
Dans ce vingt-et-unième épisode de Ma Misère est si Belle, je parle de ces liens discrets mais puissants — ceux qu’on tisse quand on élève un enfant sans en avoir le titre.
Parce qu’on peut être là, chaque jour, aimer, rassurer, accompagner, sans être “père” ou “mère” sur le papier. Parce qu’on peut faire partie d’une famille sans qu’aucun document ne le dise. Parce qu’il existe des formes d’amour qu’aucun statut ne peut décrire.
Cet épisode, c’est une manière de rendre visible les figures de l’ombre : les belles-mères, les beaux-pères, les tantes, les parrains, les marraines, les amis proches… Tous ceux qui prennent soin, sans reconnaissance officielle, mais avec une présence immense.
C’est une réflexion sur la famille d’aujourd’hui, sur les liens qu’on choisit, sur ce que ça veut dire d’aimer un enfant sans vouloir le posséder. Sur la légitimité, la tendresse, et la force tranquille de ceux qui élèvent sans qu’on les voie.
Parce qu’une famille, ce n’est pas toujours une question de sang — c’est une question de lien. Et parfois, ces liens-là changent tout.
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