Du plus dense à l'optimisme Des lignes de plomb à la Poésie Les dangers de notre temps présent, à savoir le fascisme et le nazisme, sont évoqués. Pour une prise de conscience, pour un sursaut Et pour offrir quelques pistes de réflexion, d'imagination, et de respiration.

De la richesse de quelques uns, à la souffrance de tous/toutes les autres

De retour après une longue pause. Cet épisode sert d'introduction à cette nouvelle saison, expliquant dans un premier temps, la démarche poétique à travers mes ouvrages. Ensuite, vient la lecture de 5 poèmes de Tambours, guerre et paix (Lomnava).

Être personne. À rebours de bien des discours...

Trois grands sujets entremêlés, pour tenter d’offrir une grille de lecture différente, et comprendre par quoi sont traversées la plupart des sociétés actuelles. Les formes du sacrée, de l’institution politique à l’institution religieuse. Le pouvoir des mots, de l’éducation aux discours politiques. Et enfin, l’entremêlement de l’être et de l’avoir, en source des conflits au sein des sociétés. Tout ceci, se passant par un principe fondamental : la transmission.

4 lettres écrites par Lomnava, accompagnées d'un texte. Pour redonner la parole aux voix qui furent éteintes, oubliées, blessées. En quête de sublimation.

Du virilisme à la féminité, voici une étude de ce qu'est être homme dans une société occidentale. Tout en cherchant à déconstruire, pour prendre conscience qu'une société qui est favorable aux hommes, participe à bien des oppressions à l'égard de tout ce qui ne rentre pas dans les critères de la virilité. Evidemment, la démarche n'est pas motivée par le ressentiment, mais bien par la sincère envie de nous voir nous tirer vers le haut, tous et toutes... Allié.es. Au fait, j'ai fait une erreur : transgenre*, en parlant de transexuel. Je m'excuse de tout coeur.

Un poème, pour décrire, compléter, ce podcast : Des sociétés aux mondes intérieurs : des cloisons opaques Labyrinthe cérébral, pensée écaillée Esclave d’un miroir, bon vouloir des enfers. Labyrinthe philosophique, désirs inversés Beauté du monde ou prison à ciel ouvert. Mais où sont-elles ? La clef et porte de sortie Après s’être perdu un millier de fois. Retournant pourtant toujours aux mêmes endroits Esclave à elle-même, la pensée vouée à l’oubli. Société emmêlée, un sac de nœuds Trône des incohérences brillant de milles feux. Frontières en acier séparant les idées Penser un autre monde, la folie assumée. Un marteau fait de percévérance et d’humour Pour tenter d’ouvrir et de briser les cloisons. La patience fait des petits trous dans les contours L’eau de source s’en mêle avec déraison.