Adapter aux principaux problèmes contemporains, comme l'individualisme, la violence sociale ou guerrière, les crises climatiques et civilisationnelles liées au développement des techniques et des langagesdevenues etc., des réflexions d'auteurs comme Platon, Descartes, Spinoza, Bachelard...ou Naccache et autres vulgarisateurs scientifiques...
Adapter notre vision du réel, aussi bien par l'approche proposée par la communauté scientifique que par celle des traditions philosophiques, afin de s'assumer comme individu digne de l'humanité pris dans des engrenages venant de tous horizons et nous dépassant.
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Adapter aux principaux problèmes contemporains, comme l'individualisme, la violence sociale ou guerrière, les crises climatiques et civilisationnelles liées au développement des techniques et des langagesdevenues etc., des réflexions d'auteurs comme Platon, Descartes, Spinoza, Bachelard...ou Naccache et autres vulgarisateurs scientifiques...
Adapter notre vision du réel, aussi bien par l'approche proposée par la communauté scientifique que par celle des traditions philosophiques, afin de s'assumer comme individu digne de l'humanité pris dans des engrenages venant de tous horizons et nous dépassant.
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Je "je" à la Descartes, le comme enquêteur, comme hors du corps, et le "je" comme percevant à la Merleau-Ponty, comme corps propre.
Deux "je" possibles.
Habiter: s'habituer au lieu ou adapter le lieu à son habitude.
Habituer est en effet avoir des habitudes dans un lieu.
C'est, au fond, comprendre et se comprendre dans un lieu. Et généralement un lieu que l'on construit.
Est-ce alors le connaître?
Il y a un "je" hors corps, le je à la Descartes, et le "je" en corps, le je de Merleau-Ponty.
Le je pure vision intellectuelle et le je de la perception comme vision corporelle.
Le je pour les mathématique et le je pour la perception.
Selon Pascal nous sommes des demi-savants. Nos moyens naturels ne peuvent produire que du savoir accessibles à nos moyens issus de la sensibilité et de la raison, ou des deux mélangés. A condition d'accepter le dualisme à la Descartes ou à la Pascal, même si il y a des différences entre les deux. En revanche pour un Spinoza il faut considérer la réalité humaine comme s'intégrant dans un univers évolutif selon les lois de la nature.
Le dualisme de Pascal fait de la réalité humaine un problème de cohabitation entre une âme et un corps. Immortalité habitant le mortel. Le monisme à la Epicure oblige à traiter la condition humaine sous l'éclairage des sciences jamais achevées. La quête de vérité masque une quête de "vérités" avec un s.
Regarder la mort en face pour échapper au divertissement à la Pascal. Se faisant il faut accepter, selon la vue de Pascal, le dualisme de ce qui fait l'humanité de l'homme: une âme (principe de vie éternelle?). Autre manière d'échapper à l'existence, voire de renoncer à l'existence concrète de ce qui fait l'humanité de l'homme.
Le divertissement est ce qui nous détourne de l'essentiel, et pour Pascal l'essentiel de l'humanité réside non pas dans l'existence concrète et historique des hommes mais dans son essence qui est l'âme. Ame d'une autre nature du corps participant du monde surnaturel dépendant exclusivement de Dieu créateur.
Première révolution: avec Hobbes partir des dispositions naturelles de l'homme. Avec Descartes identifier une spécificité universelle de l'homme, la conscience de soi avec la quête de connaissance, et distinguer être et exister.
Définir l'homme sur une base naturelle par opposition à une définition de l'homme par l'histoire. Mais aussi approche de l'organisation sociale et de la hiérarchie sociale sur la base d'un fond humain universel. Cette quête de l'universel naturel, même si cet universel naturel n'est pas partagé, disqualifie les réductions à l'histoire ou aux religions.
La conscience-de-soi est une des caractéristiques de l'humanité de l'homme. La réduction de ce qui fait l'humanité de l'homme à la nationalité favorise l'exclusion de l'humanité ceux d'une autre nationalité. Surtout lorsque cette nationalité se confond avec une religion définie "objectivement" par des pratiques qu'il ne faut pas confondre avec la foi relevant de la subjectivité.
L'homme est un loup pour l'homme s'oppose radicalement au "être sage dans le monde. Et le être sage dans le monde s'oppose aux religions comme communautés fermées sur elles-mêmes.
Le "être sage" est se mettre face au monde tel qu'il est et tel qu'il peut se connaître.
L'histoire de l'humanité est marquée par les conflits et particulièrement les conflits armés. C'est une distinction, parmi d'autres, du monde animal.
L'Histoire est une histoire de quêtes de biens, nourriture et possessions de territoire mettant à contribution les connaissances acquises. On peut dire la même chose à l'échelle des individus.
(Bien sur il y a autres choses comme les quêtes esthétiques ou de connaissances …)
La barbarie entre nous et à l'intérieur de nous. Ce que l'on doit du point de vue de l'humanité au siècle des lumières peut être perdu dans la période actuelle.
L'obscurantisme n'est jamais loin. Les nationalismes étroits nous ramène à la barbarie, comme enferment dans des frontières de la pensée.
L'enfermement de l'humain dans l'être au monde et du monde réduit à un monde, celui de la nation par exemple, aboutit à l'enfermement des individus dans un égocentrisme et un ethnocentrisme.
Bref, la barbarie n'est jamais loin.
Le dogmatisme de la citoyenneté tend à diviniser certains usages de la raison: réduire le sujet citoyen à une subjectivité définie par une approche strictement scientifique.
Ou réduire la citoyenneté à une approche purement sensible comme le fait l'"opinion".
Comme le fait Socrate, chercher ce qui est derrière ce que l'on voit.
Ou comment rester citoyen faces aux dogmes "religieux" qui nous envahissent au delà des religions monothéistes ou polythéistes.
C'est le problème de Socrate face à l'opinion qui refuse de sortir de la stricte sensibilité .
C'est notre problème face aux populismes nous enfermant dans le sensible, nous réduisant au sensible en évacuant la raison dans ses usages rationnel et raisonnable.
La laïcité est un horizon à viser du même ordre que la vérité pour la quête de connaissance. Ainsi la laïcité exige un esprit d'appartenance à une même humanité par delà les nationalités.
La laïcité et le "être au milieu" des autres, les autres comme peuple de citoyens. Ou la question de la liberté de conscience enfouie dans le quotidien.
La foule est très sensible à la publicité. Et la foule n'est pas le peuple. Ce qui nous amène à bien penser ce qui fait l'humanité de chacun et de tous pris au milieu des autres. La foule nous renvoie et nous réduit à la dimension corporelle de chacun en évacuant la dimension spirituelle de chacun. La laïcité ne peut pas réaliser dans une foule.
Il faut penser la laïcité comme "horizon" vers lequel on doit tendre. Ce qui dans l'histoire réelle n'est pas toujours visé. Problème de cohabitation des êtres humains contraints de vivre ensemble et de faire peuple.
Adapter aux principaux problèmes contemporains, comme l'individualisme, la violence sociale ou guerrière, les crises climatiques et civilisationnelles liées au développement des techniques et des langagesdevenues etc., des réflexions d'auteurs comme Platon, Descartes, Spinoza, Bachelard...ou Naccache et autres vulgarisateurs scientifiques...
Adapter notre vision du réel, aussi bien par l'approche proposée par la communauté scientifique que par celle des traditions philosophiques, afin de s'assumer comme individu digne de l'humanité pris dans des engrenages venant de tous horizons et nous dépassant.
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