On démarre avec Parlet, pour évoquer le bouquin "Mothership Connected" de Seth Neblett, et on continue avec Sex Pistols, OTH, Camera Silens bien sûr... Un extrait du documentaire de France Culture "Gilles Bertin, une vie en sursis", un peu de LSD (La Souris Déglinguée), Nabat en live pour évoquer le Floride (bar nantais historique où ont lieu pas mal de concerts rock, punk etc...), Picasso Y Los Simios, Alice et les Pickpockets (rock strasbourgeois), Yardbirds et T-Rex (morceau inédit) et bien sûr l'interview de Stéphane Oiry. Ainsi que les Milkshakes...







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Clin d'oeil à la BD de Stéphane Oiry, à CAMERA SILENS... Et à la disparition de JoAnne Chsimard, plus connue sous le nom d'ASSATA SHAKUR, qui nous quittés le 25 septembre 2025. On démarre avec Funkadelic puis Camera Silens forcément... Une petite séquence sur le punk rock à Bordeaux avec Strychnine, Les Corbeaux du Reichstag (qui penchaient aussi vers le post punk), Stalag. Dans le désordre, on a aussi écouté Squealer, the Seeds, Cockney Rejects qui reprennent Motörhead, A Bomb, La Souris Déglinguée... Plus une partie de l'interview de Stéphane Oiry au festival A Tours De Bulles 2025.

On démarre avec Franco et le Tout Puissant OK Jazz (son orchestre) et Rachid Taha. Suivent W.I.T.C.H., Grand Kalle & African Jazz, Sapho (je crois qu'il n'y a qu'un seul "p") et Steel Pulse. Et dans le désordre, Wayne Wade, le TP OK Jazz encore, Carte de Séjour, Touré Kunda, Third World… Une émission, ou plutôt un épisode, sponsorisé par Mèche et moustache magazine bien sûr… Qui se termine avec les Tonettes, et Steel Pulse.A propos de mister Cometbus, il sera en France du 24 au 27 septembre, par rapport à son livre "Postmortem" ( éditions Demain Les Flammes)…







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Clin d'oeil au groupe Carte De Séjour bien sûr, même si on démarre par autre chose, à savoir Franco (et le Tout Puissant OK Jazz je suppose). C'est la "sono mondiale" pour cet épisode maggotique, reggae et musiques africaines au programme, pour la plus grande joie de Marion et de certains leaders tunisiens, oui nous sommes "très impolis, très grossiers". Et ensuite? "Chkoune liguelle? (qui a dit?) Les Kahlouches (noirs) c?est louche?/ Chkoune liguelle? Les Rhorhos (arabes) y'en a trop?/ Chkoune liguelle? Les Kahlouches c?est louche?Chkoune liguelle? Les Rhorhos y'en a trop?/ Asmaïni ya ghouya (écoute moi mon frère)/ C'est la RHORHOMANIE, la RHORHOMANIEDanse d?aujourd?hui yeah danse d'aujourd?hui" ... Carte de Séjour et Rachid Taha (qui n'était pas le premier chanteur du groupe, ça je ne le savais pas), Cheikha Rimitti, puis on bascule vers l'Asie et le reggae banlieusard de LSD. Transition plus ou moins acceptable pour retrouver le lover's rock de Janet Kay, Princess Erika et Yabby You, une bonne parenthèse chaloupée. Avant, dans le désordre, Rose Royce, Sappho, Nuclear Device, The Clash, Aswad et Ace Of Base. On remet une couche de Carte de Séjour, puis du Oum Khaltoum, Manu Dibango, The Gladiators pour terminer l'épisode...







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Dernier volet rockab/ fiftos... Avec ou sans Margerin et Lucien, les bananes, les motos, les guitares, Fonzy, le rock'n 'roll quoi! Un petit tour chez certains "rebels"(en hexagone), ceux avec le drapeau sudiste, leurs collègues ennemis des Black Panthers avec Grand Jack, on se balade aussi en Allemagne, avant d'écouter le King tout de même... un peu d'Elvis tout de même, une doublette Cramps (la moindre des choses), un peu de T Rex, car le glam rock a aussi rendu ses lettres de noblesse au rock'n'roll 50ies, du New York Dolls... Et si on mettait les Flamin Groovies dans l'équation, hein? Continuons avec Glen Danzig, et les Misfits (avec Jerry Only au contrôle) plongés dans les années 50, Dion, les Dogs aussi nous ont rendu visite, les Rockin' Rebels (rockabilly hexagonal des années 80 je pense), encore du glam rock avec Mud...Place aux Clash, un extrait de l'album "London Calling", encore du Elvis, avant de terminer avec Vince Taylor et Chuck Berry...







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On démarre avec un groupe de Caen, les Teddy Bears, rock'n'roll 50ies/ rockabilly... Avec un écusson douteux au niveau de l'épaule droite. On enchaîne avec La Souris Déglinguée, les Costars, les Misfits époque Jerry Only ("Project 1950"), Larry Williams... On en profite pour "faire venir" des intrus comme les No Talents, Chrome Reverse, je veux dire des intrus à la programmation de départ...Mais comme dit Didier Wampas, "quelle joie le rock'n'roll!" Carl Perkins, les Blue Cats, Wampas justement, nos amis des Boppin Cats, Glen Danzig.







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Dernier volet pour l'hommage à Ozzy Osbourne, avec également une partie de l'histoire de Black Sabbath, avec la succession de chanteurs, Ronnie James Dio (79-82), Ian Gillan (82-84), Glenn Hughes, Tony Martin (1987-1990), Dio à nouveau ( 1990-1992), puis Tony Martin (1992-1997), puis retour de Ozzy (1997 - 2006), puis retour de Dio (2006-2010), puis Ozzy revient jusqu'en 2017, après quoi c'est le flou artistique jusqu'à maintenant. On écoute des extraits de la compilation "Nativity In Black" et des morceaux d'Ozzy en solo, ainsi que les groupes Iron Man, et Candlemass…







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Hommage à Ozzy Osbourne et Black Sabbath. Le "Prince des Ténèbres" nous a quittés le 22 juillet 2025, il avait 76 ans, John Michael "Ozzy" Osbourne était cofondateur avec Geezer Butler (basse), Tommy Iommi (guitares) et Bill Ward (batterie), de BLACK SABBATH. Il y a officié pendant 10 ans, avant d'être éjecté pour divergences musicales principalement (et abus de substances illicites mais lui pense que tout le groupe carburait à cela). On diffuse, outre BS et Ozzy en solo, quelques groupes qui se sont inspirés du Sabbat Noir, comme Nemesis (futur Candlemass), Trouble, Saint Vitus, Witchfinder General, Electric Wizard, Cathedral bien sûr, Force (futur Iron Man), Count Raven… Pour en savoir plus sur Black Sabbath, on vous recommande le podcast Children Of The Sabbath… Il y aura peut-être une seconde partie…







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On continue à rendre hommage à Ozzy Osbourne, "Prince of Darkness". On démarre avec la reprise par Busta Rhymes du titre "Iron Man" (compilation "Nativity In Black", hommage à Black Sabbath sortie en 1994), puis un peu de King Diamond et Mercyful Fate. Suivent Sacred Reich qui reprend "War Pigs", une interview d'Ozzy en 1982, un titre du Sabbat Noir de l'album "Volume 4". Pour montrer l'influence de Black Sabbath, pourquoi ne pas convoquer un groupe comme Soundgarden, hein? On poursuit avec soit Ozzy soit Black Sabbath, et des groupes qui reprennent du BS comme Corrosion Of Conformity…sinon petite correction, l'épisode sur NWA où est évoqué Krazy Dee, c'est le 4ème, pas le troisième….







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http://www.radiocampustours.com/media/podcast/MB/MB_20250804.mp3[/podcast

Avant ou après avoir écouté ce programme, on vous recommande le documentaire sur Madness diffusé sur ARTE, intitulé "Prince du ska, roi de la pop"… Ceci étant dit, on passe du Prince Buster, et du Madness des débuts. On poursuit avec (dans le désordre) les Clash, UB 40, 4 Skins (cherchez l'intrus... Quoique avec le morceau "Plastic Gangsters" cela aurait pu passe). Si vous ne le remarquez pas à l'écoute, spéciale dédicace au crew "Rudies Back In Town", Anna et Paul Lazarus, situé à Beauvais depuis quelques années. On vous met du Phyllis Dillon, Ruts, Judge Dread, Decibelios, Stiff Little Fingers, Valérie Lagrange… Ainsi que des extraits de l'interview de Tai Luc & Pélican Frisé (2012) à Rudies Back In Town…







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On a attaqué avec la légendaire actrice (et chanteuse) MEIKO KAJI, ainsi que du Gastunk, SxOxB, Cro Mags (pour l'évocation de "Kali Yuga"), Sigh, Isiliel (Shibuya Rock), des bandes annonces ("La Femme Scorpion", "Goyokin", "Kozure Okami"). Pour ceux et celles qui voudraient se balader à Tokyo, une suggestion, "Les Corbeaux de Tokyo" par Laurent Braconnier. Bien sûr tout cela a un lien plus ou moins éloigné avec le Japan Tours Festival (édition 2025).







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Clin d'oeil à Drifter. Puisque l'on commence par eux, et on enchaîne avec Las Brujas (Argentine) et Axton Pryte (Quimper), et les japonais de Crowley. Suivis de Metalmorfosis, Vulcano (et oui, à ses débuts le groupe brésilien jouait du heavy metal, avant de se "radicaliser"), Show Ya (Japon). C'est ensuite au tour de Trueno Azul (Bolivie) de venir se distinguer, ainsi que les américains d'Aska. Accept, Cauchemar, Paul Chain complètent le tableau. En bonus, Bedemon (un cousin assez proche du Pentagram des débuts, et pour cause... Les groupes se sont partagés des musiciens en quelque sorte) et Abysmal Grief.







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Clin d'oeil à Savage Grace, pour les non connoisseurs... Et les autres. Une session hard rock et heavy metal, après l'hommage au Hip Hop Thuggsta, avec j'espère quelques pépites. On démarre avec H- Bomb et Exciter, suivis des japonais de Genocide (Nippon), ceux qui ont sorti l'album "Black Sanctuary" en 1988 ( il y a 3 groupes japonais intitulés Genocide) et Running Wild (Allemagne bien sûr). On poursuit avec un extrait de la compilation "Condenados Al Olvidado IX: Ladies Of Metal", Vibora, ainsi que leurs condisciples de Arantza pre Bang, avant de passer à Black Death, et Savage Grace justement. Place ensuite à High Power, Accept et Sortilège, et un groupe jusqu'ici inconnu de mes services, Banda Venus (Brésil), ou plutôt Venus (et pareil, il y en a plusieurs au Brésil), qui a sévi de 1982 à 1987, a sorti un seul album, éponyme (et s'est reformé en 2016). Un petit Jag Panzer, qui jouera au Pyrenean Warriors Open Air 2025 en tête d'affiche s'il vous plaît le 13 septembre, suivi d'Helloween et Subterraneo (groupe espagnol des années 80). On termine cet épisode "heavy metal fever" avec Riot...

Dans une interview (récente) de DJ Yella sur un site que je ne citerai pas, on apprend que les Guns' N Roses voulaient une apparition de NWA pour 10 mns de shows, sur 2 soirs, dans des stades, pour je crois 10 000$ la prestation, et le "management" a exigé 50 000 donc cela ne s'est pas fait... Et pour Yella, cela aurait pu être le début d'une tournée avec les Guns... Et cela aurait retardé la fin du groupe... On démarre avec Eazy E et Too Short, Egyptian Lover, Digital Underground. Pour poursuivre avec du rap latino (Mr Shadow, Brownside), Bone Thugs & Harmony, Above The Law, et des extraits de morceaux de Tairrie B.







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Suite de l'hommage rendu à Eazy E. On démarre avec mister Eric Wright en solo, Digital Underground, et on parle des Guns'N'Roses... Steve Arrington est le suivant sur la liste vu que le morceau "Weak At The Knees" a été samplé pour "Gangsta Gangsta" (et "No vaseline"?), Steve Arrington étant le chanteur du groupe funk SLAVE pendant un moment. Un peu de RD et Aelpeacha pour l'hexagone ("les jeunes se barrent en couilles quand leurs idoles meurent tôt", allez voir le clip "1x2x3x"), Arabian Prince, Funky Aztecs, That's it for tonight...







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30 ans que le Godfather of Gangsta Rap, Hip Hop Thugster nous a quittés... Eric "Eazy E" Wright, décédé le 26 mars 1995, boss du label Ruthless Records, co fondateur des légendaires NWA (Niggaz With Attitude pour les ignares), découvreur de Bone Thugs & Harmony, Black Eyed Peas (sous le nom de ATBAN Clan), Above The Law, Tairrie B... Le premier à signer des groupes latinos (Kid Frost, Brownside...). Mais surtout celui qui a mis Compton sur la carte du rap, et celui qui a propulsé un genre, le "gangsta rap" (on appelait ça plutôt le "reality rap" ou "hardcore rap" au départ). Témoignage d'Aelpeacha chez Driver, un peu de Eazy E, Arabian Prince, Paris, Toker et Brownside, Above The Law, Menajatwa, Bodycount... On notera que malgré la réputation de misogynie du gangsta rap, Eazy E a signé plusieurs groupes et artistes féminins sur son label (Tairrie B, JJ Fad, GBM, HWA, Menajatwa...), ce qui n'est pas le cas de Deathrow à ma connaissance (pas d'artiste rap hormis Lady Of Rage, qui n'a d'ailleurs rien sorti chez Suge Knight)... Il y aura sûrement une suite à cet épisode...

Clin d'oeil aux Spécialistes et aux rockeuses futures notables de Beaune (les Calamités). On démarre avec Xanadu (Big Apple Rappin), les Spécialistes, The Dishrags et Malaria. Rap, punk et post punk donc... On continue avec Gladys Knight & The Pips, Jackie Robinson, Silver Convention et Agathe (avec Regrets), petite session funk/disco. un peu de pop rock avec les Pretenders, Calamités, Cramps, Raincoats (extrait d'une Peel Session de 1979), Marianne Faithful, un peu de gothic doom avec Theatre Of Tragedy, puis on revient au post punk avec Belle Stars, et on termine avec les Calamités (encore? ben oui) et Saliha (sur la compilation "Rapattitude").







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Référence à Girlschool encore, au titre de leur second album... On démarre ceci dit non pas avec "l'école de filles" mais Kleenex/ Lilliput, le groupe suisse post punk, suivi des Stinky Toys, Martha & The Muffins, Bodysnatchers, Suzi Quatro. S'ensuit une petite session goth rock/pots punk avec Sapho, X Mal Deutschland et Super Heroines, avant une doublette heavy metal avec Cauchemar (un extrait de la compilation "Trapped Under Ice") et Acid. Un peu de G Funk avec Tresjur, puis on revient au Royaume-Uni avec Althea & Donna, et The Selecter. Suivent Marianne Faithfull, les Pretenders, les Violators, et on s'arrête là... Pour cet épisode.







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On fait ce qu'on peut pour trouver un titre d'épisode pas trop pourri... Et démarrons avec Conscious Daughters et Janet Kay. On poursuit avec The Coup et les Cramps, certes ce n'est pas une femme au chant ou au rap, mais aux commandes musicales (Poison Ivy pour les Cramps, DJ Pam the Funkstress pour The Coup), puis Girlschool. Ensuite Sapho (interview en 2024 sur France 24 + morceau de 1984), Nina Hagen, Yazoo, Human League (d'accord, le chant féminin n'est pas forcément en avant pour HL). On poursuit avec les Slits, Marianne Faithfull, Shakin Street, Pretenders, les Shangri Las.







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