
La pensée occidentale privilégie le fait de parler, de représenter, de s'adresser aux autres. C’est ce sur quoi reposent les avant-gardes, mais aussi le totalitarisme : il s’agit d’imposer sa parole à l’autre. Le changement radical serait d'écouter, de créer d’autres types de relations et d'être proche de l'autre. C'est cette notion d'espoir, de cet élan de vie, de cette qualité d’écoute et de la tendresse que l'exposition Après la fin met au jour.