Ici Claire et Céline ! Ça fait presque une décennie que l'on échange autour d'un sujet qui tient une place primordiale dans nos vies : celui de l'amitié.
Dans ce podcast, nous partageons nos histoires personnelles pour explorer à chaque épisode une facette précise des amitiés. Notre but, c'est de donner plus de visibilité aux amitiés féminines et d'initier des conversations autour de ce sujet, parce que nos amours amicales méritent de prendre enfin plus de place.
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Ici Claire et Céline ! Ça fait presque une décennie que l'on échange autour d'un sujet qui tient une place primordiale dans nos vies : celui de l'amitié.
Dans ce podcast, nous partageons nos histoires personnelles pour explorer à chaque épisode une facette précise des amitiés. Notre but, c'est de donner plus de visibilité aux amitiés féminines et d'initier des conversations autour de ce sujet, parce que nos amours amicales méritent de prendre enfin plus de place.
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Un bouleversement auquel nous n’étions pas préparées dans notre vie sociale, c'est quand, autour de la trentaine, les enfants entrent dans nos cercles amicaux. D'ailleurs, on parle parfois de “désert amical” : entre les sphères amoureuses, familiales et professionnelles qui se resserrent, beaucoup de liens se distendent, et la solitude peut devenir brutale, qu’on ait des enfants ou non.
Ces dernières semaines, nous avons sorti 2 épisodes sur le sujet : un avec Élise du podcast Prenons un café, qui donne la perspective d'un parent.
Dans le second, on discute de notre perspective de nullipares.
Ces épisodes font entendre des perspectives différentes, mais maintenant... ON FAIT QUOI ?
Eh bien, on revient sur certains points, on les confronte et on essaye d'en tirer des leçons et des clefs pour mieux se comprendre mutuellement. Ainsi, on espère contribuer à vous préparer à ces changements, ou bien à renouer des liens distendus... Ou simplement, à vous faire vous sentir moins seul·es : d'autres personnes ressentent probablement la même chose que vous !
Cet épisode est fait pour toi, que tu aies besoin d'un bilan concret sur le sujet, ou que tu aies la flemme d'écouter les 2 premiers épisodes et l'envie d'aller à l'essentiel !
✨ Les Copines d'abord est un podcast auto-produit par nos soins. Si notre travail te plaît et que tu crois aussi que l'amitié peut insuffler de la force dans nos quotidiens et nos luttes, la meilleure manière de nous soutenir est de laisser un commentaire et un like, et - surtout ! - de l'envoyer à l'amie à laquelle tu as pensé en écoutant cet épisode. Tu peux aussi nous retrouver sur toutes les plateformes d'écoute de podcasts, et sur instagram @lescopinesdabord.podcast
ou nous contacter par email : lescopinesdabord@ecomail.fr ✨
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À l’origine de ce podcast, il y a nos conversations sur les hauts et les bas de l’amitié. Mais s’il est un bouleversement auquel nous n’étions pas préparées, c’est celui qui arrive autour de la trentaine, quand les enfants entrent dans nos cercles amicaux. D'ailleurs, on parle parfois de “désert amical” : entre les sphères amoureuses, familiales et professionnelles qui se resserrent, beaucoup de liens se distendent, et la solitude peut devenir brutale, qu’on ait des enfants ou non.
C'est pourquoi nous avons décidé, avec cette série d'épisodes sur parentalité et amitié, de combler un peu le fossé qui se creuse parfois entre parents et nullipares.
Dans ce deuxième épisode, nous discutons de l'impact de la parentalité de nos ami·es sur nos vies à nous, qui n'avons pas d'enfants.
On aborde sans tabou, en vrac : la peur de l'abandon et/ou du changement, les questions que l'on ne peut pas poser parce que le temps n'est pas venu ou par peur d'avoir l'air égocentré·es, l'envie de rencontrer des personnes qui n'ont pas d'enfants (et la culpabilité qui accompagne ce "tri sélectif"), les nominations de parrains-marraines qui secouent les groupes d'ami·es, la flexibilité que ces changements demandent, et le jugement parfois, aussi...
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dans cet épisode nous parlons de :
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À l’origine de ce podcast, il y a nos conversations sur les hauts et les bas de l’amitié. Mais s’il est un bouleversement auquel nous n’étions pas préparées, c’est celui qui arrive autour de la trentaine, quand les enfants entrent dans nos cercles amicaux. D'ailleurs, on parle parfois de “désert amical” : entre les sphères amoureuses, familiales et professionnelles qui se resserrent, beaucoup de liens se distendent, et la solitude peut devenir brutale, qu’on ait des enfants ou non.
C'est pourquoi nous avons décidé, avec cette série d'épisodes sur parentalité et amitié, de combler un peu le fossé qui se creuse parfois entre parents et nullipares.
Dans ce premier épisode, nous accueillons Élise Bultez, coach pour entrepreneur·es avec (ou sans !) neuroatypie, et ancienne hôte du podcast Prenons un Café. Grâce à son expérience de maman et grâce aux nombreux témoignages qu'elle a récoltés derrière son micro, Élise répond aux questions que nous n'avons pas osé poser à nos amies lorsqu'elles sont devenues mères. Avec franchise et bienveillance, elle aborde les amitiés qui brisent la solitude, et celles brisées par les changements d'habitudes.
Elle parle alors de la charge mentale qui oblige à faire des choix, des nouvelles rencontres permises par la parentalité, et des amitiés d'un enfant au sein d'une famille. Car aujourd'hui, Élise navigue sereinement entre sa vie sociale, son entreprenariat et sa vie de famille... Mais ça n'a pas toujours été le cas : elle nous livre donc ses hauts et ses bas, agrémentés de petits conseils.
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Tu peux retrouver Prenons un Café, l'ancien podcast d'Élise sur toutes les plateformes d'écoute. Dans cet épisode, elle mentionne :
Tu peux aussi la retrouver sur Instagram @elise_entreprend_avec_tdah : Élise est toujours ravie de papoter en MP ! :)
dans cet épisode nous parlons de :
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On en parlait dans notre épisode sur les meilleur·es ami·es : le rôle de la confidente, celle à qui on peut absolument tout dire, a bonne presse. Mais qu'est-ce que cela signifie ? Souvent, il s'agit d'une relation idéalisée, une amitié au sein de laquelle on pourrait se confier sur tous les sujets, sans risquer de se sentir jugé·e. C'est cette idéalisation aussi qui fait qu'on peut se sentir blessé·e parfois quand un·e ami·e choisit de taire une information. À défaut peut-être de dégoter cette amie, on pense de notre côté qu'identifier les sujets qu'on veut pouvoir aborder dans une relation est un bon point de départ pour mieux comprendre ses propres besoins relationnels.
D'un autre côté, est-ce que "pouvoir parler de tout" recouvre de pouvoir aborder comme on veut le sujet de la relation qu'on entretient avec notre ami·e ? Dans une culture où l'on n'apprend pas à se disputer et où l'on confond souvent conflit et agression, parler du quotidien ou de nos tracas perso est une chose, mais qu'en est-il lorsqu'il s'agit d'aborder une relation qui tourne au vinaigre ? Très vite, la peur de faire de la peine ou de mettre en colère peuvent freiner, au risque de minimiser son propre ressenti.
C'est pourquoi cet épisode aborde aussi les conflits qu'il vaut mieux, selon nous, désamorcer ou laisser s'éteindre seuls. En prime, on vous vous offre quelques outils pour tenter d'assainir les relations qui en ont besoin.
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Les études supérieures sont souvent perçues comme un moment de forte socialisation, entre les soirées étudiantes, les erasmus, les associations, et même cette engeance venue droit des enfers : les travaux de groupe. Pourtant, c'est aussi une période difficile de la vie, pendant laquelle on est parfois soumis aux doutes, au manque d'argent voire de temps, et à la pression de réussir, notamment à trouver "sa voie" (comme s'il n'y en avait qu'une, et qu'elle était sacrée). Pas étonnant qu'il s'agisse d'un moment où les rivalités sont parfois exacerbées. Alors, comment se fait-il que, aujourd'hui, une part importante de notre cercle d'ami·es nous vienne de nos études ? Est-ce parce qu'on les a rencontrés plus tard, à une période de plus grande maturité relationnelle ? Ou bien parce qu'on présente des centres d'intérêt communs, qui ont été mis en valeur pendant les études ? Nous explorons ces questions, et bien d'autres, dans cet épisode.
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As-tu déjà ressenti une pointe de stress, juste avant que deux de tes ami·es, issu·es de cercles différents, ne se rencontrent ?
Mélanger ses cercles d’ami.e.s est un sujet qui divise, si certain.e.s le font tout naturellement, d’autres ne s’y risqueraient pas. C’est pourquoi nous avons décidé de consacrer un épisode à ce thème !
Bien des obstacles s’imposent au fait de rassembler différents cercles. Au delà de la logistique, s’assurer que tout le monde passera un bon moment peut suffire à faire monter la pression, d’autant plus dans le cadre d’événements qui catalysent des rivalités, comme les EVJF par exemple. La perspective de mélanger ses ami.e.s semble réveiller différentes angoisses : de la peur du rejet à la FOMO, en passant par la crainte que personne ne vienne, autant de raisons qui peuvent refroidir l’envie de se lancer dans l'aventure.
Pourtant, nous sommes persuadées que mélanger ses ami.e.s peut être une grande source de joie. Ces moments offrent des boost de confiance et des shots d’amour, pour celleux qui organisent comme pour les invité.e.s. Il paraîtrait même que cela peut, à terme, renforcer nos relations (big up à la fermeture triadique) !
Que ce soit pour un micro événement ou un maxi moment, voir des amitiés naître peut être magnifique. Et puis, est-ce vraiment dramatique, si nos ami·es refusent, le moment venu, de se mêler les un·es aux autres ?
Embarquez avec nous et venez vous laisser convaincre par notre Hot take: mélanger ses cercles d’ami.e.s, c’est cool!
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Cet épisode parle de :
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La figure de la meilleure amie est partout – littérature, cinéma, ou musique, et tout particulièrement dans les œuvres destinées aux jeunes filles. Mais existe-t-elle ailleurs que dans notre imaginaire ? Qu’est-ce que cela signifie, en réalité, d’être la meilleure amie de quelqu’un·e ?
Dans cet épisode, on explore les multiples facettes de cette figure avec laquelle on a grandi : l’amie-refuge, celle que l’on connaît depuis notre plus tendre enfance et dont on n’a jamais repensé le statut, ou la confidente qui nous connaît mieux que quiconque, vers qui on se tourne dans les hauts et les bas…
Ce statut exclusif promet une proximité unique, qui peut parfois donner aux autres le sentiment d’être rejeté·es à la périphérie de notre vie. À cela, s’ajoute la pression sociale à « avoir une meilleure amie », en particulier dans l’enfance. Ne pas avoir de meilleur·e ami·e, c’est aussi parfois se sentir relégué·e au 2nd plan, comme si l’on ne méritait pas d’accéder à cette place si convoitée.
À travers nos trajectoires diamétralement opposées, nous décortiquons ce qui rend la meilleure amie si singulière : ce qu’elle apporte de soutien et de joie, et les douleurs qu’elle peut engendrer. Que tu aies toi-même une meilleure amie, ou que tu sois allergique à ce statut, tu trouveras de quoi nourrir ta pensée et tes représentations de cette fameuse BFF.
Cet épisode parle de : soutien inconditionnel, confidences, amitié d’enfance, soin, rejet, insécurités
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La pop-culture est partout et nous façonne: des scripts d’amitié que nous avons intégrés aux modèles et représentations de ce que serait un·e vrai·e bon·ne ami·e. Nous mêmes sommes friandes de films, livres et séries en tout genre, quoi de plus normal donc, que de consacrer un épisode à décortiquer des œuvres culturelles qui ont retenu notre attention, positivement ou non d'ailleurs.
Avec notre invitée spéciale Élodie, créatrice du podcast Gang de copines, nous abordons tour à tour une œuvre dont nous soulignons les aspects positifs, ou une œuvre face à laquelle nous sommes plus critiques des amitiés qui nous sont présentées. Au programme 📽️: les mondes de Ralph 2, Le Diable s’habille en Prada, Alerte Rouge, Wish, Home for Christmas et Harry Potter… 👀
Prenez une petite boisson, installez vous confortablement et venez nous écouter nous enflammer ou déclarer l’amour que l’on porte à un de ces films. Et vous, quelles sont vos recommandations ?
Cet épisode parle de : changement, soutien, charge émotionnelle, pardon, famille, communication, compréhension, jugement, pression sociale
Voici les épisodes de Gang de Copines par lesquels on te recommande de démarrer ton écoute :
L'épisode avec Cécile, sur sa maman décédée.
L'épisode avec Magali, sur les ruptures amicales.
L'épisode que l'on a enregistré au micro d'Élodie, où l'on parle de notre vision de l'amitié, de la sororité, et de notre relation, à toutes les deux !
L'épisode avec la maman d'Élodie.
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« Peut-être que grandir c’était juste s’éloigner » Jennifer E. Smith
Plus on grandit et plus notre personnalités et nos goûts s’affirment, notamment à travers nos choix et nos valeurs, voire nos opinions politiques. Les amitiés nouées dans l’enfance portent en elle une forme d’innocence, elles survivent parfois en grandissant, au prix, dans certains cas, d'un certain éloignement.
Ce sont ces amitiés qu’on retrouve en rentrant dans des endroits où on a vécu plus ou moins longtemps, dont on ne sait trop si les voir « vaudra le coup », mais dont on ne sait non plus si on souhaite s’en détacher, ni comment. Ce moment à deux, pendant lequel on a si peu à se dire mérite-t-il de se blesser, en annonçant vouloir "rompre" ?
Alors que faire des ami·e·s d’enfance avec lesquel·les on ne partage plus rien ? Soigner la relation dans l’espoir d’une évolution future ? Profiter de ces petits moments de nostalgie qu’on partage ensemble ? Ou bien encore, couper les ponts ?
Ensemble, nous explorons dans cet épisode les différentes pistes qui s’offrent à nous.
Cet épisode parle : d’amitiés d’enfance, d’éloignement, de différences, de valeurs, de rupture amicale, de renouer, de créer des souvenirs communs
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Dans cet épisode, nous explorons les croyances sous toutes leurs formes, qu’elles soient religieuses, spirituelles, ou intellectuelles. On parle des rites religieux aussi bien que des pratiques new age - tarot, psycho-généalogie, et compagnie, en passant par les fake news… Tout cela, pour mesurer, comparer et analyser leurs conséquences sur nos amitiés.
On explore comment ces sujets, qui entretiennent des liens forts avec nos émotions, peuvent entraver nos liens, ou bien les resserrer. Ils peuvent parfois constituer des espaces d’intimité et d’exploration de soi et des autres, qui offrent des codes différents de ceux qui sont communément admis. D'autres fois, ils deviennent des pentes glissantes et des sujets que l'on préférerait éviter. On se demande alors comment montrer notre respect envers les croyances de nos ami·es, mais aussi comment réagir face à un·e ami·e qui semble s’isoler, se radicaliser ou se ruiner dans des croyances qui semblent la malmener.
Enfin, on en profite pour se demander quelles racines l’amitié trouve dans les croyances religieuses et quelles valeurs celles-ci ont en commun (sororité, bienveillance, respect,…).
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Dans cet épisode, on parle de :
respect des croyances,
débats & fake news
spiritualité (ésotérisme, religion)
éducation religieuse
valeurs religieuses
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L’expatriation fait partie des paramètres qui, au cours d'une vie, peuvent renforcer ou challenger nos relations. Nous sommes expatriées depuis une dizaine d'années : cet épisode est l'occasion de réfléchir à ce qui complique les liens en situation d'expatriation.
D'abord, rencontrer de nouvelles personnes peut s’avérer fatiguant, notamment dans un quotidien déjà bouleversant. De plus, la langue joue un rôle essentiel dans l’expression de notre personnalité. Sa faible maîtrise peut donc représenter une frustration, voire un véritable frein. Lorsque des différences culturelles s'ajoutent (de quoi rit-on dans ce pays ? À partir de quand sommes-nous ami•es ? Quels sont les codes de la sociabilisation ?), il y a vite de quoi se sentir dépassé•e...
Malgré tout, une pression subsiste parmi les expat : celle de se faire des amis parmi "les locaux", ce qui serait le signe d'une expatriation réussie. Pourtant, dans une situation de sortie fréquente de sa zone de confort, il est tentant de se rapprocher de gens de notre nationalité, pour se sentir moins seul•e et mieux compris•e...
Mais lorsqu'on noue des liens avec d'autres expat' le problème des départs se présente parfois. Il n'est pas évident de voir ses ami•es partir, et d'accepter de nouer des liens à durée déterminée. Le spectre des départs fait partie intégrante de la vie à l’étranger, et avec lui le sentiment de devoir renouveler fréquemment son cercle amical...
Bref, cet épisode, qui est loin d'être tout négatif, complète le chapitre des expatriations et de l’amitié par une réflexion non romancée sur le sujet !
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Cet épisode parle de :
• barrière de la langue,
• personnalité & humour,
• départs et distance
• relations profondes
• différences culturelles
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L’apparence occupe une grande place dans notre société. Alors, c’est sans surprise que les préoccupations sur le physique infiltrent aussi nos amitiés.
Cela peut aller d’une banale remarque sur le physique ("oh, tu t'es coupé les cheveux !") à des commentaires plus pernicieux mais, qu’on le veuille ou non, notre apparence et la manière dont elle est analysée s’impose à nous.
La conscience de nos corps démarre dès l'enfance, période pendant laquelle le regard des autres (souvent des adultes) agit parfois comme un recadrage violent. Mais c’est pendant la puberté et l’adolescence que la question du physique commence à prendre le plus de place. La popculture s'inspire d'ailleurs souvent des moments de partage ou de rivalités qui en découlent, en dépeignant des personnages parfois simplistes, allant de la superficielle écervelée à l'intello négligée.
Dans cet épisode, on s'interroge sur la place de l’apparence dans nos amitiés (comment parler de nos complexes ?, l'attirance physique est-elle un facteur d'amitié ?), et sur l'impact des amitiés sur notre rapport à notre apparence. Ces relations peuvent en effet être un terreau fertile aux complexes, mais elles peuvent aussi devenir des espaces de prise de confiance en soi, ou d’apprentissage de codes sociétaux & techniques pour se sentir mieux dans sa peau.
Cet épisode parle de :
Complexes physiques,
troubles du comportement alimentaire,
script d’amitiés,
grandir ensemble, se conseiller, se complimenter, s'entraider,
authenticité / superficialité.
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Dans nos cercles, les complexes physiques s’invitent parfois dans les discussions, pour donner lieu à ces moments étranges de dénigrement collectif, où chacun·e énumère ce qu’il/elle n’aime pas chez soi… sans vraiment écouter l’autre. Et si on changeait ça ?
Dans cet épisode, on s’interroge sur la place qu’occupent ces conversations dans nos amitiés. En prêtant attention à ce que nos ami·es expriment — ou taisent — on peut ouvrir des discussions plus profondes sur la pression sociale qui pèse sur nos corps, mais aussi sur le mal-être réel qui peut se cacher derrière un "simple" complexe.
Cet épisode est aussi l’occasion de mettre en lumière l’importance du rôle des proches, notamment dans le soutien aux personnes concernées par des troubles du comportement alimentaire ou des troubles psychiques. Il s’inscrit dans le cadre du Podcasthon 2025, et nous y mettons à l’honneur l’Union Nationale des Familles et Amis de personnes Malades ou handicapées psychiques (UNAFAM). Grâce à l’UNAFAM, les aidants peuvent trouver de l’aide leur tour, parce que prendre soin de ses ami·es demande de pouvoir s’entourer, se renseigner et trouver des ressources.
Un épisode à écouter en attendant notre prochain rendez-vous, le 2 avril, consacré à la place de l’apparence dans nos amitiés.
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Toutes deux friandes de films, séries, bouquins et autres supports de (pop)culture, nous avons remarqué que, dans les histoires qu’on nous raconte, ce sont souvent les mêmes moments qui sont représentés pour donner à voir les amitiés (les confidences dans la salle-de-bains, la copine qui te soutient en cas de rupture, la meilleure pote devenue témoin de mariage…). Ces moments, qui suivent souvent des scripts assez similaires, se retrouvent aussi dans la vraie vie, et notamment sur les réseaux sociaux.
En effet, ces espaces sont propices à la mise en scène de soi et, vous le devinez, à la performance de l'amitié. Mais concrètement, comment performe-t-on l’amitié sur les réseaux ? Quelle image de soi veut-on montrer quand on se met en scène comme une personne dont la vie sociale est riche et épanouissante ? Et quelles conséquences peuvent découler de ces modèles d'amitié représentés de toutes parts ?
Des skyblogs aux influenceuses, en passant par les mots dans les agendas et les recherches sur le bonheur, de Sarah Troche et Geraldine Sfez, cet épisode est une invitation à réfléchir à notre besoin d’être perçu comme un·e bon·ne ami·e.
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« Tout est politique » et nos amitiés le sont aussi.
C’est d’ailleurs l’essence de ce podcast, à travers lequel nous voulons redonner aux amitiés une meilleure place. Mais la politique est-elle un sujet en soi, au sein de nos amitiés ?
Considérée comme très intime, l’intention de vote des un.e.s et des autres n’est pas nécessairement révélée. Pourtant, les valeurs d’un vote transparaissent parfois dans les interactions quotidiennes. Alors, peut-on être ami.e.s avec quelqu'un dont nous ne partageons pas l’opinion politique ? Est-ce que ces divergences peuvent représenter un frein à l’amitié ? Et si on ne souhaite pas se laisser freiner, que faire pour continuer de développer notre amitié ?
Cet épisode parle de :
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Entre les fameux « Alors, on le/la rencontre quand ? » des débuts de la relation et les ruptures qui bouleversent parfois tout, qu’on les apprécie ou non, les partenaires de nos ami·es font partie de leur vie, et souvent un peu de la nôtre aussi. Parfois cela se passe bien, parfois moins. Mais alors, faut-il dire à notre ami·e lorsque l’on n’apprécie pas son ou sa partenaire ? Quelles attentes peut-on légitimement avoir envers cette personne que notre ami·e fait parfois entrer dans notre relation plus qu’on ne le voudrait ?
Au fil des célibats, des mariages, et des nouvelles rencontres, leur présence peut impacter la dynamique de nos amitiés : distances, ajustements, nouvelles complicités, déceptions ou doutes… Comment trouver un équilibre entre soutien, honnêteté et respect des choix de nos ami·es en couple ?
Cet épisode parle de :
• honnêteté
• disparaître quand on est en couple
• loyauté
• risques de violences conjugales
• double-dates
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Tu te souviens de cette époque où, sans hésiter, on demandait : « Tu veux être ma copine ? » ?
Ces premières relations, marquées par le jeu, la liberté, la complicité, et un imaginaire sans limite, sont nos premiers liens choisis, ce qui explique qu'elles soient si souvent évoquées avec tendresse.
Pourtant, les amitiés d'enfance ne sont pas dénuées de drames. L'influence des adultes, les secrets trahis, le début des rivalités, et la peur du rejet… Ces souvenirs marquants peuvent contribuer à façonner nos relations durablement. Dans cet épisode, on se plonge dans ces amitiés parfois fondatrices, et on se pose une question : et si leur apparente candeur pouvait nous aider à réinventer nos manières de vivre l'amitié ?
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En ce mois de décembre souvent recentré sur la famille, Les Copines d'abord se déclinent en calendrier de l'Avent pour replacer les amitiés dans tes fêtes de fin d'année. Tu trouveras ici quelques capsules sonores tout au long du mois, mais si tu souhaites faire le plein de surprises, on te donne rendez-vous sur Instagram @lescopinesdabord.podcast, où l'on te réserve une surprise par jour.
Dans la capsule du jour, Céline aborde une différence fondamentale entre les amitiés masculines et féminine qui lui a sauté aux yeux pendant ses recherches, après avoir entendu Johanna Cincinatis Abramowicz en parler dans le Podcast Agapé et les autres.
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En ce mois de décembre souvent recentré sur la famille, Les Copines d'abord se déclinent en calendrier de l'Avent pour replacer les amitiés dans tes fêtes de fin d'année. Tu trouveras ici quelques capsules sonores tout au long du mois, mais si tu souhaites faire le plein de surprises, on te donne rendez-vous sur Instagram @lescopinesdabord.podcast, où l'on te réserve une surprise par jour.
Dans la capsule du jour, Claire rend hommage à l'initiative de Solange pour faire de son lieu de vie un espace ouvert à ses ami·es et à la possibilité de faire de nouvelles rencontres.
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