Sais-tu comment était la vie des mineurs, au temps de tes grands parents et de tes arrière-grands parents ? Aujourd’hui, on t’emmène sur les pas des mineurs: c’était tout un monde sous terre, celui du charbon. Un monde fascinant qui a marqué notre région.

Pour te raconter cette histoire, on a poussé les portes du centre historique minier de Lewarde, qui se trouve près de Douai.

Dans ce cinquième épisode, on va évoquer les conditions de travail des mineurs. Premier point : les mines étaient un monde très bruyant ! L’outil phare du mineur, dans les mines modernes, était le marteau-piqueur. Il faisait du bruit, pesait près de 7 kilos et vibrait. Et puis, il faisait chaud (plus on descend sous terre, plus la température s’élève). Les mineurs mangeaient un goûter appelé briquet. Et toi, aurais-tu envie d’aller travailler à la mine ? Écoute bien les réponses des élèves de CM1 de Sin-le-Noble !

Sais-tu comment était la vie des mineurs, au temps de tes grands parents et de tes arrière-grands parents ? Aujourd’hui, on t’emmène sur les pas des mineurs: c’était tout un monde sous terre, celui du charbon. Un monde fascinant qui a marqué notre région.

Pour te raconter cette histoire, on a poussé les portes du centre historique minier de Lewarde, qui se trouve près de Douai.

Dans ce quatrième épisode, on va évoquer les dangers de la mine. Le risque principal était celui des éboulements. Mais il y avait aussi un gaz très dangereux : le grisou. Dans la région, il y a eu plusieurs catastrophes dues à des coups de grisou, comme celle de Courrieres en 1906, qui a fait plus de 1000 morts ou plus récemment, la catastrophe de Liévin, en 1974 qui a fait une quarantaine de morts. Autres dangers: les nappes phréatiques et les poussières de charbon qui pouvaient entraîner une maladie, la Silicose. Bref, aller sous terre était très inhospitalier !

Sais-tu comment était la vie des mineurs, au temps de tes grands parents et de tes arrière-grands parents ? Aujourd’hui, on t’emmène sur les pas des mineurs: c’était tout un monde sous terre, celui du charbon. Un monde fascinant qui a marqué notre région.

Pour te raconter cette histoire, on a poussé les portes du centre historique minier de Lewarde, qui se trouve près de Douai.

Pour ce troisième épisode, on s'intéresse aux animaux qui travaillaient au fond de la mine. Dans le Nord, ce sont surtout des chevaux qui ont été utilisés. Il fallait qu'ils soient à la fois petits et très costauds. Et devine quel poids ils pouvaient tirer ? Jusqu'à 6 tonnes !

Sais-tu comment était la vie des mineurs, au temps de tes grands parents et de tes arrière-grands parents ? Aujourd’hui, on t’emmène sur les pas des mineurs: c’était tout un monde sous terre, celui du charbon. Un monde fascinant qui a marqué notre région.

Pour te raconter cette histoire, on a poussé les portes du centre historique minier de Lewarde, qui se trouve près de Douai.

Dans ce deuxième épisode, on te parle de la tenue des mineurs. Avant d'aller travailler, ils passaient par la salle des pendus ! Ne t'inquiète pas, ça ne fait pas peur du tout ! Mais en plus de leurs habits de travail, ils avaient aussi un objet très important, toujours avec eux... leur lampe !

Sais-tu comment était la vie des mineurs, au temps de tes grands parents et de tes arrière-grands parents ? Aujourd’hui, on t’emmène sur les pas des mineurs: c’était tout un monde sous terre, celui du charbon. Un monde fascinant qui a marqué notre région.

Pour te raconter cette histoire, on a poussé les portes du centre historique minier de Lewarde, qui se trouve près de Douai.

Dans ce premier épisode, on va te parler du charbon. Le charbon a longtemps été comme un trésor super précieux car il servait à se chauffer. Dans la région, on a commencé à exploiter le charbon au XVIIIe siècle. Mais c'est quand on invente toutes les machines à vapeur que l’exploitation des mines démarre à fond…

Dis, c’était comment l’école à l’ancien temps ? Dans cette nouvelle série de podcasts, on t’emmène découvrir l’école à l’ancienne: celle du temps de tes grands-parents, de tes arrière grands parents, voire de tes arrière-arrière grands parents ! Pour en parler, on va suivre Michel Bodin, bénévole au musée des écoles, à Lille. Il en connaît un rayon, normal, il a lui-même été un instituteur pendant 40 ans. Et pour réaliser ce podcast, on a suivi la classe de CE1-CE2 de Mme Nathalie de l’école Saint-Edmond de Wasquehal.

Pour ce sixième et dernier épisode, on parle des jeux et récompenses d'autrefois. Connais-tu la Croix d’honneur ? C’était l’une des récompenses que les maîtres pouvaient attribuer autrefois aux élèves sages ! C’était un peu l’inverse... du bonnet d’âne. À l’école à l’ancienne, les maîtres rivalisaient d’imagination pour mettre en avant les bons écoliers. Il y avait des systèmes de bons points mais surtout, en fin d’année, la fameuse distribution des prix. Sais-tu qu’il existait des prix de la camaraderie, de l’exactitude ou encore de «l’amour du silence» ? Toutes ces anecdotes sont racontées par Michel Bodin, bénévole au musée des écoles de Lille, qui évoque aussi les jeux d’antan et le certificat d’études.

Pour ce cinquième épisode, on évoque l'hygiène et les toilettes. Sais-tu qu'à l'école à l'ancienne, le maître ou la maîtresse vérifiait la propreté des mains ? L'hygiène, c'était le grand sujet à une époque où il était beaucoup plus difficile de se laver qu'aujourd'hui : dans les années 50, seule la moitié des maisons avait l'eau courante en France. De même, le papier toilettes a été commercialisé en masse dans ces années-là. Autrefois, on utilisait du papier journal et les toilettes étaient tout au bout de la cour de récré. Il s'agissait de fosses qu'on vidait... sur les jardins !

Dis, c’était comment l’école à l’ancien temps ? Dans cette nouvelle série de podcasts, on t’emmène découvrir l’école à l’ancienne: celle du temps de tes grands-parents, de tes arrière grands parents, voire de tes arrière-arrière grands parents ! Pour en parler, on va suivre Michel Bodin, bénévole au musée des écoles, à Lille. Il en connaît un rayon, normal, il a lui-même été un instituteur pendant 40 ans. Et pour réaliser ce podcast, on a suivi la classe de CE1-CE2 de Mme Nathalie de l’école Saint-Edmond de Wasquehal.

Pour ce quatrième épisode, on évoque les règles de vie très sévères qui régissaient l’école à l’ancienne. Alors que les enfants étaient souvent plus de 50 par classe, les punitions étaient légion pour cadrer les enfants. Bonnets d’âne, écriteaux autour du cou… à Lille, un maître attribuait aussi le « cornichon de bronze » aux cancres ! Aujourd’hui, rappelons que tous les châtiments corporels ou humiliants sont interdits à l’école. Et puis, les écoliers d’antan avaient aussi, tous les jours, des leçons de morale.

Dis, c’était comment l’école à l’ancien temps ? Dans cette nouvelle série de podcasts, on t’emmène découvrir l’école à l’ancienne: celle du temps de tes grands-parents, de tes arrière grands parents, voire de tes arrière-arrière grands parents ! Pour en parler, on va suivre Michel Bodin, bénévole au musée des écoles, à Lille. Il en connaît un rayon, normal, il a lui-même été un instituteur pendant 40 ans. Et pour réaliser ce podcast, on a suivi la classe de CE1-CE2 de Mme Nathalie de l’école Saint-Edmond de Wasquehal.

Pour ce troisième épisode, retour sur la non-mixité de l’école à l’ancienne. Sais-tu que pendant longtemps, les filles et les garçons n’étaient pas mélangés ? Il a fallu attendre les années 60, 1965 même, pour que les écoles soient mixtes, à quelques exceptions près. Et puis, les filles et les garçons n’apprenaient pas la même chose à l’école. Pour les filles, c’était couture et pour les garçons... bricolage. Découvre toutes ces anecdotes dans notre nouveau podcast !

Deuxième épisode sur ce qu'on mangeait à l'école à l'ancienne. Sais-tu que pendant longtemps, le midi, les enfants mangeaient ce qu'ils avaient ramené dans leur boîte? Puis la cantine a été inventée pour offrir au moins un repas gratuit aux enfants qui, parfois, ne mangeaient pas à leur faim. Et encore plus étonnant, sais tu ce qu'on buvait à la cantine ? De la bière ! Jusque dans les années 80 au lycée. Découvre toutes ces anecdotes dans notre nouveau podcast !

Dis, c’était comment l’école à l’ancien temps ? Imagine, il y avait un poêle à charbon dans les classes, on écrivait à la plume avec des buvards, les maîtres portaient des blouses et pouvaient donner des coups sur les doigts avec leurs règles… Les enfants portaient des culottes courtes et à la récré, ils jouaient aux osselets. C’était il y a longtemps mais ce n’est pas si vieux… Dans cette nouvelle série de podcasts, on t’emmène découvrir l’école à l’ancienne: celle du temps de tes grands-parents, de tes arrière grands parents, voire de tes arrière-arrière grands parents !

Pour en parler, on va suivre Michel Bodin, bénévole au musée des écoles, à Lille. Il en connaît un rayon, normal, il a lui-même été un instituteur pendant 40 ans. Et pour réaliser ce podcast, on a suivi la classe de CE1-CE2 de Mme Nathalie de l’école Saint-Edmond de Wasquehal.

Aujourd'hui, le premier épisode: le rythme et les vacances. Sais-tu que pendant longtemps, les vacances duraient jusqu'au 1er octobre ? Et que les enfants travaillaient le mercredi et même le samedi ? Découvre-le dans notre nouveau podcast !

« En ce qui la concernait, c’était là qu’elle finissait à coup sûr par s’échouer. Quand l’absence de sa mère lui pesait trop. Dans ce grenier lugubre à peine éclairé par une étroite lucarne en œil-de-bœuf. Elle s’y blottissait en fixant l’horizon. Si par bonheur il prenait l’envie à sa mère de refaire surface, elle voulait être la première à apercevoir sa silhouette, au loin… » Dans ce nouvel épisode des Ch’tites histoires, plongez dans l’univers mélancolique et magique de Nora. Le conte intitulé « Un bonheur n’arrive jamais seul ou le Noël de Nora » est écrit par un journaliste de La Voix du Nord, Laurent Breye.

Pour Noël, nous vous avons proposé une histoire inédite chaque mercredi de décembre. Les vacances scolaires, c’est l’occasion, aussi, de redécouvrir le calendrier de l’Avent en podcasts. Des chroniques audio de 5 à 10 minutes que vous pouvez écouter où et quand vous voulez, en famille, sur la route, ou avec un casque sur les oreilles avant de dormir.

Au lendemain du Réveillon, Lison se promène aux abords d'un terril. Alors qu'elle tente de semer Robin et Théo, elle tombe dans un énorme trou. Elle se fraye un chemin dans des tunnels sombres, mais lorsqu'elle fait un pas de plus, elle entend un petit cri...

Dans ce nouvel épisode des Ch’tites histoires, découvrez le conte intitulé « Lison et la fée du terril ». Une histoire originale écrite par le journaliste de La Voix du Nord, Thomas Evrard.

Avant Noël, nous vous proposons une histoire inédite tous les mercredis. L’occasion, aussi, de redécouvrir le calendrier de l’Avent en podcasts. Des chroniques audio de 5 à 10 minutes que vous pouvez écouter où et quand vous voulez, en famille, sur la route, ou avec un casque sur les oreilles avant de dormir.

Certains se prennent de passion pour les timbres, les vieilles pièces de monnaie ou les grains de sable des quatre coins du monde, lui collectionnait les histoires. Pas celles que l'on trouve dans les livres, mais des histoires qu'il a vues ou entendues au cours de sa vie. Le vieux collectionneur les consignait depuis toujours dans des carnets. Un matin, à l'aube, un étranger frappa à sa porte.... Il cherchait une histoire très particulière.

Dans ce nouvel épisode des Ch’tites histoires, découvrez le conte intitulé «Le Collectionneur d’histoires et le visiteur de Noël». Un conte original écrit par un journaliste de La Voix du Nord, Stéphane Pralat.

Avant Noël, nous vous proposons une histoire inédite tous les mercredis. L’occasion, aussi, de redécouvrir le calendrier de l’Avent en podcasts. Des chroniques audio de 5 à 10 minutes que vous pouvez écouter où et quand vous voulez, en famille, sur la route, ou avec un casque sur les oreilles avant de dormir.

Sais-tu qu’il y a longtemps, en 1962, la Poste a ouvert son secrétariat du père Noël. C’est comme ça que tous les ans, tu peux envoyer gratuitement ta lettre. Mais il y a aussi, sans doute près de chez toi, des boîtes aux lettres du père Noël dans la rue. Car dans certaines villes, ce sont les lutins des mairies qui te répondent. Aujourd'hui, on va te donner quelques conseils, parfois pas très sérieux, pour écrire ta plus belle lettre au père Noël pour lui demander les cadeaux dont tu rêves.

Côté info pratique, il suffit de mettre ta lettre dans une boite aux lettres à l’adresse : « Petit papa Noël, pôle Nord » ou « Petit papa Noël, Laponie » Bref, il suffit d’écrire petit papa Noël et ça arrivera. Détail important : avec La Poste, il faut l’envoyer avant le 20 décembre. Historie que ta commande arrive… avant Noël !

Bienvenue dans le calendrier de l’avent des Ch’tites histoires… où chaque jour une nouvelle surprise t’attend pour patienter jusqu’à Noël.

Je m’appelle Elodie et, aujourd’hui, je vais te raconter l'histoire de Quatre nuances de lutins, un conte de Noël original imaginé par le journaliste de La Voix du Nord, Laurent Breye.

Les Ch'tites histoires, c'est le podcast de La Voix du Nord pour les enfants, écrit et réalisé par les journalistes de la rédaction.

Bienvenue dans le calendrier de l’avent des Ch’tites histoires… où chaque jour une nouvelle surprise t’attend pour patienter jusqu’à Noël.

Je m’appelle Elodie et aujourd’hui je t’emmène avec moi au restaurant Cocotte de chef, boulevard Vauban à Lille où le chef Cyril Louchet va nous apprendre à réaliser un vrai apéro de Noël avec un sapin de Noël au pesto de roquette, une crème de burrata, un bon fromage italien et un cocktail sans alcool. Une recette très simple à réaliser et d’ailleurs deux apprenties étaient avec moi : Norah et Héloïse.

Ingrédients :

Pour le pesto

150 g de roquette

50 g de pignons de pin

50 g de parmesan

150 g d’huile d’olive

2 gousses d’ail

Sel/poivre

Pour le sapin

Deux pâtes feuilletées ou une grande pâte feuilletée coupée en deux

Pour le cocktail

25 cl de jus d’orange par verre

2 cl de sirop

Sucre

Une rondelle de citron par verre

Les Ch'tites histoires, c'est le podcast pour enfants de La Voix du Nord, écrit et réalisé par les journalistes de la rédaction.

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Je m’appelle Elodie et, aujourd’hui, je vais te raconter pourquoi on a l’habitude de manger une bûche en dessert le jour de Noël.

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Je m’appelle Elodie et, aujourd’hui, je vais te raconter comment on fête Noël aux Philippines car, tu ne le sais peut-être pas mais tout le monde ne fête pas Noël autour d’un sapin le 24 ou le 25 décembre.

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Je m’appelle Elodie et, aujourd’hui, je vais te raconter d’où viennent les marchés de Noël.

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