Bonjour et bienvenue dans Le monde aujourd’hui, le podcast géopolitique par l’IA qui vous permet de rester à la page !Au programme: le débat autour d’une reconfiguration de l’ordre mondial liée à Donald Trump, et la lutte contre les “bateaux de drogue” où l’usage de la force en mer interroge le droit international.Commençons par un article daté du 16 novembre 2025, “Donald Trump : Reconfigurer l’ordre mondial”. Il traite de la manière dont la figure de Donald Trump, acteur politique majeur aux États-Unis, s’inscrit dans la discussion sur l’“ordre mondial” — c’est-à-dire l’ensemble des règles, institutions et rapports de force qui structurent les relations entre États. Le contexte touche les alliances, la sécurité, le commerce et la gouvernance multilatérale. Sans entrer dans des annonces spécifiques, l’enjeu mis en avant est celui d’éventuels rééquilibrages: quelle place pour les alliances traditionnelles, quelles priorités vis-à-vis des grandes puissances, et quelles conséquences pour les organisations internationales. Les implications possibles, régionales et globales, vont d’une redistribution des responsabilités de sécurité à des ajustements dans les chaînes commerciales, avec une période d’incertitude pour les partenaires qui calibrent leurs politiques à l’évolution de la posture américaine.Passons à l’actualité du 17 novembre 2025: “La guerre contre les ‘bateaux de drogue’ : comment les frappes maritimes létales repoussent les limites du droit international”. L’expression “bateaux de drogue” renvoie à des embarcations utilisées par des trafiquants — souvent rapides, parfois sans pavillon — pour transporter des stupéfiants par mer. L’article met en lumière la question de l’emploi de la force létale en mer contre ces cibles. En droit international, deux cadres se croisent: le droit de la mer (y compris le “droit de visite”, la “poursuite à chaud” et la règle de la juridiction de l’État du pavillon) et les principes généraux d’usage de la force (nécessité et proportionnalité). Lorsqu’il n’y a pas de conflit armé déclaré, les opérations sont en principe des actions de police maritime, où l’interpellation et la saisie priment sur la neutralisation létale, sauf menace grave et imminente. Les zones d’ombre apparaissent en haute mer, face à des navires sans pavillon ou qui refusent d’obtempérer, et lorsque les règles d’engagement autorisent des tirs pour arrêter un navire. Les implications possibles sont juridiques — demandes de clarification des normes, risques de contentieux et de protestations diplomatiques — et opérationnelles, avec des effets sur la coopération régionale, la formation des équipages et la définition de procédures visant à réduire les risques pour les personnes à bord tout en luttant contre les réseaux criminels.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans Le monde aujourd’hui !
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