Propos recueillis par Benoit Basirico
"Kika", à l’affiche le 12 novembre 2025, de Alexe Poukine
Musique originale composée par Pierre Desprats
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20250522204730
Pierre Desprats, connu pour son travail sur "Les Garçons Sauvages" et "Olga", signe la musique de la comédie dramatique franco-belge d'Alexe Poukine. Il s'agit du premier long-métrage de fiction de la réalisatrice, déjà reconnue pour ses documentaires. Le film relate l'histoire de Kika (Manon Clavel), une travailleuse sociale enceinte de son second enfant, qui doit faire face au décès soudain de son compagnon David (Makita Samba). Cette tragédie la plonge dans la précarité financière et une profonde détresse émotionnelle. Pour survivre, Kika est contrainte de mobiliser une force intérieure insoupçonnée et d'explorer des voies non conventionnelles, notamment le monde du BDSM à travers des relations tarifées de domination-soumission. La musique de Desprats, marquée par un ostinato de saxophone et des textures électroniques, intervient initialement pour souligner la relation amoureuse naissante et installer l'émotion, avant de s'effacer pour marquer que quelque chose s'est brisée chez la jeune femme. Elle explore ensuite des paysages sonores électroniques ambiants, privilégiant la sensation et la pulsion pour dépeindre l'état interne de l'héroïne : son énergie, sa résilience et sa vulnérabilité. La composition capte le mouvement de chute et de relèvement, entre écroulement et résilience, grâce à la matière très organique du saxophone, joué par Pierre Borel tel un souffle, auquel s’ajoutent la basse, la batterie et la voix.
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Propos recueillis par Benoit Basirico
"Kika", à l’affiche le 12 novembre 2025, de Alexe Poukine
Musique originale composée par Pierre Desprats
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20250522204730
Pierre Desprats, connu pour son travail sur "Les Garçons Sauvages" et "Olga", signe la musique de la comédie dramatique franco-belge d'Alexe Poukine. Il s'agit du premier long-métrage de fiction de la réalisatrice, déjà reconnue pour ses documentaires. Le film relate l'histoire de Kika (Manon Clavel), une travailleuse sociale enceinte de son second enfant, qui doit faire face au décès soudain de son compagnon David (Makita Samba). Cette tragédie la plonge dans la précarité financière et une profonde détresse émotionnelle. Pour survivre, Kika est contrainte de mobiliser une force intérieure insoupçonnée et d'explorer des voies non conventionnelles, notamment le monde du BDSM à travers des relations tarifées de domination-soumission. La musique de Desprats, marquée par un ostinato de saxophone et des textures électroniques, intervient initialement pour souligner la relation amoureuse naissante et installer l'émotion, avant de s'effacer pour marquer que quelque chose s'est brisée chez la jeune femme. Elle explore ensuite des paysages sonores électroniques ambiants, privilégiant la sensation et la pulsion pour dépeindre l'état interne de l'héroïne : son énergie, sa résilience et sa vulnérabilité. La composition capte le mouvement de chute et de relèvement, entre écroulement et résilience, grâce à la matière très organique du saxophone, joué par Pierre Borel tel un souffle, auquel s’ajoutent la basse, la batterie et la voix.
Propos recueillis par Benoit Basirico
“Cassandre”, à l’affiche le 2 avril 2025, premier film d'Hélène Merlin
Musique originale composée par Delphine Malaussena
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20250402092217
Delphine Malaussena signe la musique de “Cassandre”, à l’affiche le 2 avril 2025, premier film d'Hélène Merlin qui relate le processus psychologique de Cassandre (Billie Blain), 14 ans, victime des abus de son frère (Florian Lesieur) au sein du petit manoir familial où elle vit à la campagne avec ses parents (Zabou Breitman, Eric Ruf). La partition illustre ce cheminement, révélant les mécanismes de la violence de manière à la fois limpide et secrète (par des notes troubles soutenant une tension, ne se privant pas de moments de suspense et d'émotion, permettant de faire émerger les sentiments non exprimés par les dialogues). Une écriture baroque représente le contexte familial ordonné avec une figure paternelle autoritaire. Un thème chanté à deux voix, baryton et soprano, symbolise la libération de la parole et la réconciliation possible entre le masculin et le féminin.
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Propos recueillis par Benoit Basirico
"Kika", à l’affiche le 12 novembre 2025, de Alexe Poukine
Musique originale composée par Pierre Desprats
Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20250522204730
Pierre Desprats, connu pour son travail sur "Les Garçons Sauvages" et "Olga", signe la musique de la comédie dramatique franco-belge d'Alexe Poukine. Il s'agit du premier long-métrage de fiction de la réalisatrice, déjà reconnue pour ses documentaires. Le film relate l'histoire de Kika (Manon Clavel), une travailleuse sociale enceinte de son second enfant, qui doit faire face au décès soudain de son compagnon David (Makita Samba). Cette tragédie la plonge dans la précarité financière et une profonde détresse émotionnelle. Pour survivre, Kika est contrainte de mobiliser une force intérieure insoupçonnée et d'explorer des voies non conventionnelles, notamment le monde du BDSM à travers des relations tarifées de domination-soumission. La musique de Desprats, marquée par un ostinato de saxophone et des textures électroniques, intervient initialement pour souligner la relation amoureuse naissante et installer l'émotion, avant de s'effacer pour marquer que quelque chose s'est brisée chez la jeune femme. Elle explore ensuite des paysages sonores électroniques ambiants, privilégiant la sensation et la pulsion pour dépeindre l'état interne de l'héroïne : son énergie, sa résilience et sa vulnérabilité. La composition capte le mouvement de chute et de relèvement, entre écroulement et résilience, grâce à la matière très organique du saxophone, joué par Pierre Borel tel un souffle, auquel s’ajoutent la basse, la batterie et la voix.