C’est l’histoire Dora et Danielle qui découvrent en août 2023 qu’elles partagent le même homme. Danielle vit en Suisse, en juillet 2022, elle s’est rendue au Cameroun pour célébrer son mariage traditionnel. Elle ne savait pas que celui qui deviendrait son mari devant ses ancêtres, Christian, était installé avec une autre femme, Dora, enceinte de leur fils. Avec Diane Audrey Ngako, elles ont parlé de trahison, de projection sentimentale, d’intuition, de manipulation et de l’importance pour les femmes d’être fortes ensemble face à ce type d’évènements.
Vous pouvez soutenir le podcast ici : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit
Les mots de Diane Audrey :
Pour la premiere fois, je n’ai pas trop envie de parler, d’écrire. Cette histoire m’a touché car je connais Dora et Danielle. Je connais d’où elles viennent et les attentes qu’elles pouvaient avoir de « cette union ». Ma seule fierté, les voir se soutenir ensemble. Cet épisode a été tourné il y a 3 semaines mais tout était lourd. Même si Dora et Danielle ont eu la volonté de libérer la parole, je restais tout de même peiner. J’ai découvert 80% de cette histoire, ses détails en enregistrant ce podcast.
Je note que nous avons souvent des signes que nous choisissons de ne pas voir. Christian est un manipulateur amoureux. Il a utilisé différentes méthodes pour déformer leur réalité et les exploiter sur le plan émotionnel pour tenter de les contrôler. Son intention était d'avoir le pouvoir et le contrôle sur elles afin d'obtenir tout ce qu'il voulait et désirait. Il a détecté leurs principales faiblesses et les a utilisé contre elles.
Par exemple, Dora était maman célibataire, il a très vite du identifier sa volonté de construire une vie de famille.
C’est pour cette raison qu’il a souhaité rencontrer ses parents… il savait que cela serait le moyen pour Dora d’être rassurée.
Lorsque vous avez le sentiment d'avoir un partenaire manipulateur, il est important de commencer à reconnaître les signes qui peuvent indiquer une violence psychologique. En fait, si votre partenaire vous fait constamment sentir épuisé(e), anxieux(se), craintif(ve) ou douteux(se) de vos besoins, pensées et sentiments, il est probable que cette personne utilise différentes techniques de manipulation pour vous contrôler.
Enfin… Je vous laisse écouter la partie 2/2 de cette épisode.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que leurs mots et histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT. D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous le mois prochain.
C’est l’histoire Dora et Danielle qui découvrent en août 2023 qu’elles partagent le même homme. Danielle vit en Suisse, en juillet 2022, elle s’est rendue au Cameroun pour célébrer son mariage traditionnel. Elle ne savait pas que celui qui deviendrait son mari devant ses ancêtres, Christian, était installé avec une autre femme, Dora, enceinte de leur fils. Avec Diane Audrey Ngako, elles ont parlé de trahison, de projection sentimentale, d’intuition, de manipulation et de l’importance pour les femmes d’être fortes ensemble face à ce type d’évènements.
Vous pouvez soutenir le podcast ici : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit
Les mots de Diane Audrey :
Pour la premiere fois, je n’ai pas trop envie de parler, d’écrire. Cette histoire m’a touché car je connais Dora et Danielle. Je connais d’où elles viennent et les attentes qu’elles pouvaient avoir de « cette union ». Ma seule fierté, les voir se soutenir ensemble. Cet épisode a été tourné il y a 3 semaines mais tout était lourd. Même si Dora et Danielle ont eu la volonté de libérer la parole, je restais tout de même peiner. J’ai découvert 80% de cette histoire, ses détails en enregistrant ce podcast.
Je note que nous avons souvent des signes que nous choisissons de ne pas voir. Christian est un manipulateur amoureux. Il a utilisé différentes méthodes pour déformer leur réalité et les exploiter sur le plan émotionnel pour tenter de les contrôler. Son intention était d'avoir le pouvoir et le contrôle sur elles afin d'obtenir tout ce qu'il voulait et désirait. Il a détecté leurs principales faiblesses et les a utilisé contre elles.
Par exemple, Dora était maman célibataire, il a très vite du identifier sa volonté de construire une vie de famille.
C’est pour cette raison qu’il a souhaité rencontrer ses parents… il savait que cela serait le moyen pour Dora d’être rassurée.
Lorsque vous avez le sentiment d'avoir un partenaire manipulateur, il est important de commencer à reconnaître les signes qui peuvent indiquer une violence psychologique. En fait, si votre partenaire vous fait constamment sentir épuisé(e), anxieux(se), craintif(ve) ou douteux(se) de vos besoins, pensées et sentiments, il est probable que cette personne utilise différentes techniques de manipulation pour vous contrôler.
Enfin…
Je vous laisse écouter la partie 1/2 de cette épisode.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que leurs mots et histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT. D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous le mois prochain.
Julio Teko est un acteur originaire du Togo que vous avez certainement vu dans des productions sur Canal+ ou Life TV. Il vit à Lomé. Julio a vécu 17 ans sans voir sa mère. Avec Diane Audrey, il raconte comment il apprend un peu plus chaque jour à créer une relation mère/fils et l’importance de pardoner à ses parents pour faire mieux et être en paix.
Les mots de Diane Audrey :
Julio est un artrepreneur qui slide entre les métiers de comédien, slammeur, animateur, voix-off, et manager général du festival « Tchalé lékéma ». Lorsque vous le voyez ou que vous l’entendez son aura, sa présence ne peuvent laisser transparaître son histoire.
Julio a grandi au Gabon, à Libreville aux côtés de sa famille paternelle. C’est la feu petite soeur de son père qui l’a élevé. C’est à 10 ans qu’il apprend que sa mère est en vie et vit à Lomé avec son père. Il apprendra un peu plus tard que sa famille maternelle n’aimait pas beaucoup sa mère et que son départ pour Libreville avait vocation de séparer ses parents. Peine perdu, ils auront d’autres enfants, ses petits frères qu’il rencontrera à 17 ans, tout comme sa mère.
Dans cet épisode, il nous raconte sa premiere rencontre avec sa mère et combien elle était heureuse de voir son fils revenir à la maison. Il nous partage aussi la difficulté de trouver sa place dans un foyer où tout le monde connaissait la sienne. 15 ans après son retour, c’est aujourd'hui qu’il crée des rituels pour sortir du «c’est ma mère sans plus » et se donner une chance de vivre une vraie relation mère-fils. Son déclic ? Le décès de son père il y a 2 ans. C’est à lui que nous dédions cet épisode et que son âme continue de reposer en paix.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, je vous invite à écouter ce podcast et à le partager. L’enregistrement de cette saison 4 est possible grâce au soutien de Spotify Africa et l’agence OMENKART.
N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
Afin d’accompagner la production, vous êtes invités à nous soutenir sur Tipee : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit
D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 10 août 2023.
Synthia Edima Mbala est une jeune étudiante camerounaise de 29 ans, maman d’un garçon de deux ans et épouse. Elle vit à Sherbrooke au Québec. Avec Diane Audrey, elles parlent de maladie mentale et des non-dits qui l’entourent. Synthia a découvert sa bipolarité à 16 ans après un séjour en hôpital psychiatrique.
Les mots de Diane Audrey :
Synthia est le second épisode que nous réalisons à distance. Comme celui de Louise, Il est peut être beaucoup plus rassurant pour certains de mes invité.e.s. J’ai apprécié faire cet épisode car Synthia a pris la peine de libérer la parole sur ses troubles mentaux afin que ceux et celles qui en souffrent aient et gardent espoir. Elle m’a dit : « j’ai un diagnostic de bipolarité depuis mes 16 ans, mais cela ne m'empêche pas de vivre ma vie. J'ai des rêves, de l’ambition et des projets de vie comme tout le monde mais mon plus grand souhait par dessus tout est de démystifier les maladies mentales au sein de la population ».
En effet, il y a encore beaucoup de tabous autour de la maladie mentale. Cela fait en sorte que l’on ne comprend pas toujours de quoi il s’agit et qu’il y a plusieurs fausses idées qui circulent à ce sujet. Dans un premier temps, il faut différencier la santé mentale de la maladie mentale.
La santé mentale est la capacité qu’a chacun d’entre nous de ressentir, de penser et d’agir de manière à améliorer notre aptitude à jouir de la vie et à relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Les maladies mentales sont caractérisées par des altérations de la pensée, de l’humeur ou du comportement (ou une combinaison des trois) associées à un état de détresse et à un dysfonctionnement marqués.
D’après différentes études, les troubles bipolaires débutent le plus souvent à l'adolescence entre 15 et 19 ans soit par un épisode dépressif soit par un épisode maniaque. C’est à 16 ans après son premier séjour en hôpital psychiatrique que sa tante lui dit que sa mère aussi avait la même maladie… et plus tard son père lui dira que sa grand-mère aussi. Malgré sa volonté d’en savoir plus, sa mère n’a jamais souhaité avoir cette conversation en lui demandant constamment de se tourner vers la réligion.
À l’écoute de Synthia, Les troubles bipolaires retentissent sur la personne touchée mais aussi sur ses proches. Les proches peuvent avoir un rôle crucial dans les processus du traitement de la bipolarité, par leur présence, leur disponibilité, leur compréhension et leur volonté d’aider.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 18 mai 2023.
Louise est une jeune ivoirienne de 25 ans basée à Paris. Avec Diane Audrey, elles parlent de sa relation complexe et toxique avec sa mère qui lui repète depuis toujours qu’elle aurait préféré avoir avorté.
Les mots de Diane Audrey :
Louise est le premier épisode que nous réalisons à distance. Il est peut être beaucoup plus rassurant pour certains de mes invitées d’être derriere un écran. Sa volonté était de raconter son histoire pour soutenir d’autres personnes ayant souvent trouvé réponses à ses questions dans ce podcast.
Louise a grandi avec une mère dont elle n’a jamais vraiment ressenti l’amour. Elle raconte comment elle se construit dans ce schéma. En effet, nos parents sont logiquement supposés nous aimer, nous guider et nous protéger. Ce sont les personnes qui doivent nous aider à grandir et à devenir un adulte indépendant et épanouie.
Malheureusement, certains parents maltraitent, abusent, négligent ou abandonnent leurs enfants. Avoir la sensation que nos parents ne nous aiment pas peut être très blessant, émotionnellement et parfois même physiquement. À l’écoute de Louise, l’une des clés de passer outre est d'accepter que nous ne pouvons pas toujours les changer et nous concentrer sur notre propre bienêtre.
Je vous invite donc à écouter ce podcast et nous partager vos ressentis. Le podcast de Louise est aussi un début de réponses aux adultes, mères qui tentent de ne pas reproduire ce qu’ils ont vécu dans leur enfance. A ceux et celles qui veulent montrer à leurs enfants ce qu’est l’amour, l’accomplissement, la confiance en soi et le dépassement de soi…
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ce nouvel épisode de la saison 4 vous a plu. Il a été rendu grace au soutien de Spotify et l’agence OMENKART.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 4 mai 2023.
Elykia est une jeune étudiante camerounaise de 25 ans. Elle vit depuis peu à Paris. Elle souhaite devenir avocate.
Elle aime le thé, la décoration et se fixer des objectifs qui feront d’elle une belle personne. Jeune, elle a vu plusieurs hommes
Venir et partir de leur maison familiale. Plus tard, elle a compris que sa mère recherchait l’affection d’un père absent.
Avec Diane Audrey Ngako, elles ont parlé de secret, de bienveillance et de pardon.
Les mots de Diane Audrey :
Elykia m’a contacté il y a environ 7/8 mois, elle souhaitait partager son histoire avec notre audience. Raconter simplement quelque chose qu’elle garde en elle depuis 10 ans : « mon père n’est pas mon père ». C’est tout naturellement qu’en décembre dernier, lors de mon séjour à Paris, elle m’a invité dans sa chambre universitaire pour parler autour d’un thé et de viennoiseries. La première des choses était de lui trouver un prénom d’emprunt. Elykia est un prénom qu’elle aime beaucoup. Nous avons gardé sa voix, c’était son choix. Merci Elykia d’avoir choisi de dire ta vérité, merci pour ton optimisme, pour ton amour pour tes parents, ta famille. Merci d’apprendre à appréhender ta fragilité.
Chers auditeurs, c’est donc avec humilité que je vous laisse découvrir son histoire. J’espère que ses mots, son histoire, ses sourires, ses doutes, vous apporteront un peu plus de lumière dans votre vie.
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D’ici là je vous souhaite une excellente et on se donne rendez-vous le 11 février pour le prochain épisode.
Bonne écoute.
Informations générales :
Leur compte Instagram : https://www.instagram.com/simamanmavaitdit/?hl=fr
Hashtag officiel : #SiMamanMavaitDit
Host : Diane Audrey Ngako : https://twitter.com/Voodart
Soum est une jeune voyageuse de 29ans, vivant entre Dakar et Paris. Elle travaille dans le Design 3D et est rédactrice pour le journal Diarravegetal. Avec Diane Audrey, elles parlent du rejet, du sentiment de ne pas se sentir aimer et du fait d’aussi d’assumer sa personnalité.
Les mots de Diane Audrey :
J’ai rencontré pour la premiere fois Soum dans un ascenseur à Douala. Deux jours plus tard, nous nous sommes croisées à un talk qui mettant en avant un peintre américain d’origine camerounaise : Ludovic Nkoth. A la fin, nous avons pris plaisir à échanger et puis elle m’a dit écouter le podcast depuis la saison 3.
Je lui ai proposé d’y participer et c’est ainsi qu’une semaine plus tard, nous enregistrions cet épisode. Plus jeune, elle pensait que sa mère ne l’aimait pas. Elle se sentait rejetée car différentes des autres. Entre temps, les choses ont beaucoup évolué ainsi que sa perception des choses. Lorsque durant des années, on peine à trouver sa place, ceci peut avoir un impact dans sa vie sentimentale ou tout simplement dans la société.
Trouver sa place dans un groupe en général se fait de manière naturelle. Il faut que chacun d'entre nous communique et s'exprime librement. Il faut savoir venir en aide et demander de l'aide. Il faut respecter chaque membre du groupe, savoir remercier, se fâcher, etc. Quand on est enfant, on peut attendre de nos parents un petit coup de pouce mais comme j’ai souvent le rappeler, nos parents n’ont pas toujours toutes les armes.
Le risque quand on se sent rejeté, c’est de perdre en estime de soi. Cela se caractérise par des comportements de retrait et d'isolement sociaux associés à la peur du jugement des autres. Les personnes en déficit d'estime de soi ont tendance à prendre physiquement le moins de place possible, à se taire et à tenir des postures d'humilité.
Soum aborde plusieurs pistes dans ce podcast. Concernant le rejet, je vous invite à lire cet article qui me semble être pertinent.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ce deuxieme épisode de la saison 4 vous a plu. Il a été rendu grace au soutien de Spotify et l’agence OMENKART.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 23 février 2023.
Kafui Vodounou est une jeune femme béninoise de 37 ans. Elle travaille dans la santé publique et recherche médicale à Abidjan depuis peu où elle vit avec sa fille. Elle aurait aimé que sa maman soit plus ouverte avec elle, sur sa vie, ses expériences et ses instants de vie. Elle est décédée le 5 octobre 2022 d’un cancer du sein. Avec Diane Audrey, elles parlent du deuil, du silence, la vie d’après, de ceux qui restent et surtout d’amour.
Les mots de Diane Audrey :
Je suis sortie de cette rencontre, épisode émue. J’ai passé des minutes à remercier mon invitée pour la confiance. Il n’est pas facile de raconter l’histoire de sa vie lorsqu’une des actrices principales n’est plus. Perdre l’un de ses parents, c’est perdre une personne aimée mais c’est aussi perdre la base de notre identité, le principal témoin de notre histoire, l’un de nos piliers. Dans l’épisode, Kafui me parle du silence dans la cuisine un lieu qui était incarnée par la vie de sa maman, ses rires, sa joie, ses plats. En l’écoutant parler dignement, je me suis rendue compte que perdre aussi son parent peut donner l’impression d’oublie à certains de l’enfant qu’ils ont été, celui qui pouvait compter sur son père ou sur sa mère pour le protéger, le soutenir, le comprendre.
Kafui a raconté sa mère en tout intimité et simplicité. Maman Kate c’est comme ça que tout le monde appelait sa maman dont le prénom était Catherine a passé toute sa vie à aimer sa famille et la protéger. En écoutant Kafui, j’ai pensé à tous ceux qui vivent à l’étranger, loin de leurs parents, proches et se contentent finalement d’appels téléphoniques pour palper la santé physique et/ou psychologique de ceux-ci.
Sauf que nos parents ne veulent jamais nous inquiéter et nous disent souvent que tout va bien. J’ai pensé à ceux qui arrivent souvent quand c’est trop tard. Combien de fois avons nous pris l’avion avec des personnes qui rentraient au pays enterer un parent ? Un proche ?. Le deuil d’un parent peut s’accompagner de culpabilité, de regrets (« J’aurais dû partager plus de choses avec lui/elle… »). Je crois qu’il est important d’accepter de ressentir ce genre d’émotions.
Je regardais Kafui durant toute notre échange et je ne voyais que de la dignité. Je me suis demandée, comment elle faisait pour tenir, je ne lui ai pas vraiment posé la question mais ce qui ressortait de notre entretien est qu’elle se rappelait de combien sa mère était amour pour sa famille et son entourage.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ce premier épisode de la saison 4 vous a plu. Il a été rendu grace au soutien de Spotify et l’agence OMENKART.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 9 février 2023.
Chers amis du jour, chers amis du soir. Avant d’écouter l'épisode d’introduction de cette nouvelle saison 4, j’ai envie de vous écrire, vous raconter ce que j’ai récemment expérimenté… la vulnérabilité. Lorsque vous avez passé une bonne partie de votre vie à vous construire une armure pour vous protéger des possibles tempêtes de la vie et qu’un jour celle-ci se fissure, votre vision de la vie change, évolue. Dans un premier temps, vous devez accepter cette fissure, voir sa profondeur et la soigner le tout en acceptant une flopée d'emotions et de sentiments.
Ce 25 janvier 2023, je peux vous dire fièrement que la vulnérabilité est une force qui peut transformer votre vie. Il est vrai que nous évoluons dans des sociétés qui nous rappellent constamment que la vulnérabilité est une faiblesse. Nous voulons être parfaits, puissants, sûrs de nous. Nous croyons que la distance, la froideur, l'inaccessibilité et la maîtrise contribuent à notre prestige. Que nous serions mésestimés si nous venions à être trop ouverts. Nous adoptons l'anxiété en tant que style de vie, la productivité en tant que valeur essentielle, et le perfectionnisme en tant qu'idéal.
A trop vouloir en faire, à trop vouloir être le meilleur, nous finissons pas avoir peur de l'échec et éprouvons un sentiment constant d'insuffisance. D'ailleurs cela me fait penser à la difference entre happyness et Fulfillment, vous trouverez plusieurs ouvrages, articles traitant de la difference entre être heureux et être accompli. Nous gaspillons un temps précieux en tournant le temps à qui nous sommes réellement. Alors plutôt que de rester assis sur le banc de touche, et d'émettre sans cesse des jugements et des conseils, mieux vaut oser se découvrir et accepter d'être vulnérable. Et oui, c'est aussi ce qu'on appelle, le courage.
Sur ce, excellente saison 4.
Remerciements à Spotify Africa et Omenkart qui nous accompagnent cette année.
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Florelle Manda est une journaliste/ présentatrice basée à Abidjan, Côte d’Ivoire. Elle aurait aimé que sa maman lui dise : « je me suis battue pour toi et ta séparation avec ton père n’est pas de ta faute ».
Avec Diane Audrey, elles parlent d’abandon, de relations, des choix de nos parents ou encore du temps qui passe.
Les mots de Diane Audrey : J’ai rencontré Florelle il y a 10 ans environ à Paris dans les événements dédiés à la diaspora africaine.
J’ai été très contente lorsqu’elle a bien souhaité partagé son expérience d’enfant de parents divorcés, séparés. Dans nos sociétés, on ne parle pas beaucoup de l’impact des décisions de nos parents sur nos vies. L’augmentation du taux de divorce ces dernières années est frappante : Douala, Abidjan, Cotonou, Dakar…
Plusieurs études ont montré que la séparation ou le divorce parental est associé à un éventail de problèmes dans des domaines variés pour les jeunes enfants et les adolescents. Florelle a cru durant longtemps qu’elle était la cause de la séparation de ses parents ou du moins du départ de sa mère, de Brazzaville, Congo.
Parcours sans filtre d’une jeune femme africaine des temps modernes. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que cet épisode vous a plu. Il a été sponsorisé par l’agence de communication OMENKART.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 8 septembre 2022.
Caroline est une jeune femme de 35 ans vivant à Bertoua au Cameroun. Elle aurait aimé que sa maman lui dise que le mariage n’est pas une une fin en soi et que sans cela une femme peut tout de même être accomplie. Avec Diane Audrey, elles parlent de mariage, divorce, poids de la famille et pression sociale.
Les mots de Diane Audrey : Figurez-vous que j’ai assisté à ce mariage il y a près de 10 ans. Je revois Caroline, lumineuse, sourire à tout le monde. Son mari, je l’avais déjà rencontré à l’étranger lors d’un stage de fin d’études. Oui, le monde est vraiment petit.
J’étais invitée au mariage en tant qu’amie de la famille de Caroline et j’étais juste trop contente de savoir qu’elle se mariait avec un grand frère qui était toujours de bon conseil.
Il y a 8 mois quand elle m’a partagé sa volonté de participer au podcast, je lui ai demandé ce qu’elle voulait partager. C’était un matin et j’étais en voiture. Quand elle m’a raconté l’histoire, très brièvement, je me suis arrêtée et j’ai vomi. J’étais perdue, comment ? Pourquoi ?
Surtout que je l’ai souvent revu après son mariage. Comment on trouve la force d’épouser un homme dont on découvre l’homosexualité trois jours avant « le jour de votre jour ». J’étais triste d’apprendre ce par quoi elle était passée. Notre conversation a peu durée ce jour là. Je ne voulais pas en savoir plus surtout si elle devait faire le podcast. Je préfère toujours la spontanéité dans les échanges avec mes invitées. Huit mois, c’est ce qu’il nous a fallu à toutes les deux pour le faire et globalement nous étions toutes les deux sereines.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT. Afin d’accompagner la production, vous êtes invités à nous soutenir sur Tipee : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 14 juin 2022.
Max est un jeune homme de 39 ans vivant au Cameroun. Pour lui, sa maman lui a dit l’essentiel : « je serais toujours là ». Avec Diane Audrey, ils parlent de confiance en soi, de choix de vie, de deuil.
Les mots de Diane Audrey :
J’ai souvent croisé Max dans les milieux artistiques de Douala. C’est un chanteur réputé de la place. Récemment je l’ai aperçu amaigri et un poil « vide ». Il m’a donc partagé son passage à vide suite au décès de son frère.
Max n’est pas très à l’aise à l’idée de se rencontrer, je l’ai observé tout le long de notre échange. Je sentais qu’il ne voulait pas craquer, pleurer. A mon habitude, je souhaite toujours mettre à l’aise mes invités. Nous avons parlé
Du regard des autres et combien il est important de s’en défaire.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 19 mai 2022.
Aïssa Diaby est une jeune réalisatrice franco-guinéenne et cadre de la fonction d’état en France, de 28 ans née à Paris. Elle aurait aimé que sa mère lui dise que même si elle se marie, elle doit rester, elle même. Avec Diane Audrey, elles parlent d’ambition, de mariage, de divorce ou encore de charge mentale.
Les mots de Diane Audrey :
Vous l’avez entendu, je connais mon invitée. Aïssa, une petite soeur que j’ai vu grandir dans la sphère culturelle et intellectuelle panafricaine à Paris. Je ne savais pas qu’elle avait été mariée, divorcée ou encore maman de deux ans. Aïssa est une jeune demoiselle brillante. Diplômée d’un master d’études internationales et européennes à Sciences Po Grenoble, Aïssa Diaby a effectué 3 années en République de Guinée où elle a travaillé comme Vice- commissaire, en charge de la communication du programme de l’UNESCO Conakry World book capital 2017. C’était à ce niveau que je me suis arrêtée.
Je venais à peine de m’installer à Douala et j’avais beaucoup challenge. Revenons à mon invitée qui partage son installation en Guinée. Elle a tenu 3 ans. Son expérience va certainement enrichir celles et ceux qui pensent au retour. D’ailleurs revenir à Paris n’était pas aussi évident car il a fallu qu’elle retrouve ses marques.
Bien entendu, on a aussi parlé de sa vie de femme avec un grand F. Durant notre échange, Aïssa a démystifie le « coup de foudre » au premier regard entre une mère et son enfant. Dans son cas, tout est allé trop vite! Elle n’a pas vu la transition « solo » à maman. Durant son mariage qui a duré 3 ans, elle recevait souvent des injections de sa grande famille : « Tu étudies ? », « Et ton mari ? Tu lui as fait à manger ? », « tu as repassé ses vêtements? » … toutes ces paroles l’ont éloigné de qui elle était.
Son environnement la conditionnait à être une bonne épouse et maman selon leur prisme (guinéen) et non le sien. Pour son entourage, une bonne épouse est une femme soumise. C’est celle qui doit soigner son foyer et mettre son mari au centre. Bien, en 2022, tout n’est plus si carré.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi 28 avril 2022.
Sandra est une jeune femme de 39 ans vivant en France. Elle est originaire du Gabon et de la Côte d’Ivoire. Elle aurait voulu que sa maman lui dise qu’une femme doit s’aimer avant de chercher l’amour d’autrui. Avec Diane Audrey, elles parlent d’obésité, d’infidélité, de confiance en soi.
Les mots de Diane Audrey :
Sandra est une des auditrices de mon podcast. C’est lors d’un passage à Paris qu’elle m’a proposé de prendre la parole. Sandra vient d’une famille aisée, ses deux parents sont médecins, son père gabonais et sa mère ivoirienne. Adolescente, elle a découvert les multiples infidélités de son père souvent en le croisant en boîte de nuit. Et le plus dur pour elle, c’était l’attitude passive de sa mère face à ces agissements, chez eux. « Ma maman avait coutume de ne pas parler à la maison mais ne nous cachait pas ses difficultés de couple » raconte Sandra. Pour elle, son père n’était pas un homme aimant et protecteur vis à vis de sa famille et longtemps, elle lui en a voulu, encore aujourd’hui. La vie avec lui était devenue tellement conflictuelle qu’à ses 17 ans, Sandra a été envoyé en France poursuivre ses études avec 117 kilos au compteur. Son poids représente ses histoires, les belles et les moins belles.
À Tou.te.s celles/ceux qui vont se reconnaître dans cet épisode, je vous envoie toute la lumière et l’amour du monde. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
Afin d’accompagner la production, vous êtes invités à nous soutenir sur Tipee : https://fr.tipeee.com/si-maman-mavait-dit
D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 14 avril 2022.
Audrey est une jeune femme de 40 ans vivant en France. Elle aurait voulu que sa maman lui dise "je t'aime". Avec Diane Audrey, elles parlent d'inceste, de dépression et de reconstruction.
Les mots de Diane Audrey :
Je suis Audrey depuis environ trois années sur les réseaux sociaux. J'ai toujours ressenti, sans la connaître, une certaine connexion avec elle. Avant cet épisode, je ne connaissais pas son histoire. On entend souvent parler d'inceste sans se dire que juste à côté de nous des personnes le subissent. L’inceste c’est le fait d’avoir des relations sexuelles avec un membre de sa famille, alors que c’est interdit. Ça fait partie des grands tabous de l’humanité. Entre ses 11 et 19 ans, Audrey a été abusée par son père.
À Tou.te.s celles/ceux qui vont se reconnaître dans cet épisode, je vous envoie toute la lumière et l’amour du monde. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 31 mars 2022.
Rosine est une jeune femme de 34 ans vivant en France. Elle aurait voulu que sa maman lui parle de son père. Avec Diane Audrey, elles parlent de vide, de maternité, de la construction d’une femme quand elle n’a pas de père.
Les mots de Diane Audrey :
Je connais Rosine, je l’ai croisé à Paris, il y a environ 10 ans. Je la trouvais « bizarre ». Un coup elle était lumineuse, généreuse et un jour, elle était fermée ou encore éteinte. Aujourd’hui, je comprends, elle était en quête de son identité. Elle venait de rejoindre sa mère en France et n’avait que deux désirs : connaître le nom de son père et construire une relation avec sa mère.
Quasi 15 années après, elle toujours au même niveau. Elle ne connaît pas toujours le nom de son père et avec sa mère, elles n’ont toujours pas trouver leur rythme.
À Toutes celles qui vont se reconnaître dans cet épisode, je vous envoie toute la lumière et l’amour du monde. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous jeudi le 14 août 2021.
Kevin est un jeune homme de 25 ans vivant à Douala. Il bosse dans le marketing et la communication. Kevin a grandi sans son père ce qui a généré un manque de confiance chez lui, ainsi que de la peur et de la frustration. Avec Diane Audrey, ils parlent de responsabilité, de paternité, de rapports humains, de famille et de réussite.
Les mots de Diane Audrey :
Je ne connaissais pas Kevin avant cet enregistrement. Cependant, il était important de donner la parole à un homme surtout à l’approche de la fin de notre seconde saison. On croise tous les jours familles monoparentales mais on se demande pas toujours
Comment les enfants peuvent vivre l’absence d’un des parents. Dans le cas de mon invité, c’est son père qui n’était pas là. Bien que sa mère ait joué les deux rôles… il n’en demeure pas qu’il ait ressenti tout le long de son enfance et adolescence un vide. En discutant avec lui,
J’ai compris qu’il était plus dur de vivre avec le sentiment d’avoir un père qui ne joue pas son rôle, qui ne veut pas nous voir … ce qui renvoie à un sentiment d’abandon… qu’un père décédé ou on se dit que ce n’est pas de sa faute si il n’est pas là. Vivant avec sa mère ou ses grandes
Soeurs, il n’a pas eu un modèle masculin de référence pour se construire. Par contre, il avait de bons résultats scolaires. Il voulait se prouver qu’ils pouvaient être bon à l’école malgré « sa situation ».
Aujourd’hui, il a fait la paix avec son passé, son histoire et plus épanouie que jamais. Il a eu l’occasion d’échanger avec son père avec qui il nourrit une relation saine. Il rêve même de voir ses parents de marier, pour vous dire.
Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous pour le dernier épisode de cette semaine : le jeudi 16 septembre 2021.
Cynthia Adediran Aïssy, 33 ans, est une jeune femme originaire du Cap-Vert, du Sénégal et du Bénin. Elle vit et travaille à Abidjan, Côte d’Ivoire. Elle navigue entre son poste de Directrice générale de KeyOpsTech, première entreprise qui digitalise le transport de colis et de plis entre les villes africaines, Fruitizz Côte d’Ivoire, son bar à jus 100% naturel à la demande et bien sûr sa famille, son fils, Ylan et son mari Marcel. Avec Diane Audrey, elles parlent de maternité, de charge mentale, de la perte d’un enfant, de comment faire son deuil et de foi.
Les mots de Diane Audrey :
J’ai rencontré Cynthia en 2015 à Abidjan, elle venait à peine de s’installer en Côte d'ivoire. Tout de suite, le courant est passé et quelques mois après je célébrais son mariage. Quelle joie ! Depuis nous sommes amies. Dans ce podcast nous abordons pour la première fois ensemble le décès de Kimia, sa fille, ma nièce. Je n’ai jamais voulu en parler avec elle, de peur d’être indélicate bien qu’on parle de tout. Ce podcast a donc été une belle plateforme pour nous deux d’aborder un sujet souvent tabou dans nos sociétés : la perte d’un enfant. J’ai personnellement beaucoup appris et gagné en humilité en l’écoutant. Cynthia me dira à la fin de notre conversation que j’étais bien plus émue qu’elle. Je n’ai pas de mots si ce n’est de lui dire, merci pour la confiance. Merci à vous aussi d’être une audience incroyable.
À Toutes celles qui vont se reconnaître dans cet épisode, je vous envoie toute la lumière et l’amour du monde. Cher.e.s auditeurs, auditrices, j'espère que ses mots et son histoire trouveront un écho chez vous. N'hésitez pas à nous donner vos feedbacks via notre compte instagram (@Simamanmavaitdit) ou en commentaire en utilisant le hashtag #SIMAMANMAVAITDIT.
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D'ici là je vous souhaite pleines de bonnes choses et on se donne rendez-vous le 29 juillet 2021.