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TOKIO RADIO
Boris Pierre
44 episodes
13 hours ago
TOKIO radio, Brouillon de culture ⚡️ Explorez l'inattendu. Plongez dans la spontanéité. Celle de l'art, du beau et des mots. Nos invités se livrent comme jamais dans des discussions de fin de soirée et offrent généreusement leur vision du monde. Dans l'intimité de notre studio écoutez la culture vue par les artistes, comme si vous y étiez. Soyez, vous aussi, nos invités privilégiés. TOKIO Radio est un podcast proposé par Boris PIERRE, fondateur du festival Réflexivité(s) Manifestation photographique. - Suivez moi sur Instagram tokio.radio- Abonnez-vous 🤩- Laissez un avis sur Apple Podcast https://podcasts.apple.com/fr/podcast/tokio-radio/id1751679915- Mentionnez-nous sur les réseaux sociaux Mixage et production exécutive : Revolver Studio et Dim Sum Entertainment Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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TOKIO radio, Brouillon de culture ⚡️ Explorez l'inattendu. Plongez dans la spontanéité. Celle de l'art, du beau et des mots. Nos invités se livrent comme jamais dans des discussions de fin de soirée et offrent généreusement leur vision du monde. Dans l'intimité de notre studio écoutez la culture vue par les artistes, comme si vous y étiez. Soyez, vous aussi, nos invités privilégiés. TOKIO Radio est un podcast proposé par Boris PIERRE, fondateur du festival Réflexivité(s) Manifestation photographique. - Suivez moi sur Instagram tokio.radio- Abonnez-vous 🤩- Laissez un avis sur Apple Podcast https://podcasts.apple.com/fr/podcast/tokio-radio/id1751679915- Mentionnez-nous sur les réseaux sociaux Mixage et production exécutive : Revolver Studio et Dim Sum Entertainment Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Episodes (20/44)
TOKIO RADIO
#8 Hélène Maurice, écrivain
Los Angeles, 1990. Les palmiers du Strip, les néons, les excès, les illusions d’Hollywood. C’est là que débute L.A. Artificial, le premier roman d’Hélène Maurice — une plongée dans la jeunesse d’une actrice happée par le mirage californien, entre culture pop, rock alternatif et quête de soi. Hélène Maurice vit dans le Finistère. Elle enseigne l’histoire-géographie, mais c’est la mémoire des sons et des images qui nourrit sa plume. Enfant des nineties, elle porte pourtant en elle toute la culture musicale des années 70 : celle des guitares électriques, des voix libres, d’une époque où la musique cherchait encore à dire quelque chose au monde. Dans cette conversation, on parle de fiction et de mémoire, de transmission et de résistance, de ce que la culture populaire a fait de nous — et de ce que nous pouvons en faire aujourd’hui. On parle aussi de liberté, d’écriture, et du pouvoir des récits quand ils résonnent avec une époque. L.A. Artificial est un roman sur l’artifice et le désir d’authenticité. Et Hélène Maurice, par sa voix et sa culture, nous rappelle que parfois, les histoires les plus lucides naissent au cœur même de l’illusion. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 week ago
1 hour 2 minutes 30 seconds

TOKIO RADIO
#7 Rudy Ricciotti
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 weeks ago
1 hour 7 minutes 22 seconds

TOKIO RADIO
#6 Pénélope Bagieu, Dessinatrice de BD
Elle a donné vie à Joséphine, porté sur papier l’histoire de Cass Elliot avec California Dreamin’, adapté Roald Dahl avec Sacrées sorcières, et révélé au grand public les vies d’héroïnes oubliées avec Culottées, récompensé par le prestigieux Prix Eisner et adapté en série animée. Mais derrière ces succès, il y a une histoire plus intime. Dans cet épisode de TOKIO Radio, Pénélope Bagieu raconte ses débuts, son premier cachet, le soutien indéfectible de sa mère, ses routines de création, et sa relation singulière avec son éditeur. Elle parle de ses personnages comme s’ils continuaient à vivre en dehors des planches, partage ses projets, son humour, et son regard sur l’avenir. On parle aussi de la difficulté des femmes à s’imposer dans un monde d’hommes, des progrès accomplis, et des combats encore à mener. Une conversation drôle, sensible et lucide, fidèle à l’esprit de TOKIO. ©️Crédit photo Pauline Darley 🎧Mixage Studio Revolver 🎤Production / Animation Boris Pierre Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 month ago
1 hour 8 minutes 55 seconds

TOKIO RADIO
#5 Hans Silvester, Photographe
Hans Silvester, un nom qui parle plus par son regard que par sa signature, et c’est précisément cela qui définit son héritage. Né en 1938 à Lörrach, il devient photographe presque naturellement dès l’adolescence, sa passion s’épanouissant à l’école de Fribourg. Dès 1960, la Camargue le marque. Sa première œuvre, Camargue, magnifiée par un texte de Jean Giono, lui ouvre les portes d’un monde qui l’absorbe. En 1962, plantant sa tente en Provence, il devient globe-trotter. Hans a photographié dans plus de 70 pays, et pourtant, son œuvre reste intimiste, lente, humaniste. Il est un voyageur sans folklore, qui refuse l’exotisme, et cherche le lien plus que l’image. En 1965, il rejoint RAPHO, l’agence photographique mythique française et entre dans la lignée des plus grands photographes humanistes. RAPHO a représenté des des légendes telles que Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Janine Niepce, Édouard Boubat. Et plus tard Hans Silvester, Marc Riboud, François Hers,.. En 1977, il devient un fondateur visuel de l’aventure éditoriale de GEO, le magazine référence de la photographie-reportage et réalise la couverture du numéro 0. Dès les années 70, Hans Silvester dénonce La déforestation en Amazonie, La pollution des rivières françaises, La surexploitation forestière en Amérique du Nord. Il fait œuvre militante avec des images sensibles, éloignées du spectaculaire et fidèles à sa sobriété. Puis, dans les années 2000, l’Éthiopie. Sa fascination pour les peintures corporelles des peuples de la vallée de l’Omo le pousse à s’y immerger. Il documente ce que personne d’autre n’a su photographier ainsi, en prenant le temps de vivre avec eux, souvent accompagné de sa femme Dora. Son travail est un témoignage exceptionnel de ces arts vivants, éphémères et habités, comme une empreinte du lien entre l’homme et la nature. Il n’a pas photographié les guerres, mais un autre type de fragilité, celle des Peuples Racines, des cultures en voie de disparition, de ces formes d’expression immatérielles. Cette quête, silencieuse et respectueuse, est la quintessence de son regard. En 2022, il est couronné du Prix International Planète Albert Kahn, honneur rare rappelant la portée historique et sensible de sa carrière. Hans Silvester, c’est un photographe hors mode, hors frontières, un témoin aux aguets, qui documente plus qu’il ne capture. Ses images nous racontent autre chose que des histoires. Elles nous rappellent qui nous sommes, et ce qui importe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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1 month ago
1 hour 4 minutes 45 seconds

TOKIO RADIO
#4 Philomène Remy, Grand Reporter
De la douceur du cocon familial aux tranchées en Ukraine. Philomène Remy a fait un choix rare : quitter des certitudes pour affronter l’incertitude et l’âpreté du monde. Grand reporter, elle ne se contente pas de couvrir l’actualité, elle la construit au plus près du réel. Centrafrique, Cisjordanie, Liban, Gaza, Ukraine, autant de terrains sanglants qu’elle aborde non comme une simple liste de conflits, mais comme des lieux où des vies continuent, coûte que coûte. Sans fabriquer de sensationnel, sans aplatir les nuances, Philomène laisse au réel la place d’être complexe. Son travail donne au monde une chance de se dire. Elle signe aujourd’hui des reportages pour En société (France 5), après être passée par Ligne Rouge (BFM), France 24 et Channel 4. Ce qu’elle explore avant tout, ce sont les marges humaines des crises : l’éthique du regard, la confiance avec les témoins, et la responsabilité que porte chaque image. Pour réaliser « Russie, les enfants volés d’Ukraine », elle affronte l’enfer de la guerre avec son équipe de BFMTV, traverse tout le pays en voiture et tente de se rendre en Crimée. Son travail est primé au festival de télévision de Monte-Carlo par un jury prestigieux. Philomène Remy incarne un journalisme exigeant, respectueux, profondément humain, exactement ce dont on a besoin aujourd’hui. Dans cette conversation, on parle de cette ligne de crête où le métier rencontre l’éthique. Une ligne qu’elle ne lâche jamais. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 months ago
45 minutes 30 seconds

TOKIO RADIO
#3 Lena Fire, Actrice X
On croit savoir. On fantasme. On juge très vite. Mais rarement on écoute. Lena Fire, elle, assume tout. Son métier. Son image. Son plaisir. Et surtout. Sa passion du sexe. Pas celle qu’on caricature. Une passion réelle, exigeante, traversée de choix, de limites, de liberté. Actrice X, oui. Et pleinement consciente. Le corps comme terrain d’expression. Le sexe comme langage. Le désir comme matière première. Elle est venue à TOKIO avec cette clarté peu commune, celle de ceux qui n’ont rien à cacher, rien à vendre, rien à prouver. Mais que sait-on vraiment d’une actrice X ? De ce qu’elle traverse, de ce qu’elle choisit, de ce qu’elle encaisse, de ce qu’elle transforme. Lena ne cherche pas à provoquer. Elle explique. Elle éclaire. Elle remet à l’endroit. Et derrière chaque mot, il y a cette évidence : elle sait ce qu’elle fait. Et pourquoi elle le fait. Elle déroule le fil d’une parole rare, lucide, entière, crue parfois, mais jamais gratuite. Pas pour se justifier mais pour faire savoir. Cette émission n’est ni un aveu, ni un manifeste. C’est un contrechamp. Et peut-être une invitation à poser un autre regard, un regard qui n’efface pas. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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2 months ago
34 minutes 39 seconds

TOKIO RADIO
#2 Matthias Harder - Helmut Newton Foundation
Depuis Berlin, il veille sur l’héritage d’un photographe qui n’a jamais cessé de troubler le regard. Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d’Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière. On s’est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire. Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu’irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d’Alice Springs. Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage. English version : From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze. Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June’s sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory. The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own. We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort. A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine. In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs. A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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3 months ago
34 minutes 58 seconds

TOKIO RADIO
#1 Emma Picq
Emma, c’est un flou net. Une présence magnétique capturée dans un miroir usé. Il y a quelque chose de spectral dans cette image, comme si elle venait d’un autre temps. Un passé où l’on prenait encore le temps de se regarder. Cheveux clairs, presque délavés, regard direct mais inaccessible, Emma semble à la fois devant et derrière l’objectif. Elle tient son Mamiya RZ comme on tient une arme sacrée : avec assurance et intimité. Emma Picq est photographe. Mais ce serait trop simple de s’arrêter là. L’image chez elle est un territoire instable, une matière à éprouver, une manière de dire ce qui ne se dit pas. Elle capte la lumière lente, celle qui oblige à attendre, à respirer, à choisir. Ici, chaque photo est un engagement. Mais ce n’est pas tout. Emma est aussi la fondatrice de Borderlines Paper, un projet éditorial à part. Borderlines, c’est son espace de liberté. Une revue artisanale et indocile qu’elle construit image après image, dans le refus du bavardage visuel. Emma ne cherche pas à convaincre. Elle cherche à comprendre. Et c’est précisément ce qui rend sa parole précieuse. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 months ago
1 hour 10 minutes 56 seconds

TOKIO RADIO
Cadeau Simon Johannin
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 months ago
50 seconds

TOKIO RADIO
Cadeau Agathe Catel
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 months ago
1 minute 35 seconds

TOKIO RADIO
TOKIO CAPSULE 4 MN ⚡️
Une année sans concession. Pas de format. Pas de filtre. Pas de programme à vendre. Des voix. Entières. Pas retouchées. Pas marketées. Des silences qu’on laisse durer. Des regards qu’on devine derrière les mots. Ici, on ne meuble pas le vide. On l’écoute. TOKIO, ce n’est pas un média. C’est un refus. Le refus de parler vite. De parler fort. De parler pour rien. C’est un lieu. Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases. Pour ceux qui doutent, qui cherchent, qui racontent autrement. J’ai lancé ça seul. J’ai tenu seul. Mais je ne suis pas seul. Vous avez écouté. Vous avez relayé. Vous avez compris. Alors on continue. En marge. En ligne directe. En silence parfois. Une année sans concession. Une seule promesse : Ne jamais trahir ce qui nous lie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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4 months ago
4 minutes 4 seconds

TOKIO RADIO
#17 Kamal Hachkar Réalisateur - Producteur
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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5 months ago
56 minutes 19 seconds

TOKIO RADIO
#16 Caio Rosa, visual Soul of Praça Seca
⚡️Caio Rosa est une voix montante de la photographie contemporaine brésilienne. À travers une approche artistique profondément engagée, il offre une perspective singulière sur les identités afro-brésiliennes et les héritages culturels. Son travail mêle techniques photographiques traditionnelles et éléments graphiques – dessins, écrits, cartes affectives – pour inventer de nouvelles formes de représentation du corps et de la culture noire. Chaque image devient un espace de résistance et de réinvention, où l’intime dialogue avec le politique. Issu du quartier de Praça Seca à Rio de Janeiro, Caio puise dans son environnement et son héritage une matière vive, traversée de spiritualité. Il interroge les classifications imposées par les récits occidentaux, et tisse des liens entre mémoire, territoire et imagination. Artiste pluriel, il explore aussi la musique en tant que DJ, en particulier les rythmes sud-africains Gqom et Amapiano, prolongeant ainsi sa recherche esthétique dans le champ sonore. Caio est né à Rio de Janeiro. Il vit au Brésil. ( Émission en anglais ) ⚡️Caio Rosa é uma voz emergente da fotografia contemporânea brasileira. Com uma abordagem artística profundamente comprometida, ele oferece uma perspectiva única sobre as identidades afro-brasileiras e os legados culturais. Seu trabalho combina técnicas fotográficas tradicionais com elementos gráficos — desenhos, textos, mapas afetivos — para inventar novas formas de representação do corpo e da cultura negra. Cada imagem se torna um espaço de resistência e reinvenção, onde o íntimo dialoga com o político. Nascido no bairro de Praça Seca, no Rio de Janeiro, Caio extrai de seu ambiente e de sua herança uma matéria viva, atravessada pela espiritualidade. Ele questiona as classificações impostas pelas narrativas ocidentais e entrelaça memória, território e imaginação. Artista plural, também explora a música como DJ, especialmente os ritmos sul-africanos Gqom e Amapiano, ampliando sua pesquisa estética para o campo sonoro. Caio nasceu no Rio de Janeiro. Vive e trabalha no Brasil. ⚡️ Caio Rosa is a rising voice in contemporary Brazilian photography. Through a deeply committed artistic approach, he offers a unique perspective on Afro-Brazilian identities and cultural legacies. His work blends traditional photographic techniques with graphic elements—drawings, writings, affective maps—to invent new forms of representation for the Black body and culture. Each image becomes a space of resistance and reinvention, where the intimate dialogues with the political. Born in the neighborhood of Praça Seca in Rio de Janeiro, Caio draws from his surroundings and heritage a living material, imbued with spirituality. He questions the classifications imposed by Western narratives and weaves connections between memory, territory, and imagination. A multifaceted artist, he also explores music as a DJ, particularly the South African rhythms of Gqom and Amapiano, extending his aesthetic research into the sonic realm. Caio was born in Rio de Janeiro. He lives and works in Brazil. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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6 months ago
44 minutes 13 seconds

TOKIO RADIO
#15 Mehdi Bentahila, photographe
À première vue, Mehdi Bentahila est photographe. Et entrepreneur. Il capte des regards, des lumières, des paysages. Il cofonde des lieux, lance des idées, accompagne d’autres à faire naître les leurs. Mais ce serait réducteur. Mehdi est un tisseur de liens, il ne sépare jamais le sensible de l’engagement. Il crée pour relier, il entreprend pour rapprocher. Quand certains cherchent la lumière. D’autres la fabriquent. Mehdi Bentahila est de ceux-là. Dans cet épisode on parle de trajectoire, d’intuition et de conviction. On parle de transmission, de vulnérabilité, d’ancrage dans un territoire et de la nécessité de bâtir des projets qui ont du sens. On y parle surtout de ce qui ne se délègue pas. Le feu intérieur. Un épisode pour celles et ceux qui savent que créer, ce n’est pas montrer. C’est révéler. Mixage par le studio Revolver. Animateur et producteur Boris Pierre. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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6 months ago
48 minutes 46 seconds

TOKIO RADIO
#14 Jeanne Grouet & Sajede Sharifi
30ème émission de TOKIO radio, toujours et encore des rencontres fabuleuses, des conversations qui s'étirent jusqu'aux étoiles 🌟 Je reçois Jeanne Grouet et Sajede Sharifi, un duo de photographes au parcours exaltant. Une communion artistique! Quand l'une ouvre une résidence d'artistes à Téhéran, l'autre l'a rejoint illico. Et puis septembre 2022, la mort de Masha Amini ouvre, réouvre la révolution. Cette fois-ci, la révolution de toute une génération, de tout un peuple qui ne s'arrêtera que lorsque les tyrans seront tombés. Jeanne et Sajede, Sajede et Jeanne, c'est autant de qualificatifs pour désigner la sororité. La sororité qui elève et transcende ⚡️ Ce que vous devez savoir sur ces artistes: Sajede Sharifi, née en 1984, est une photographe et artiste franco-iranienne qui partage sa vie et son travail entre Paris et Téhéran. Elle a étudié la sociologie à l’Université de Téhéran avant de se former à la photographie à l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles, dont elle est diplômée en 2014, puis au Centre International de la Photographie de New York en 2015. Son travail interroge la photographie en tant que document, mêlant narration fictive et réalité objective. Elle explore les frontières entre objectivité et fiction, authenticité et imaginaire, remettant en question la capacité de la photographie documentaire à restituer fidèlement la réalité. En 2023, Sajede Sharifi a collaboré avec Jeanne Grouet pour créer “Le Laser Vert”, un livre auto-édité qui a donné naissance à un court-métrage mêlant photographie et prose. Cette œuvre met en lumière la résistance des femmes iraniennes face à la censure et à la répression du gouvernement de la République islamique. Le film a été projeté lors d’un événement spécial à la Maison Européenne de la Photographie à Paris en septembre 2023, marquant le premier anniversaire de la mort de Mahsa Jina Amini. Sajede Sharifi a également exposé ses œuvres dans diverses galeries et festivals, notamment la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris, la Biennale de Lyon, la Chapelle Sainte-Anne à Arles et la Friche Belle de Mai à Marseille. Jeanne Grouet est une photographe française née en 1989. Après avoir obtenu une licence en cinéma à la Sorbonne, elle intègre l’École Nationale Supérieure de la Photographie (ENSP) à Arles, où elle rencontre Sajede Sharifi. Son travail photographique se caractérise par une approche sensible des textures, des couleurs et des formes, souvent présentées sous forme de diptyques. Elle cherche à créer une “cartographie émotionnelle” des lieux qu’elle explore, traduisant ses impressions visuelles en images évocatrices. En 2019, Jeanne Grouet effectue une résidence artistique en Iran, où elle collabore avec Sajede Sharifi pour l’exposition “Mother Earth”. Cette expérience lui permet de découvrir la vie culturelle iranienne et d’approfondir sa compréhension des distinctions entre les espaces publics et privés dans ce pays. En 2023, les deux artistes réalisent ensemble “Le Laser Vert”, un livre auto-édité accompagné d’un court-métrage mêlant photographie et prose. Cette œuvre met en lumière la résistance des femmes iraniennes face à la censure et à la répression du gouvernement de la République islamique. Le film a été projeté lors d’un événement spécial à la Maison Européenne de la Photographie à Paris en septembre 2023, marquant le premier anniversaire de la mort de Mahsa Jina Amini. Jeanne Grouet a également participé à diverses expositions, notamment à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris, à la Biennale de Lyon, et à la Chapelle Sainte-Anne à Arles. Son travail interroge les notions de frontières géographiques et symboliques, explorant l’invisibilité des liens dans le champ de l’intime. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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6 months ago
41 minutes 10 seconds

TOKIO RADIO
#13 Federico Benincasa, 99 Camera Museum
On croit souvent que les objets sont inertes, qu’ils ne sont que des outils, des extensions de nos désirs, de nos gestes. Mais certains d’entre eux portent en eux une mémoire, une intensité presque mystique. Les appareils photo font partie de ceux-là 📷 Ils ne se contentent pas de capter des images, ils enregistrent des fragments d’existence. Dans la pellicule il y a plus que de la lumière : il y a des silences, des absences, des émotions suspendues. Federico Benincasa en sait quelque chose. Son père traquait ces objets comme des reliques, conscient qu’ils n’étaient pas de simples outils mais des témoins d’une révolution visuelle et industrielle. À sa disparition, Federico a pris le relais. Plutôt que de laisser ces icônes dormir dans l’ombre, il leur a redonné une voix avec le 99 Cameras Museum. Un appareil photo n’a de sens que s’il sert à photographier, alors il les réactive. C’est ce qui a donné naissance à The Analog Chronicles. Dans ce projet, Federico Benincasa a invité cinq photographes contemporains à s’emparer de ces chefs-d’œuvre pour les faire revivre. ⚡️Mathias depardon, Théo Giacometti, Alessandro silvestri, Gaia Squarci, Ismaël Ferdous Chacun a choisi un appareil, l’a apprivoisé, l’a confronté à l’instant présent. Une manière de tester leur propre regard, mais aussi de vérifier si ces machines d’un autre temps pouvaient encore capter quelque chose d’essentiel. Aujourd’hui, alors que les images numériques se multiplient et s’effacent dans la même seconde, quel rôle jouent encore ces appareils ? Peut-être nous rappellent-ils que voir est un acte conscient 🔥 Et vous, avez-vous déjà ressenti cette présence, ce poids de l’histoire, en tenant un appareil photo ancien entre vos mains ? Le 99 Cameras Museum est installé au STUDIO HARCOURT PARIS (visite gratuite)
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7 months ago
59 minutes 18 seconds

TOKIO RADIO
#12 Jean-Marc Barr « Experience »
L’un des derniers romantiques du cinéma. En 1988, Le Grand Bleu fait de Jean-Marc Barr une icône instantanée, un mythe, à 28 ans. Son regard perdu dans l’infini, Sa beauté transcendante, et son lien presque mystique avec l’océan marquent à jamais le public. À Hollywood, on le courtise, mais lui prend une autre voie, loin du star-system. Jean-Marc Barr emprunte les chemins de traverse, nage à contre-courant et vit son cinéma. Avec Lars von Trier, il tourne Europa, puis s’embarque dans l’aventure Dogma 95, un mouvement cinématographique révolutionnaire qui bouleverse le cinéma indépendant. Il réalise son premier long-métrage, Lovers, avec l’actrice Élodie Bouchez, caméra à la main. Ce mouvement a forcé les réalisateurs à réinventer leur manière de raconter une histoire, en se débarrassant des artifices hollywoodiens, pour revenir à l’essence du cinéma : l’émotion pure. Ce qui frappe chez lui, c’est cette quête de liberté inconditionnelle. Il refuse les facilités du métier, préférant des rôles exigeants, un cinéma brut, une recherche artistique sans compromis. Dans un monde où le cynisme l’emporte souvent, Jean-Marc Barr incarne encore une forme de romantisme. Pas au sens mièvre du terme, mais dans cette capacité à croire en la beauté, en l’art comme espace de vérité et de liberté. Écouter Jean-Marc Barr, c’est plonger dans un autre temps.
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8 months ago
39 minutes 10 seconds

TOKIO RADIO
#11 Jean-Marc Barr « Hors cadre »
Il y a des artistes que l’on reconnaît à leur visage, d’autres à leur voix, certains encore à une posture, une façon d’occuper l’espace. Jean-Marc Barr, lui, se distingue par son esprit. Un souffle de liberté qui traverse chacun de ses choix, qu’ils soient artistiques, personnels ou existentiels. Si vous croyez encore que la célébrité impose des compromis, il suffit d’observer son parcours pour comprendre qu’il incarne tout l’inverse : un refus du conformisme, une quête de vérité, une nécessité d’être soi – coûte que coûte. Il est impossible d’évoquer Jean-Marc Barr sans penser à Le Grand Bleu. Le film culte de Luc Besson l’a propulsé sur le devant de la scène, gravant à jamais son visage dans la mémoire collective. Pourtant, si d’autres auraient pu s’installer confortablement dans la lumière, il a choisi une autre route. Là où certains voient une carrière toute tracée, lui perçoit une cage dorée. Son esprit de liberté l’a poussé à refuser les rôles formatés, les productions sans âme, et à s’orienter vers un cinéma plus exigeant, plus intime. Le cinéma de Jean-Marc Barr est un territoire d’exploration. Il travaille avec des réalisateurs audacieux comme Lars von Trier, devenant un fidèle compagnon de route du Dogme 95. Europa, Breaking the Waves, Dancer in the Dark : des œuvres radicales qui témoignent d’une prise de risque permanente. Il ne joue pas, il habite ses rôles, s’effaçant derrière des personnages tourmentés, marginaux, écorchés. Son choix d’alternance entre cinéma d’auteur et production plus grand public prouve qu’il n’a jamais renié ses idéaux. Il ne se laisse pas enfermer dans une case, car il refuse l’idée même du moule. Jean-Marc Barr est le plus Européen des Américains, il oscille entre plusieurs cultures, plusieurs langues, et c’est peut-être cette hybridité qui nourrit son insatiable besoin de mouvement. Il est aussi réalisateur, scénariste, photographe, explorant sans cesse de nouveaux médiums pour exprimer sa vision. Dans sa filmographie, comme dans sa vie, il y a cette constante : une indépendance farouche. Il se tient loin des mondanités, des calculs stratégiques, des postures factices. Là où beaucoup cherchent à plaire, lui cherche à être. Dans Lovers, film qu’il a lui-même réalisé, il explore la sensualité avec une liberté totale, sans artifice ni tabou. Cette approche du corps comme un langage, comme un territoire d’expression, rappelle que la vraie liberté, c’est d’assumer qui l’on est, dans toute sa vulnérabilité. Ce regard sans fard, il l’applique aussi à son engagement : parler quand il le faut, se taire quand c’est nécessaire, mais toujours avec une forme d’honnêteté qui fait écho à son jeu d’acteur. Dans un monde où l’uniformisation menace l’authenticité, Jean-Marc Barr demeure une figure précieuse, un repère. Il nous rappelle qu’il est encore possible de choisir une autre voie, de privilégier l’essence à l’apparence, de refuser les compromis stériles. Sa carrière est un manifeste : celui d’un homme qui n’a jamais cessé de suivre son propre courant, envers et contre tout. Jean-Marc Barr ne joue pas à être libre. Il l’est.
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8 months ago
39 minutes 7 seconds

TOKIO RADIO
#10 Boris Pierre, créateur de TOKIO radio ⚡️
« Qui est vraiment Boris Pierre ? Depuis le début de TOKIO radio, il questionne, il écoute, il explore. Mais cette fois, les rôles s’inversent. Guy Birenbaum mène l’entretien. Un échange sincère, sans filtre. Une conversation pour mieux comprendre la voix derrière TOKIO radio. »
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8 months ago
42 minutes 22 seconds

TOKIO RADIO
#9 Charles Comiti, Réalisateur engagé
Charles Comiti, Réalisateur intransigeant : filmer l’Ukraine sous les bombes Réaliser des documentaires en zone de guerre est un métier aussi exigeant que périlleux. Pour Charles Comiti, ce n’est pas seulement un métier : c’est une vocation, un engagement profond pour raconter ce que d’autres préfèrent ignorer. Depuis les premiers jours de l’invasion russe en Ukraine, ce réalisateur arpente les ruines, les tranchées et les lignes de front pour saisir l’âme d’un peuple en résistance. De Kharkiv à Bakhmout, il filme les regards, les gestes et les choix impossibles d’une jeunesse prise au piège. Une collégienne gratte les cordes d’une guitare, assise sur un monceau de ruines, défiant l’effondrement. Un couple danse sur une place vide, comme pour s’accrocher à une normalité perdue. Un jeune homme évacue sa rage en frappant une porte : « On a le choix entre l’amour et la guerre, et on choisit la guerre ! » Certains s’engagent, d’autres fuient la conscription. Tous témoignent d’un combat quotidien entre l’aspiration à la vie et la brutalité de la guerre. Malgré les difficultés financières – le manque de sponsors, la rareté des commandes et une industrie frileuse face aux sujets sensibles – Charles poursuit son travail avec une intégrité inébranlable. Refusant tout compromis, il capte la vérité au plus près, donnant une voix à ceux que la guerre tente de réduire au silence. Dans un monde où le métier de journaliste et de réalisateur documentaire est de plus en plus remis en question, Charles Comiti incarne l’exigence et la vérité. Indomptable et intransigeant, il est l’un de ces rares observateurs qui osent encore aller au bout de leur engagement, quoi qu’il en coûte.
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9 months ago
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