immobile – se satisfaire de ce qu’on sait déjà – c’est remplacer le fait de penser par l’obligation sournoise de panser son être, ses blessures telles que l’auto-satisfaction, la prétention, la médiocrité, la mesquinerie, et tout ce qui nous fait être de plus en plus petit tout en se sentant élevé.
Si penser n’est pas l’origine de l’existence (n’en déplaise à René Descartes « Je pense donc je suis »), ne plus penser mène à la fermeture (d’esprit), à l’arrêt, à une mort, qui, si elle n’est pas physique, est bien présente intellectuellement.
On finit par abaisser les autres pour se sentir plus grand.
Il est passé où le Renard ? Il est toujours là.
Il est indispensable. Je dois apprivoiser le Renard. Le Renard, ou un autre animal. Une araignée, un lézard, une sauterelle. Un lion. Quelque chose qui menace mon con-fort. Mon con-forteresse, dirait Alain Damasio.
Bon, et alors, cette bestiole, métaphore du savoir qui te dérange ?
CourirUnTrail
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