
Nasreddin discute à bâtons rompus avec ses amis dans la maison de thé, et il avance tout d’un coup : — Ah moi, j‘aimerais mourir le même jour que mon âne. — Nasreddin ! On en a assez de ton âne… Tu nous en rabats les oreilles tous les jours. C’est bon !… Alors Nasreddin leur répond : — Mais, les amis ! C’est juste parce que je ne voudrais pas aller au Paradis à pied !
Qui veut voyager loin, surtout au paradis, ménage sa monture...