Photographe pictorialiste bordelais issu du graphisme, des Beaux-Arts et ancien directeur artistique dans la publicité, Nicolas Seurot gravite autour de la peinture et de la gravure depuis sa jeunesse.
Il nous explique sa démarche créative aux côtés de Deftom.
Nicolas Seurot flirte avec la peinture picturale et plus précisément, la peinture classique et romantique depuis son enfance.
Ancien élève de l’ECV de Bordeaux et des Beaux-Arts, puis directeur artistique dans la publicité, il explique ce qu’est le pictorialisme, son mouvement de prédilection et source d’inspiration dans ses œuvres photographiques zn mettant en avant sa propre sensibilité : « Le pictorialisme est un très vieux courant né à l'époque où la photo venait d'apparaître et effectivement, il y a eu tout un mouvement d'artistes quiavaient des photographes, qui faisaient des photos classiques en continuant sur ce chemin de la photo ; d'autres se sont dit en fait que la photo allait servir d’outil pour obtenir un rendu artistique et pictorialiste ».
La photo, argentique ou numérique, pour se rapprocher au maximum de la peinture et, Nicolas en reste passionné mais iladmet que ce mouvement a été laissé à l’abandon. « Le pictorialisme, ça a été une mode comme il y en a eu dans la peinture à différents époques ». Lui qui a évolué dans l’univers de la publicité et réalisé bon nombre de campagnes a pu vivre l’importance de l’image et de rester justement à la mode, au fait des dernières techniques.
Il rappelle aussi que certains cinéastes sont issus de la photo comme Ridley Scott et Tony Scott ou encore David Fincher. La publicité permet d’être plus libre et d'expérimenter sans cesse. En tout cas, c’est un délencheur de créativité !
Nicolas a basculé dans la photo et exprime son amour pour le classicisme et le romantisme, pour les rencontres aussi, tout en explorant la lumière comme il le résume joliment « la photo, c’est comme un voyage, ce sont des rencontres avec des paysages et cette lumière à disposition, souvent exceptionnelle ».
Comme il y avait de nombreux jeunes dans la pub, il s’entoure de jeunes dans son métier. « Je suis là pour proposer mon truc, pour diriger un peu la chose mais je m'entoure de jeunes talents. Et c'est ça, la force : on sait où aller chercher les bonnes idées pour perdurer. »
Parti aux Etats-Unis, voyage qu’il voulait faire depuis lontemps, Nicolas s’est passionné pour l’univers des cowboys et du rodéo sur fond de paysages typiques de l’Amérique au coeur du Texas d’abord puis du Montana, du Wyoming ou encore du Colorado... Il y a rapporté de belles séries de photos dont une avec un rancher rencontré dans un bar.
Situé à Yellowstone, son ranch de 2 500 hectares illustre bien cette immensité américaine. Nicolas retient aussi « le sens de hospitalité américaine car ce rancher a consacré sa journée à ma visite, aux côtés de sa femme et de sa fille, pour me faire visiter les lieux. Ce fut un moment exceptionnel ».Il a aussi gardé un bon souvenir des Texans.
Les photos sont subjuguées par le papier d’art que Nicolas utilise, en particulier son préféré, le papier italien, qui embellit les sujets et les couleurs et restituant l’âme de chacune des images de ce photographe qui capture l’authentique.
A découvrir dans ses deux magnifiques ouvrages d’ailleurs, Grits et Echos from The Roockies.
D’autres œuvres sont aussi à découvrir, d’autres voyages, d’autres clichés, d’autres projets dont Nicolas extrait toujours la substantielle moelle...
Retrouvez :
Sébastien Salamand, alias Le Turk, est un photographe français
au talent à la fois immense et incomparable. Réalisateur et
illustrateur, il nous embarque dans des univers intenses, mêlant le
burlesque, l’émotion et le vrai. Toujours le vrai. Sa marque de
fabrique.
Et pourtant, rien ne destinait Le Turk à embrasser ce
métier comme il le confie au micro de Deftom. En effet, il a toujours
dessiné, puis a été attiré par la vidéo. Cette envie de créativité a, un
jour, croisé le chemin de la photo quand Sébastien a
été invité à des séances dans un studio alors qu’il dirigeait un centre
culturel. L’immédiateté de cet art l’a séduit et il s’en est servi pour
ses narrations en mêlant dessin et cinéma dans ses clichés. Voilà
comment est né Le Turk, photographe, réalisateur et illustrateur de
génie.
Et ce génie s’exprime grâce à ses inspirations, principalement issues des années 80 et 90 avec la BD franco-belge, Tim Burton, Jean-Pierre Jeunet, Tintin, les Comics ou encore Mickaël Jackson : « un bouillon étrange où mijotent des tas de choses apparemment inconciliables et qu’on parvient à mélanger. C’est ça la création », précise-t-il.
Mais les œuvres photographiques de Sébastien
sont également imprégnées par ses sujets de prédilection, ses «
obsessions », et beaucoup transpirent d’ailleurs dans ses créations :
l’histoire de France, le passé, la nostalgie, les passions humaines, le
tragi-comique ou encore l’effet du temps sur les choses.
Tous ces ingrédients donnent vie à des photographies tout droit sorties d’une autre dimension, riches en émotions, en burlesque,
avec un ton très italien propre à la commedia dell’arte, en personnages
à la fois caricaturaux et hauts en couleur mais qui vous captent le
cœur tant les émotions sont palpables.
Dans cet univers génial de
créativité, tout paraît ainsi interprétable d’emblée, sans avoir besoin
de deviner et selon Le Turk, c’est la base d’une œuvre d’art : cette
dernière « ne s’explique pas. L’art doit plaire au plus grand nombre »
sans avoir à triturer l’esprit ; pour les spectateurs, cela doit être
simple. Même s’il explique sa manière de travailler, Sébastien considère qu’« un artite est étranger à son œuvre. Si tu t’es bien débrouillé, ce que tu as produit te dépasse ».
La
création est une impulsion mais une impulsion qui reste malgré tout
contrôlée puisque le cadre et l’ambiance jouent un rôle clé dans la
réalisation de chaque photo. Tout dépend du décor que
Le Turk conçoit, qu’il peut faire évoluer au fil des projets et même au
cours de shooting sur les plateaux. Au moment de faire la photo, il sait
que l’idée première est bien là et il la fige.
Fasciné par le
cinéma, les maquettes, le faux, l’artifice, Le Turk crée, avec une
précision chirurgicale, des œuvres terriblement vraies : il émerveille
les gens avec de vrais accessoires, de vrais personnages et de vrais effets visuels pratiques. Et de son propre aveu, « ce qui compte dans l’image, c’est de l’avoir faite en vrai... il y a un cœur qui bat ». En somme, ren ne vaut la création humaine.
Ambassadeur Canon,
le photographe, réalisateur, illustrateur, qui sort sa première BD à
l’horizon 2026, espère juste que la grâce de Dieu ne le quitte pas…
Touché lui-même par la grâce, rien ne peut donc le quitter, sans oublier
ce désir fou de faire de l’image...
Découvrez les oeuvres de Le Turk sur sa boutique en ligne et les projets réalisés avec son épouse, Laura David, sur le site usineamerveilles.com
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Laurent Pidancet, Leica Akademie France Manager : « Le plus important en photo, c’est l’instant décisif, le sujet, le cadre et l’intention. » Leica, à l’amour, à la vie, tel pourrait être le dicton de Laurent Pidancet, photographe passionné par la marque allemande pour laquelle il travaille depuis plus de 15 ans.
Leica Akademie France Manager, Laurent Pidancet a une longue histoire d’amour avec Leica, lui qui a eu son premier M4 à l’âge de 19 ans. Déjà léger, résistant, solide, ce petit trésor photographique donne le ton voulu par la marque allemande, expert en optique, et partenaire de longue date de Panajou. L’épurien franc-comtois raconte son parcours. L’optique, à l’état pur avec Leica « Avec Leica, on est dans l’optique pure et même si on est passé au numérique, c’est l’optique qui fait l’image, qui écrit, qui fait le capteur, qui fait la lumière », ajoute le responsable de Leica Akademie. Laurent Pidancet s’attarde aussi sur l’importance de prendre son temps en photo à l’heure où tout va trop vite. Et d’affirmer qu’on peut le faire avec le numérique. Il cite le photoreporter Yann Morvan, féru Leicaiste, qui avait toujours son appareil Leica autour du cou mais qui ne prenait pas des photos tous les jours. Leica, inventeur indétrônable Laurent Pidancet évoque aussi l’histoire passionnante et riche de la marque allemande, experte en création de lentilles, et de ses gammes d’optiques. De 1923 avec le Leica 0 puis la première vraie commercialisation en 1925 avec le Leica 1 sans télémètre et sans objectif interchangeable . Sans oublier le Leicaflex, appareil de prédilection de Robert Doisneau et Salgado, qui a permis de regarder exactement ce que l’on allait prendre en photo, avec la conception de nouvelles optiques. Tout est raisonné chez Leica qui invente le meilleur pour votre œil et l’instant T car, de l’avis de l’expert Laurent Pidancet, « le plus important en photo, c’est l’instant décisif, le sujet, le cadre et l’intention. »
Avec Leica, vous goûtez à la photo posée, tout est introspectif. Inutile de mitrailler et les Leica M, dont on fête les 70 ans de la monture M, permettent ce miracle : créer une image parfaite grâce à des optiques d’exception, en prenant le temps… Bienvenue chez Leica.
Dévouvrir L'univers Leica sur Panajou.fr
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Photographe animalier depuis 30 ans, Laurent Baheux a
commencé la photo par accident au sein d’un journal régional poitevin. Celui
qui voulait d’abord écrire a donc photographié, arpentant les salles de sport à
une époque où les soucis de lumière étaient plus complexes à gérer,
l’argentique et le noir et blanc étant légion.
Laurent Baheux a non seulement surpassé cette problématique mais il aussi fait
de la photo en noir et blanc sa passion. Après avoir couvert bon nombre
d’événement sportifs dans de grandes structures ou pour de prestigieux
rendez-vous, tels que les Jeux Olympiques, le photographe a senti le besoin de
couper avec ce monde. Et c’est en Afrique qu’il l’a fait, en réalisant son rêve
d’enfants : aller à la rencontre de la faune sauvage. Révélateur, ce premier
voyage en Tanzanie en 2002 a suffi pour faire de ces parenthèses ponctuelles une
vocation à plein temps. Fini les sportifs, l’œil de Laurent Baheux capture les
animaux, du pangolin au lion, en passant par les vautours ou les ours polaires,
le photographe se déplaçant également dans d’autres continents que l’Afrique. Comme
les voyages, les livres et les expositions se cumulent et montrent tout le
talent du photographe animalier, maître du noir et blanc.
Ambassadeur Sony muni de son hybride Alpha 1 et de focales fixes, Laurent
Baheux se régale grâce à du matériel haut en technologie, silencieux et réactif
pour capturer les moments de vie des animaux : « C’est la beauté de
la lumière et de l’instant qui vont déclencher une émotion et me donner envie
de faire l’image ».
Cette passion professionnelle est devenue aussi un
engagement personnel puisque le photographe milite activement en faveur de la
cause animale. A travers ses photographies, il montre donc la sensibilité, l’émotion
et les liens sociaux qui existent chez les animaux, des êtres vivants dont
l’humain fait partie même s’il a tendance à l’oublier…
L’actu de Laurent Baheux est riche : réédition du livre « Lions »,
tenue d’une exposition dédiée aux chevaux à Genève et projet de livre sur les chevaux.
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Site internet de Laurent Baheux : https://www.laurentbaheux.com/
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Rencontre avec Yan Morvan photographe reporter de guerre qui a parcouru les quatre coins du monde pour immortaliser des instants décisifs ! Avec plus de 40 ans de carrière et une quinzaine de conflits couverts, Yan dévoile à travers ce podcast passionnant une personnalité véritablement unique.
On en apprend davantage sur ses débuts, lorsqu'il touche pour la première fois à un appareil photo lors du GP de Monaco en 1967. Bien que le métier de réalisateur de péplums l'attirait en grandissant, c'est vers la photo de manifestations qu'il se tourne, marquant un tournant dans sa carrière. Sa condamnation à mort au Liban, la gestion de l'action incessante ou de la peur sur le terrain, sa vision artistique de la photo équipé chez @leicacamerafrance... Dans ses actualités, Yan expose une sélection de ses meilleurs clichés à la BNF, au Musée Albert-Kahn et au Musée de Grenoble.
Retrouvez son travail et ses livres disponibles à la vente sur son site web https://www.archivesyanmorvan.com/ 🙌
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Rencontre avec @francois.flamiche, reporter photographe dans le monde du sport automobile et membre de l'agence de presse @dppiimages ! Il y a 40 ans, François prenait ses marques en tant que laborantin au sein de l'agence. Mais ce qui le faisait rêver par-dessus tout, c'était la réalisation de prises de vue dans cet univers qui le captivait. Depuis, les rallyes de championnats de France, les Paris Dakar ou encore les Grand Prix de Formule 1 n'ont plus aucun secret pour lui ! Ce podcast fascinant vous révèle le portrait d'un photographe passionné équipé chez @canonfrance qui s'intéresse véritablement à l'humain au cœur de l'action sportive. Dans ses actualités, François prépare la manière dont il va couvrir les 24h du Mans qui auront lieu en juin, et il prépare également la sortie du volume 71 de "Car Racing", le livre annuel regroupant les archives de DPPI les plus impactantes. Retrouvez son travail sur son site web, francoisflamand.com 🏎️ Deftom
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Plongez dans le monde sauvage en compagnie du talentueux photographe animalier Bastien Campistron ! Depuis bientôt 6 ans, Bastien est un véritable ambassadeur de la nature.
Entre sa première activité (gestionnaire des espaces naturels sur l'île de Raymond) et son métier de photographe, il redonne vie à la nature à travers ses clichés, lui permettant de s'épanouir dans toute sa splendeur.
Il est dévoué à la nature qui nous entoure et son message rempli de passion est impactant : la vie sauvage est une chose précieuse à préserver et à respecter.
Ce podcast captivant vous transporte au cœur de la nature, ponctué de nombreuses anecdotes : drôles de rencontres avec les animaux, échanges autour de la biodiversité locale, mais aussi techniques photos pour diversifier la photo animalière.
En effet, équipé en Nikon, Bastien nous révèle son set-up ainsi que son allié idéal : son Z9 🙌
Dans ses actualités, vous aurez l’occasion de retrouver Bastien en tant que jury du festival du film Aventure & Nature organisé par la @villedelegecapferret, du 12 au 14 avril 2024.
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Rencontre avec le photographe, créateur de contenu et coach en photographie : @yohanterraza_singularities @yohanterraza De graphiste à photographe, Yohan nous dépeint son besoin presque vital de créativité et d’inventivité, quel que soit le métier ou la forme.
Ses photographies, principalement de paysages, sont teintées d’inspirations picturales, romantiques, presque oniriques.
En effet, il aime le coté abstrait et ne supporte pas la photographie démonstrative technique. Passant d’un photographe solitaire et plein de doutes à un mentor affirmé, Yohan parle de sa vision de l’entreprenariat ou du paradoxe d’être soit-même.
Finalement, Deftom aborde une question très en vogue dans le monde actuel : que va-t-il advenir de l’Art avec l’essor de l’intelligence artificielle ? Faut-il avoir peur de perdre le contrôle ou au contraire s’adapter et profiter des avantages que cette technologie peut prodiguer ?
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Originaire de Perpignan, Mickaël nous parle de ses premières expériences dans les zones de grand froid des pays Nordiques.❄️
Passionné de paysages intenses et singuliers, il a pris l’habitude de partir en expédition durant des périodes creuses, tempétueuses ou peu attrayantes en temps normal.
Il nous parle également du coté méconnu du métier de photographe, à quel point la communication et le démarchage peuvent prendre de la place lorsque l’on se professionnalise dans l’image. 📸
Finalement, Mickaël nous parle de sa volonté future de rassembler des particuliers, afin de créer des workshop.
Le but ? Permettre à n’importe qui de vivre des aventures inoubliables, tout en améliorant sa technique photographique. 🗺️
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Rencontre avec Valery Hache, 61 ans, photo-reporter pour l’Agence France Presse (AFP) @valeryhache
Photographe, passionné et expérimenté, Valery reste humble et à l’écoute de la jeunesse, qu’il prend plaisir à orienter et à conseiller. Les différences générationnelles sont pour lui une manière d’apprendre l’un sur l’autre.
Cependant, Valery admet que le monde de la photographie de presse a bien changé, il est plus dur de se faire une place et les accès de terrain sont plus difficiles.
Réputé pour ses ambiances sombres, presque apocalyptiques, Valéry nous parle aussi de ses inspirations. Il est passionné de météorologie, de nuages et de trombes marines.
Malgré qu’il n’ai aucune spécialisation, il aime tout particulièrement la photo de rue, et prend soin de mettre en avant la vie humaine dans ses images.
Merci comme toujours à notre très cher @deftom_
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Valery Hache
https://www.leica-camera-france.fr/intervenants/valery-hache
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Nous sommes habitués à la perspective du photographe, mais qu’en est-il de celui qui se trouve face à l’objectif ?
Deux jeunes mannequins, Cléo @cleo.mdcdl et Elisabeth @elisabeth.shmc nous racontent.
Elles nous partagent leur parcours et leur expérience qui, bien que similaire, se trouve teintée de différences fondamentales. Leur entrée dans le monde du mannequinat, la façon dont elles ont pu être traitées, leurs attente envers ce milieu, leurs rêves etc
Tout ce qui fait d’elles des personnes à part entière, avant d’être des mannequins.
Elles nous expriment ainsi ce besoin de dissociation entre travail et vie personnelle, entre personnage et personnalité, entre corps en objet d’image et corps comme matière.
Finalement, Cleo et Elisabeth nous parlent évidemment de la rentabilité de ce métier, comment en vivre et quels sont les nouveaux moyens pour « se vendre ».
Quelle est la place des réseaux sociaux dans les métiers de l’image ?
Ce podcast vous est délivré par notre très cher @deftom,
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« Photographe expressionniste d’un univers singulier onirique avec une oeuvre teintée de mélancolie et de solitude »
C'est ainsi que Deftom décrit Rafaelle,
Aujourd’hui photographe et directrice artistique, elle découvre la photographie dès l’âge de 10 ans et cela devient vite une réelle passion et un moyen d'expression.
Après des études en Arts appliqués, en design graphique et publicité, elle fait de sa passion un métier. Autodidacte, elle s'inspire entre autres des peintures d'Edward Hopper. Elle aime créer des images qui capturent la solitude et l’isolement et elle a un rapport très intimiste avec ses images et son travail en général.
Elle est également attirée par le clair-obscur de Caravage et la lumière dramatique de Van Gogh.
Récemment entrée dans la team Créator de Nikon, elle travaille avec un Z6 II, un 14-24 2,8 et un 24-70 F4 et exerce entre autres dans le domaine musical .
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La vidéo de la conversation précédente Rafaelle & Deftom
https://youtu.be/1uEspbp8h2U?si=huqjxb-CmKxR3hev
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Pour ce nouvel épisode nous avons le plaisir d'accueillir Gabriel Bascou alias Eperdumence !
#PORTRAIT
Originaire de Montpellier, c’est à la Réunion que Gabriel a découvert sa passion pour la photographie. C’était d’abord pour lui un hobby puis à force de travail et d’acharnement c'est devenue sa vocation .
Les grands espaces l’inspire, c’est dans le voyage et l’aventure qu’il s’épanouit pleinement. Sa créativité, Sa spontanéité et son souci du détail ne le quittent jamais.
On vous invite en apprendre plus sur lui, sur son parcours , ainsi que sa reconversion pour devenir photographe professionnel !
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Pour cet épisode nous avons le plaisir d'accueillir Ophélie Schaffar alias Limitless Secrets !
#PORTRAIT Ophélie est originaire de Dunkerque dans le nord de la France. Depuis son adolescence, elle est passionnée par les voyages. Véritable globe-trotteuse, photographe et foodista, Ophélie Schaffar se balade à travers le monde entier armée de son boitier Canon ! On vous invite en apprendre plus sur elle ainsi que sa reconversion pour devenir photographe en écoutant ce podcast ! N'hésitez pas à liker ce podcast sur votre plateforme préférée, à nous laisser un commentaire et à vous abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes et suivez-nous sur les réseaux pour connaître toutes nos actualités ! Bonne écoute à tous et à toutes !
Pour ce nouvel épisode nous vous invitons a découvrir notre podcaster @deftom_⚡️ #PORTRAIT Vidéaste depuis presque 20 ans, c'est en 2018 que @deftom_ plongea dans l'univers de la photographie. La philosophie de la photographie lui est plus reposante et l'apaise.
Sa transition lui a permis d'explorer un nouveau médium artistique et de se concentrer sur l'art mise en scène dans le contexte de la capture d'images fixe. La culture de l'image est bien encrée dans son quotidien. Spécialisé dans la photographie de portrait, de mise en scène et de mode, ses "muses" l'accompagnent dans ses projets toujours plus créatifs, aux inspirations à la Peter Lilndbergh. On ne vous en dit pas plus, on vous laisse découvrir cet artiste dans ce nouvel épisode du Podcast Panajou. N'hésitez pas à liker ce podcast sur votre plateforme préférée, à partager, à nous laisser un commentaire et à vous abonner pour ne pas manquer les prochains épisodes ! Bonne écoute à tous et à toutes !
Dans ce nouvel épisode du Podcast Panajou, nous avons le plaisir de recevoir le photographe Thomas Vollaire. #PORTRAIT Amoureux de l'image, du cadre et de la lumière le photographe Thomas Vollaire multiplie les rencontres avec les personnalités du monde entier. Au travers de ses images, entre Paris, Los Angeles et Hong Kong, il cherche à raconter des histoires et percer le mystère des célébrites qu'il shoot pour les rendre plus proche de nous. On ne vous en dit pas plus, on vous laisse découvrir cet artiste dans ce nouvel épisode, toujours animé par @deftom_ ⚡️
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Continuez la découverte de Thomas sur son site
https://www.instagram.com/thomasvollaire/
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Dans ce nouvel épisode du Podcast Panajou, nous avons le plaisir de recevoir le créateur d'image et photographe de talent Nicolas Seurot ! #PORTRAIT Ancien étudiant en école d'art, devenu directeur artistique dans de grandes agences de publicité parisiennes, Nicolas Seurot a une forte expérience dans le domaine de l'image.
Sa passion est née durant l'enfance, et c'est en s'essayant à différents styles qu'il a su trouver sa patte artistique. Ses œuvres, dignes de peinture de Maître sont fascinantes et marquent les esprits grâce à son traitement de la lumière.
Il utilise des techniques de photographie créatives pour capturer des images uniques. Son livre d'images en hommage aux États-Unis : West Land est un bon exemple de son art.
Nicolas partage avec nous l'histoire de sa rencontre avec un champion de rodéo au Texas qui donnera la série Ghost Riders in the Sky
On ne vous en dit pas plus, on vous laisse découvrir cet artiste dans ce nouvel épisode, toujours animé par @deftom_ ⚡️
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Dans ce 11e épisode, nous recevons Aurélie Gonin venue tout droit de Chamonix pour discuter avec nous !
#PORTRAIT
Aussi bien réalisatrice, productrice, formatrice, journaliste, photographe, autrice mais également vidéaste, fondatrice d'Alpine Medias House, ambassadrice Nikon & Adobe !
Difficile de catégoriser Aurélie.
Tous ces métiers sont pour elle complémentaire, chacun apporte à l'autre et elle est toujours enthousiaste à l'idée de découvrir de nouvelles choses et de progresser dans ce milieu !
Elle a démarré sa carrière par la photo, son père étant aussi passionnée de photographie, il lui a mis très tôt dans les mains son Nikon FM2. En grandissant, elle a beaucoup hésité entre image fixe et image animé, les deux lui plaisait. Elle a fait ses études dans l'audiovisuel en se spécialisant dans la prise de vue, mais en effectuant ses stages en montage pour avoir la double qualification.
Elle nous parle de ses expériences professionnelles, de sa vision du métier en tant que femme et comment elle a grimpé les échelons pour en arriver là où elle en est aujourd'hui !
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🧡 Bonne écoute à tous et à toutes ! 🎙
Aurélie Gonin
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Pour ce 10ème épisode, nous recevons Ludovic Dréan directeur du Service Pro Nikon France !
#PORTRAIT Au départ, Ludovic effectuait ses études dans le domaine des mathématiques et de l'informatique, bien loin de la photographie. C'est en observant son professeur travailler sur un projet de simulation d'éclairage du Louvre à Paris qu'il eut le déclic pour l'image. Il bascula donc de l'informatique à la photographie.
À la sortie de ses études à l'école Louis Lumière dans le domaine du traitement de l'image, il a rejoint la team Nikon. Il partage avec nous ses débuts chez Nikon, notamment comment il a grimpé les échelons dans cette entreprise jusqu'au poste de Directeur du Service pro.
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Pour ce 9ème épisode , nous sommes très heureux de recevoir Delphine et Maxime, le duo de nomade Entre2poles qui ont fait de leur rêve, leur profession !
#PORTRAIT
Pour ceux qui ne les connaissent pas déjà, le duo Entre2poles s'est créé il y a 4 ans, lorsque Delphine et Maxime ont décidé de tout quitter pour partir en voyage, à durée indéterminée, à petit budget, sans plan précis, avec cette seule idée en tête : découvrir le monde. C'est sur les routes qu'ils ont trouvées leur passion pour la photographie et la vidéo.
Mais ce n'est pas tout, derrière cette recherche de nouveaux horizons se cache une volonté de vouloir partager leurs expériences ainsi qu'une cause qui leur tient à cœur : sensibiliser et récolter des dons pour la recherche contre la SLA. Pour accompagner immortaliser leur aventure, c'est sans aucun doute qu'ils ont choisi les produits de la marque Sony
On ne vous en dit pas plus, on vous laisse découvrir ce duo d'aventurier dans ce 9e épisode, toujours animé par Deftom
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