La boucle est bouclée. Le dernier épisode de la saison 1 de [Re]belle est la bête fait le bilan de l'expérience de Florence Naprix en matière de violences subies de la part des hommes et de ses interrogations quant à la société qui les fabrique. Quant à la participation de tous à cette société, à ses codes et à un possible changement de fonctionnement.

L'avant-dernier épisode de [Re]belle est la bête, où Florence Naprix regroupe, pêle-mêle, les interactions désagréables qu'elle a pu avoir avec les hommes au cours de sa vie. Rien de "grave", à moins que ça ne soit l'inverse...

[Re]belle est la bête continue de décortiquer les comportements des hommes face aux femmes et vice-versa, à travers les expériences de Florence Naprix. Ici encore, la non prise en compte du consentement est mise en question. Que faudrait-il pour qu'il en soit autrement, de façon plus systématique ?

C'est de viol conjugal qu'il est question dans ce nouvel épisode de (Re)belle est la bête. L'ultime tabou des violences faites aux femmes, peut-être... A l'occasion de ce récit, Florence Naprix espère inciter les couples concernés - pas juste l'un ou l'autre - à ne plus fuir ce problème qui, une fois de plus, révèle combien, de façon générale, le désir des femmes est nié au profit de la seule satisfaction de leur conjoint. 

Florence Naprix continue à explorer les relations qui (dés)unissent les hommes et les femmes. Cette fois, ce sont les violence conjugales qui l'intéressent.

[Re]belle est la bête continue de décortiquer, sans concession, la vie de Florence Naprix à l'aune des violences qu'elle a pu subir de la part des hommes. Un épisode particulièrement rude est relaté dans cet épisode. À ne pas laisser à la portée de toutes les oreilles...

Dans ce premier épisode, Florence Naprix revient sur l'une des nombreuses histoires de violence qui l'ont conduite à imaginer (Re)belle est la bête. Le ton est donné. Âmes sensibles, à vous de voir...

Dans cet épisode introductif, vous découvrirez comment "[Re]belle est la bête" compte s'intéresser aux violences faites aux femmes, à travers l'œil et le vécu de Florence Naprix, Guadeloupéenne de 38 ans, enfin décidée à balancer ses porcs.