Le Syndicat du plaid s’invite dans Mais qui t’a demandé ? et ça secoue le PAF.Entre cocooning d’automne, vie de trentenaires et Love Is Blind France, l’épisode prend des airs de réunion syndicale… avec ses revendications absurdes.Et oui : pour la première fois, c’est court (25 min) et cadré. Mais ne vous y trompez pas, l’humour et les improvisations sont toujours là – même Christine de Raclette et Bad Bunny ont trouvé le micro.Un épisode à écouter sous un plaid, évidemment.
Ps: La nouvelle candidate c’est bien Sarah et pas Sanna 🙏🏾
PS2: j’ai dit on est chaud sur un plaid au lieu de au chaud sous un plaid mais ça marche aussi je pense 🤔 😝
Dans cet épisode XXL, je reçois Arthur Rupert Meinsfeld, cinéaste derrière plusieurs courts-métrages marquants avec Florian Le Tavernier : Double Peine (2022), Entomos Phagos (2022), Phantasme (2022) et Champinomane (2023).On revient sur son parcours, ses inspirations et son regard singulier sur la création, mais aussi sur notre amitié, la vie à Bordeaux et les générations qui se croisent.Un entretien long, intense et sincère, entre critique ciné et conversation compliceArthur : https://www.instagram.com/jesuisarm/ Florian : https://www.instagram.com/floletavernier/MQTD : https://www.instagram.com/maisquitademande/
La saison 2 commence avec de l’énergie, des envies de rentrée et déjà cette impression d’être chargé.
Un Hors d’œuvre pour poser le ton : entre motivation, ironie et petites vérités qui piquent.
Mais qui t’a demandé ?
Amateurs de pasta, auditrices et auditeurs de Mais qui t’a demandé… je vous parle depuis une table dressée quelque part en Italie. Une table où l’on entend tinter les fourchettes, où le basilic parfume l’air, et où l’on se prépare… non pas à la guerre, mais à la rentrée. Quoi qu’il arrive, la flamme de l’appétit ne doit pas s’éteindre, et l’amour de la pasta ne doit jamais faiblir. Buon appetito.
Un épisode pensé comme un vrai dîner d’été : généreux, dense, pour prendre le temps de s’installer et de réfléchir. Je vous propose une immersion dans mon aventure parisienne : non pas un voyage au loin, mais une façon de redécouvrir ses rues, ses habitudes et de s’offrir une parenthèse à soi.
Je raconte ce parcours sans chercher la ligne parfaite, fidèle à l’idée d’un podcast qui partage avant tout.
En bonus, le message vocal de l’artiste que je suis allé voir sur scène, pour prolonger la discussion et offrir un autre point de vue.
Enfin, j’aborde certaines polémiques récentes en citant un exemple précis : non pas pour attiser le moindre harcèlement, mais pour interroger la manière dont on commente, juge ou réduit les corps et les choix.
Je m’excuse d’avance pour quelques bruits ou sons parasites : la vie s’invite dans l’enregistrement, fidèle à l’esprit artisanal de ce podcast.
Un épisode complet, parfois un peu brut, mais fidèle à l’idée d’un grand repas partagé avant la pause estivale.
Bienvenue dans ce tout premier épisode de Mais qui t’a demandé ?.
Ce n’est pas parfait — c’est notre premier rendez-vous un peu bancal, mais c’est notre hors-d’œuvre de connaissance : on se découvre, on se jauge, on se raconte des trucs sans trop de gêne.
J’y parle de ces moments où on choisit de sortir seul, sans plan ni renfort, juste pour voir ce que ça change de s’accorder un peu de liberté. Et aussi de cette soirée très différente où je me suis retrouvé sur scène grâce à la motivation d’une amie — parce qu’on a parfois besoin d’un coup de pouce ou d’une pression bienveillante pour oser.
Le tout avec des références plus ou moins connues (ça dépend de ta culture, pas de jugement), des anecdotes qui partent un peu dans tous les sens, et cette envie de partager sans filtre. Bref, un premier épisode brut et sincère pour poser l’ambiance : se découvrir, rire un peu (souvent de soi), et commencer à vraiment se connaître.
Aucune mention n'est sponsorisé dans cet épisode.
🎙️ Teaser officiel de Mais qui t’a demandé ?
Ici on dit tout, surtout ce qu’on n’a pas demandé.
Humeurs, coups de gueule, réflexions plus ou moins profondes et toujours un peu de mauvaise foi.
Personne m’a demandé de le faire. Donc je le fais.