
Dans l’ouvrage Ways of Worldmaking, Nelson Goodman présente le concept éponyme de worldmaking, que l’on pourrait traduire par construction de mondes ou fait de « faire monde ». Les mondes sont aussi nombreux que les sources qui les produisent et sont exprimés dans des systèmes symboliques, tels que les discours ou les représentations visuelles. Dans cet épisode, Enrico Agostini-Marchese se réfère à ce concept pour parler de pluralisation de visions du monde, d’inclusivité et de responsabilisation.