C’est pas parce qu’on est adultes, qu’on n’aime plus avoir une histoire du soir pour accompagner le sommeil. Surtout depuis que le confinement dure. Mon chien stupide, c’est un roman tragi-comique prompt à chasser toute idée sombre, tant l’écriture est brillante et vive. Ce soir, les 4 premiers chapitres : la rencontre hilarante avec le chien. Enregistré d’une traite avec le micro de l’iphone et sans edit, le son est brut, il y a des erreurs et un fou rire difficile à arrêter. J’avais la flemme de faire propre :)

C’est pas parce qu’on est adultes, qu’on n’aime plus avoir une histoire du soir pour accompagner le sommeil. Surtout depuis que le confinement dure. Mon chien stupide, c’est un roman tragi-comique prompt à chasser toute idée sombre, tant l’écriture est brillante et vive. Ce soir, les 4 premiers chapitres : la rencontre hilarante avec le chien. Enregistré d’une traite avec le micro de l’iphone et sans edit, le son est brut, il y a des erreurs et un fou rire difficile à arrêter. J’avais la flemme de faire propre :)

C’est pas parce qu’on est adultes, qu’on n’aime plus avoir une histoire du soir pour accompagner le sommeil. Surtout depuis que le confinement dure. Mon chien stupide, c’est un roman tragi-comique prompt à chasser toute idée sombre, tant l’écriture est brillante et vive. Ce soir, les 4 premiers chapitres : la rencontre hilarante avec le chien. Enregistré d’une traite avec le micro de l’iphone et sans edit, le son est brut, il y a des erreurs et un fou rire difficile à arrêter. J’avais la flemme de faire propre :)

C’est pas parce qu’on est adultes, qu’on n’aime plus avoir une histoire du soir pour accompagner le sommeil. Surtout depuis que le confinement dure. Mon chien stupide, c’est un roman tragi-comique prompt à chasser toute idée sombre, tant l’écriture est brillante et vive. Ce soir, les 4 premiers chapitres : la rencontre hilarante avec le chien. Enregistré d’une traite avec le micro de l’iphone et sans edit, le son est brut, il y a des erreurs et un fou rire difficile à arrêter. J’avais la flemme de faire propre :)

C’est pas parce qu’on est adultes, qu’on n’aime plus avoir une histoire du soir pour accompagner le sommeil. Surtout depuis que le confinement dure. Mon chien stupide, c’est un roman tragi-comique prompt à chasser toute idée sombre, tant l’écriture est brillante et vive. Ce soir, les 4 premiers chapitres : la rencontre hilarante avec le chien. Enregistré d’une traite avec le micro de l’iphone et sans edit, le son est brut, il y a des erreurs et un fou rire difficile à arrêter. J’avais la flemme de faire propre :)

C’est un épisode pour dire merci. Merci aux ami.e.s, merci aussi aux personnes rencontrées une ou deux fois, aux personnes jamais rencontrées IRL, les proches et les moins proches. Tout à l’heure en faisant le marché j’ai compris pourquoi les attentions des derniers jours, derniers mois et de toujours me touchaient autant. Alors j’ai eu envie de dire un peu de ce pourquoi je vous remercie. Demander comment ça va, ça ne va pas de soi. Se manifester auprès de quelqu’un qui va coup-ci coup-ça, en l’occurrence ma pomme, ça résonne avec beaucoup de choses. Comme d’habitude : c’est enregistré à l’arrache avec mon téléphone, pas mixé pas monté. Et en plus, c’est fait à l’extérieur. Pardon à vos oreilles ! Et merci

Cette manifestation du 1er mai 2019, journée internationale des travailleurs, incarnerait, j’en étais sûre, le changement en cours. J’ai donc passé cette journée de manifestation parisienne avec des femmes de 60 ans et plus et leur ai demandé ce que je me demandais : « qu’est-ce qui a changé ? ». Diversité d’opinions et de points de vue, les femmes qu’on entend dessinent, je pense, une photographie de cette journée qui, on le voit bien au lendemain de la manifestation, n’est plus du tout « comme avant ».

Des semaines que les miroirs me disent « t’es conne ». J’ai voulu en faire un épisode du podcast, quand je me suis souvenue que j’en avais fait un texte un peu con, il y a plusieurs années. Car oui, c’est récurrent, les miroirs et moi, c’est pas une histoire belle. Le voici.

Très émue par l’incendie de Notre Dame, je suis maintenant, aussi, très énervée par la captation des émotions liées à l’événement et par l’afflux de dons qu’il semble impossible de critiquer sans être considéré.e comme suspect.e voire comme traître. Je me suis rendue sur les quais, face à Notre Dame, à la rencontre des gens qui la regardaient, la prenaient en photo. Je leur ai demandé leur avis : que pensez-vous de la polémique concernant le montant des dons, un milliard en 48h? Les réponses se succèdent dans l’ordre des rencontres, sans montage.

Parfois, il est impossible de retenir un pet. Pour moi, c’est quand des émotions sont en jeu. Je panique, j’ai honte et il me faut me calmer. Mais à bien y réfléchir, j’ai envie de dire : célébrons nos pets comme l’odeur du bien-être, comme un signe de relâchement, comme une preuve de confiance.

Ce matin j’ai découvert que j’avais un poil blanc. Je me suis sentie vieille et périmée, foutue et déprimée alors que, pourtant, je vis très bien avec mes cheveux blancs. Ce qui m’a énervée, c’est pas le poil, c’est ma réaction face à ce poil.

Quand tu n’arrives pas à faire une chose et que tout le monde te dit « mais c’est facile », c’est très énervant. On devrait interdire le mot facile !