
De nos jours, en cas d’épisode grêleux important détruisant des cultures, agriculteurs et viticulteurs ont recours à leur assurance qui couvre une partie des pertes des récoltes, notamment l’estimation de la baisse du rendement attendu. En raison de la multiplication des incidents climatiques, les agriculteurs souhaiteraient voir ce système d’indemnisation réévalué. Mais qu’en était-il il y a quelques siècles ?
Cette chronique vous est présentée dans la rubrique Le territoire dans tous ses états !