
Cher Inconnu,
De temps en temps, je griffonne l’espoir comme pâturage et depuis j’apprends à essuyer chaque graine de poussières de mon entêtement. A force de vouloir forcer le vide, rendre inaccessible mes pénitences, à vouloir à tout prix caché le silence de mon évasion, je deviens un tambour qui perd sa dissonance.