Les podcasts qui ruminent la santé !
Une série de 10 podcasts, animés par 2 vétérinaires technique Boehringer Ingelheim, construite autour de sujets clés sur la santé mammaire.
Ils racontent le quotidien d'éleveurs et de vétérinaires qui travaillent ensemble à garantir la santé des vaches et la qualité des produits qu'elles nous donnent à consommer.
Leur point commun : leur passion pour une élevage de qualité, respectueux de l'environnement et de la santé des ruminants.
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Les podcasts qui ruminent la santé !
Une série de 10 podcasts, animés par 2 vétérinaires technique Boehringer Ingelheim, construite autour de sujets clés sur la santé mammaire.
Ils racontent le quotidien d'éleveurs et de vétérinaires qui travaillent ensemble à garantir la santé des vaches et la qualité des produits qu'elles nous donnent à consommer.
Leur point commun : leur passion pour une élevage de qualité, respectueux de l'environnement et de la santé des ruminants.
Après le vêlage, la lactation démarre et il faut retirer le bouchon du trayon. Là encore il s’agit d’un nouveau geste technique pour l’éleveur. Au retrait il convient de prendre garde à ne pas fragmenter l’obturateur et faire de ce geste un moyen de contrôle de sa présence dans le trayon pendant toute la durée de la période sèche.
Quand les vaches se reposent au moment de la période sèche (ou tarissement), il est indispensable que le trayon devienne étanche aux germes de l’environnement. Depuis plus de 10 ans l’utilisation d’obturateurs internes de trayon se généralise. Il faut pour cela respecter des règles d’hygiène très strictes et comprendre qu’un obturateur est un bouchon qui doit être appliqué à l’extrémité du trayon, de manière atraumatique.
Une nouvelle règlementation européenne impose de traiter sélectivement les vaches au tarissement. Cela demande une nouvelle expertise pour les éleveurs, et le vétérinaire doit adapter son conseil à chaque élevage qui est particulier. Le but est de limiter la prise de risque pour l’éleveur qui reste une source d’anxiété et de garantir la santé mammaire des vaches.
En pratique, tarir une vache ne se décide pas du jour au lendemain, cela s’anticipe et se programme. A chacun son organisation et son savoir-faire, en fonction de paramètres propres à chaque élevage.
Ce qui est sûr c’est que la première contrainte sera de s’adapter à la date prévue du vêlage et la seconde de fournir à la vache une alimentation et un logement adaptés à cette phase de sa vie.
La vache laitière a droit à un "congé maternité" d’environ 2 mois afin d’achever confortablement la croissance intra-utérine de son prochain veau.
Cet arrêt appelé période sèche est aussi la période la plus favorable pour guérir une éventuelle mammite subclinique d’un ou plusieurs quartiers.
Mais c’est aussi le départ vers une nouvelle lactation. Qu’en pensent les éleveurs et les vétérinaires ?
Quand on aborde le sujet des mammites sub-cliniques un germe est cité par tous avec beaucoup d’appréhension : c’est le staphylocoque doré. Alors comment se débarrasse-t-on de ce germe ? Quelles sont les expériences de chacun ? Comment vétérinaires et éleveurs allient leurs connaissances et leurs pratiques pour travailler ensemble à l’éradication de ce germe en élevage ?
Le coût d’une mammite est difficile à mesurer. Il y a le coût économique avec le prix des médicaments à utiliser et la perte de lait produit par la vache. Il y a aussi le coût en terme de temps supplémentaire à traiter la vache, à surveiller sa convalescence et à valider sa guérison. Mais il y a aussi la charge mentale pour les éleveurs qui voient la santé de leurs vaches se dégrader. Cette charge mentale n’est jamais prise en compte, nous vous en parlons dans ce podcast.
Le lait de vache est très contrôlé et le pis des vaches est sensible aux infections. Voici les 2 principales raisons qui font que tous les gestes comptent pour assurer une bonne hygiène de traite. Mais comment s’y prendre et comment conseiller ? Faisons le tour de ce qui se pratique et se dit en élevage.
Il n’est pas toujours facile de détecter une mammite sub-clinique car les symptômes sont absents alors comment s’y prendre ? Quant aux mammites cliniques elles n’ont pas toutes la même gravité, quels sont les signes ? Depuis plus de 10 ans, l’usage raisonné des antibiotiques conduit éleveurs et vétérinaires à recourir aussi souvent que possible à une bactériologie du lait de la vache atteinte. Selon la bactérie retrouvée, on utilisera l’antibiotique ciblé.
On assimile toujours les mammites à une infection de la mamelle et on oublie souvent l’inflammation qui l’accompagne et qui est source au mieux d’inconfort et au pire de douleur importante pour la vache. Alors l’inflammation en cas de mammite ça se voit ou non ? Est-elle prise en compte dans le traitement ?
Juste une mise en bouche pour énoncer les objectifs des podcasts dans le contexte de l’élevage bovin laitier d’aujourd’hui. Une histoire commune de vétérinaires et d’éleveurs qui travaillent à maintenir en santé des vaches qui produisent du lait pour la consommation des petits et des grands.
Les podcasts qui ruminent la santé !
Une série de 10 podcasts, animés par 2 vétérinaires technique Boehringer Ingelheim, construite autour de sujets clés sur la santé mammaire.
Ils racontent le quotidien d'éleveurs et de vétérinaires qui travaillent ensemble à garantir la santé des vaches et la qualité des produits qu'elles nous donnent à consommer.
Leur point commun : leur passion pour une élevage de qualité, respectueux de l'environnement et de la santé des ruminants.