Dans ce podcast, Olivier Gloor et Matthias Davet reçoivent Solange Berset. Ancienne députée au Grand conseil fribourgeois, ancienne présidente du Parti socialiste du canton et ancienne syndique de Belfaux, la Sarinoise a été une excellente coureuse de Morat-Fribourg dans les années 80. L’actuelle présidente du CA Belfaux revient sur une autre époque.

Dans cet épisode de la Course en tête, Olivier Gloor et Matthias Davet reçoivent Laurent Meuwly. Connu pour être l’entraîneur d’athlètes de haut niveau comme Femke Bol ou Alja del Ponte, le Fribourgeois a également été directeur de la course Morat-Fribourg pendant 18 ans. Dans ce podcast, il revient sur son expérience à la tête de la manifestation et répond à la question que tout le monde se pose: Qui de Léa Sprunger ou lui irait le plus vite sur les 17,17 km ?

Dans ce nouvel épisode de la Course en tête, Olivier Gloor et Matthias Davet se rendent au Musée d'art et d'histoire de Fribourg afin d'échanger avec Ivan Mariano, le directeur de l'établissement. Ancien excellent coureur, le local a participé de nombreuses fois à Morat-Fribourg. D'ailleurs, passer sous l'heure n'était pas un problème pour lui. Bien qu'il ait rangé ses baskets il y a quelques années, Ivan Mariano reste proche de la manifestation. Dans ce podcast, il parle de son histoire, ainsi que de l'Histoire de Morat-Fribourg.

Courir Morat-Fribourg en moins d’une heure ? Pour le commun des mortels, cela semble irréalisable mais pas pour une poignée de coureurs. Parmi eux, Jérémy Schouwey, notre invité pour ce deuxième épisode de «la course en tête ». En 2019, le Brocois termine meilleur fribourgeois du 17 kilomètres, avec un temps de 57’08 – impressionnant ! Avec Matthias Davet et Olivier Gloor, il revient sur les années durant lesquelles il alliait football et course à pied et tente d’expliquer comment il est parvenu à terminer meilleur local de la manifestation.

Dans ce premier épisode, nous sommes allés à la rencontre d'une figure emblématique de la course: Odette Vetter. Dans sa maison à Sierre, en Valais, Odette retrace avec nous ses premiers souvenirs de la course, en tant que spectatrice. «Et je me suis dit, pourquoi pas moi?» Ni une ni deux, malgré l’interdiction faite aux femmes, Odette Vetter se présente sur la ligne de départ en 1975.

Elle fait le récit de ces événements dans cette première de «La course en tête».