Je suis Victoire Satto, founder et CEO de The Good Goods, le média de la mode fondée sur des preuves.
Sur ce podcast, je reçois des femmes et des hommes porteurs de solutions pour accélérer la transition sociale et environnementale de l’industrie de la mode.
ON(WARD) FASHION vous propose des outils tech, les conseils de marques engagées, et de partager l’expertise d’entrepreneurs à succès. Ce podcast est conçu comme une bibliothèque de solutions concrètes, centralisées et immédiatement disponibles, pour guider la mode dans son développement durable.
ON(WARD) FASHION est diffusé chaque mardi à 07h sur toutes les plateformes d’écoute. Chaque épisode est précédé d'un hashtag qui caractérise sa thématique :
On vous invite à vous abonner à la chaîne ainsi qu’à notre newsletter business, disponible sur thegoodgoods.fr (http://thegoodgoods.fr/), pour œuvrer avec nous au reset de cette industrie.
Bonne écoute !
On a plein de choses à vous raconter, se retrouve sur nos réseaux ?
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[Podcast] Décarboner la mode par la finance, avec Lita - The Good Goods
BALISE H1
ON(WARD) FASHION explore le rôle de la finance dans les impacts négatifs de la mode. Cet épisode aborde les alternatives et le financement participatif en particulier, avec Pierre Schmidtgall, cofondateur et Directeur de l’investissement chez Lita. Lita est une plateforme de financement communautaire et un acteur expert dans l’accompagnement des entreprises à impact et des TPME en transformation vers davantage de responsabilité sociétale, de toute envergure.
La question du financement des marques est majeure car elle sous-tend le fonctionnement global de l’industrie. Plus de rentabilité signifie plus de marge sur une échelle de temps rapide, donc plus de volumes et de course aux prix bas. Ainsi, on passe en quelques décennies, non pas de 2 à 4 ni même à 52 collections par an mais à une par jour pour Shein.
Dans cet épisode, on sort des ACV et des matières alternatives pour s’intéresser à l'argent. De l’œuf ou du pool d’actionnaires, qui rend coupable les marques de produire et la société civile d’acheter, au milieu de régulateurs passablement débordés par le rythme de 8000 nouveaux produits quotidiens par des enseignes chinoises d’ultra fast fashion ? Y’a t’il une voie alternative pour financer la transition ?
La réponse est oui et elle repose sur le pouvoir de la communauté.
Aujourd’hui, on parle des bénéfices - dans tous les sens du terme - du financement participatif, avec Pierre Schmidtgall, cofondateur de Lita et Directeur des investissements sur la partie opérationnelle.
Le site Lita https://fr.lita.co/fr
Prendre RDV https://fr.lita.co/fr/users/sign_in
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Pierre-François Le Louët, Co-président de l'Union Française Mode & Habillement | UFIMH pour parler de la création de mode française et internationale.
Merci à notre sponsor, Première Vision Paris, le go-to international des professionnels de la mode et des effusions créatives. Rendez-vous les 2, 3 et 4 juillet 2024 au Parc des Expositions Paris Nord Villepinte sur le salon Première Vision Paris, à la rencontre de 920 exposants du monde entier. La liste, le programme en détail et toutes les informations pour préparer au mieux votre venue sont sur le site. https://shorturl.at/8DWoB
Est-il raisonnable de créer une marque de mode aujourd'hui ? Faut-il chercher à transformer ou laisser choir aux bancs des liquidation judiciaires en chapelet les enseignes historiques qui ne trouve plus leur segment de marché, entre “les ultra-” de la fast fashion comme du luxe ?
L’industrie de la mode traverse de multiples crises, économiques en particulier. Pour faire le point sur ses réalités et le futur auquel se préparer, nous recevons Pierre-François Le Louët, Co-président de l'Union Française Mode & Habillement | UFIMH pour parler de la création de mode française et internationale, de comment et pourquoi la soutenir.
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Bénédicte Epinay, Déléguée Générale/CEO du Comité Colbert, pour parler de la transmission des métiers d'artisanat d'art dans la mode et le luxe en 2024 et de la transformation des secteurs à l'aune de la crise climatique.
INTRODUCTION
LE COMITÉ COLBERT ET LE LUXE
LES ENJEUX DE LA TRANSITION
Vision de l’industrie et de l’artisanat de luxe demain
La valeur patrimoniale
Communication
Le site du Comité Colbert : https://www.comitecolbert.com
Le site de The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/
The Good Goods sur Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Nelly Rodi fondatrice de l'agence éponyme pour parler de la prévision de tendances, de l'évolution du métier et ses enjeux en 2024.
Lire l’avenir dans le présent.
Pas une diseuse de bonaventure ni de prophéties auto-réalisatrices.
Nelly Rodi est un être hypersensible qui a réussi l’exercice brillant non seulement d’en faire un métier mais d’imposer son entreprise au monde entier, aujourd’hui leader dans la prévision de tendances pour l’industrie au global ou des clients en particulier, qui attendent les cahiers de tendance, osons le dire, comme le messie.
Si Nelly Rodi et ses collaborateurs collectionnent et ordonnent les indices qui feront peut-être le futur de nos dressings, cette grande dame de l’habillement, de la décoration, de la cosmétique, ou encore de l’art de vivre, puise également ses inspirations dans la variété grandiose de ses souvenirs. Dans le livre qui sort cette année, intitulé « Quelques saisons d’avance » aux éditions Bouquins, on se plonge avec délice dans les détails parcimonieux d’une vie foisonnante de rencontres et d’expériences humaines et créatives extraordinaires.
C’est pourtant bien, les pieds sur terre que l’on revient - à l’aune des affres du climat - avec des questions cartésiennes et une certaine jalousie quant à l’insouciance que le monde d’avant a seul pu connaître.
Puisqu’à n’en pas douter, vous resterez comme moi sur votre faim après cet épisode, foncez vous procurer une copie du livre de Nelly Rodi, « Quelques saisons d’avance » en ligne ou dans toute bonne librairie, et d’ici là, bonne écoute !
Bonne écoute !
The Good Goods : https://thegoodgoods.fr/
Instagram : https://www.instagram.com/thegoodgoods.fr/
NellyRodi l'agence : https://nellyrodi.com/agence/
Le livre de Nelly Rodi, quelques saisons d'avance :
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Cette conversation réunit deux entrepreneurs qui œuvrent au quotidien pour transformer le luxe en profondeur. Dorothée Contour et Nicolas Freudiger ont fondé respectivement une marque de joaillerie - JEM pour Jewellery Ethically Minded et d’horlogerie, ID Genève Watches avec une approche radicalement différente des industries conventionnelles. Le but n’est pas de lutter contre mais plutôt de proposer une voie alternative exemplaire qui s’appuie notamment sur un sourcing révolutionnaire : de l’Or certifié Fairmined et de l’acier recyclé.
Cet échange a été enregistré en direct d’une soirée dans la boutique JEM au 10 rue d’Alger dans le 1er arrondissement de Paris. À deux pas de la Place Vendôme, portraits de deux activistes de luxe qui en parle les codes pour mieux les réinventer.
Bonne écoute !
Dorothée
Nicolas
A tous les deux
Dorothée
Nicolas
Dorothée
Nicolas
Pour vous deux
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Anne-Cécile Violland, Députée de Haute-Savoie et porteuse du projet de loi pour restreindre la fast et l'ultra fast fashion, et Yann Rivoallan, Président de la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin, pour parler en détails de la loi adoptée à l'unanimité à l'Assemblée Nationale le 14 mars 2024 et de la procédure accélérée de validation par le Sénat.
Le 14 mars 2024, la proposition de loi n°2129 visant à réduire l’impact environnemental de l’industrie textile a été adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale, après examen des nombreux amendements déposés entre temps. Dans cet épisode, on tente de décrypter le projet : qu’implique ce texte ? Que faut-il comprendre lorsqu’on lit “la loi fast fashion a été adoptée !” ? Vivons-nous vraiment un moment historique ?
Avant toute chose, il est utile de tempérer en indiquant que nous ne sommes qu’au début du chemin. Le texte doit maintenant être voté par le Sénat. C’est précisément cette fenêtre de tir qui nous intéresse : pour qu’il soit voté, à bon escient, sans être défigurée, et qu’on n’y ajoute les amendements nécessaires pour contraindre efficacement un modèle d’hyper production de vêtements, bas de gamme insoutenable, c’est le moment de débattre, et avant cela, de comprendre.
Dans cet épisode de l’honneur de recevoir, Anne-Cécile Violland, Deputée de la Haute-Savoie et porteuse du projet de loi adopté, et Yann RIVOALLAN, président de la fédération française du prêt-à-porter féminin.
Très bonne écoute !
Le site : https://thegoodgoods.fr/
Notre newsletter hebdomadaire : https://www.thegoodgoods.fr/newsletter-hebdo/
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Cet épisode vous propose de mettre de côté les fausses croyances sur la mutation des groupes historiques. Parce qu’il est possible d’être sorti du Black Friday depuis 4 ans et de s’y tenir avec fierté, de réduire le nombre de références proposées et les volumes en général, et non seulement de générer de la croissance mais de majorer sa rentabilité. Zoom au sein de la stratégie discrète et non moins efficace de repositionnement vertueux du groupe Promod, où la culture du changement émane à la fois du dirigeant et des collaborateurs, où les outils de la transformation sont partagés en accès libre, comme la grille d’éco-conception Open Source développée par Promod et téléchargeable gratuitement au reste d’une industrie que l’on aimerait voir changer profondément. Parce que - si vous en doutiez encore, la pérennité des marques de mode est intimement liée à la sincérité de leurs engagements. Démonstration avec Julie Dumont, Juliette Rimbault et Julien Pollet, dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.
Télécharger la grille d’éco-conception
Télécharger la grille d'écoconception : https://www.areyounet.com/runet/client/Reponse?i=654925306&s=B4E2F5C2
Télécharger la grille d’éco-conception
Julien
JULIETTE
Julie
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Alden Wicker est une journaliste primée. Elle a signé diverses enquêtes pour le New York Times, Wired, Vogue Business et bien d'autres grands médias. Elle est la fondatrice et éditrice d'EcoCult, un site web d'information international renommé sur les impacts de la mode et les alternatives durables. Elle effectue des recherches pour des organisations à but non lucratif, à la recherche de réponses pour faire progresser l'industrie. Elle est également auteure d'un livre publié en juin, "To Dye For", au sujet des polluants toxiques contenus dans nos dressings.
C’est un fait : la plupart d’entre nous ont pris l’habitude de vérifier les étiquettes des ingrédients sur nos aliments ou nos produits pour la peau. Mais qu’en est-il de nos vêtements ?
"Entretien facile", "Infroissable", "Déperlant" ou "Anti-tâche", "Séchage rapide", "Anti odeurs"… Si vous retournez la petite étiquette au dos du col de votre t-shirt, vous ne trouverez pas beaucoup d'informations, en dehors du pays de fabrication et de la composition textile. Rien sur les produits chimiques utilisés pour garder le vêtement résistant et éclatant.
Le plus inquiétant ? L’industrie elle-même l'ignore.
En tant qu’entreprise, à quel point connaissez-vous ce que vous vendez ?
Et jusqu'où y êtes vous tenus, au regard de la loi ?
Qui au sein d'une marque de mode décide que les bénéfices des performance esthétiques ou techniques d'un produit chimique sont supérieurs aux risques représentés par les effets secondaires potentiels sur la santé des consommateur·ice·s ?
Dans cet épisode, nous recevons Alden Wicker, pour explorer ce sujet vaste et assez effrayant. Durant 45 minutes d'échange lors de l'édition de février 2024 de Première Vision Paris, nous tentons de répondre en direct à la question suivante : Comment nous - à la fois membres de l'industrie de la mode et consommateur·ice·s - avons nous fini par porter des vêtements infiltrés de produits chimiques potentiellement toxiques, et de quelles options disposons nous pour nous en sortir ?
Episode en anglais.
https://www.premierevision.com/
* Que pouvons-nous faire en tant que citoyens pour nous protéger, notamment les plus fragiles ?
* Que pouvons-nous faire en tant que militants individuels ?
* En tant que marque ?
* En tant que fournisseur ?
* En tant que média ?
* Aux Etats-Unis?
* En Europe?
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Se nourrir, se soigner, s’habiller et construire.
Le chanvre est une plante multipotente : elle sait tout faire. Des bâtiments, des soins du corps, des huiles comestibles riches en acides aminés essentiels mais aussi une matière textile qui trône sur la première marche du podium de l’épargne énergétique. Plus fashion que fumette, on vous fait grâce du second degré sur la notoriété première de ses feuilles, pour mieux vous raconter pourquoi et comment, plus que jamais en 2024, il faut la cultiver et la porter.
Pour cet exercice, j’ai la joie d’accueillir une personne exceptionnelle au parcours pour le moins éclectique. Vincent Lartizien est tombé en amour pour cette plante, là encore, une fois n’est pas coutume, sous le charme de son intelligence davantage que celui de sa plastique. Plastique, que dis-je, l’idée est ici précisément inverse : il s’agit d’en sortir, de rompre avec la pétrochimie grâce à cette alternative de vertu.
Créer une filière chanvre puissante en France n’est pas un long fleuve tranquille. Ça tombe bien, Vincent est un enfant des vagues.
Pour démarrer l’année, je vous propose le portrait d’un homme qui joue dans la houle, au sens propre comme métaphorique de l’entrepreneuriat.
Bonne écoute !
INTRODUCTION
LES CHANVRES DE L'ATLANTIQUE
LE CHANVRE TEXTILE
LE CHANVRE ALIMENTATION ET SANTÉ
LA VISION DU FUTUR
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Cet épisode a pour moi une saveur un peu particulière. Peut-être qu’on peut commencer par faire un gros clin d’œil au CHU de Nice qui risque de se marrer en regardant cette vidéo.
Mélanie on est toutes les deux niçoises. On a fait nos six premières années de médecine, au même endroit, notre internat ensemble à Paris. Sans pouvoir le dater précisément, c’est aussi à peu près au même moment qu’on a éveillé notre conscience écolo féministe entre apaisement de comprendre et la rage de savoir, qu’on a bâti des ponts - entre la justice sociale, la santé environnementale et la lutte nécessaire contre un système patriarcal archaïque qu’on s’échine depuis à réinventer.
Assez tôt, toi et moi avons partagé la sensation que, dans cet exercice médical qu’on avait tant souhaité, qui nous avait tant coûté mais qui nous a aussi tellement offert, il y avait une dissonance.
Liz Gilbert parle de "inner compass", cette aptitude qu’a le corps malgré nous a tirer la sonnette d’alarme de l’inconfort dans une situation que la société considère être « normale ».
Ça non plus, paradoxalement la médecine ne nous l’apprend pas. Pas assez de temps de qualité avec les patient·e·s, mauvaise communication au sein des équipes ou avec les familles, qui amène de la souffrance au travail, et une mauvaise observance dans la maladie, précarité des moyens publics - institution mère qu’on aime tant - cerveaux exsangues jusqu’à, paradoxalement amener à une diminution globale de l’état de santé, même dans les pays occidentaux, où la recherche est luxuriante et la technologie est de pointe.
Toi aussi tu t’es dit, à un moment donné, que ton rôle de médecin et tes compétences seraient davantage utile aux êtres humains bien sûr, mais au vivant en général, à une échelle préventive.
N’est-il pas en effet plus sensé de vouloir prévenir l’arrivée des maladies plutôt que de les guérir ?
Alors toi aussi, il y a quelques années, tu as quitté les rangs de l’exercice conventionnel, tu es Docteur spécialiste en médecine physique et rééducation, désormais experte en médecine environnementale, telle que nous allons la définir dans ce podcast. Non sans remise en cause de la norme du statut social ni avoir à reprendre de façon informelle des études non diplômante, au sujet de ce que l’enseignement conventionnel ne t’avait pas appris : Les conséquences de la pollution sur la santé des populations... Avec supplément sans nuit blanche et vastes périodes d’éco-anxiété et parfois l’envie de tout envoyer bouler.
Aujourd’hui, tu n’as rien lâché et tu es même au cœur de cet exercice de médecine préventive, en tant que médecin scolaire du groupe Paris Est, conférencière et autrice de ce livre qui vient de sortir aux éditions Rue de l’Echiquier : "Perturbateurs endocriniens, on arrête tout et on réfléchit".
Indépendamment du bien-fondé de cet essai et de la nécessité absolue pour moi de lui donner maximum de visibilité, je suis personnellement très émue par le moment qu’on s’apprête à vivre ensemble, et fières de nous.
Merci Mélanie, bienvenue dans ON(WARD) FASHION.
INTRODUCTION
MÉDECINE ET CLIMAT, MÉDECINE ET POLLUTION ENVIRONNEMENTALE
LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS
FOCUS SUR LES VÊTEMENTS ET LE TEXTILE
AGIR/SE PROTÉGER
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Léa Gillet, Présidente et cofondatrice de Trace For Good, logiciel de traçabilité automatisé pour l'industrie du retail.
La traçabilité permet de savoir quand, où, comment et par qui un produit a été fabriqué. Il s’agit d’un enjeu de transparence désormais imposé par la loi, auquel les marques ne peuvent plus se soustraire. Examiner sa chaîne d’approvisionnement permet bien sûr d’entrer en conformité avec les textes en vigueur mais les bénéfices sont en réalité multiples, de l’amélioration franche de l’image de marque à celle du recrutement et de la fidélisation des talents, sans compter la confiance grandissante des clients finaux. Oui mais voilà, l’exercice de traçabilité est par excellence celui qui illustre que la RSE est une course de fond inscrite dans le temps long. Heureusement, pour que sa mise en œuvre soit simplifiée et son usage automatisé et industrialisable, des entrepreneurs de la tech à impact sont sur le pont, pointu·e·s et passionné·e·s. C’est le cas de Trace For Good, une startup française qui propose une plateforme de traçabilité et de gestion de données RSE pour les marques et les fournisseurs de l’industrie retail. La data au service du bien commun, c’est la mission de Léa Gillet, cofondatrice et présidente de Trace For Good.
Trace For Good est une solution SaaS (Software as a service) conçue comme un logiciel de comptabilité et de gestion des data relative à la RSE (Responsabilité Sociétale d’une marque). Un outil co-construit avec les marques de l’industrie mode retail, optimisé pour une prise en main des parties prenantes internes et externes (fournisseurs) de l’entreprise, offrant une automatisation et une industrialisation des processus d’entrée et de sortie des informations relatives à un produit ou une collection.
Trace For Good est un logiciel paramétrable selon la typologie de produit et sa complexité, les certifications des différents acteurs de la chaîne de valeurs, les exigences réglementaires avec lesquelles entrer en conformité (Loi AGEC, PEF-CR, UFLPA, etc). Il en résulte une note globale avec highlight des points de vigilances sur la supply chain, des reportings et certificats générés de manière automatisée.
INTRODUCTION
PRÉSENTATION GLOBALE, HISTORIQUE, CONTEXTE
MARCHÉ
OFFRE B2B : CASE STUDY - HIGH END FASHION BRAND 200M CA
FORMATION ET COMMUNICATION
CLÔTURE
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ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Samy Ziani, cofondateur de Hast, une marque engagée créée par 3 amis en quête de croissance maîtrisée et intransigeants sur la qualité.
Hast est une des rares marques de mode engagée qui n’en a pas l’air. La raison est simple : depuis 2012, elle place le service rendu au style masculin au cœur de son propos, gageant que la qualité n’est pas un sujet sur lequel transiger, et que la fabrication responsable ne saurait constituer un argument marketing. Plus rare encore, elle est cofondée par trois bootstrappers, comprendre : des entrepreneurs qui développent une croissance maîtrisée, sans lever de fonds ni ambition de revendre à court terme leur bébé des dizaines de millions.
La startup nation, ils y sont allés à leur rythme et en toute discrétion, avec une stratégie mixte en ligne puis en boutique, presque pas de revendeurs, une équipe unie qui grandit et des clients dont la fidélité avance avec l’âge. Forte et tranquille dans la tempête, économique comme climatique ou encore réglementaire à l’approche de l’affichage environnemental qui arrive. Il y a certaines marques dont le story proving supplante le storytelling, le premier des deux n’étant pas sponsorisable sur les réseaux. Je suis d’autant plus ravie de faire de la place à Samy pour nous parler de Hast aujourd’hui.
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ONWARD FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, reçoit Timothée Parrique, Docteur en économie, pour comprendre la théorie de la décroissance et comment envisager l’appliquer à l’industrie de la mode.
L’hypercroissance, c’est ce vers quoi l’on tend.
La croissance verte ou le découplage, c’est la formule qu’on aimerait appliquer à nos habitudes pour ne rien changer sauf notre empreinte sur le climat (spoiler, ça ne marche pas).
La décroissance ou post-croissance, c’est la voie théorique qu’il faudrait prendre maintenant dans un virage en épingle pour éviter le mur qui nous attend et vers lequel on semble aller consensuellement. Elle consiste à ralentir et, sans rebrousser la route du progrès, emprunter des chemins de traverses au décor aguicheur : de sentiers où l'on travaille un peu et l’on vit beaucoup, où l’on partage le gâteaux des richesses équitablement entre la société civile et les attributs de la chose commune (la république), comme l’accès aux soins, l’éducation, les transports et la culture ; où les écarts de richesses sont gommés en même temps que les sursauts catastrophiques du climat ; où l’on n’a pas peur que ses enfants soient “born in whatmille PPM” et de ce qu’il adviendra de la démocratie quand ils et elles auront l’âge de s’en soucier. Vous aussi, j’imagine que ça vous fait rêver. Seulement voilà, j’ai un problème : je ne sais pas comment y aller. La route n’est indiquée nulle part et j’avance à tâtons dans ma quête intersectionnelle, faite de plus de justice sociale, d’homéostasie du Vivant et de bien être mental, tout simplement. Je passe mes journées à chercher des solutions qui ne soient ni des leurres ni pétries d’effets rebond pour guider des client·e·s volontaires mais pas beaucoup plus avancés dans un quotidien de de buzzwords et d'éco-anxiété.
En 1927, Francis Scott Fitzgerald écrivait dans une lettre “Dans la nuit noire de l'âme, il est toujours trois heures du matin. Ni le feu ni la glace ne sauraient atteindre en intensité ce qu'enferme un Homme dans les illusions de son cœur.” La décroissance pour moi, c’est un peu ça : entre les méga incendies et le permafrost qui se barre, mon cerveau sait par cœur que c’est pour l’instant une illusion. Alors dans la nuit, je cherche au loin un phare ou la lueur amie d’un chercheur éclairé.
L’un d’entre eux s’appelle Timothée Parrique. Docteur en économie, il est l’auteur du best seller “Ralentir ou périr - L’économie de la décroissance”, extension vulgarisée d’une thèse primée qui chahute. S’il s’appuie sur des chiffres, je le dirais tout aussi philosophe, présentant un travail hybride, à la fois très pragmatique et imagé par des exemples concrets, et interrogeant profondément notre humanité et ce qu’il reste de nos imaginaires cabossés par le réel.
Bien qu’ayant enregistré en pleine journée, vous constaterez dans cet épisode que je navigue à vue, la pensée laborieuse et le propos confus, un peu par la fatigue, beaucoup par conflit intellectuelle, convaincue de la destination mais larguée dans l’itinéraire. J'en retiens une lueur éternelle : l’insatiable envie d’apprendre et de partager, en tendant mon micro aux sachants qui ouvrent cependant perpétuellement une voie : celle du possible et du différemment. En attendant que la structuration d’un modèle de croissance divergente, maîtrisée, homéostatique fasse son chemin dans mes pensées, je fais place à Timothée Parrique.
Bonne écoute !
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Les prises de parole publique des représentants de Shein sont rarissimes. L’empire chinois de l’ultra fast fashion cultive le mystère en toutes choses : ses chaînes de valeurs, l’origine de ses matières, ses actionnaires et levées de fonds, son entrée potentielle à Wall Street cet hiver. Et pour cause, la connaissance étant le pouvoir, la révélation des piliers stratégiques représente un risque d’affaiblissement commercial et, dans le cas de la marque, d’attaques juridiques pour des motifs qui vont de pratiques anti-concurrentielles aux fausses allégations promotionnelles ou environnementales.
A l’affût du moindre indice qui révèlerait la faille d argile dans le colosse, je me frottais les mains à l’annonce d’une table ronde entre le directeur de la stratégie et des affaires publiques de Shein, Peter PERNOT-DAY, Laurent Moisson le cofondateur de l'association Forces françaises de l'industrie et Thomas Huriez président de la marque française 1083.
L’âpreté du réel a eu raison de ma naïveté : on s'attendait à un combat de titans, on reste bredouilles et désarmé·e·s face aux messages marketing déclamés comme un robot par un représentant ultra média trainé dont le discours est lisse. Jules Renard écrivait « C’est dans la contradiction que nous sommes féconds ». Ici, nous ne repartons malheureusement avec rien de constructif. Car on peut opposer les bons et les méchants, structurer une confrontation honnête sur un argumentaire bilatéral, construit, rationnel et fondé sur des preuves (un nombre de références proposées chaque année, un bilan carbone, l'origine de ses matières premières, une lisibilité de ses chaînes de valeurs...), mais on ne peut pas faire de prise sur une surface sans relief : celle d'un discours corrompu.
En dehors de vagues notions en faveur de l’implémentation de corners seconde main dans les boutiques Forever 21, marque de fast fashion à l’imposant parc retail rachetée par Shein qui met en pied dans la vie réelle après avoir inondé le digital, en dehors de circuits de production évoqués au Brésil et en Turquie, rien de nous permet d’espérer une once de bon sens et d’humanité dans les déclarations de Shein. Cela renforce la nécessité absolue de faire passer des lois qui restreignent drastiquement ses actions et le modèle plus général de l'ultra fast fashion.
La discussion était modérée par Sophie Baqué, rédactrice en chef de Mind Retail. La qualité du son, capté avec un téléphone, n’est pas optimale et nous vous prions de nous en excuser, archiver ce débat et le partager nous semblait important.
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L’upcycling de stocks de vêtements post-consommateurs est une activité en plein développement. Les marques qui s’en emparent sont souvent remarquées pour leurs prouesses créatives, et l’aspect caractéristique des pièces transformées comme des composites à la méthode de confection identifiable : on découd deux vêtements, préférentiellement à motifs, que l’on assemble avec le parti-pris d’assumer ce que l’on pourrait qualifier d’une “renaissance visible”. Mais derrière le buzz Instagram de quelques créateur·ice·s star comme Nicole McLaughlin ou Bethany Williams, se cache une réalité économique et industrielle toute autre : chiner un vêtement, le démontrer, créer un nouveau patron et unique à chaque fois, en circuit court et dans un pays occidental, c’est long, technique, peu reproductible et ça coûte excessivement cher en main d’œuvre. Pour survivre ? Il faut vendre des créations au prix d’œuvre d’art artisanal (ce qu’elles sont, quelque part). Pour déployer les vertus écologiques de la méthode à grande échelle et sortir des collections capsules des grandes marques, qui mettent la poussière sous le tapis du greenwashing ? Il faut s’accrocher et innover. La méthode choisie par notre invité. Simon Peyronnaud est le fondateur de Losanje, une marque d’upcycling d’abord B2C qui déploie son offre B2B, après avoir constaté le potentiel majeur de cette méthode de revalorisation et le manque de solution pour un passage à l’échelle : collecter en série des vêtements finis invendus ou post-consumers, les découper grâce à une machine dédiée, actuellement en cours de R&D, patronner grâce à l’association des compétences d’humains experts et d’une IA pilotée au service du bien faire. Le tout en ayant à cœur de faire vivre et ré-industrialiser une région centrale de France, la Nièvre.
Un échange rempli de bon sens, d’inspirations positives et de nouvelles réjouissantes pour demain. Place à Simon.
Bonne rentrée à vous et bonne écoute !
INTRODUCTION
GENESE
L’UPCYCLING
LOSANJE B2C
B2B
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ON(WARD) FASHION, le podcast des solutions business pour une mode durable, était en captation live lors d'une conférence organisée par VEJA, sur le coton.
2e hors série de l’été dans ONWARD, dans cet épisode, on vous propose d’assister à la conférence organisée par VEJA à Bordeaux sur le coton.
Si vous avez l’impression de maîtriser le sujet, vous allez pouvoir tester vos connaissances à la lumière de celles d’expert·e·s, Luciana Batista Pereira et Orlando Rivera, venus respectivement du Brésil et du Pérou.
Coton conventionnel, biologique, agro-écologique, agriculture régénérative : des pires aux meilleures pratiques, on vous dit tout sur l’or blanc et on illustre les solutions vertueuses avec l’exemple très concret des baskets VEJA.
Bonne écoute !
Notre échange d'1h30 a eu lieu à l'espace Darwin à Bordeaux.
Nous avons reçu Orlando Rivera, directeur général de Bergman Rivera, Luciana Batista Pereira responsable du sourcing pour VEJA, François-Ghislain Morillion co-fondateur de VEJA et directeur du sourcing. La conversation s'est déroulée en anglais et en français, traduite simultanément par une personne partageant la scène.
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Deux tables rondes captées live et retransmisses lors du Happy Green, une journée d’ateliers et de talks organisée par Mondial Tissus, autour de l'upcycling et de la seconde main pour une industrie textile durable, dédiée à la presse et à des talents couture. Vous allez successivement entendre des discussions autour de l’upcycling et de la seconde main, des alliés créatifs pour prolonger la durée de vie des vêtements à travers l’entretien, la personnalisation et l’intégration de mœurs circulaires tant du côté des marques que des citoyens.
Au programme :
Bonne écoute !
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Cette tenue raconte… si vous êtes déjà allé faire un tour sur mon compte Instagram perso, vous avez peut-être vu passé un selfie de moi dans l’ascenseur dans une pose caractéristique, avec ce hashtag, #CetteTenueRaconte, qui décrit le message porté par ma tenue du jour. Le vêtement est pour moi, avant toute chose, l’exercice d’expression de soi plus démocratique, offert à toutes et à tous chaque matin. Et voilà bien un des grands travers du prêt-à-porter et de la fast fashion en particulier : à force de vouloir copier tout le monde et de changer de looks toutes les 24h, on ne sait plus vraiment qui l’on est ni comment l’exprimer à travers notre style. D’ailleurs du style, peu de personnes en possèdent et paradoxalement plus on s’échine à suivre des comptes de gens qui en ont, plus on se perd esthétiquement générique. Parce que le style commence à l’intérieur, par la connaissance de soi, de ce qui nous plaît, de ce qui nous va, de ce dans quoi l’on est à l’aise au monde, mais aussi ce que l’on défend. Des valeurs artistiques, politiques, militantes pour la condition féminine ou toute autre forme de justice sociale. Cela passe bien sûr par une esthétique (arborer un croptop en crochet rose quand on est un homme) mais aussi par des choix fonctionnels (ne pas porter de soutien gorge, assumer un costume 3 pièces n’importe quel jour de l’année) et bien sûr, des choix financiers. Je choisis d’acheter plus cher une matière parce qu’elle est écologique, je choisis de soutenir une confection équitable pour l’ensemble des parties prenantes, je choisis de soutenir une marque dont je partage les engagements pour un monde plus juste. Le style, ce sont des dizaines et des dizaines de messages codés que l’on peut décrypter chez l’autre ou faire passer avant d’ouvrir la bouche.
Celui de mes invités du jour ? Ils racontent 17 années d’entreprenariat et 25 d’amitié. Il raconte que l’on peut monter une marque de mode à succès en ayant grandi dans un milieu populaire sans lien avec le business ou les vêtements. Ils racontent que les enfants que l’on initie à l’art au plus jeune âge sont plus créatifs et débrouillards et vraisemblablement plus à même de cultiver l’émerveillement quand ils sont grands. Ils racontent que l’on peut s’habiller avec des valeurs philo-éthiques, militantes politiques et artistiques, en enfilant une veste OLOW. Il raconte que même en pleine crise économique, énergétique, d’approvisionnement, de confiance et de sens, il est possible d’être une marque pérenne distribuée par 300 points de vente physique dans le monde et qui ouvre une deuxième boutique comme un lieu de vie, de partage, aux principes écologiques chevronnés et qui cartonne.
Cet épisode raconte Olow par ses fondateurs, Mathieu et Valentin.
https://www.instagram.com/we_are_olow/
https://www.olow.fr/fr/
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Après 15 années, Vinted fait évoluer les marqueurs de succès. Exclusivement basé sur des paramètres financiers jusqu’à il y a encore quelques années, les outils de mesure évoluent, incluant les émissions de CO2, l’équité sociale et une gouvernance juste. Si nous avons intuitivement la conviction que la seconde main et la circularité en général sont un meilleur choix écologique, pour en avoir le cœur net, il faut mesurer. En commissionnant un expert indépendant pour son Rapport sur l'Impact Climatique Vinted cherche à comprendre l'impact réel de la seconde main et d'apporter des chiffres d'envergure qui manquaient pour mesurer ses actions. La publication des résultats du Climate Impact Report 2023 marque l’entrée de Vinted dans la catégorie des grands acteurs de l’e-commerce engagé, cherchant à rendre crédibles et mesurables ses actions, année après année, en faveur d’une économie circulaire à l’impact réellement positif. Retour sur le Rapport sur l'Impact Climatique de Vinted et les enseignements tirés pour l’entreprise comme les 80 millions de membres à travers le monde avec Natacha Blanchard, Global Consumer PR Lead.
VINTED
MARCHE : SECONDE MAIN EN GENERAL DEPUIS 15 ANS
LE RAPPORT D’IMPACT CLIMATIQUE
COMMUNICATION
Allez-vous réitérer cette étude, à quel rythme ?
Références
Etude Accenture : https://shorturl.at/k2345
Vinted : https://shorturl.at/blLQ7
Darya Darya
Télécharger le rapport : https://press-center-static.vinted.com/Climate_Impact_Report_Summary_FR_2023_74a5c9dc39.pdf
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La première rencontre entre The Good Goods et Première Vision, c’était il y a 5 ans. Nous étions au début de l’aventure, un micro média, une minuscule communauté, publiant quelques articles longs et complexes sur la thématique du développement durable dans la mode. Elle intéressait à l’époque une poignée de convaincus et attirait ceux dont le métier est notamment de capter la tendance, les signes faibles qui façonnent le monde de demain. L’équipe de Gilles Lasbordes, notre invité du jour, nous a fait confiance et a suivi son intuition, celle de déployer une offre de sourcing textile éco-responsable comme la mue essentielle à la pérennité de toute l’industrie. Parce que la mode commence par la matière : une main, une couleur, une texture, des caractéristiques techniques mais aussi un impact.
D’après une étude Sensu Insight, 95% des émissions totales d'une entreprise de mode sont incluses dans le scope 3, soient toutes les émissions indirectes et principalement en amont dans la chaîne de valeurs. Le textile semble être un levier efficace pour réduire l’empreinte carbone de la mode, en conservant le désir de créer ce qui nous habille. Depuis les prémices de Smart Création, l’espace exposant dédié aux conférences et au sourcing durable, Première Vision déploie et solidifie son offre dans un exercice de réinvention. Parcours, signalétique, services, Hub Innovation : « A Better Way » est à découvrir du 3 au 5 juillet lors de la prochaine édition de Première Vision Paris, et en avant-première dans cet épisode d’ON(WARD) FASHION.
PV GROUPE ET PARIS
L’OFFRE
L’édition de juillet opère un grand renouveau, nous aimerions rentrer dans le détail du reengineering/nouveau cap donné par Better Way :
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