Caroline Gutmann travaille dans l’édition et anime l’émission littéraire Postface sur RCJ.
Après une hypokhâgne et une khâgne à Fénelon, elle a suivi des études de lettres.
Ayant commencé en tant que stagiaire chez Le Livre de poche, elle a ensuite travaillé pour le service de presse d’Hachette Littérature. Après un passage par les éditions JC Lattès, elle est retournée chez Fayard, où elle est restée seize ans.
Elle est directrice du service de presse et de la communication aux Éditions du Seuil depuis 2010.
Après « Le Secret de Robert le diable » , « Le Testament du Docteur Lamaze », « Le Syndrome Nerval », « Les papillons noirs » est son quatrième roman.
Caroline Gutmann a aussi écrit un feuilleton pour France-Culture sur la fin de la vie de Nerval.
Caroline Gutmann travaille dans l’édition et anime l’émission littéraire Postface sur RCJ.
Après une hypokhâgne et une khâgne à Fénelon, elle a suivi des études de lettres.
Ayant commencé en tant que stagiaire chez Le Livre de poche, elle a ensuite travaillé pour le service de presse d’Hachette Littérature. Après un passage par les éditions JC Lattès, elle est retournée chez Fayard, où elle est restée seize ans.
Elle est directrice du service de presse et de la communication aux Éditions du Seuil depuis 2010.
Après « Le Secret de Robert le diable » , « Le Testament du Docteur Lamaze », « Le Syndrome Nerval », « Les papillons noirs » est son quatrième roman.
Caroline Gutmann a aussi écrit un feuilleton pour France-Culture sur la fin de la vie de Nerval.

POST FACE - Caroline Gutmann
Elle reçoit Anne Berest pour son dernier livre « Finistère » paru aux éditions Albin Michel.
Anne Berest, une fois encore, nous livre une magnifique reflexion sur la famille. Page des libraires
Magnifique. version Fémina
Anne Berest poursuit sa grande exploration des « transmissions invisibles » et ses interrogations autour de la trans-généalogie. De quoi hérite-t-on ?
« À chaque vacances, nous quittions notre banlieue pour la Bretagne, le pays de mon père, celui où il était né, ainsi que son père - et le père de son père, avant lui. Le voyage débutait gare Montparnasse, sous les fresques murales de Vasarely, leurs formes hexagonales répétitives, leurs motifs cinétiques, dont les couleurs saturées s'assombrissaient au fil du temps, et dont l'instabilité visuelle voulue par l'artiste, se transformait, année après année, en incertitude. »
Après La Carte Postale et Gabriële, Anne Berest déploie un nouveau chapitre de son oeuvre romanesque consacrée à l'exploration de son arbre généalogique : la branche bretonne, finistérienne, remontant à son arrière-grand-père. Ici, la petite et la grande Histoire ne cessent de s'entremêler, depuis la création des premières coopératives paysannes jusqu'à mai 68, en passant par l'Occupation allemande dans un village du Léon et la destruction de la ville de Brest.