Au Brésil même pour acheter un simple Coca on va vous demandez si vous souhaitez le payer à crédit. Même dans els pharmacie dès 100 reals (environ 20 euro) on vous signal que vous pouvez payer en 3 fois sans frais. Et ce n’est qu’un des éléments très différent de l’Europe. Le plus choquant pour un Français est l’ensemble des systèmes de contrôle mis en place pour tracer l’intégralité de vos dépenses.

Même si vous avez réussis à gérer l’ensemble de vos connaissances grâce à un outil de stockage, référencement… numérique peut être souhaitez vous arriver à encrer encore plus profondément ces dernières. En détournant les flash card pour coucher sur le papier « la substantifique moelle » (le « coeur » de mes connaissances)j’arrive à ancrer encore plus profondément mes connaissance et à casser les silos de connaissance pour transformer cette connaissance en un véritable réseau (une intelligence) de données.

C’est le moment de poser vos plans tarifaires. A travers des échanges, ateliers vous avez bien dispatché les features pour définir vos plans. Mais ca ne marche pas comme prévus - vos client restent sur leur plan initiaux en argumentant que « je vais pas payer xx euro supplémentaire pour les features aaa et bbb » - Vos propects prennent majoritairement votre plan le moins cher malgré (ou à cause) de vos argument en faveur des autres plan. Et si un plan tarifaire devait être autre chose.Voyons quelle stratégie mettre en place pour transformer vos plan en création de valeur et non comme un « coût subit ».

ChatGPT tout le monde en parle : et nos "experts" auto-proclamés se focusent uniquement (pour la plupart) sur les prompt. Résultat : des contenu fade, n'apportant aucune valeur (voir déversant) )à leur auteurs.

On est souvent confronté à un problème trop d’informations très intéressantes à mettre de côté pour mal les traiter plus tard.Mais à la fin on finit par accumuler des informations sont jamais les traiter - c’est donc du temps investit à perte - c’est aussi une énorme stagnation de notre potentiel ce qui est encore pire Pourquoi on en arrive la ? Parce qu’on a pas un système vraiment bien organisé de capture et de traitement de l’information. Aujourd’hui on va parler capture et l’on abordera le traitement dans un ou plusieurs Podcast.

Exemple de ce qui me semble un raté en terme de modèle économique et qui se traduit par un produit qui pénalise ses clients.

Dans de nombreuses entreprises la cultures d’entreprise se résume à 3/4 mots « fumeux » sensé définir à quels point l’entreprise est différente et ses salariés engagés. Tout cela est souvent vide de sens et déconnecté de la réalité de l’entreprise. La véritable culture d’entreprise ce n’est pas ce qui est affiché sur vos murs ou dans une page Notion c’est ce qui se passe concrètement lorsque les salariés agissent en autonomie. Voyons un cas d’étude particulièrement intéressant.

Quel est le réel but de l’entreprise ? La réponse n’est pas si simple.

Est-ce que vous connaissez une équipe produit dont le backlog n’est pas en train de déborder jusqu’à en vomir ? Qu’est ce qui se passe au quotidien ? On ajoute une (bonne) idée après l’autre jusqu’à avoir un backlog qui mélange des choses très construire avec des items ne contenant qu’un titre et « on ne sais même plus de quoi ça parle ».Comment rendre sa « force » et sa visibilité au Backlog ? Et si on optait pour la bonne vieille « boite à idées » ?

Faire du product management c’est avant tout être curieux. C’est pourquoi, a travers une série de podcast dédiés aux Brésil je vous fait découvrir des comportement très éloignés de nos façon de faire Française. Cette mise en relief peut nous faire mieux comprendre certaines de nos pratiques, nous donner des idées ou tout simplement satisfaire notre curiosité. Pour ce podcast je suis accompagné de Christine de proposition marketing (https://propositionmarketing.fr/) pour discuter d’un phénomène massif au Brésil : l’économie informelle. N’hésitez pas à consulter l’étude de Christine sur le Branding Brésilien :

Lorsque l’on discute avec des clients on est souvent confronté aux solutions que ces derniers veulent vous proposer/imposer. Accepter leur solution (ou penser par vous même à la première solution donnée) est surement la pire chose à faire. Pourquoi faut il penser problème et non solution ? Je vais répondre à cette question dans ce podcast.

L’un des plus gros chalenge dans une start-up est d’arriver à faire communiquer de la manière la plus efficiente les différents services de l’entreprise.Et si la culture de l’écrit pensée « pour les autres » était un début de réponse ?

Qui aurait l’idée de dessiner une voiture sans avoir aucune idée de concept de base comme le rayon de courbure (votre voiture tourne sur un espace réduit ou pas), les différentes contraintes liées à la motorisation… ? Evidement personne.Et pourquoi c’est ce que font pas mal de Product Manager : ils/elles développent des produits logiciels sans avoir aucune culture logicielle.Les produits sont donc pensé sans comprendre et tirer partie des contraintes et forces du monde du logiciel qui sont parfois très éloignés de nos perceptions du monde « réel ». Ne pas faire cet effort ce n’est pas (à mon avis) aimer son produit et se garantir des dialogues très peu fluide avec l’équipe de « production » (dev/devops/data…)

Et si une simple phrase entendue au détour d’une demande d’un nouveau abonnement SAS pouvait distiller un poisons qui lentement allait empoisonner toutes les valeurs et la politique commerciale de votre entreprise d’éditeur SAS ?

Lorsque j’étais étudiant il y avait deux restaurent universitaires ouverts sur le campus .- L’un était très acceptable- L’autre absolument ignoble La différence ? - Dans l’un le directeur mangeais midi et soir dans son restaurant.- Dans l’autre je pense ne jamais avoir vu une personne de la direction y manger. Et si nous product manager ne « mangions » pas assez notre produit ? Comprendre les besoins utilisateurs est une chose, mais gouter le goût - par forcément ragoutant - de notre produit n’est il pas la seule solution pour faire face à ce qui ne va pas ?

Vous avez été recruté dans une entreprise qui n’a pas de démarche produit mais qui pense que passer à cette démarche est indispensable à sa réussite (ou sa survie).Vous appliquez les bones pratiques de la démarche produit mais contre toute attente on vous reproche une dégradation du « produit » ? Et si le meilleur moyen de « faire prendre » une démarche produit dans une entreprise était de ne surtout pas mettre en place au début une démarche produit ?

Vous avez du remarquer que, lors des interview utilisateurs, ces derniers viennent majoritairement avec leurs solutions : mais comment remonter au réel problème afin de proposer la meilleur solution ?

Si il y a vraiment un grand classique en product management c’est de devoir lutter en permanence - qui à s’y perdre - dans un backlog qui enfle encore et encore. La mauvaise solution étant bien sur de tenter de contrer ce phénomène via des réunion de re-priorisation de backlog. Mais malgré cette tentative d’amélioration il est toujours difficile de faire les bons choix et d’offrir de la visibilité auprès des parties prenantes. Et si on sortait du piège du backlog ?

Il est apparu dernièrement un désenchantement parmi certain.e.s PM que l’on nomme le « syndrome Marty Cagan » Marty Cagan tout le monde le connait c’est le « dieux » du product management.A travers ses ouvrages - des références du domaines- ainsi que ses conférences il vous distille le meilleur de bonnes pratiques pour transformer votre entreprise en perle du product management. Mais lorsque vous confronter sa vision à votre réalité vous déchantez : rien ne va chez vous, vous devez faire des compromis, mettre en place une véritable équipe produit prends plus d’un an et c’est loin d’être parfait… Mais il faut savoir différentier l’absolu, le graal qui mettra plusieurs années (d’ailleurs Marty Cagan dans son premier livre « Inspired » commence en expliquant comment il s’est totalement planté sur un projet) des étapes qui vont vous permettre de vous en approcher sur le long terme et de ne plus avoir de complexe face à nos « modèles »

En design l’on va cherche à proposer la meilleur solution pour un problème donné. Mais vouloir faire original n’est-t-il (contre-intuitivement) une mauvaise idée en terme d’investissement produit ainsi qu’en terme d’expérience utilisateur. On vera que cela dépend du contexte.