Caroline Gutmann travaille dans l’édition et anime l’émission littéraire Postface sur RCJ.
Après une hypokhâgne et une khâgne à Fénelon, elle a suivi des études de lettres.
Ayant commencé en tant que stagiaire chez Le Livre de poche, elle a ensuite travaillé pour le service de presse d’Hachette Littérature. Après un passage par les éditions JC Lattès, elle est retournée chez Fayard, où elle est restée seize ans.
Elle est directrice du service de presse et de la communication aux Éditions du Seuil depuis 2010.
Après « Le Secret de Robert le diable » , « Le Testament du Docteur Lamaze », « Le Syndrome Nerval », « Les papillons noirs » est son quatrième roman.
Caroline Gutmann a aussi écrit un feuilleton pour France-Culture sur la fin de la vie de Nerval.
Caroline Gutmann travaille dans l’édition et anime l’émission littéraire Postface sur RCJ.
Après une hypokhâgne et une khâgne à Fénelon, elle a suivi des études de lettres.
Ayant commencé en tant que stagiaire chez Le Livre de poche, elle a ensuite travaillé pour le service de presse d’Hachette Littérature. Après un passage par les éditions JC Lattès, elle est retournée chez Fayard, où elle est restée seize ans.
Elle est directrice du service de presse et de la communication aux Éditions du Seuil depuis 2010.
Après « Le Secret de Robert le diable » , « Le Testament du Docteur Lamaze », « Le Syndrome Nerval », « Les papillons noirs » est son quatrième roman.
Caroline Gutmann a aussi écrit un feuilleton pour France-Culture sur la fin de la vie de Nerval.

Post Face, émission littéraire présentée par Caroline Gutmann.
Elle reçoit Jean-Paul Enthoven pour son livre « Je me retournerai souvent » paru aux éditions Grasset.
Cet ouvrage (qui doit son titre à un poème de Guillaume Apollinaire : « Passons, passons, puisque tout passe / Je me retournerai souvent...) emprunte à plusieurs genres littéraires : l’autofiction, l’essai critique, les mémoires, le roman... L’ensemble compose une mosaïque, une « marquèterie disjointe » - l’auteur emprunte cette expression à Montaigne, qui alterne les rythmes et les intrigues.
On y retrouve des rêves, des fantômes, des êtres aimés et disparus, des paysages, des bonheurs fragiles, des mélancolies de passage, des souvenirs, des rendez-vous réussis ou manqués...
On y retrouve surtout la collection d’affinités et de sensations qui résument une « vision du monde » à travers des écrivains que l’auteur a, pour certains, connus et fréquentés, et qui ont largement infléchi sa vie : Cioran, Barthes, Sollers, Pérec, Camus, Romain Gary, Paul Morand, Jacques Rigaut, André Gide, le Prince de Ligne et quelques autres…
On y retrouve aussi des lieux et des êtres qui ont beaucoup compté pour lui : Key West, la Toscane, une bien-aimée, un ami très cher – ainsi qu’un ensemble de méditations et de considérations intempestives sur l’époque. En chemin, Jean-Paul Enthoven se souvient et jette un œil par-dessus son épaule. Il se retournera souvent...