« La Ligne » est le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média.
Au micro de Hugues Dago, ces personnalités exposent leurs enjeux, leur vision et leurs choix stratégiques. Le programme réunit aussi bien des représentants de médias traditionnels que des acteurs de la « creator economy », pour comprendre de l’intérieur, comment et pourquoi se construisent leurs décisions.
En partenariat avec Stratégies.
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« La Ligne » est le podcast des dirigeants qui tracent un chemin pour leur média.
Au micro de Hugues Dago, ces personnalités exposent leurs enjeux, leur vision et leurs choix stratégiques. Le programme réunit aussi bien des représentants de médias traditionnels que des acteurs de la « creator economy », pour comprendre de l’intérieur, comment et pourquoi se construisent leurs décisions.
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Tout est parti d’un constat largement partagé : en ligne, chacun vit dans sa bulle.
Pour tenter de faire sortir les citoyens de leur cage algorithmique, Wallerand Moullé-Berteaux, Antonin Marin, Sixtine Moullé-Berteaux et Jules Stimpfling ont cofondé en 2020 Le Crayon, un « média de débat pensé pour la génération des réseaux sociaux ».
Espace de confrontation d’idées, Le Crayon met face à face des invités que tout oppose, qu'il s'agisse d'un croyant face à un athée, d'une féministe face à un manager OnlyFans ou d'un imam face à une drag queen.
En cinq ans, le groupe s’est diversifié et a bâti un écosystème autour de son média principal, mêlant relations presse, création de contenu, influence et communication au service des marques et des personnalités, notamment via son agence Le Surligneur.
Aujourd’hui, Le Crayon Groupe revendique plus de six millions d’abonnés sur ses réseaux sociaux et affiche une solide santé économique, rentable, avec un objectif de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025.
Des résultats assombris par les débats autour de Pierre-Edouard Stérin, milliardaire conservateur décrié. Ancien actionnaire minoritaire du groupe, l'homme d'affaires s'est vu récemment sortir du capital par les cofondateurs.
Wallerand Moullé-Berteaux, PDG du Crayon Groupe, s’en explique dans ce nouvel épisode du podcast La Ligne, où il détaille sa vision du média dans une société fragmentée.
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Tout est parti d’un constat largement partagé : en ligne, chacun vit dans sa bulle.
Pour tenter de faire sortir les citoyens de leur cage algorithmique, Wallerand Moullé-Berteaux, Antonin Marin, Sixtine Moullé-Berteaux et Jules Stimpfling ont cofondé en 2020 Le Crayon, un « média de débat pensé pour la génération des réseaux sociaux ».
Espace de confrontation d’idées, Le Crayon met face à face des invités que tout oppose, qu'il s'agisse d'un croyant face à un athée, d'une féministe face à un manager OnlyFans ou d'un imam face à une drag queen.
En cinq ans, le groupe s’est diversifié et a bâti un écosystème autour de son média principal, mêlant relations presse, création de contenu, influence et communication au service des marques et des personnalités, notamment via son agence Le Surligneur.
Aujourd’hui, Le Crayon Groupe revendique plus de six millions d’abonnés sur ses réseaux sociaux et affiche une solide santé économique, rentable, avec un objectif de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025.
Des résultats assombris par les débats autour de Pierre-Edouard Stérin, milliardaire conservateur décrié. Ancien actionnaire minoritaire du groupe, l'homme d'affaires s'est vu récemment sortir du capital par les cofondateurs.
Wallerand Moullé-Berteaux, PDG du Crayon Groupe, s’en explique dans ce nouvel épisode du podcast La Ligne, où il détaille sa vision du média dans une société fragmentée.
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Au départ, il n’y avait pas de plan. Et pourtant, depuis vingt ans, Franck Annese mène la barque du groupe So Press avec constance et méthode, contrairement aux apparences.
De So Foot à Society, de So Film à L’Étiquette, le fondateur et ses associés ont bâti un groupe reconnu pour sa manière de raconter les histoires avec style (« le souffle » comme il l’appelle), sans jamais perdre de vue la rigueur journalistique.
Après l’immense succès de l’enquête signée Society sur Xavier Dupont de Ligonnès et ses 450 000 exemplaires vendus à l’été 2020, le groupe est revenu aux réalités du marché : la diffusion payée du magazine a reculé de 14 % sur cinq ans, dans un contexte de baisse structurelle du secteur.
Mais So Press continue d’avancer. Au fil des années, le groupe s’est diversifié, dans la production publicitaire (Sovage), dans le brand content (AllSo), dans la fiction et documentaires (So In Love). Le dernier-né de ces activités s’appelle Society+, plateforme SVOD dédiée aux documentaires, dans l’esprit du quinzomadaire éponyme.
D’un support à l’autre, la logique ne varie pas : raconter et surprendre, dans une indépendance farouche… quitte à perdre certains contrats.
Invité du podcast La Ligne, produit par Hugues Dago en partenariat avec Stratégies, Franck Annese explique comment So Press continue de tenir sa ligne de groupe libre, fidèle à ses histoires et son esprit fondateur de « bande de potes ».
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