Tous les mercredi, on plonge dans une affaire sensible et méconnue de l'histoire, pendant une vingtaine de minutes.
Tous les mercredi, on plonge dans une affaire sensible et méconnue de l'histoire, pendant une vingtaine de minutes.
Mars 1968.
La guerre du Vietnam s'enlise. Les soldats de l'armée américaine tombent un par un, dans des pièges et des embuscades qu'ils ne voient et ne comprennent pas.
La tension est à son paroxysme. Ils sont sur les nerfs et veulent se venger.
C'est dans ce contexte, que va se dérouler le pire massacre de la guerre du Vietnam.
Initialement cachée par les hauts-gradés américains, la violence de ce massacre finira par remonter, inéluctablement, à la surface.
Et ce qu'elle a mis au jour, a glacé le sang du monde entier.
C'est dans cette affaire que nous plongeons aujourd'hui dans la troisième édition de l'Heure de l'Histoire.
Pour soutenir le projet : pensez aux 5 étoiles.
J'ai ouvert un buymeacoffee. Ca me permet de continuer, et de rester indépendant.
Bonne écoute.
Montage son / Montage paroles : Léonard Rouaud
Le 20è siècle a connu un nombre d'horreurs tristement élevé.
Parmi elles, un génocide d'une violence et d'une brutalité extrêmement graves.
Un pays a perdu, sur une plage de plus de 20 ans, un tiers de sa population dans le feu et le sang.
Et pourtant, le bruit des massacres n'a presque pas traversé les frontières occidentales.
Pourquoi ?
Qui était responsable ?
Qui était complice de ces massacres ?
Aujourd'hui, dans l'Heure de l'Histoire, nous plongeons dans les horreurs du génocide des Timorais de l'est.
Montage son / Montage paroles : Léonard Rouaud
Avortements forcés, stérilisations non consenties, déportations d’enfants… À La Réunion, dans les années 60-70, des milliers de femmes et d’enfants ont été victimes de politiques cachées derrière l’idée de “maîtrise démographique”, alors même que l'avortement était encore illégal en métropole.
Mais qu'en a-t-il été vraiment ? Que s'est-il vraiment passé ?
Nous explorons ce récit oublié, qui révèle jusqu’où l’État a pu aller pour décider à la place des plus vulnérables.
Montage paroles / montage son : Léonard Rouaud