Mon père avait un rire dans les yeux. Un sens de l’humour discret, décalé, doux.

Dans cet épisode, je parle du rire après la mort. De son rire à lui, et du mien — celui qui m’a aidé à tenir debout pendant le deuil.

Je parle aussi des absurdités qui entourent la perte d’un proche : les maladresses, les formulaires, les PowerPoint de salon funéraire, les blagues involontaires, les silences trop longs, et les chardonnerets à qui on finit par parler.

Parce que parfois, le deuil ressemble à un sketch qu’on n’a pas demandé… mais qu’on finit par écrire pareil.

🎧 Un épisode final sur l’humour dans le deuil, la tendresse, et les jeux de mots douteux qu’on continue d’entendre, même quand la personne n’est plus là.

🎙️ Et si on riait de la mort?
Une mini-série balado entre récit, conte et stand-up.
Écrite, racontée et autoproduite par Guillaume Gélinas.

La mort vient bouleverser notre rapport au temps.Dans cet épisode, je raconte comment, après le décès de mon père, tout s’est figé. Plus d’horloge. Plus de repères. Puis, trop vite, les étapes administratives, les funérailles, la reprise du quotidien.

Je parle du deuil, de l’attente, du chaos intérieur. Et de mon père, ce gars qui prenait tout le temps son temps… et qui m’a peut-être transmis ça, à sa manière.

🎧 Un épisode sur le temps du deuil, les démarches qui s’enchaînent, les horaires absurdes… et les vieilles tondeuses qu’il faut crinquer huit fois avant qu’elles partent.

🎙️ Et si on riait de la mort?Une mini-série balado sur la mort, le deuil et ce qui reste.Écrite, racontée et autoproduite par Guillaume Gélinas.

Mon père était passionné d’oiseaux.
Tous les jours, il m’envoyait des photos.
Des rafales de 50 clichés flous d’une paruline à croupion jaune, sous tous les angles imaginables.
Et puis… plus rien.
Pas de vibration sur mon cell. Pas de geai bleu. Pas de mésange.

Dans cet épisode de ma mini-série balado Et si on riait de la mort?, je parle du lien étrange entre les oiseaux et le deuil.
Des signes qu’on croit voir. Des symboles. Des traditions.
De ce que ça fait, quand un simple moineau devient sacré.

Un épisode plus doux, un peu poétique.
Mais toujours avec ce mélange d’humour, de tendresse… et d’humanité.

🎙️ Et si on riait de la mort?
Un balado personnel sur le deuil, la mort, et tout ce qui reste après.
Écrit, raconté et autoproduit par Guillaume Gélinas.

Y’a un truc presque pire que d’apprendre une mort… c’est de devoir l’annoncer. Encore, encore, et encore.

Dans ce troisième épisode, je raconte comment je suis devenu malgré moi “le secrétaire de la mort” : à répondre à des dizaines de messages, à pleurer entre deux appels à Bell ou à Desjardins, à essayer de rester debout quand tout s’effondre autour.

Mais au-delà des phrases toutes faites, des maladresses, du silence ou de la gêne… j’ai aussi reçu des élans vrais. Des gestes simples. Une accolade silencieuse d’un gars du village que je connaissais à peine. Et ça, c’était peut-être le plus beau des mots.

Un épisode plus mordant, mais toujours sincère. Sur les réactions des autres face à la perte… et comment, malgré tout, ça nous fait du bien.

Un testament. Une enveloppe brune. RDS en bruit de fond. Une tasse de café dans les mains qui tremblent. Le décor est planté.

Dans cet épisode, je parle d’héritage. Pas celui qu’on s’attend à recevoir. Mais celui qu’on découvre à travers les gestes, les souvenirs, les réactions des gens autour… et même un vieux couteau Opinel que j’avais donné moi-même à mon père.

On parle de ce qu’on laisse derrière, volontairement ou pas. D’une réputation à honorer, de valeurs transmises sans discours, et du fameux “gros Tremblay” qui, contre toute attente, a peut-être été touché lui aussi.

Un épisode doux, drôle, touchant — sur ce qu’on garde quand il ne reste plus personne pour le donner.

Lire un hommage aux funérailles de son père. Devant tout le monde. Le cœur en miettes, la gorge nouée, le doute en pleine face.

Dans ce premier épisode, je raconte ce moment où ma blonde me demande si je vais parler… et où je me dis : “Voyons donc, es-tu folle?”
J’avais rien écrit. J’étais pas prêt. Mais tranquillement, un mot à la fois, j’ai trouvé ma voix. Et à ma grande surprise… j’ai aussi trouvé un peu de plaisir dans tout ça.

Un épisode sur le deuil, l’écriture, les hommages sincères… et l’humour, même là où on ne l’attend pas.