
Chaque jour, on croise une voisine, une collègue, une amie en leur disant bonjour sans se douter une seule seconde des drames qu’elles ont pu vivre. Parfois même, le tabou est tel que l’indicible devient une seconde nature dans beaucoup de famille. L’histoire de Camille nous ramène à notre première angoisse d’enfant, celle de la séparation.