Et si l’accompagnement redevenait un art sacré plutôt qu’un service à vendre ?
Dans cet épisode vibrant de vérité, nous accueillons notre sœur de feu Stéphanie Lady D pour ouvrir un dialogue brut et sans filtre sur le monde du coaching, ses dérives… et son essence réelle.
🔥 On explore les vraies questions :
🔹 Comment savoir qu’on est prête à coacher ?
🔹 Est-ce qu’on le fait pour se valider… ou pour vraiment contribuer ?
🔹 Où est la limite entre être coach et jouer à être coach ?
🔹 Peut-on vraiment guider sans se brûler, sans se vider ?
Dans un monde où tout devient produit, on déconstruit ensemble la performance déguisée en leadership.
On ose parler de l’impact énergétique d’un accompagnement mal aligné, du danger des projections, et de l’importance de reconnaître sa propre humanité avant de vouloir élever celle des autres.
🌿 Avec authenticité et courage, nous abordons :
les blessures d’attachement et la posture de sauveuse
la responsabilité radicale et les limites saines
la différence entre être visible et se montrer pour exister
Stéphanie partage son regard franc sur le rôle du coach aujourd’hui, loin des scripts et des stratégies. Nadielle raconte son lien sacré au bénévolat et à la transmission du vivant. Zoé revient sur les zones de tension entre puissance, jeu, et vérité.
✨ Ensemble, on fait le vœu de remettre la conscience au cœur de l’accompagnement.
🎉 En fin d’épisode, on annonce un événement en direct le 11 novembre, pour aller encore plus loin :
astrologie, transits, coaching, et connexion réelle.
Parce qu’on ne veut plus juste faire des lives.
On veut créer des espaces vivants.
🎧 Viens écouter ce qu’on n’ose pas toujours dire.
Et peut-être que toi aussi, tu te reconnaîtras dans ce vide qu’on traverse ensemble.
Et si être soi, pleinement, devenait l’acte le plus courageux dans un monde qui juge ce qu’il ne comprend pas ?
Dans cet épisode, nous ouvrons un espace sensible, profond et nécessaire autour de l’identité, de l’acceptation de soi, et de ce qui émerge quand notre vérité vient déranger.
🔹 Comment rester enracinée dans qui l’on est, même quand l’autre nous juge ou nous rejette ?
🔹 Que fait-on de la douleur ressentie quand un être cher ne reconnaît pas notre vérité ?
🔹 Et si créer des espaces sûrs pour s’exprimer devenait un pilier de transformation collective ?
Nadielle partage un moment bouleversant vécu par sa fille Florence, blessée par le regard d’un ancien ami incapable de voir au-delà de ses projections.
On explore ensemble :
les mécanismes de rejet et les blessures identitaires,
l’influence des privilèges inconscients,
et l’impact de l’environnement sur la sécurité d’être soi.
Mais surtout, on revient à ce qui nous habite :
✨ la puissance de l’intelligence émotionnelle,
✨ la sécurité intérieure comme boussole dans la tourmente,
✨ et la nature profonde de la sororité : non transactionnelle, vivante, vibrante.
Parce que tout le monde mérite un espace pour VOIR et ÊTRE VU.
Parce que tu n’as pas à te justifier pour exister.
🎉 En fin d’épisode, nous annonçons l’événement “La Voix du Corps” du 29 novembre — une journée pour te reconnecter à tous les fragments de toi, sans avoir besoin de te redéfinir.
🎧 Viens te déposer dans L’Écho du Vide.
Tu y trouveras peut-être ce que tu n’osais plus chercher.
Et si fermer une porte était la clé pour se réouvrir à soi ?
Dans cet épisode co-animé par Zoé Cardinal et Nadielle St-Laurent, on revient sur la décision puissante de Nadielle de fermer son site web et de quitter temporairement l’espace du coaching en ligne.
On explore ensemble ce que ça veut dire de se choisir radicalement, de remettre en question la performance spirituelle et entrepreneuriale, et de revenir à la simplicité de l’être.
🔹 Comment rester ancrée et humaine dans un monde numérique ultra-performant ?
🔹 Peut-on servir sans s’exposer, créer sans se vendre, aimer sans s’oublier ?
🔹 Pourquoi le silence, parfois, devient l’ultime guérison ?
🔹 Et si désapprendre était le vrai chemin vers l’abondance intérieure ?
On parle aussi de :
l’intimité financière dans le couple
le rapport au travail, au partage, et à l’égo spirituel
et la puissance d’un entourage qui te permet d’exister sans rôle à jouer.
💭 Cet épisode, c’est une bulle de vérité, une invitation à la lenteur, à la respiration, à l’écoute de soi.
Tu n’as pas besoin d’être stratégique pour être légitime.
Tu n’as pas besoin d’être visible pour être en service.
Si tu veux rejoins l'évènement de Nadielle c'est ici :
12hrs pour explorer et redéfinir l’expérience de la sexualité féminine. Tu arrives entière, tu repars transformée. (Deux repas inclus)
Dans cet épisode de L’Écho du Vide, on plonge dans une question essentielle : comment savoir si tu es prête à recevoir du coaching ?
On explore ensemble :
La différence entre enseignement, mentorat, accompagnement et coaching.
Pourquoi le coaching est à la fois transformationnel et conditionnel.
Les signes concrets qui montrent que tu es prête à être challengée.
En quoi le coaching n’est pas une solution miracle, mais un chemin vers l’autonomie et la responsabilité.
La vraie finalité du coaching : cesser de chercher à l’extérieur et revenir à ton propre pouvoir.
Un épisode pour toutes celles qui sentent l’appel du changement, mais qui se demandent si elles sont prêtes à plonger dans le processus.
Dans cet épisode, on plonge ensemble dans un sujet qui nous touche tous : pourquoi on finit par se contenter de peu dans nos relations.
On parle de cet « oreiller d’épines » qu’on supporte jour après jour, parce qu’on croit que c’est normal, parce qu’on a peur de déranger ou de perdre.
On explore comment :
on s’habitue à l’inconfort au lieu de s’offrir le droit d’exiger plus,
on montre parfois à nos enfants un modèle qui étouffe au lieu d’un exemple vivant de résolution et d’amour,
on fuit les confrontations, alors qu’elles peuvent devenir un espace d’honnêteté et de croissance,
on peut choisir la présence plutôt que la précipitation, et laisser nos émotions exister sans vouloir les contrôler,
on apprend à communiquer autrement, avec authenticité, sans violence, mais sans se taire non plus.
C’est une conversation où on ose regarder en face ce qu’on tolère trop souvent, et où on se rappelle qu’on a le droit – et même le devoir – de réclamer mieux pour nous et pour ceux qu’on aime.
Dans cet épisode, on avait envie de mettre les mots sur quelque chose qu’on voit souvent : la confusion entre ombre féminine et dark feminine, et les dynamiques inconscientes qui en découlent — surtout quand on attire (ou tolère) un masculin toxique.
On parle franchement de nos propres traversées :
de ce qu’on a cru être de l’amour alors que c’était de la dépendance,
de ce qu’on a appelé lumière alors que c’était une peur d’être rejetées,
de cette rage qu’on a contenue trop longtemps… jusqu’à ce qu’elle devienne clarté.
On déconstruit l’idée qu’être une femme douce, lumineuse et ouverte, c’est s’éteindre pour garder la paix.
Et on redonne ses lettres de noblesse au dark feminine : pas celle qui manipule, mais celle qui voit, ressent et pose des limites claires.
Bref, on a mis nos tripes sur la table.
Si t’as déjà eu l’impression d’être “trop”, de devoir choisir entre être aimée ou respectée…
Cet épisode est pour toi.
Dans cet épisode, on reçoit Sara, une femme ancrée, consciente, vulnérable et puissante.
Avec elle, on explore sans détour la relation à l’argent, à la liberté, à l’authenticité… et à soi.
L’argent, outil de contrôle ou d’expansion ?
Peut-on parler de finances sans perdre notre intégrité ?
Est-ce qu’on cherche encore à performer… même dans notre chemin spirituel ?
On aborde :
la déconstruction des croyances autour de l’abondance
l’importance de l’intimité financière dans le couple
la place du féminin dans nos décisions et nos rythmes
le courage de ralentir, d’écouter sa vérité et de s’asseoir avec ce qui nous dérange
C’est une conversation douce, lucide et incarnée.
Une invitation à revenir à ce qui est vraiment riche en toi, sans artifice ni masque.
🎧 Écoute. Ressens. Ouvre-toi à la richesse de l’instant.
Bienvenue dans L’Écho du Vide.
Et si la vraie célébration, c’était simplement reconnaître ton existence… sans condition ?
Dans cet épisode à cœur ouvert (où même les bruits d’enfants nous rappellent que la vie circule), on t’invite à te déposer dans cette vérité nue :
✨ Tu n’as rien à prouver pour mériter de briller.
✨ Tu n’as pas besoin de permission pour exister pleinement.
✨ Tout le monde a besoin de reconnaître qu’il brille intrinsèquement.
VOIS-TOI. Ressens-toi. Ne fuis plus ta lumière.
On parle de BOOST, ce contenant éphémère qu’on a créé pour offrir aux femmes un espace pour être radicalement vraies, exubérantes, puissantes — sans avoir à performer.
🔹 Où est-ce que tu te caches encore pour être acceptée ?🔹 Et si la célébration était l’acte le plus révolutionnaire ?🔹 Es-tu prête à honorer ton propre feu, peu importe qui regarde ?
Oui, on sera jugées.Mais on avance.On n’est jamais immunisées…Mais on ne se laisse plus détruire.
On s’aime assez pour être nous-mêmes. Complètement. Radicalement.
🎧 Écoute. Accueille. Laisse L’Écho du Vide te rappeler que ton existence est un cadeau.
Et si, pendant quelques jours, tu pouvais exister dans ta fréquence la plus pure… sans avoir à performer, à justifier, ou à porter quoi que ce soit d’autre que toi-même ?
Dans cet épisode, on revient sur l’intensité de la retraite de l’Incubateur. Un espace sacré, intime, que 14 femmes ont traversé avec puissance et vulnérabilité.
Un espace où la réalité s’est altérée… pour laisser émerger une vérité plus grande : celle de l’être.
🔹 Comment on peut coexister dans toutes nos fréquences, sans hiérarchie ni masque ?🔹 Pourquoi préserver l’intimité de ce qui a été vécu est un acte d’amour sacré ?🔹 Et si ton seul « don », c’était d’être pleinement présente à ton existence ?🔹 Comment revenir à soi après une telle traversée ? Comment ne pas refermer ce qui a été ouvert ?
On parle d’énergie d’être, de guidance, d’humilité, de canalisation.
On parle de la différence entre guider et se prendre pour un gourou.
On parle de l’âme… qui agit.
Cette retraite a été un portail. Et ce que nous avons vécu ensemble, Nadielle et moi, avec ces femmes, continue d’essaimer.
✨ Et si, toi aussi, tu étais prête à te souvenir de ta propre nature ?
À t’ouvrir à l’idée que ta simple présence est déjà un miracle en action.
Et si, dans notre quête de sécurité ou de contrôle, on utilisait inconsciemment les outils spirituels pour fuir ce qu’on est venu vivre ?
Dans cet épisode, on parle de ce réflexe de vouloir "choisir le bon partenaire" en se basant uniquement sur des outils comme :
la carte du ciel,
le Human Design,
l’iridologie,
ou d'autres systèmes de connaissance de soi…
Mais on ouvre une porte dérangeante :
Est-ce qu’on ne serait pas en train de bypasser ce que l’expérience humaine nous invite à traverser ?
Est-ce qu’on ne se protège pas du chaos nécessaire à notre expansion ?
Parce que parfois, ce qu’on appelle "alignement" est en fait une peur bien déguisée :
peur de souffrir,
peur de se tromper,
peur de se voir dans l’autre.
On explore aussi :🌀 Comment certaines relations sont là pour faire remonter des mémoires à transmuter, et non pour être “parfaites” dès le départ.
Pourquoi fuir la confrontation intérieure, c’est souvent se fuir soi-même.Et comment faire la différence entre un choix sain et un choix basé sur la peur du vécu.
Dans cet épisode, on plonge dans un mot qu’on croit connaître : le respect.
Pas celui qu’on attend des autres. Celui qu’on se doit à soi.
On parle de ce que ça change, dans une vie, de vraiment se respecter :
💥 d’écouter son non,💥 de croire en sa propre voix,💥 de s’aimer assez pour ne plus se tordre.
Parce qu’il ne peut pas y avoir de confiance en soi sans ce socle-là : le respect de ce qu’on ressent, de ce qu’on est, de ce qu’on vit.
On parle aussi d’amour propre, pas comme une to-do list de développement personnel… mais comme un ancrage vivant. Un regard intérieur qui ne se juge plus, qui ne se presse plus, qui choisit d’être doux même quand c’est difficile d’aimer ce qu’on voit.
Et dans cette exploration, on n’oublie pas l’autre.
Parce que respecter l’autre, c’est pas lui imposer notre rythme.
C’est honorer son tempo, son silence, ses besoins — sans se sacrifier, mais sans l’accélérer non plus.
Ce que ça ouvre, quand deux êtres se respectent dans leurs différences… c’est plus grand que le lien lui-même.
C’est une nouvelle manière d’exister.
Dans cet épisode de L’Écho du Vide, on plonge dans une conversation sans détour, entre deux femmes qui ne cherchent plus à "comprendre", mais à habiter leur conscience.
💥 On parle de ce fameux 2 % : ceux qui osent vraiment choisir leur éveil, leur vérité, leur présence.
Pas pour performer la conscience… mais pour la ressentir dans chaque cellule.
✨ Pourquoi si peu de gens choisissent de revenir dans leur corps ?
✨ Pourquoi on préfère mentaliser ce qu’on ressent, plutôt que de le vivre ?
✨ Et pourquoi s’ouvrir à ses dons, c’est s’ouvrir à tout ce qu’on évite de regarder ?
Ce n’est pas un épisode pour t’expliquer.
C’est un rappel.
Que tu es plus grande que tes conditionnements.
Plus vaste que ton rôle, ton image, ton histoire.
🔥 Ce que tu refuses de ressentir, c’est là que ta conscience t’attend.
Et ton corps est la porte d’entrée.
Dans cet épisode né d’un simple tirage partagé en story, une porte s’ouvre sur une conversation vibrante avec Nadielle. On y parle de la ligne fine entre chercher des signes et se reconnaître à travers eux, de l’usage des outils comme le Human Design ou les cartes non pas pour se perdre, mais pour approfondir.
On touche à la contemplation, à la foi en soi, au bypass spirituel, à l’appel de se dévouer à sa propre vérité. Et comme toujours avec Nadielle… on s’éloigne, on divague, on revient, et on laisse la vie parler à travers nous.
💬 Un message de carte s’invite aussi dans la conversation :
« Le savoir qui est en toi est là pour adoucir et libérer les peurs. Pour savoir quand et comment attraper ce qui t’est destiné. À chaque pas, tu es orientée vers ce que tu es prête à recevoir. »
Un épisode qui te rappellera que tu n’as pas besoin de te prouver… juste de te permettre D'ÊTRE!!!
Dans cet épisode de L’Écho du Vide, on ouvre grand les portes :
Celles de nos histoires. De nos mécanismes. De nos vérités nues.
On parle de la dépendance sous toutes ses formes — affective, énergétique, spirituelle, mentale. Et surtout… on en parle sans honte. Sans masque. Sans jugement.
Parce que oui, on a toutes copé.
On a toutes cherché à l’extérieur ce qui demandait à être rencontré en dedans.
On a toutes cru qu’on devait se remplir pour être aimée, performante, sauvée.
💬 Véronique parle avec force de ses dépendances passées et de son lien d’amour avec Dieu, vivant, doux, immense.
Zoé ouvre avec honnêteté les endroits où elle s’est oubliée dans l’autre, croyant que son salut viendrait de là.
Nadielle vient mettre en lumière les dépendances invisibles, celles qu’on ne remarque plus, parce qu’elles se sont fondues dans nos façons de survivre.
🌿 Cet épisode est une invitation à t’observer sans te juger.À regarder tes mécanismes avec compassion.
À te rappeler que tu n’es pas brisée. Tu es déjà entière.
Et que ce que tu cherches à l’extérieur vit déjà en toi.
Connecte avec Véro ici :
https://www.facebook.com/veronique.sobriete.holistique
https://www.instagram.com/veronique.sobriete.holistique/
On commence avec une simple question : Faut-il un code de déontologie en Human Design ?
Mais très vite, la discussion nous amène ailleurs…
🔹 Le discernement est-il plus important que des règles écrites ?
🔹 Sommes-nous réellement capables d’être neutres, ou projetons-nous toujours une part de nous-mêmes ?
🔹 Quand est-ce que notre intuition est une guidance authentique, et quand est-ce qu’elle est une illusion bien maquillée ?
Avec Émilie Turcotte, on plonge dans une réflexion sur la distorsion du mental, la difficulté d’être vraiment objectif, et cette fine ligne entre observation et projection.
Parce que parfois, ce que l’on croit être une vérité… n’est qu’un écho de nos propres croyances.
💭 Et toi, as-tu déjà remis en question ce que tu considérais comme une certitude ?
Pour connecter avec Émilie c'est ici :
https://www.instagram.com/emilie.turcotte_/
https://www.facebook.com/zemilie
Dans cette suite directe de l’épisode 13, on ne se retient pas.
On déplore.
On nomme.
On met en lumière ce qu’on observe : la manière dont on pointe les inconforts des femmes pour mieux les faire bouger, décider, acheter — souvent sans qu’elles s’en rendent compte.
🎯 On parle de la manipulation émotionnelle normalisée sur les réseaux,
🎯 du discours qui fait passer tes émotions naturelles pour des blocages à transcender,
🎯 de ces stratégies qui utilisent ta vulnérabilité pour te pousser à agir… vite.
Et puis, on parle de nous.
De notre façon d’accompagner.
De notre refus de jouer cette game.
De notre engagement à ne pas appuyer sur une blessure pour vendre une promesse.
Parce qu’on croit que l’évolution ne se force pas.
Qu’elle se traverse.
Qu’elle se vit avec douceur, avec intégrité, avec permission.
💭 On ne veut pas t’aider à fuir ton inconfort.
On veut t’aider à le rencontrer. Le comprendre. L’honorer.
🎧 Un épisode qui gratte, qui remet en question — mais qui libère.
Dans cet épisode, on met en lumière une question qui hante beaucoup de mères :
👉 Est-ce que je vais briser mes enfants sans le vouloir ?
Parce que derrière l’amour, la bienveillance, les efforts immenses pour faire mieux…
il y a souvent une pression silencieuse : celle de devoir tout faire parfaitement pour ne pas laisser de traces.
Et si on ne pouvait pas ne pas conditionner ?
Et si l’objectif, ce n’était pas d’éviter toute empreinte, mais d’apprendre à accompagner avec conscience, à réparer quand c’est nécessaire, à modéliser la vérité plutôt que la perfection ?
Dans cet épisode, on parle :
Du conditionnement inévitable et de la transmission vibratoire.
De la culpabilité maternelle et du mythe de la mère irréprochable.
De la puissance de l’imperfection assumée et des liens qui se réparent.
De comment, justement, ne pas se perdre en voulant tout préserver.
Et si nos enfants n’avaient pas besoin qu’on soit parfaites…
Mais qu’on soit présentes, vivantes, conscientes — et capables de se choisir sans culpabilité ?
🎧 Un épisode doux, vrai, inconfortable… et profondément libérateur.
Dans cet épisode de L’Écho du Vide, on plonge dans un mot souvent mal compris, mal vécu, et pourtant fondamental dans tout chemin de retour à soi : la confrontation.
Ce n’est pas un cri. Ce n’est pas un conflit.
C’est un acte d’alignement.
Une rencontre entre deux vérités, deux perceptions, parfois deux blessures.
🌪️ On parle ici de cette tension vivante, inconfortable, mais précieuse — celle qui met en lumière ce qui ne peut plus être ignoré.
C’est l’endroit où l’on dit :
“Je ne peux plus faire semblant.”
“Je ne veux plus me trahir pour préserver une paix factice.”
🔁 Confronter l’autre, souvent, c’est aussi se confronter soi-même.
Et parfois, ce n’est pas ce qu’on dit qui confronte…
Mais le silence. Le départ. La lumière.
💭 Et toi ? Quelle vérité en toi demandes-tu à rencontrer plutôt que fuir ?
Et si ta spiritualité n’avait besoin d’aucun accessoire ?
Dans cet épisode, on jase de ce qui différencie (ou relie) la spiritualité à l’ésotérisme. On observe la tentation de performer ce qu’on croit devoir incarner, et la puissance de simplement être.
On parle aussi des blessures religieuses, du plaisir qu’on se refuse, et de ce qu’on retrouve quand on arrête de chercher à être "assez spirituel.le".
Et si, au lieu de performer ta lumière, tu la laissais simplement vivre ?
Plonge dans l’Écho du Vide. Là où le sacré ne demande rien… sauf d’être pleinement ressenti.
Et si l’intelligence artificielle ne remplaçait rien… mais révélait tout ?
Dans cet épisode, on plonge dans la présence de plus en plus intime de l’IA dans nos vies. Pas pour débattre ou pour craindre, mais pour observer. Observer comment elle amplifie nos insécurités, comment elle peut devenir un outil de co-création… ou un échappatoire bien déguisé.
On explore aussi comment cette technologie peut devenir un miroir puissant de notre rapport au discernement, à la validation, et à la créativité.
Et si coexister avec l’IA, c’était apprendre à redevenir maître de son propre espace ?
🎧 Viens écouter. Peut-être que l’écho de cette voix-là est déjà en toi.
On a préparer un petit outil ici : TU LE VEUX!!