La Russie mène une guerre d’agression contre l’Ukraine depuis plus de trois ans et demi, et le pays fait face à une très forte pression financière.
Comment expliquer que le débat sur l’interdiction de l’utilisation des réseaux sociaux aux utilisateurs les plus jeunes soit devenu un enjeu majeur, à la fois au niveau national et européen ?
L’Albanie vient de nommer un nouveau ministre… mais ce n’est pas une personne. Spoiler : il s’agit d’une intelligence artificielle. De quoi parle-t-on exactement ?
Depuis plusieurs mois la France fait face à une crise politique qui ne semble pas vouloir prendre fin.
Lorsqu’on évoque l’espace, on pense à l’exploration, à la Lune, voire à la conquête de Mars. Cet imaginaire cherche à faire de l’Homme l’être capable de dépasser sa condition pour conquérir les environnements les plus hostiles.
L’année 2025 a été marquée par une série de reculs des ambitions environnementales de l’Union européenne. Deux exemples récents l’illustrent bien : la loi Omnibus et le report de la loi anti-déforestation la semaine dernière.
Aujourd'hui, Charline dos REIS BARREIRA parle de l’OLAF, l’Office européen de lutte antifraude et des tensions actuelles avec le Parquet européen.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion Jacques Delors (2024-2025), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Chaque semaine, la série de podcasts "L'Europe vue de Bruges" propose un éclairage original sur l’actualité européenne, vue depuis Bruges. Les intervenant·es sont des étudiant·es de la promotion David Sassoli (2022-2023), des Assistant·es académiques et, plus ponctuellement, des professeur·es.
Les jeunes européens se sont-ils informés et mobilisés lors de ces élections ?
Pas vraiment, les différents sondages prédisaient qu’un nombre très faible de jeunes allait voter, 3 sur 10 en France, qui s’est finalement vérifié dans les urnes avec un taux de participation de 53% chez les 18-24 ans de 53%. Une tendance accentuée chez les 25-34 ans où plus d’un électeur sur deux ne s’est pas déplacé, similaire à la part de jeunes déclarant ne pas comprendre les enjeux de cette élection.
La situation est très tendue depuis plusieurs semaines en Géorgie, ce petit pays situé à la frontière sud de la Russie. Dans la capitale, Tbilissi, des manifestations se succèdent sans interruption. La cause : une loi sur l'influence étrangère adoptée par le parlement géorgien, qui change l'orientation de la politique étrangère du pays et qui rappelle celle de la transition autoritaire de 2012 en Russie. Concrètement, en quoi consiste la loi sur l'influence étrangère ?
La loi sur l'influence étrangère en Géorgie, qui a été adoptée le 28 mai dernier, oblige toutes les ONG et tous les médias qui reçoivent plus de 20 % de leur financement de l'étranger à s'enregistrer en tant qu’« organisation poursuivant les intérêts d'une puissance étrangère » et à se soumettre à un contrôle administratif.
Fin 2023, l’ESA, l’Agence Spatiale européenne, a conclu un contrat avec l’entreprise américaine SpaceX pour le lancement, en 2024, des derniers satellites de la constellation Galileo de la Commission européenne. Pourquoi les Européens, qui ont longtemps dominé le marché avec leurs lanceurs Ariane et Vega, doivent désormais se tourner vers des acteurs étrangers pour pouvoir accéder à l’Espace ?
Ce contrat est vécu comme une humiliation pour certains responsables politiques européens ...
La question de la participation financière des États membres au budget de l’Union européenne revient régulièrement au centre des débats, et notamment pour ces élections européennes. Pourquoi notre contribution fait-elle tant réagir ?
La France a un statut particulier parmi les États membres : nous sommes un contributeur net au budget de l’UE, c’est-à-dire que nous donnons plus au budget communautaire que ce que nous en recevons. En tout, 11 États sont dans cette même situation, dont l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Suède et bien d’autres.
C’est un événement diplomatique important qui a eu lieu la semaine passée : Xi Jinping était en Europe pour la première fois en cinq ans, pour se rendre à Paris, Belgrade et Budapest…
Que peuvent bien avoir Paris, Belgrade, Budapest en commun ? Selon la presse américaine, c’est la volonté de voir la Chine comme un « contrepoids économique » important face aux Etats-Unis. Plus précisément, la visite de Belgrade coïncide avec le 25ème anniversaire de la destruction de l’ambassade chinoise à Belgrade par une frappe de l’OTAN – ce n’est pas anodin. Et pour la Hongrie, la Chine est devenue en 2023 l’investisseur étranger le plus important dans le pays (à hauteur de 10 milliards d’euros).